Par Pauline (Pauline) le lundi 25 septembre 2006 - 18h51: |
Jewish World Review 25 Sept. 2006 / 3 Tishrei, 5766
Loi de Krauthammer :
Chacun est Juif jusqu'à preuve du contraire
Par Charles Krauthammer
Actes étranges en Virginie. George Allen, ancien gouverneur, sénateur pendant un mandat, fils d'un fameux coach de football, et au milieu d'une rude bataille pour sa réélection, vient juste d'être révélé en tant que Juif. Tournant bizarre des évènements, étant donné que avoir des origines juives n'a rien à voir avec quoique ce soit dans la campagne, et que Allen lui-même n'était pas conscient du fait jusqu'à ce que sa mère âgée de 83 ans, lui ait révélé le mois dernier le secret qu'elle avait gardé caché pendant 60 ans.
En dehors de son manque de pertinence politique, il semble improbable à l'extrême que le jeune descendant de footballeur, cow-boy portant des bottes à la manière et le discours du Sud, pourrait être, au moins par ses origines, un fils d'Israël. Pour Allen, comme il en a plaisanté avec moi, c'est l'explication d'une affinité pendant la vie entière pour les 'hot dogs nationaux hébraïques'. Pour moi, c'est la confirmation ultime de quelque chose dont j'ai régalé mes amis pendant vingt ans, et que désormais, pour l'avancement des Sciences Sociales, je me sens obligé de publier.
La loi de Krauthammer : Chacun est Juif jusqu'à preuve du contraire. J'ai fait un très joli parcours avec celle-ci. D'abord, il s'avère que John Kerry - pratiquant le windsurf, parlant français, aristocrate de Beacon Hill - avait deux grands-parents juifs. Puis Hillary Clinton - Méthodiste méthoqique - exhume un grand père par alliance, juste à temps pour se présenter comme sénateur de New York.
Un cas moins guilleret, celui de Madeleine Albright, dont les grands-parents tchèques ont péri pendant l'Holocauste, et qui, de façon invraisemblable, a soutenu qu'elle n'avait aucune idée qu'ils étaient juifs. A quoi nous pouvons ajouter le principal concurrent à la présidentielle française (Nicolas Sarkosy), un ancien commandant de la force suprême alliée de l'OTAN (Wesley Clark), et le chef antisémite russe (Vladimir Zhirinovsky). Il faut garder le sens de l'humour sur ces choses là. Même Fidel Castro se réclame d'une famille de marranes.
Pour toute son ironie au deuxième degré, la loi de Krauthammer fonctionne parce que quand je dis " chacun ", je ne veux pas dire chacun de ceux que vous connaissez personnellement. Selon l'histoire et l'ethnicité de vos cercles social et de voisinage, il peut ne pas y en avoir un seul qui soit juif. Mais si " chacun " signifie quelqu'un dont vous avez entendu parler dans la vie publique, la loi fonctionne pour deux raisons. Depuis que les Juifs ont été autorisés à sortir du ghetto, et dans la société européenne à la naissance des Lumières, ils ont peuplé les arts et les sciences, la politique, et l'histoire, dans une disproportion étonnante rapportée à leur nombre.
Il y a 13 millions de Juifs dans le monde, un cinquième de 1 pourcent de la population mondiale. Pourtant, 20 % des titulaires de Prix Nobel sont juifs, un surplus prodigieux au multiple de cent, de renom et de génie. Cela est également vrai pour une myriade d'autres " chacuns " - les noms familiers en musique, littérature, mathématiques, physique, finance, industrie, création, comédie, films, et, quand les portes se sont ouvertes, même en politique.
Mais ce n'est pas seulement l'excellence juive qui est à l'oeuvre ici. Il y a une face sombre à ces siècles passés d'émancipation et d'accomplissement juifs - une implacable histoire de persécution. La conséquence en est l'autre raison plus sombre et plus poignante de la découverte tardive et avec surprise de la judaïté de figures publiques : la dissimulation.
Observez le cas Albright. Son père distingué était juif, même de manière aussi fragile, jusqu'à l'invasion nazie. Il s'enfuit de Tchécoslovaquie et, peu après, se convertit. Au cours des siècles, souffrir - plus particulièrement l'Holocauste - en a été de trop pour beaucoup de Juifs. Beaucoup de survivants ont simplement abandonné leur mission.
Pour certains, la cassure a été provocante et théologique. Un D.ieu qui pouvait permettre l'Holocauste - aussi ineffables soient ses raisons - avait ainsi tellement violé l'Alliance qu'elle était désormais perdue. Il n'y avait plus de lien avec Lui, ni avec Sa foi.
Pour d'autres, les considérations étaient beaucoup plus pragmatiques.
Pourquoi soumettre les enfants de quelqu'un à la peur et à la souffrance, à la stigmatisation et à la marginalisation, à la perspective d'être chassé jusqu'à la mort, que d'être Juif avait valu dans la civilisation entière en Europe.
En fait, c'était précisément la raison pour laquelle Etty Lumbroso, la mère d'Allen, avait caché son identité. Elevée en tant que Juive en Tunisie française pendant la seconde guerre mondiale, elle vit son père Félix, emprisonné dans un camp de concentration. Venir en Amérique fut son unique grande chance d'abandonner cela pour toujours, pour elle et ses futurs enfants. Elle se maria avec George Allen Sr., ne révélant apparemment jamais à la famille de son mari, à ses propres enfants, ni à qui que ce soit, sa judaïté.
C'était le choix d'Etty. Multipliez cette histoire dans ses mille variantes, et vous avez Kerry et Clinton, Albright et Allen, un monde de gens avec un passé murmuré.
La mère d'Allen essaya désespérément d'enterrer cela pour toujours. En réponse à des rumeurs publiées, elle lui confessa finalement la vérité, ajoutant de façon déchirante : " Maintenant tu ne m'aimes plus " - et lui fit jurer le secret.
Par Mena (Mena) le lundi 25 septembre 2006 - 18h49: |
Encore cinq ans de Chiraquie ? Une menace en voie de concrétisation ? (info # 012509/6) [Analyse]
Par Guy Millière © Metula News Agency
Jacques Chirac est à la manœuvre. A nouveau.
Il entre en campagne électorale et n’a visiblement pas renoncé à être à nouveau candidat à sa propre succession si les circonstances le permettent. Et il est clair qu’il entend tout faire pour favoriser les événements, quitte à les aider un peu, beaucoup, voire davantage.
Sur le plan intérieur, la chasse est ouverte et tous les coups sont permis. Le président se présente aujourd’hui en « défenseur de l’indépendance de la justice ». Tout journaliste qui parvient à associer les mots « Chirac » et « indépendance de la justice » sans éclater de rire mérite une salve d’applaudissements. Arriver à vendre cela comme de l’information signifie qu’on serait capable de vendre un peigne à un chauve.
Sur le plan extérieur, Chirac compte reprendre l’attitude qui lui avait si bien réussi voici trois ans : celle de chef de file de l’islamo-gauchisme et du pseudo-pacifisme. A cette époque, il avait envoyé Villepin mentir à l’ONU et faire la morale avec une emphase arrogante. Cela n’avait pas sauvé Saddam, ça avait coûté très cher à la France en termes de contrats perdus, mais ça avait beaucoup plu aux Français, qui n’aiment rien tant que la posture du coq dressé sur ses ergots et qui nargue « les puissants ».
La France avait grenouillé en coulisses, comme l’a démontré Mike Ledeen de l’American Enterprise Institute, pour que la Turquie se conduise en « bonne Européenne » et interdise son territoire aux troupes au sol américaines – les Français n’ont évidemment rien su de ces manœuvres de sabotage – ce qui a réduit l’efficacité de l’armée américaine. Chirac s’en est frotté les mains : si la France n’a pas eu le pouvoir d’empêcher la chute de son allié, elle a été capable de nuire. Et les media aux ordres n’arrêtent pas, depuis, de déverser la « version officielle », la seule, la vraie, celle qui vient de l’Elysée et du Quai d’Orsay, selon laquelle « l’Irak est un bourbier », « c’était mieux sous Saddam », «Chirac a été sage de nous tenir à l’écart de tout cela », et « que ces Américains sont débiles ! ».
Aujourd’hui, le président des Français se charge lui-même du message. Il s’exprime à la télévision américaine et ose se prétendre un ami des Etats-Unis, sous prétexte qu’il a vendu des hamburgers quand il était jeune. Il joue au « sage » qui, à lui tout seul, évitera le « choc des civilisations », et assimile ainsi la civilisation musulmane aux frénésies haineuses des barbares façon Nasrallah et Ahmadinejad, tout en envoyant un message de mépris absolu à ceux qui, de l’intérieur du monde musulman, oeuvrent opiniâtrement à le faire évoluer vers davantage de liberté. Après avoir absolument tout tenté pour sauver la mise au Hezbollah, avoir envoyé des soldats français se mêler à des Indonésiens pour servir de boucliers humains au Sud Liban, et restreindre les capacités de riposte d’Israël dès que le Hezbollah reprendra les hostilités – dans quelques semaines, quelques mois peut-être, le temps que des armes soient réacheminées via la Syrie sous l’œil complice de la FINUL –, le voilà qui se tourne du côté de ses nouvelles idoles et regarde vers Téhéran.
La Russie et la Chine étaient déjà réticentes à l’idée de sanctionner l’Iran. Nombre de dirigeants américains doutaient de l’efficacité possible de sanctions. Par une courbette préventive, exécutée avec l’obséquiosité du courtisan roué, Chirac a écarté l’éventualité même que l’Iran puisse être sanctionné. La vraie raison tient dans les contrats innombrables que la France passe, sans le moindre scrupule, avec le régime des mollahs : Renault, Total, Gaz de France et bien d’autres. Désarmer l’Iran ou l’empêcher de se doter de l’arme nucléaire va devenir plus difficile, mais Chirac n’en est pas à ces détails près. Il se prend à nouveau pour un coq, et cela plaît à nouveau aux Français.
Cela leur plaira-t-il jusqu’au printemps prochain ? Chirac va-t-il torpiller Sarkozy, s’assurer un deuxième tour face à son faire-valoir, l’auguste dont il est le clown blanc selon les vieilles recettes du cirque à l’ancienne, le borgne de Saint-Cloud ? Il lui faudra pour cela monter encore quelques coups pendables, mais il en est tout à fait capable.
Chirac aura contribué au désordre du monde, conforté les terroristes et les tyrans, ceux qui voient dans la politique un sale métier qu’il faut faire salement. Il n’aura pas rendu le monde plus sûr, au contraire. Il aura, grâce, il faut le dire, hélas, aux erreurs israéliennes, contribué à l’affaiblissement de la position d’Israël au Proche-Orient et dans le monde. Il aura trahi les Libanais qui voulaient la liberté, après avoir trahi les Irakiens qui la voulaient aussi, et il est en train de trahir les Iraniens qui en ont assez d’être dirigés par des enturbannés médiévaux et des malades mentaux antisémites.
Il aura laissé la France se détraquer économiquement, socialement et culturellement jusqu’au demi néant où elle gît aujourd’hui. Il aura dit aux beurs des banlieues que le cheikh en robe noire qui trône sur les ruines du Sud Liban et le malingre barbu qui, de source sûre, a vu le Mahdi, c’est « leur » civilisation, et il aura espéré obtenir la paix dans les banlieues avec un discours aussi débile et, au fond, aussi raciste. Ce qui est pathétique et infiniment triste, c’est que les Français se laissent envoûter par l’appel à leurs sentiments les plus bas. Chirac dissimule son cynisme absolu sous un discours prétendument éthéré, tout comme il dissimule sa lâcheté et son amour des prébendes sous un air de supériorité, et le pire est que ça marche.
Dans les salles de rédaction parisiennes, Israël, la seule démocratie du Proche-Orient, est considéré comme l’Etat nazi par excellence, tandis que le vrai nazi, Nasrallah, devant lequel on défile au pas de l’oie et en faisant le salut hitlérien, est dépeint comme un grand « résistant ». Les « palestiniens », incités à longueur de journée à la haine anti-juive et à la destruction, sont présentés non comme les victimes de la propagande vomitive qu’on déverse dans leur cerveau, mais comme les victimes d’Israël qui, pourtant, ne demanderait pas mieux que de voir la paix et la prospérité régner dans la région. Dans ces mêmes salles de rédaction, les Irakiens qui veulent la démocratie sont décrits comme des traîtres et des vendus, et ceux qui tuent femmes et enfants comme des héros.
Chirac est présenté, lui, comme un homme qui en impose parce qu’il a une virtuosité sans pareille dans le retournement de veste et de pantalon, l’opportunisme, les magouilles, les trahisons. Bush est unanimement détesté parce qu’il est incapable de tenir un double, un triple, un quadruple discours.
Comment faire confiance, quand on est Français, à un Américain qui parle de droits naturels de l’être humain, de démocratie, de bien et de mal, et qui semble ne pas comprendre qu’il faut se méfier des Juifs ? Il devait y avoir des salles de rédaction où bruissaient des rumeurs semblables avant la Seconde Guerre Mondiale. Il y en a eu encore après la débâcle et l’armistice, au temps de Vichy. Jacques Chirac se dit et, peut-être, se pense gaulliste. Je vois en lui plutôt l’héritier de Philippe Pétain. Les rédacteurs chiraquisés du Monde, de Libération ou du Figaro ne se considèrent pas comme des pétainistes, mais ce n’est pas étonnant. Au temps de Pétain, les pétainistes se considéraient comme « les meilleurs Français ».
Par Patmam (Patmam) le lundi 25 septembre 2006 - 16h43: |
Bonjour,
A tous ceux qui l'ont connue et aimee,,
aujourd'hui,cela fait quatre ans ,
que SYLVIE MAMOU s'en est allee.
Notre jolie petite Tune est tres certainement au
paradis.
Par Meyer (Meyer) le lundi 25 septembre 2006 - 17h54: |
Dans la soute d'un avion de ligne il est loin de faire - 30°C ! Toutes les bonnes bouteilles de vin que chacun rapporte seraient cassées, ainsi que la plupart des flacons de toilette. De plus beaucoup d'appareils électroniques courants ne sont pas conçus pour cette température. Sans compter les malheureux chiens et chats mis en soute.
Bien avant le 11 septembre 2001, un commandant de bord d'Air France m'a fait visiter la soute d'un Airbus au cours du vol. La température y est supportable, aux alentours de 18 °C.
Par Bazooka (Bazooka) le lundi 25 septembre 2006 - 17h03: |
Tun,
Etant donne les fetes en cours (Ramadan et Yamim Noraim), ne souhaitant pas entrer avec vous et vos amis dans une polemique sans fin, mais voulant quand meme faire une breve mise au point (ce qui a d'ailleurs deja ete fait dans ces commentaires a maintes reprises et avec moults details a l'appui), suite a la lecture de vos propos du 22/09: "l´islam au moins n´a jamais erradiquer les personnes qui appartenaient a d´autres religions...", je vous interroge:
Les Bani ou Banu Quraiza ca vous dit quelque chose ?
Oui ? Non ?!
Si la reponse est negative, je vous invite a aller faire un tour sur le site qui suit, ni Musulman, ni Juif, mais laic ...
A bon entendeur/lecteur je vous souhaite un bon Ramadan.
La suite au prochain numero negationniste ...
http://www.laic.info/Members/webmestre/Tribune_libre.2004-02-27.1546
N.B. Comme cela n'est pas indique dans l'article reference, je precise que les hommes massacres (decapites) de ladite tribu etaient au nombre de 600 a 800 et que leurs femmes et progenitures ont ete captures pour en faire des esclaves.
Les harissiens qui auront dit la benediction hier et avant hier sur la courge/le potiron ("kraa") comprendront que cette intervention ne constitue pas une intrusion saugrenue, mais bien une question toujours d'actualite.
Gmar chatima tova.
Par Bazooka (Bazooka) le lundi 25 septembre 2006 - 16h38: |
Si tant est que la nourriture supporte les -30 degres du voyage en soute !
Par Henri (Henri) le lundi 25 septembre 2006 - 15h14: |
Le volontaire,doit tout simplement mettre cette nouriture dans ses bagages en soute, et non avec ses bagages a main.
Be atslaha.
Par Bazooka (Bazooka) le lundi 25 septembre 2006 - 15h07: |
Nonette,
Si vous ne trouviez pas de volontaire, eu egard a la fouille exceptionnelle qui a lieu depuis un mois au depart de CDG et d'Orly, particulierement severe envers tout ce qui est de consistance + ou - liquide ou gelatineuse*, -- merci les terroristes, et bravo m'sieur Sarko --, El Al devra se charger de transporter cette nourriture jusqu'a Ben Gourion.
Je parle en connaissance de cause.
Bien a vous.
*: impossible d'emporter dans le cockpit meme un biberon de lait maternise !
Par Nonette (Nonette) le lundi 25 septembre 2006 - 11h56: |
je lance un appel aux harissiens qui se rendraient en Israel ces jours-ci et qui pourraient se charger de prendre des paquets de nourriture destinés à un enfant atteint d'une maladie génétique l'obligeant à consommer une alimentation spéciale vendue par la Pharmacie centrale de l'hopital Robert Debré.
merci de tout coeur
Par Email (Email) le lundi 25 septembre 2006 - 07h40: |
Internaute assidu d'Harissa
Concernant la traduction proposé pour le seder de Rosh hachana :
La traduction ci-dessous est fausse :
Yéhi Ratsone miléfanékha A-donaï Elo-hénou vélohé avoténou chéniferé
vénirebé kadaguim vétichgah 'alane bééna paki'ha (Qu'il te soit agréable
Seigneur notre D'ieu et D'ieu de nos pères que nous croissions et
multiplions comme les poissons et protèges-nous du mauvais oeil).
et protèges-nous du mauvais œil pour " vétichgah 'alane bééna paki'ha"
la traduction est plutot : "et que tu nous surveille avec un œil ouvert"
cad, qu'on demande a hachem d'avoir les yeux en permanence ouvert sur nous
CHANA TOVA !!
P.K