Par Braham (Braham) le lundi 18 septembre 2006 - 19h00: |
Par Maurice (Maurice) le lundi 18 septembre 2006 - 18h49: |
Girelle
Les sautoirs et les agraffes surtout en argent
Ce qui est derriere ma pensée qui est un souvenir fort qui me fait souvenir de cette couleur jaune orange il n'est pas esoterique mais peut etre as tu une explication symbolique<Mais mon symbole est celui d'une bonne mere Djerbienne.J'habitais Tunis j'avais
13 ans apres la guerre,la communauté est venue voir ma mere et lui a demandé de prendre à la maison une mere djerbienne qui venait faire soigner à l'Hopital son fils tuberculeux Elle a aidé à la maison ne voulant rester en reste et la paie servait à etre pres de son fils malade
Voila que ces solidarites nous marquaient à vie
et dans ma tete j'ai cette femme Djerbienne porteuse des valeurs qui disparaissent et qui est notre survie
Par Email (Email) le lundi 18 septembre 2006 - 18h50: |
Comme beaucoup de nostalgiques et j'en suis le premier à l'être, Emile rêve de retrouver la Tunisie qu'il a jadis quitté. Une Tunisie tendre et poétique, charmante et humaine. La Tunisie de ses rêves d'enfant et de ses souvenirs ornés de pétales de roses. La Tunisie de l'innocence et de la spontanéité des esprits. Une Tunisie de fraternité, de paix et d'amour.
J'aime beaucoup sa façon de la décrire, de la revivre et de nous la faire revivre. je trouve qu'il y met une très "bonne pincé" de romance et je pense qu'on ne peut y échapper quand on évoque les tendresses du passé et les beautés volées ou envolées de son enfance et de sa jouvence.
Cette Tunisie n'a pas pour autant disparue, elle est seulement sous une petite couche de poussière. Il suffit d'y passer la main et de prendre le temps de la secouer et de la regarder avec des yeux d'amour pour que de nouveau elle réapparaît aussi belle, aussi douce et aussi séduisante.
Emile n'a malheureusement pas pu tout retrouver à Tunis mais il a retrouver l'essentiel de lui même et cela lui a permis de nous en parler avec autant d'émotion et avec autant de force.
Il y a certainement des grands changements, cela va de soi! Le monde entier est en mouvement et chaque génération possède son temps. Les anciennes regrettent, parfois, le leur mais transmettent ou essayent de transmettre ce qui leur semble bon pour aider leurs enfants à en faire autant et mieux encore; et les nouvelles préfèrent appartenir à leurs époques mais usent, évidement, dans l'héritage pour en tirer le meilleur.
Le plus important est que chacun de nous doit, comme l'a fait Monsieur Tubiana, conserver cette mémoire individuelle et collective. Je ne le dirais jamais assez : notre histoire nous est indispensable pour nous construir.
Ma Tunisie, à moi, est celle des années 70-80. Les carosses d'Emile étaient remplacées par les "4 chevaux" rouges et blanches aux intérieurs en cuir rouge bordeaux et le petit train en bois jaune du TGM (qui semblait sortir d'un vieux film du "far west") vivait ses derniers jours et se préparait à céder la place au train en métal bleu. L'arrivée du train bleu n'avaient absolument rien changé dans le comportement de ses voyageurs ; tout le monde préféraient encore voyager les portes grandes ouvertes et les plus jeunes toujours sur le toit.
La rue qui m'avait vu naître ressemblait à une cours d'une grande maison familiale. Nous vivions tous les uns chez les autres et nous échangions des tas de choses. Cela allait d'une pincé de sel au "rwayyiss thoûm" (une gousse d'ail) au "mghirfa zît zitouna" (un peu d'huile d'olive) et jusqu'aux vêtements, aux bijoux, ou encore aux tapis et décorations pour les grandes occasions. Les mères étaient les mères de tous les enfants, quand il leurs arrivent de garder ceux des autres elles iront jusqu'a les allaiter. C'est comme ça d'ailleurs que j'ai eu une bonne douzaine, voir plus, de frères et de sœurs "de lai"t et qu'il fallait faire très attention après de ne pas tomber amoureux de ces dernières.
Avec les potes, nous faisions des grandes virés dans les hauteurs de Tunis, des vastes prairies où on plantait de l'orge et du blé, on les appelle aujourd'hui, El manar, Ennasr...etc. c'était comme dans un rêve. Nous partions des journées entières, à l'aventure, pour attraper, grâces à des filets et une certaine technique qu'on maîtrisait, les plus belles espèces d'oiseaux chanteurs pour organiser, plus tard, des concours de chant entre les plus doués. L'enjeu était de faire bouder le moins bon. Nous avions beaucoup d'activités de ce genre et nous étions liés d'une façon qui me semble aujourd'hui comme sortir d'un roman.
Pour l'anecdote!? savez vous qu'à l'emplacement d'un des premiers cafés bronchés du quartier El manar le fameux "le côte à côte" où toute la jeunesse de Tunis venait, au moins une fois, siroter une orange pressée ou un "capoucin" et où la terrasse ne se désemplie qu'à l'heure de la fermeture, se trouvait une décharge publique d'ordures ménagères........Eh oui! les temps changent! Mais là je n'ai absolument pas de regret! aucun!
Je me rappelle encore de ma première télévision. Ce gros cube marron foncé qui nous a été livré comme on livrait un trésor. C'était un vrai événement de quartier! Cette boite à images magique en noir et blanc qui grâce à elle notre maison s'était transformée en une salle de projection publique où les voisins improvisaient des installations les plus incroyables pour que tous puissent s'installer devant les longs métrages égyptiens des mercredis soir et croquer les "glibettes" chaudes de "el 7ammass il fou9ani" (le marchand des hauteurs) le seul qui ouvrait assez tard l'hiver.
La jeunesse n'étaient pas autant dans les boites et les clubs nocturnes. C'était une affaire de grands.
Des grandes discussions animaient les bancs de nos écoles. Les grands rêves occupaient nos quotidiens. Rêves et espérances étaient nos moteurs. Il y'avait une vraie effervescence, des grandes motivations et beaucoup de volonté. Je ne ferais l'erreur de dire que nous étions meilleurs, mais nous avions d'autres centres d'intérêts, imposés par cette période mais aussi inspirés des plus vieux.
Mais la Tunisie a connu, comme d'autres, sa crise des années 80 et, encore, un choc politique et sociale qui la précipiter dans une sorte de paranoïa généralisé et où tout le monde s'est mis à poser de grandes questions sur l'identité tunisienne et l'avenir de chacun et de l'ensemble.
Beaucoup ont alors mal ou très mal compris les choses, les plus simples, et ont fini par penser que changer veut dire tout faire basculer sans faire attention à ce que nous détenions du mieux : nos valeurs tunisiennes et cet héritage tunisien : le fondement même de notre identité.
Toutes ces belles petites choses, simples à leurs bases mais combien précieuses. Mais comme le plus précieux est souvent le plus fragile, on a fini par en briser beaucoup.
Je comprends la nécessité de certains de vouloir appartenir à ce monde en poussant les portes les plus délicates. Je comprends leurs besoins de se moderniser et de vouloir ressembler à ceux qui possèdent des longueurs d'avance. Mais j'aimerais aussi, comme quand on me parle de miracle économique tunisien, qu'on vienne me parler davantage du miracle social et culturelle tunisien et que chacun œuvre dans ce sens ; car chacun est et doit rester responsable du présent et de l'avenir de notre pays...Et qui dit avenir dit jeunesse!
J'ai regardé, l'autre jour, un petit sketch de Mongi Il3ouni qui traitait justement du voisinage d'hier et d'aujouird'hui. Lui, parlait des "7ouma bil 3ordh"( les quartiers à l'horizontale) pour parler des anciennes habitations, et des "7ouma bit'toul" (les quartiers à la verticales) pour parler des habitations modernes c'est à dire les immeubles. Il regrette, lui aussi, toute cette chaleur humaine perdue avec le temps remplacé par un climat glaciale, si j'ose dire, et cet éloignement des hommes les uns des autres. Il disait que les voisins ne se croisent même plus ou peu et rajoute, avec beaucoup d'humour, qu'ils ne se reconnaissent que par leurs voitures ....et finit par dire : que comme pour ces ascenseurs qui les remontent et qui les livrent à leurs domiciles ils ont besoin d'autres ascenseurs, ceux qui remonteront l'amour et la fraternité vers leurs cœurs.
Bref yè Vénus inti w Emile 7ayyartouli mwej3i....ya3ni hétha ismou : lams il awtar illi akrhèr min 7assèssa
VENUS
Par Bekhor (Bekhor) le lundi 18 septembre 2006 - 17h35: |
Voici un appercu des couleurs identique aux rayures des femmes juives de Djerba.
En general le "TEJ" etait completement plaqués de pieces en or. (LOUIJETTE YE AZE= des louis d'or mon chéri) prononcé a la façon des juives de Djerba.
Par Girelle (Girelle) le lundi 18 septembre 2006 - 15h24: |
Mon message s'adresse à Maurice.
Pouvez vous avoir l'extrême amabilité de préciser cette pensée profonde que je n'ai pas eu le bonheur de saisir?
S'agirait il de la couleur de certains sautoirs?
Par Maurice (Maurice) le lundi 18 septembre 2006 - 09h33: |
bandes jaunes nuance orange amities
Par Mena (Mena) le lundi 18 septembre 2006 - 07h04: |
Antisémite, l’UEFA ? C’est l’avis d’un ministre modéré (info # 011709/6) [Politique & sport]
Par Ilan Tsadik © Metula News Agency
Vendredi dernier, l’UEFA décidait finalement d’autoriser les clubs et équipes nationaux israéliens à recevoir à nouveau leurs adversaires à domicile. Si certains ici poussent un ouf de soulagement, d’autres – et c’est notre cas – sont proprement outrés par le comportement de l’Union des Associations de Football Européennes et les dégâts qu’elle a infligés à son sport dans notre pays.
L’UEFA a publié un communiqué très court et lacunaire, afin d’officialiser le fait que les matches sont à nouveau autorisés en Israël. Certes, mais même cette annonce est rédigée sur un ton agressif, voire méprisant, et elle contient plus de conditions, de limitations et d’avertissements que de décisions positives.
Et, de toutes façons, le mal est fait : hormis le cas d’Hapoël Tel-Aviv, qui a eu la chance de tomber, au match aller du dernier tour préliminaire de la Coupe UEFA, sur les modestes Ukrainiens de Chornomorets Odessa, et qui disputera la rencontre retour à domicile, la saison européenne des clubs locaux a été sacrifiée. A moins d’une immense différence de niveaux, aucune équipe européenne ne peut, en effet, se qualifier sur l’ensemble de deux parties lorsqu’elles sont toutes deux disputées à l’extérieur.
Et si l’injustice consistant à priver, sans raison, les Israéliens de matches à domicile – le conflit frontalier avec le Liban était terminé lorsque les coupes européennes ont débuté – n’était pas suffisamment pénalisante, les clubs de l’Etat hébreu vont encore être punis la saison prochaine en raison de leurs "mauvais résultats" cette année. Dans les faits, on aura, pour 2007-2008, moins de formations israéliennes appelées à participer aux compétitions européennes, et elles devront passer davantage de tours qualificatifs.
Pourtant, nos clubs avaient fière allure sur les pelouses, et, sur un strict plan sportif, ils pouvaient légitimement songer à atteindre le stade des poules, dans les deux compétitions – Ligue des Champions et Coupe UEFA – cette saison. Ainsi, Maccabi Haïfa ne s’est inclinée face au multiple champion d’Europe Liverpool que sur un but d’écart, en jouant ses deux parties devant un public majoritairement anglais.
Et, reléguée en Coupe UEFA, Haïfa n’aurait fait qu’une bouchée des braves Bulgares de Litex si le match s’était déroulé sur son stade fétiche de Kiriat Eliézer. Désormais, après avoir partagé l’enjeu 1 à 1 en match pour personnes déplacées à Nimègue, les Galiléens auront fort à faire en Bulgarie pour éliminer des joueurs littéralement dopés par la punition que l’UEFA inflige à leurs adversaires.
En ce qui concerne précisément cette confrontation Haïfa-Litex, il y a un certain nombre de questions qu’il serait proprement malhonnête de ne pas poser. Deux d’entre elles laissent pantois : 1) Dans l’attente de sa décision de vendredi, pourquoi l’UEFA n’a-t-elle pas imposé l’inversion de l’ordre des rencontres : 1er match en Bulgarie et rencontre prévue dans dix jours en Terre Sainte ? (En cas de problèmes, même de moindre importance, ces inversions se pratiquent couramment). 2) Pourquoi l’UEFA, consciente du tort sportif qu’elle infligeait aux équipes israéliennes en général, et à Maccabi Haïfa en particulier, n’a-t-elle pas pris sa décision une semaine plus tôt ? Quelqu’un peut-il énumérer ne serait-ce qu’un seul élément d’ordre sécuritaire qui aurait changé durant la dernière quinzaine ?
Quid du dommage financier ? Un domaine qui intéresse, par la force des choses, tous les clubs du Vieux Continent en considération des compétitions européennes très rémunératrices. Bétar Jérusalem a investi des sommes d’argent considérables afin d’assurer sa participation à l’entreprise européenne. Elle a engagé l’entraîneur argentin Ardilès, ancien champion du monde, le Français Fernandez, ainsi que des footballeurs ayant participé au Mondial en Allemagne et les meilleurs joueurs des autres formations israéliennes. Et pour quoi faire ? Se faire sortir par une équipe roumaine, que les Jérusalémites dominaient de la tête et des épaules. Mais pas au point de gagner deux fois à l’extérieur, très naturellement.
L’UEFA est censée soutenir l’expansion du foot dans tous ses pays membres. En Israël, elle tente de le détruire. Encore faut-il, pour le comprendre, mentionner que les matches ne sont ré-autorisés que dans la région de Tel-Aviv. Pourquoi ? Pourquoi Haïfa ou Jérusalem devraient-ils disputer leurs rencontres à soixante-dix kilomètres de leurs stades ?
– Parce que ! Comme ça ! Parce que c’est ainsi que l’UEFA en a décidé, faisant des footballeurs de ce pays une caste à part en Europe. Sans prendre la peine d’expliquer rationnellement ses décisions à la fédération israélienne, lorsqu’elle s’adresse à elle, dans une démarche qui s’apparente décidément à du mépris. Un vrai syndrome de Theresienstadt, en plein XXIème siècle, c’est à peine croyable !
La Ména exagère-t-elle dans son appréciation de l’injustice qui est faite à notre football par l’instance européenne qui le régit ? Sommes-nous en train de délirer, à penser que l’UEFA, par son bannissement de nos terrains, a surtout voulu sauver le grand d’Europe Liverpool et sa trésorerie aux dépens de Maccabi Haïfa ?
Ce n’est en tous cas pas l’opinion du ministre israélien des sports, le très consensuel socialiste Ofir Pinès-Paz, lui-même ex-joueur de hand au plus haut niveau. Dans une adresse aux media locaux, M. Pinès n’a pas mâché ses mots, qualifiant le président de l’UEFA Lennart Johansson et son directeur général, M. Lars-Christer Olsson, d’antisémites. Les termes exacts de l’ex-président du groupe travailliste à la Knesset sont les suivants :
"Il faut comprendre que nous avons affaire à deux fonctionnaires suédois antisémites qui haïssent Israël. Ces deux Suédois qui travaillent contre nous sont ceux qui prennent pratiquement les décisions et ils nous haïssent !".
Dans un communiqué de réponse, l’UEFA s’est dite attristée par ces déclarations qu’elle a jugées indignes d’un commentaire. Soit, mais en la matière, face à tant de questions taillées dans le granit, l’association basée à Nyon, sur les bords du Léman, veut prendre un raccourci impraticable.
Tant qu’elle n’aura pas levé les interdits illogiques qu’elle nous impose encore, dédommagé nos clubs de ses mesures outrancières et expliqué ses actes, c’est la thèse de M. Pinès-Paz qui reste la seule sensée à avoir été prononcée, associée à tous les doutes que nous n’avons pas cessé d’exposer.
Par Soleil (Soleil) le lundi 18 septembre 2006 - 00h59: |
When a child is
diagnosed with cancer or other serious illness,
the entire family is thrown into turmoil. The
child is frightened
and confused. The parents, overwhelmed
by urgent medical decisions. Siblings, friends
and classmates are
filled with anxiety. Gone is the life they all
knew, replaced by an
entirely new set of realities.
Chai Lifeline reaches
out to all -- the child, the
parents, siblings, and classmates,school faculty
and community
organizations. Whatever the situation, Chai
Lifeline addresses the full spectrum of needs.
From logistical to
social, from recreational to psychological,
our network of free programs and services are
available to every
member of the family during this time
of crisis.
Little wonder that
Chai Lifeline has earned the acclaim of
doctors, therapists, and community leaders, and
particularly the
unending gratitude of thousands
upon thousands of children and families.
in extending a helping
hand, a listening ear, a shoulder
to cry on – and a
loving heart. Because, at the end
of the day, that's what Chai Lifeline is all
about...
Many seriously ill Jewish children
will need emotional and spiritual
strength to cope with the trials awaiting them in
the upcoming year. This Rosh
Hashana, Chai Lifeline is looking for 10,000
people to include a special prayer on our
children's behalf.
You can join this effort by
downloading our beautiful prayer and committing
to its recitation during your High Holiday
prayers. Sign up now and be sure
to tell your friends about this unique venture
(you will have an opportunity to
send them an email when you download
the prayer guide).
Help Us Reach 10,000 People!
Download Your Prayer
Chai Lifeline
151 West 30th Street
New York, NY 10001
212.465.1300
chailifeline.org
\
mail{info@chailifeline.org,info@chailifeline.org}
Par Victor (Victor) le lundi 18 septembre 2006 - 01h09: |
Proche-orient.info
06 septembre 2006
Chers fidèles lecteurs,
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Vous le savez mieux que personne, nous n'avons pas ménagé nos efforts en tous domaines pour faire repartir notre journal. Vous-mêmes y avez puissamment contribué, puisque sans vous POI n'aurait tout simplement pas pu rouvrir le 4 janvier de cette année. C'est parce que vous étiez présents que nous avons, nous, accepté de drastiques diminutions de salaires et une réduction très importante de l'ensemble des frais de fonctionnement. Le jeu en valait la chandelle.
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Ce qui nous avait décidé à reprendre l'aventure ?
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D'abord, le succès annoncé de la souscription publique que nous avions lancée.
Or, si le résultat en a été satisfaisant, il fallait néanmoins que les promesses non encore réalisées en janvier 2006 le soient au fil des semaines suivantes. Nous n'avons d'ailleurs cessé de faire des appels en ce sens à la Une du journal et par messages personnalisés. Malheureusement, sans effet.
Tranquillisés sans doute par la réouverture de POI, un certain nombre de souscripteurs ont fait défaut au moment de concrétiser.750 engagements n'ont finalement pas été tenus. Cela représente grosso modo 75 à 80 000€.
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Ensuite, nous devions procéder à une Augmentation de capital avec l'entrée de nouveaux actionnaires. Parmi lesquels David de Rothschild et Marc Fiorentino, qui n'ont bien sûr pas manqué à leur parole. En revanche, deux autres actionnaires se sont désistés à la dernière minute - au sens propre du terme – après avoir par ailleurs fait défaut pour amener des sponsors, mettant ainsi sciemment en péril l'équilibre prévisionnel de l'entreprise. Cela pour un montant de 75 000€.
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Enfin, nous n'avons pu renouveler un contrat avec un de nos importants clients pour les produits dérivés, contrairement à nos espérances. Cela pour 40.000€.
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Dès lors, il devenait difficile de boucler l'année 2006, sans parler de l'horizon 2007.
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Tant du point de vue éthique, vis-à-vis de vous, que politique - et plus encore avec la guerre du Liban - cette situation économique nous a tous placés devant un cas de conscience. Depuis des semaines, nous avons tourné et retourné les choses, envisagé toutes les possibilités, tenté de trouver les moyens de continuer au moins jusqu'au 31 décembre de cette année.
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Hélas, ce n'est pas possible, sauf à manifester une réelle irresponsabilité. Les actionnaires de POI s'y sont refusés. « Décision difficile et douloureuse », a dit à juste titre l'un d'entre eux.
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Proche-orient.info cessera donc de paraître, cette fois-ci définitivement, le 1er octobre 2006.
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C'est un coup dur, très dur. Nous le ressentons ainsi plus encore pour vous que pour nous. Votre soutien, votre confiance, nous avons voulu à chaque instant et en tous points en être dignes, parfois en commettant des erreurs mais toujours avec honnêteté. Vous devez nous croire quand nous vous disons que vous avez été formidables. Ce ne sont pas là ronds de jambes de circonstance.
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Cette équipe extraordinaire de journalistes, qui a travaillé si durement pour vous apporter une information libre, tient à vous rendre hommage.
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Chacun va continuer son chemin. Merci de nous avoir accompagnés.
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Elisabeth Schemla et Nicole Leibowitz
Par Michka (Michka) le lundi 18 septembre 2006 - 00h45: |
Merci Hajkloufette, Braham, Henri.
Voici l'inscription dans le contexte de la photo.
Jeune juive de Djerba, vêtue d'une mélia de coton, à
bandes noires et jaunes, vers 1950.
Est-ce que quelqu'un a déjà vu ce vêtement? Quelle
était la nuance du jaune?