Par Michka (Michka) le vendredi 15 septembre 2006 - 12h40: |
Un texte que nous ne sommes pas prêts d'oublier et toujours d'actualité, mis à part qu'Arafat est mort mais non son idéologie.
Une vérité éclaboussante qui nous avait démontré à l'époque que nous n'étions pas complètement seuls.
Je le refais passer en mémoire d'Oriana.
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LA HONTE DE L'EUROPE
par Oriana Fallaci
Par Oriana Fallaci (paru dans Panorama, 18 avril 2002) Traduit de l'italien par Claire Benveniste pour Réponses - Israël.
Je trouve honteux qu'on manifeste en Italie pour des individus habillés en kamikazes qui lancent contre Israël des injures scandaleuses, en brandissant des photos de dirigeants israéliens avec une svastika sur le front, et qui incitent à la haine contre les Juifs. Et qui vendraient leur propre mère pour voir à nouveau les Juifs dans des camps de concentration, dans les chambres à gaz, dans les fours crématoires de Dachau, de Mathausen, de Buchenwald et de Bergen-Belsen.
Je trouve honteux que l'Eglise Catholique permette à un évêque, logé au Vatican, une espèce de faux petit saint qu'on a surpris à Jérusalem avec un arsenal d'armes et d'explosifs cachés dans des compartiments secrets de sa belle Mercédès, de participer à ces manifestations en remerciant par haut-parleur les kamikazes, au nom de Dieu, d'avoir massacré des Juifs dans des pizzerias et des super-marchés. Et qui en parle comme de "martyrs qui vont à la mort comme on va à une fête".
Je trouve honteux qu'en France on brûle des synagogues, qu'on terrorise des Juifs, qu'on profane leurs cimetières, dans la France de la devise Liberté-Egalité-Fraternité.
Je trouve honteux qu'en Hollande, en Allemagne et au Danemark, les jeunes portent le keffieh comme les avangardistes de Mussolini portaient les insignes du fascisme.
Je trouve honteux que dans presque toutes toutes les universités européennes les étudiants palestiniens fassent la loi et alimentent l'antisémistisme. Qu'en Suisse on ait demandé de retirer à Shimon Peres le prix Nobel qu'il a obtenu en 1994, pour le réserver exclusivement à cette colombe au rameau d'olivier que serait Arafat.
Je trouve honteux que les membres éminents du Comité du Prix Nobel, pour qui le mérite devrait l'emporter sur la couleur politique, aient pu prendre en considération cette demande au point d'envisager d'y répondre. Au diable le Prix Nobel et honneur à qui ne le reçoit pas!
Je trouve honteux que les télévisions d'État, en Italie, contribuent à l'antisémitisme, en pleurant sur les morts palestiniens et en passant sous silence les morts israéliens, dont ils ne parlent souvent que de façon expéditive.
Je trouve honteux que les télévisions invitent dans leurs débats tant de voyous à turbans et keffieh, de ceux qui se sont réjouis des attentats du 11 septembre et qui aujourd'hui se réjouissent des massacres de Jérusalem, de Haïfa, de Netanya et de Tel Aviv.
Je trouve honteux que la presse écrite en fasse autant, et qu'elle s'indigne de voir les chars israéliens cerner l'Eglise de la Nativité, alors qu'elle ne s'indigne pas de savoir que deux cents terroristes palestiniens, dont des chefs du Hamas et d'El Aqsa, armés, avec munitions et explosifs, soient, dans cette église les hôtes non désirés des moines (et qu'ils acceptent, des mains des soldats des chars, des bouteilles d'eau minérale et du miel).
Je trouve honteux qu'un journal ait pu dire qu'il meurt plus d'Israéliens dans les accidents de la route (600 en un an) que depuis le début de la seconde Intifada (412).
Je trouve honteux que l'Osservatore Romano, le journal du Pape -- ce Pape qui, il n'y a pas longtemps, a mis dans le Mur des Lamentations une lettre demandant pardon aux Juifs -- accuse d'extermination ce peuple que les Chrétiens ont exterminé par millions. Et les Européens aussi.
Je trouve honteux que ce journal dénie aux survivants de ce peuple (dont beaucoup ont encore un numéro tatoué sur le bras) le droit de réagir, de se défendre, de ne pas se laisser exterminer à nouveau.
Je trouve honteux que les prêtres de nos paroisses et de nos centres sociaux flirtent avec les assassins de ceux qui ne peuvent plus aller manger une pizza à Jérusalem ni faire des courses sans risquer de sauter, et tout cela au nom de Jésus Christ (un Juif, sans qui aujourd'hui ils seraient tous au chômage).
Je trouve honteux qu'ils se rangent du côté de ceux qui ont lancé le terrorisme en semant la mort dans les avions, les aéroports, les Jeux Olympiques et qui aujourd'hui se font un plaisir de tuer les journalistes occidentaux. De les fusiller, de les défigurer, de les décapiter. (Depuis que j'ai publié La Rage et l'Orgueil, j'en connais un en Italie qui voudrait bien en faire autant pour moi. Qui, à coups de citations du Coran, exhorte ses "frères" dans les mosquées et dans les communautés islamiques à me punir au nom d'Allah. A me tuer. Et même à mourir avec moi. Comme c'est quelqu'un qui connaît bien l'anglais, je lui réponds en anglais: "Fuck you").
Je trouve honteux que presque toute la gauche oublie aujourd'hui la contribution que les Juifs ont apportée à la lutte antifasciste (il y a vingt ans, cette gauche a toléré qu'une manifestation syndicale dépose un cercueil, avertissement maffieux, devant la synagogue de Rome). Qu'elle oublie Carlo et Nello Rossi, par exemple, et Leone Ginzburg, Umberto Terracini, Leo Valiani, Emilio Sereni, et des femmes comme mon amie Anna Maria Enriquez Agnoletti fusillée à Florence le 12 juin 1944, et les 75 des 335 qui ont été tués aux Fosses Ardeatines et tous les autres morts sous la torture, au combat ou devant des pelotons d'exécution (amis et maîtres de mon enfance et de mon adolescence).
Je trouve honteux aussi que, par la faute de la gauche et surtout par la faute de la gauche, les Juifs aient de nouveau peur dans les villes d'Italie -- cette gauche qui ouvre ses congrès en applaudissant le représentant de l'OLP en Italie, le chef des Palestiniens qui cherchent la destruction d'Israël!
Et dans les villes de France, de Hollande, d'Allemagne et du Danemark.
Je trouve honteux qu'ils tremblent quand ils voient défiler ces voyous habillés en kamikazes, comme ils tremblaient à Berlin pendant la Nuit de Cristal, qui servit à Hitler à ouvrir la chasse aux Juifs.
Je trouve honteux que le mot de "paix" soit confisqué par ceux qui suivent la mode du Politiquement Correct, cette mode stupide, vile, malhonnête, dont profitent les opportunistes et les parasites. Qu'avec ce mot de "paix", désormais plus dévalué que les mots d'amour et d'humanité, ils puissent pardonner la haine et la bestialité, mais d'un seul côté. Qu'au nom du pacifisme -- ou plutôt du conformisme -- ceux qui il n'y a pas longtemps léchaient les pieds de Pol Pot entraînent aujourd'hui des gens peu informés ou intimidés. En les corrompant, en les faisant régresser un demi-siècle en arrière, à l'époque de l'étoile jaune. Ces charlatans qui se soucient des Palestiniens autant que moi je me soucie d'eux, c'est-à-dire pas du tout.
Je trouve honteux que tant d'Italiens et tant d'Européens aient pris pour porte-étendard "monsieur" Arafat. Cette nullité qui joue les Mussolini grâce aux sous que lui verse la famille royale Séoudite; ce mégalomane qui croit pouvoir passer à la postérité comme le George Washington de la Palestine. Cet illettré qui, lorsque je l'ai inteviewé, n'était pas capable de faire une phrase complète ou de produire un discours articulé. (De sorte que pour publier l'interview j'ai dû prendre sur moi de tout composer et tout écrire; j'en étais arrivée à la conclusion que, par rapport à lui, Khadafi faisait figure de génie). Cet espèce de faux guerrier qui se promène toujours en uniforme, comme Pinochet, sans jamais se mettre en civil, mais qui n'a jamais participé à aucune bataille. La guerre, il la fait faire par les autres, il l'a toujours fait faire par les autres. C'est-à-dire par tous ces pauvres gens qui croient en lui. Cet espèce d'incapable pompeux qui en récitant son rôle de chef d'État a fait capoter les accords de Camp David et la médiation de Clinton: "Non-non-non-je-veux-Jérusalem-en-entier-pour-moi". Ce perpétuel menteur qui n'a des accents de vérité que pour nier le droit à l'existence d'Israël (il ne le dit qu'en privé) et qui se contredit toutes les cinq secondes, comme je le raconte dans mon livre. Qui joue toujours le double jeu et serait capable de mentir même pour vous dire quelle heure il est.
Impossible de lui faire confiance. Jamais ! Il finit toujours par vous trahir. Cet éternel terroriste qui ne sait faire que le terroriste, tranquille et à l'abri et qui entraînait les terroristes de la bande à Baader-Meinhof, dans les années soixante, quand je l'avais interviewé. Et avec eux des gamins de dix ans. Pauvres gamins. Aujourd'hui, il les entraîne à faire les kamikazes. Une centaine de bébé-kamikazes sont en cours de fabrication. Une centaine ! Cette girouette qui garde sa femme à Paris, servie et adulée comme une reine, et qui garde son peuple dans la merde. Il le sort de la merde pour l'envoyer à la mort, tuer et se faire tuer, comme ces jeunes de dix-huit ans qui pour égaler les hommes doivent se garnir d'explosifs et se désintégrer avec leurs victimes. Et pourtant beaucoup d'Italiens l'aiment, vraiment. Comme ils aimaient Mussolini Et beaucoup d'autres Européens aussi.
Je trouve cela honteux et j'y vois la naissance d'un nouveau fascisme, d'un nouveau nazisme. Un fascisme et un nazisme d'autant plus pernicieux et répugnants qu'ils sont répandus par des gens qui font les belles âmes, les progressistes, les communistes, les pacifistes, les catholiques et les chrétiens en général, qui ont le toupet de traiter de bellicistes ceux qui comme moi crient la vérité. Je le sais, et voici ce que j'ai à dire. Moi, je n'ai jamais été tendre envers ce Sharon tragique et shakespearien (qui m'avait dit avec une certaine tristesse, en 1982, lors d'une interview: "je sais bien que vous êtes venue me voir pour ajouter un scalp à votre collection"). Je me suis souvent disputée avec les Israéliens et j'ai défendu les Palestiniens dans le passé. Peut-être même plus qu'ils ne le méritaient. Mais je suis du côté d'Israël, je suis du côté des Juifs. Je suis de leur côté comme je l'étais quand j'étais jeune au temps où je combattais avec eux et où les Anne-Larie mouraient fusillées. Je défends leur droit à exister, à se défendre, à ne pas se laisser exterminer une seconde fois. L'antisémitisme de tous ces Italiens et tous ces Européens me dégoûte, et j'ai honte de cette honte qui déshonore mon pays et l'Europe. Tas de Ponce Pilate, plutôt qu'une communauté d'États. Et même si tous les habitants de cette planète pensent autrement, c'est ce que moi je continuerai à penser.
© Oriana Fallaci, Panorama, 18 avril 2002.
[Merci à Reponses Israel de nous avoir transmis ce texte.]
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Note de Y.K.
"QUI EST Orianna Fallaci?
C'est une journaliste italienne de renom (Genre de Christine Ockrent), féministe, tiers-mondiste, elle a à son palmarès les interviews de grands de ce monde (Khadafi, Castro, etc.).
Elle avait de la sympathie pour la cause palestinienne (comme tous les Européens et les intellectuels gauchistes), mais ses yeux se sont ouverts à propos de l'islam après les attentats du 11 septembre, lorsqu'elle a réalisé, avec une lucidité élémentaire que c'étaient les Israeliens qui couraient un danger et non l'islam et les Palestiniens, comme on voudrait le laisser croire. Elle n'a cependant aucune sympathie particulière pour Sharon; elle a simplement, à l'instar de A. Finkelkraut réalisé une analyse logique et objective du conflit, expérience à l'appui.
Voici quelques-unes de ses citations sur la question:
"la culture occidentale est supérieure à celle de l'islam et on peut difficilement parler des mérites du Coran. "
"Le tchador, la polygamie, le fait que les femmes valent moins que les chameaux, tout cela, écrit-elle, est dans le Coran. «Et si les femmes sont assez stupides pour porter le tchador, tant pis pour elles. (...) Si elles sont assez crétines pour accepter d'épouser un sale c.. qui veut quatre femmes pour lui tout seul, tant pis pour elles.»
Est-elle Émile ZOLA ressuscité?
le FIGARO osera-t-il aujourd'hui publier ce texte ?
LISEZ-LE AVEC DELECTATION!"
UPJF
Par Michka (Michka) le vendredi 15 septembre 2006 - 11h48: |
Oriana, ta clairvoyance va bien nous manquer.
Oriana, l'exemple d'une personne enrolée dans "l'idéologie rouge" qui s'en est sortie pour recouvrer sa liberté.
La plus grande intelligence est de se remettre en question. Hélas! ce n'est pas donné à tout le monde.
Par Meyer (Meyer) le vendredi 15 septembre 2006 - 11h11: |
Décès de la journaliste italienne Oriana Fallaci
AFP 15.09.06 | 09h50
La journaliste polémiste italienne Oriana Fallaci, 77 ans, est morte dans la nuit de jeudi à vendredi dans un hôpital de Florence (Italie) des suites d'une longue maladie, a annoncé l'agence Ansa.
Oriana Fallaci, qui partageait son temps entre Florence et New-York, avait été hospitalisée dans la plus grande discrétion dans sa ville natale il y a quelques jours, selon Ansa.
La journaliste, ancienne reporter de guerre, qui avait rencontré et interviewé tous les grands de la planète comme Yasser Arafat, Golda Meir, Indira Gandhi ou Deng Xiaoping, avait fait scandale en 2002 avec la publication de son livre "La rage et l'orgueil".
Cet ouvrage, écrit sous le choc des attentats du 11 septembre aux Etats-Unis, avait été le plus vendu de l'année 2002 en Italie.
Le texte, dénoncé comme un brûlot antimusulman, avait déclenché passions et polémiques et lui avait valu des poursuites judiciaires.
Elle avait ensuite écrit dans le même esprit "La force de la raison" où elle fustigeait la démission de l'Occident face à l'islam, suscitant à nouveau la polémique.
Son dernier livre, écrit sous forme d'"auto-interview", datait de 2004.
Oriana Fallaci, qui était passé de la gauche à la droite, se définissait comme une "athée chrétienne", c'est à dire comme non croyante mais attachée à l'identité chrétienne de l'Europe.
Alors déjà très malade - elle souffrait d'un cancer - , elle avait été discrètement reçue pape le pape Benoît XVI le 30 août 2005 dans sa résidence d'été de Castel Gandolfo, près de Rome.
Au cours de sa carrière qu'elle avait commencée très jeune comme envoyée spéciale dans le monde entier, Oriana Fallaci a collaboré aux grands titres de la presse étrangère aux Etats-Unis, en France ou en Allemagne.
http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-28183076@7-37,0.html
Par Michka (Michka) le vendredi 15 septembre 2006 - 11h07: |
Il y a bien longtemps que j'avais compris cela. Et comme certains le disent, le problème c'est l'islam. Une idéologie tellement ancrée dans les esprits qu'il parait difficile d'en venir à bout. Il est dit que toute terre ayant appartenue à l'islam doit redevenir musulmane.
Un exemple: dans chaque musulman demeure intacte la nostalgie de leur présence en Espagne. Ils n'en démordent toujours pas et la reconquête est en marche.
C'est toujours la même fixation obsessionnelle qui enkyste les esprits les maintenant dans une rumination qui n'a pas variée d'un pouce depuis des lustres.
Conquête ou reconquête, tels sont leurs objectifs vitaux et l'on comprend mieux pourquoi existe un tel degré d'arriération dans les sociétés musulmanes.
Ils n'ont même pas idée qu'un "lâcher prise" les ferait aller de l'avant et vers plus de liberté.
Chose impossible parce que "muslims" veut dire "soumis" et lorsque l'on est soumis, on est dans l'enfermement.
On vous rétorquera oui mais soumis à Dieu, raison de plus, et le libre arbitre alors? Il n'existe pas dans l'islam. Tout a été bien ficellé afin de bien les aliéner.
On n'est pas sorti d'affaire!
L'Islam ne fera jamais la paix avec Israël
Yael Ancri - jeudi 14 septembre 2006 - 20:59
Un congrès sur le terrorisme et les méthodes de lutte contre ce fléau a eu lieu mercredi et jeudi à Herzeliya. Dans le cadre des conférences tenues au cours du congrès annuel, le général Ziv a parlé mercredi d'un regain des attentats suicide à l'avenir. (Cliquez ici pour en savoir plus.)
Moshé Sharon, professeur en histoire de l'Islam à l'université hébraïque, a pour sa part déclaré jeudi qu'il "n'y aurait jamais, ô grand jamais, la moindre chance de paix entre Israël et les Palestiniens."
Sharon, s'exprimant à l'institut d'anti-terrorisme de Herzeliya, a indiqué que l'Iran était absolument sérieux au sujet de l'obtention et de l'utilisation de l'arme atomique, pour promouvoir sa vision d'une fin des temps islamique.
Cet expert de l'Islam a indiqué que les responsables de l'occident ne comprenaient pas que le monde arabe et musulman considérait véritablement la création de l'Etat d'Israël comme un "revers de l'Histoire". D'un point de vue musulman, "un territoire islamique a été dérobé à l'Islam par les Juifs. Il est maintenant notoire qu'une telle chose est inacceptable à leurs yeux, pas même sur un seul mètre. Aussi, quiconque s'imagine que Tel Aviv est à l'abri fait une grave erreur. Un territoire, autrefois régi par la loi islamique, est maintenant devenu non musulman. Les non musulmans ne dépendent pas de la règle islamique et les Juifs ont créé leur propre Etat indépendant. Il s'agit d'un anathème. Pire, Israël, un Etat de non Musulmans, règne sur des Musulmans. Or, une telle chose est impensable pour l'Islam."
Sharon a écarté les divers traités de paix signés par les responsables du monde arabe et musulman, les qualifiant de "morceaux de papier dépourvus de sens et faisant partie d'une simple tactique, ils sont purement stratégiques…"
Arutz7
Par Djlachem (Djlachem) le vendredi 15 septembre 2006 - 01h03: |
Jean Daniel comme son clône, Elisabeth Schemla, sont deux robinets d'eau tiède.
Leur prose, inutile, ne laissera strictement aucune empreinte dans les esprits. Jamais leurs "reflexions" n'ont, en quoi que ce soit, fait avancer le schmilblik. Jamais quiconque ne pourra se dire: j'ai lu du Daniel ou du Schemla, ça m'a ouvert les yeux.
Leur seul but: paraître intelligent et humaniste dans les salons.
Les pôv's ne se rendent même pas compte à quel point tout le monde se tape de ce qu'ils "pensent". C'est la pensée moyenne, médiane, symétrique. Celle qui ne sert strictement à rien.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 14 septembre 2006 - 22h44: |
Qui lit Amira Hass, le Haaretz aime la controverse et comme je l'ai deja expose il n'est pas un journal Israelien il appartient en parti aux anglo-saxon. Avant l'independance il etait meme contre la Hagana et l'independance.
Donc considerez cette affaire a sa propre valeur.
Par Breitou (Breitou) le jeudi 14 septembre 2006 - 21h26: |
La résolution 1701 n'est en fait qu'un piége.
Juste pour arretter Tsahal et l'empecher de karcheriser ce SUD LIBAN.
Ce que tu dis Emile est vrai.
Israël est parti en guerre pour libérer ses Deux soldats...Qui sont détenus en Syrie probablement.
Donc elle a fait une guerre pour rien avec tous les dommages colatéraux que nous connaissons.
On se perd dans cette chakchouka façon isrelienne. Ajoutons à celà tous les deboirs politiques d'un pouvoir qui s'enlise dans les affaires et nous voilà témoins de que nous n'avons jamais sans doute imaginè.
Pourquoi un pays si jeune comme Israël est t'il encore gouvernè par des vieux interéssès....???
Le Hezbollah se refait à la barbe de la Fi NULLE II et personne ne les arretera, ni les Leclerc ni les guignols en tenue couleur olive.
C'est du grand TMENIQ.
Par Albert (Albert) le jeudi 14 septembre 2006 - 21h04: |
Ce soir troisiéme partie du film qui passe depuis dimanche soir 19 heures sur le PTB
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 14 septembre 2006 - 21h26: |
Je suis entierement d'accord avec l'avertissement du directeur du Shin Bet Youval Diskin sur la menace qui pese sur Israel avec le Hamas et le Hezbollah.
Regardez les Turcs? Ils prennent aujourd'hui la ligne americaine pour ce qui concerne le terrorisme et non pas la ligne d'appaisement que prend Olmert.
Ces trois mannequins Olmert, Peretz et Halutz feront bien de laisser leur place a ceux qui meritent la confiance du peuple et sont en mesure d'assurer sa securite.
Israel ne peut pas se permettre de flechir ou d'avoir des doutes
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 14 septembre 2006 - 21h08: |
La résolution 1701 ne précise pas que les deux soldats kidnappés doivent être immédiatement libéré. Donc pourquoi Israël avait accepté cette résolution. Tzahal etait en bonne position.
Israël devait encore une fois donner un ultimatum très précis. Libérez les soldats ou nous détruirons X Y Z au Liban et en Syrie.
Hélas il n’y a que les fous comme Nasrallah qui sont respectés.
Mais si Israël n’aura pas une telle détermination, il peut très bien s’attendre a des nouvelles surprises.
Nasrallah et son Hezballah commencent à trop faire les malins. Israël perdra de sa crédibilité