Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 04 mai 2004 - 01h56:

Bekhor a ecrit: "Reveillez vous, comme moi je me suis reveillé dit-il (Veut dire Bekhor). Mes fréres Tune écrit-il , ouvrez les yeux, ne vous laissez pas aveugler par une poignée de Barbus bornés qui se sont emparés de la destinée de nos peuples, ils vous endoctrinent avec leurs sermons."

Bekhor je ne crois pas que cela se limite aux barbus. Ne crois=tu pas?

Par Bekhor (Bekhor) le mardi 04 mai 2004 - 00h13:

OK CHER SIBYLLE,

J'accepte ce que tu dis a propos de la femme de Joseph, cela ne change rien au probleme.

Par contre je voudrais ajouter que la trés vertueuse Ruth, la fabuleuse femme non juive qui à épousé Boaz le Juif.

Non seulement cette femme n'a pas eu besoin de se convertir au judaisme a la rabanout ou ailleurs, mais elle a eu de nombreux enfants qui etaient tous juifs.

La Thora nous parle de Ruth comme un gransd symbole et comme un grand exemple vertueux.

Ruth et Boaz, sont les aieux du fameux grand Roi d'Israel, le Roi David.

Des descendants du Roi David doit naitre le fameux messie (MASHIAKH) que nous attendons tous.

Mes fréres Juifs, ouvrez les yeux, ne vous laissez pas aveugler par une poignée de Barbus bornés qui se sont emparés de la destinée du peuple juif, qui vous endoctrinent avec leurs sermons vidés de substances divines.

Leurs sermons et leurs lois qu'ils on construits de toutes piéces vont contre les intéréts du peuple d'Israel.

Reveillez vous peuple d'Israel, revoltez vous contre ceux qui nous menent à la ruine.

Les statistiques démographique qui ont été publiés sur HARISSA m'ont réveillé et m'ont scandalisé, elles parlent d'elles meme.

Reveillez vous, comme moi je me suis reveillé.

Posez vous la question, pourquoi, le sort s'acharne contre nous?

Et surtout pourquoi Dieu detourne sa face pour ne plus regarder le peuple d'Israel?

Voila ma réponse:

Enaym laem, velo yreou = Ils ont des yeux, mais ils ne voient pas.
Oznaym laem, velo yshmeou = Ils ont des oreilles, mais ils n'entandent pas.

AM ISRAEL TITEORER = PEUPLE D'ISRAEL REVEILLE TOI.

Par Sibylle (Sibylle) le lundi 03 mai 2004 - 22h23:

Cher Bekhor,

L’épouse de Joseph était juive, Osnate née du viole de Shichem fils de Hamor, sur Dina, fille de Léa et de Jacob.
Il l’a rencontré en Égypte elle portait sur elle une médaille preuve de son appartenance à la tribu de Jacob.
Tu me diras tout cela est bien compliqué, le violeur est tombé amoureux de sa victime et l’oncle a épousé sa nièce, mais à l’époque rien n’interdisait ce mariage.

Par Albert (Albert) le lundi 03 mai 2004 - 22h09:

Chanson triste sur un air improvisé de Breitou

Gousch Katif

Le Soleil, ma mère, hier s’est levèEEEE....A L’Est.
Comme il le fait tous les jours dans son ciel serein,
Toujours le même geste.
EclataAAAAAnt....DE lumière.....Brûlant de chaleurRRR.
Sur les chemins du Gousch Emounim....MMMMmmmmm...§§§....

Ma mère, hierRRRR.....Ils étaient sur ce cheminNNNN.....§§§
Le chemin plein de poussière que le vent n’a point levèEEEEE..§§§
Mais la mort HIDEUSE s’est réveillEEEE...§§§§..MMMmmmmmm...

El bareh yé mâAAAAAAA.....Aâllè gheflè
Bel ghadriout jebdou ââl èl mAïmaAAAA...Lyoudiè...
Et sur les enfants aussi....§§§§§....

(Hier, maman, par surprise, par traîtrise ils ont tiré sur la maman juive..)

Ils étaient du Gousch Katif
Ils furent assassinés par des sans ‘Din’. ( sans foi)
Sous la route du soleil, baignée de soleilLLL...§§§§§...

La terre fut éclaboussée hier ma mère
Par leur sang innocent, pur et fierRRRR....§§§§§...

Ahhhhhh...AHHHHHHHH..........

OU...OU...QadechHHHHHHHHHHHH KADDICH.......§§§....
Fouk el ard ehdi mkodchaaaa ..§§§§..
Yesser mébloula ââla sidi bnédèm, bel dém el ghèliIIIIIIIiiii Elli khèrèj mél b’dènèm...§§§....
..§§§§§...Maktoul bél dolm...§§§§§§

(Et combien de prières des morts, Sur cette terre sacrée.
Elle est trop arrosée par le sang de la gente humaine qui coule de leurs corps
Injustement tués.)

OhhhhHHHHHH...§§§§§..OhhhhhhHHH.......Maman, j’ai vu le père
Hurler son chagrin sur ces chers qu’on allait enterré...§§§...MMMMmmmmmmmm
Enveloppés dans des linceuls blanc comme de la soie...§§§..

Ou Qadéch ‘ChemAAAAA....’ tââlyine lél chmè
Ou qadéch chmââ mchaylin, ya MâââÂAAA....§§§§§..
Belli kotrou él éwè tahraq, ou kloubèm zeddèHH......§§§§...
Ou aïneyèm djarhou bél dmou...OUUUU...§§§§§.....

( Et combien de ‘Chemââ’ qui montent au ciel
Et combien de bougies allumées, maman...
Il y a en tellement que l’air sent le brûlé et leurs cœurs aussi.
Leurs yeux sont blessés par les pleurs..)

Le soleil, ma Mére....Ma MérrRRE....s’est arrêté un instant
Sais tu qu’il est à présent sans épouse et enfants
Le père David du Goush Emounim...Le père de la foi.....§§§§§§§§§...

Le soleil s’est couché à l’ Ouest
Ainsi que la maman et ses enfants du reste...
Hila - Hadar - Roni et Mérav

MMMMmmmmmmmm________MMMMMmmmmmmm_____ §§§§§§

Par Claudia (Claudia) le lundi 03 mai 2004 - 21h57:

Par Bekhor (Bekhor) le lundi 03 mai 2004 - 21h10:

Bravo Richard, enfin je trouve en toi quelqun qui à les yeux ouvert, et qui voit, et, qui a des oreilles et qui entend.

Enfin quelqun qui n'est pas conditionné par les rabbins.

pourtant il est dit au sujet du peuple juif:

ENAYM LAHEM VELO YEREOU = ils ont des yeux, mais ils ne voient pas.

OZNAYM LAHEM VELO YSHMEOU = ils ont des oreilles, mais ils n'entendent pas.

Ce doit étre ce qui se passe pour ceux qui ne sont pas d'accord avec moi et qui sont d'accord de marcher dans l'obscurantisme rabbinique.

Par Bekhor (Bekhor) le lundi 03 mai 2004 - 20h41:

Le patriarche Jacob a épousé les deux filles de LABAN et encore deux servantes, toutes n’étais pas juives.

Son fils Joseph a épousé une égyptienne pas juive.

La majorité des enfants de Jacob ont faits des mariages mixtes avec des non juives, et pourtant ces eux, les douze tribus qui sont les ancêtres du peuple juif.

Moise notre grand prophète lui-même à épousé une non juive, la fille de Jetro, lui-même prêtre d'une religion non juive.

Moise à même fait un serment à Jetro en lui promettant qu’il consacrerait son futur fils au culte de Jetro!!!!!.

Le roi David qui a épousé la princesse MAKAKHA pas juive non plus.

Le roi Salomon à épousé une fille d’un Pharaon, puis il épousé plusieurs femmes non juives de plusieurs origines, de Moab, de Sidon, d’Amon etc. etc.

Le messie devrait être obligatoirement de la lignée du Roi David, donc si l’on se fie a la halakha des rabbins, il faut conclure que ce messie ne serait pas juif, plus que la femme de David n’était pas juive et par conséquent ses descendants aussi.

Nos patriarches, nos prophètes et nos ancêtres non pas cherché à se marier spécialement avec des juives.

Les enfants des femmes non juives de ceux que j’ai cité en haut sont tous des enfants juifs, puisque nous sommes leurs descendants.

Nos ancêtres cités dans la bible ne cherchaient pas a savoir si la mère de leurs épouses etaient juives, pourtant leurs enfants etaient juifs plus qu'ils sont nos ancêtres.

De quel droit les rabbins à partir du moyen age ont imposés leurs nouvelles lois sur le peuple juif.

A l’époque il y avait beaucoup de viol de femmes juives par des nons juifs, c’étais peut être une façon rabbinique de préserver la communauté en cas d’accouchement de ces femmes violentées, les rabbins eurent peut être l’ingénieuse idée de décreter que c’étais la mère qui comptait, afin que ces enfants ai une vie respectable dans la société.

Mais je pense que ces temps sont révolus, acceptons les conversions sans imposer des obligations religieuses à ces futurs convertis.

Acceptons qu’être juif, c’est qu’on à un père ou une mère juive.

Pourquoi cette différence discriminatoire ?:

Ton père est non juif mais ta mère est juive, tu es juif.

Ton père est juif mais ta mère est non juive, tu n’est pas juif.

On parle de HALAKHA, ce mot lui meme veut dire avancer, mais nos rabbins n'ont pas l'air de vouloir avancer ni de faire quoi que ce soit dans ce sens.

Jusqu'a quand?????????????

Par Mena (Mena) le lundi 03 mai 2004 - 20h36:

Justice française, inquiétudes : Un baril d’Arafat contre deux barils de Hamas ? (info # 010305/4) [analyse]

Interview de Maître Michel Calvo par Stéphane Juffa © Metula News Agency



Stéphane Juffa (rédacteur en chef de la Ména) Maître Michel Calvo bonjour, avant de commencer cette entrevue, permettez-moi de rappeler à nos lecteurs que vous êtes avocat au barreau d’Israël et ancien avocat au barreau de Paris. En compagnie de quatre autres confrères, vous défendez les intérêts de six personnes de nationalité française. Le 3 mars 2003, vous avez déposé à cet effet une plainte avec constitutions de parties civiles auprès du doyen des juges d’instruction du Tribunal de grande instance de Paris. Les plaignants ont été eux-mêmes victimes de crimes perpétrés par les défendeurs, soit ils ont perdu un enfant, un parent ou un conjoint du fait de ceux-ci.



Maître Michel Calvo Votre préambule est rigoureusement exact. Permettez-moi d’y a jouter que ces plaintes précisent en 50 pages les circonstances entourant les actes criminels que nous entendons voir condamner, les attaques suicides et à la bombe, les tirs de francs tireurs etc. qui ont causé la mort ou causé des blessures graves à nos clients.



66 documents sont joints aux plaintes, auxquels viennent s’ajouter des témoignages audio-visuels d’incitations publiques et directes à tuer des juifs, de même que des extraits de livres d’école de l’Autorité Palestinienne, des guides d’enseignants ainsi que des discours de monsieur Yasser Arafat incitant à la haine des juifs.



SJ La raison de ma demande d’interview se fonde sur la dépêche publiée par notre consoeur l’agence AP (Associated Press) mercredi dernier [lire la dépêche], annonçant en son titre "La justice française va enquêter sur des attentats perpétrés par le Hamas". Dans cette dépêche, je lis que le parquet de Paris a ouvert mardi une information judiciaire contre X pour "assassinats, tentatives et complicité en relation avec une entreprise terroriste". Maître Calvo, s’agit-il de l’amorce de procédure qu’attendaient vos clients ?



MC On pourrait en effet le croire, Monsieur Juffa, à un détail près mais qui me semble judiciairement capital : Notre plainte ne met pas en cause le Hamas ! Comme le mentionne l’AP, notre action vise nommément le président de l’Autorité Palestinienne, Monsieur Yasser Arafat, pas le Hamas. Le procureur de la république, qui reçoit directement ses instructions du Garde des Sceaux (le Ministre de la Justice, Monsieur Dominique Perben Ndlr.), semble essayer de nous échanger deux barils de Hamas contre un baril d’Arafat, selon la formule consacrée par une publicité pour une marque de lessive.



SJ Ce que vous dites est pour le moins étonnant, Maître, comment pourrait-on expliquer cette substitution ? Y aurait-il eu ingérence du politique dans les décisions du pouvoir judiciaire ?



MC Cher monsieur Juffa, croyez qu’il n’est pas dans la coutume des avocats de juger l’instance auprès de laquelle ils estent mais de défendre l’intérêt de leurs clients. Le commentaire que vous me demandez se situe plutôt dans l’exercice de votre métier que du mien. Quant à moi, je ne veux imaginer que l’hypothèse selon laquelle le ministère de la justice n’a pas bien lu notre plainte…



SJ Les services de Monsieur Perben étaient-ils pressés par le temps ?



MC (Michel Calvo part d’un grand éclat de rire) C’est vraiment la dernière excuse qu’on pourrait invoquer ! De mémoire d’avocat, on ne se souvient pas d’affaire dans laquelle le procureur général de la république et le ministre de la justice ont attendu treize mois pour rédiger un réquisitoire. De plus, même à l’issue de ces treize mois, les plaignants et leurs conseils n’ont qu’une connaissance très officieuse et partielle du contenu de leur réquisitoire par la dépêche de l'AP. Jusqu’à cet instant, nous n’avons en effet reçu aucune notification de la part du procureur et ne savons de la décision du parquet que par des indiscrétions d’alcôves consenties par la justice française au journaliste de l’AP.



SJ C’est sans doute ce que messieurs Sarkozy et Chirac entendent par leur formule de "tolérance zéro pour les terroristes" ? Et vous, les avocats, avez attendu les bras croisés durant plus d’une année afin qu’un juge d’instruction soit désigné pour informer sur la base de votre action ?



MC Certes non. Nous nous sommes manifestés en essayant de rencontrer sans succès le Substitut du Procureur de la République. Nous avons téléphoné et avons appris que l'on ne trouvait plus le dossier. Qu'il était égaré, qu'on nous appellerait. Le dossier retrouvé nous avons appris que la procédure était en cours. Puis nous nous sommes manifestés par écrit à plusieurs reprises, notamment en janvier, puis début avril en interpellant Monsieur Dominique Perben et son procureur et à la mi-avril, la secrétaire d'Etat aux Droits des victimes, madame Nicole Guedj.



SJ Et que vous ont-ils répondu ?



MC Rien. Ils ne nous ont pas encore répondu.



SJ Il est cocasse de constater que c’est justement Dominique Perben qui s’est le plus ému du saccage du cimetière juif près de Colmar et qu’il y a dépêché en urgence madame Guedj. Cela a tendance à conforter encore la thèse de la Ména selon laquelle la population française n’est pas antisémite mais que les actes d’antisémitisme d’une minorité d’excités sont encouragés par le parti pris extrême, à propos du conflit israélo-palestinien, du gouvernement français et les dysfonctionnements graves qu’il entraîne au sein même des institutions de la république.



MC J’ai effectivement pris connaissance de cette thèse dans les analyses de votre agence. Elle ne manque malheureusement pas de points de repères factuels. Mais je préfère que nous revenions à nos moutons, mon domaine d’exercice c’est le droit et mon inquiétude, ce sont les intérêts des victimes et l'application de la Justice.



SJ Soit. Qu’est-ce qui vous pousse alors à penser que monsieur Yasser Arafat est condamnable en droit français ?



MC La loi française du 16 décembre 1992, modifiée par celle du 19 juillet 1993, relative aux crimes contre l’humanité est très claire à ce point de vue. Nos plaintes s’articulent autour des chefs d’Actes de génocide, d’autres Crimes contre l’humanité, entre autres et sur le droit international et le jus cogens relativement aux mêmes crimes. Je vous remettrai le détail de ces chefs d’accusation, que vous pourrez publier en annexe si vous le désirer, de manière à ne pas assommer vos lecteurs.



SJ Je vous en suis gré pour eux. Et en quoi ces chefs d’accusation s’appliquent-ils, selon vous, au chef de l’Autorité Palestinienne ?



MC Selon le droit international humanitaire et le droit français, depuis un demi siècle, un supérieur est responsable des actes commis par ses subordonnés. Les supérieurs, civils ou militaires ont l’obligation de prévenir les actes criminels de leurs subordonnés et de punir les auteurs.



Les plaintes démontrent qu’Arafat avait le pouvoir et les moyens de prévenir les actes de terrorisme, les assassinats et la violence. Non seulement ne l’a-t-il pas fait mais de plus, il les a organisés et les a financés avec le budget de l’Autorité Palestinienne, financé aussi par l’Union Européenne, réalisant ainsi la Djihad (guerre sainte) qu’il a instaurée.



L’actuelle Intifada a été planifiée à l’avance, fait qui a été reconnu par plusieurs responsables palestiniens. Arafat a relâché des criminels dans le cadre de la politique dite des portes tournantes.



Yasser Arafat, en sa qualité de responsable de l’Autorité Palestinienne et de Chef de l’OLP et du Fatah, est responsable des crimes mentionnés plus haut. De plus, l’acte de tuer des civils pour des motifs politiques est constitutif de crimes contre l’humanité dès lors que ces crimes sont organisés en exécution d’un plan concerté.



Tenter ou porter volontairement atteinte à la vie en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction partielle d’un groupe racial ou religieux constitue un génocide.



SJ Même si la loi vous donne raison, Maître, d’après mes maigres et lointaines notions de droit, le procureur de la république et les services du ministre ont toute liberté pour délimiter le cadre dans lequel va se dérouler l’instruction. Or, si les informations de l’AP sont exactes, ils auraient décidé "de ne pas retenir", d’exclure les chefs de "génocide" et "crimes contre l’humanité", ainsi que la possibilité de mettre en cause Yasser Arafat de l’information qui va s’ouvrir.



MC Votre remarque est à sa place, monsieur Juffa, même si elle illustre l’ingérence insupportable, dans cette affaire, qu’on est finalement forcé de constater, du politique dans les plates-bandes de la justice. Cependant, toujours en prenant pour exactes les informations contenues dans la dépêche de l’AP, l’écran de fumée ainsi généré, et qui a assurément pour but de soustraire Arafat à ses responsabilités judiciaires et d’empêcher que le terrorisme palestinien ne soit jugé selon les critères légaux adaptés, sans nul doute raisonnable, à ses crimes, ne représenterait qu’un feu de paille pour le moins éphémère.



Le Ministère de la Justice et son Procureur voudraient oublier que selon la jurisprudence de la cour de cassation, le juge d’instruction a obligation de suivre la plainte, qui produit les mêmes effets qu’un réquisitoire du Procureur de la république, dès lors que la plaine est accompagnée d’une constitution de partie civile. La loi est bien faite en ce sens. Le procureur n’a pas eu en mains tous les éléments de la plainte au moment de prendre sa décision. S’il avait visionné les vidéos montrant les incitations aux crimes de génocide et aux crimes contre l’humanité de la part de Yasser Arafat et de ses complices, il n’aurait décemment pas pu exclure ces chefs d’accusation de l’information. Ces vidéos sont citées dans la plainte et elles seront remises au Juge d'Instruction qui sera désigné et il pourra les voir.



SJ Ne craignez-vous pas, Maître Calvo, de remuer par cette procédure des polémiques sensibles ayant trait à l’Etat d’Israël ?



MC L’Etat d’Israël ? (Il s’emporte un peu) Mais il n’a pratiquement rien à voir dans cette procédure, les victimes sont toutes françaises. Françaises de confession israélite. C’est au contraire une sorte de différentiation qu’il faut craindre entre Français de confessions différentes, de la part de leurs autorités politiques. Puis-je vous rappeler, à cet égard, que dans d’autres affaires de terrorisme récentes, ayant impliqué des ressortissants français, comme au Pakistan, à Djerba, à Casablanca et à Madrid, pour ne parler que de ces cas-là, des informations judiciaires ont été ouvertes dans un délai très bref. Et pour le surplus, ce qui me scandalise au niveau de l’application équitable de la justice, c’est qu’en ces occasions, le ministère public français avait décidé spontanément – sans attendre le dépôt de plaintes avec constitution de partie civile – de nommer des juges d’instruction.



SJ La "différenciation" dont vous faites état ici pourrait presque revêtir, s’exerçant contre des Français juifs, des contours d’antisémitisme d’Etat ?



MC A nouveau, monsieur Juffa, laissez-moi me contenir dans l’appréciation judiciaire des événements factuels. Je formulerais alors cela de la façon suivante : "Il existerait des victimes françaises qui peuvent exercer leurs droits et des victimes qui ne le pourraient pas et des personnes qui peuvent être poursuivies en justice en France et d’autres qui ne le pourraient pas".



SJ C’est grave ce que vous dites, Maître, de manœuvres en différenciations, en passant par les dysfonctionnements de la justice française dans cette procédure, c’est à se poser des questions fondamentales sur la sécurité des personnes, et pas seulement des juifs.



MC Je le crains ! Le combat pour la justice est le combat de tous. De même que la défense des droits des victimes. C'est pour cette raison que mes confrères Pascal Besnier et d'autres, auxquels je ne connais aucun lien avec le judaïsme, travaillent sur ce dossier ensemble avec d'autres avocats. Me. Pascal Besnier est Secrétaire de la Conférence et plaide devant le Tribunal Pénal International pour le Rwanda. Les concepts de crimes de génocide et de crimes contre l'humanité ne lui sont pas inconnus.



En tous cas, particulièrement en raison des implications morales et de droit dans ce dossier, je vous assure que, du point de vue de l’accusation, nous avons retenu les propos du président français à propos du fonctionnement de la justice en matière de terrorisme : "C’est tolérance zéro et zéro d’exemptions pour les chefs terroristes, sans égard pour les affinités politiques des uns et des autres".







Annexe : Extraits de la plainte



Six personnes de nationalité française, qui ont été elles-mêmes victime de crimes perpétrés par les défendeurs, ou qui ont perdu un enfant, un parent, un époux ou une épouse ;



Contre



1. Yasser ARAFAT, actuellement à Ramallah, Cisjordanie,



a) en sa qualité de Président de l’Autorité Exécutive Palestinienne, supérieur de tous les agents de l’Administration Palestinienne et de la Société de Télévision Palestinienne, et des Ministres - Membres de cette Autorité en charge des Ministères des Affaires Religieuses et de la Culture et de l’Information,

b) en sa qualité de Ministre de l’Education,

c) en sa qualité de Président du Comité Exécutif de l’O.L.P.,

d) en sa qualité de dirigeant des forces de police de l’Autorité Exécutive Palestinienne,

e) et enfin en sa qualité de Chef du Fatah et de ses bandes armées dénommées Fatah, Tanzim (organisation) et Brigades Al-Aqsa.



2. D’autres personnes et (…)



3. Contre X et contre toute personne impliquée dont l'information permettra de révéler l'identité.



La présente plainte est introduite conformément à la loi du 16 décembre 1992 (modifiée par la loi du 19 juillet 1993) relative aux crimes contre l’humanité du chef de :



- actes de génocide (article 211-1 du Code Pénal),

- autres crimes contre l’humanité (article 212-1du Code Pénal),



2.

- participation à un groupement formé ou à une entité établie en vue de la préparation caractérisées par un ou plusieurs faits matériels, de l’un des crimes définis par les articles 211-1 et 212-1 (article 212-3 du Code Pénal)

- La plainte est également fondée sur le droit international coutumier et sur le jus cogens par rapport aux mêmes crimes.



Elle est également introduite pour :



- Meurtre (et tentative et complicité) prévu et réprimé par les articles 221-2 et 4 du Code Pénal,

- Assassinat (et tentative et complicité) prévu et réprimé par les articles 221-3 et suivants du Code Pénal,

- Atteintes volontaires à la vie (et tentative et complicité), prévues et réprimées par l’article 221-1 du Code Pénal, et

- Actes de terrorisme (articles 421.1, 421-2-3, 421-4, 421-5, 422-4 et 422-5 du Code Pénal.

- Association de malfaiteurs en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur (article 706-17 et suivants du Code de Procédure Pénale).

Par Richard_S (Richard_S) le lundi 03 mai 2004 - 20h05:

Le Judaisme rabbinique

Moi j'en veux aux rabbins pour la facon dont ils ont enleve toute substance au Judaisme biblique pour en faire un Judaisme de ghetto.

Nous etions supposes, apres notre rencontre avec Dieu au mont Sinai, devenir une lumiere pour le monde, recevoir et transmettre la beneficience divine sur la terre. Et c'est ce que nous fimes durant les premiers 500 ans avec les regnes de David et Salomon et la construction du premier Temple.

Mais depuis l'avenement du Judaisme rabbinique encore au pouvoir aujourd'hui, le Judaisme s'est teinte de peurs et de frileuseries mesquines. Les seules choses qui importent sont de preserver ce controle des mitzvahs que les rabbins se sont arroges (imaginez un instant l'equivalent si par exemple les enseignants prenaient le pouvoir en France et se mettaient a faire des lois).

Et c'est comme ca que l'on definit le Judaisme d'aujourd'hui : plusieurs cacherouthes l'une pretendant etre meileure que l'autre, la gestion du lait et de la viande avec le delire des deux eviers et les deux vaisselles et des rabbins rapaces qui ne pensent qu'a l'argent qu'ils vont empocher en utilisant la PEUR que ce soit pour les conversions ou les Alioths a la Torah ou autres.

Alors, je suis d'accord avec Bekhor, il est temps de retrouver notre grandeur et pour cela, de faire un re-assessement de ce que Dieu attend de nous. Et si nous trouvons que les rabbins ne vont pas dans ce sens, alors il faudra se debarasser d'eux.

Richard

Par Axelle (Axelle) le lundi 03 mai 2004 - 19h49:

J'éprouve une très grande douleur et une immense peine en apprenant l'assassinat de Tali Hatwell ainsi que de ses enfants : Hila - Hadar - Roni et Mérav. Je pense à David, le mari et papa qui vient de perdre toute sa famille au nom d'une idéologie destructrice.
Il a eu le grand courage de dire, malgré son profond chagrin ceci :
Tali, je t'aime tant et te languis déjà. Je reste seul. Toute la famille s'en est allée. Pas un n'est resté ...
Et, le Président Katsav de dire :
Ce jour restera dans l'histoire de la nation comme celui d'un tremblement de terre.
Je suis tellement boulversée que je ne sais que dire ! Si, une chose : Nous savons maintenant que les palestiniens ne veulent pas la paix ! Ils veulent la guerre, alors, qu'Israël leur apporte ce qu'ils demandent !! Et, que tous ces terroristes soient à jamais éradiqués de la surface de la terre.
Mais que l'Europe et le monde entier ne se croit pas à l'abri d'une telle monstruosité, ces bêtes sanguinaires n'oublieront personnes lorsqu'ils décideront de frapper n'importe où et n'importe quand ...
Je présente à David Hatwell toutes mes profondes et sincères condoléances et je partage avec lui son immense peine.
Que Tali et ses enfants reposent en paix à jamais auprès de l'Eternel.
Et, je renouvelle tout mon amour pour Israël et son peuple. Israël EST et RESTERA à jamais au plus profond de mon coeur.
N'en déplaise à tous ces antisémites notoires ...

Axelle.

Par Nao (Nao) le lundi 03 mai 2004 - 18h39:

Capino a raison: ce sont des betes...

2.05.2004 – L’attentat dont furent victime aujourd’hui une femme enceinte et ses quatre enfants, dont un bébé de deux ans, marque d’une pierre noire la marche des barbares contre l’humanité.

La famille était israélienne : elle aurait pu être américaine, comme en Arabie saoudite hier, ou française, comme à Netanya dans une tuerie précédente, ou espagnole, comme à Madrid.

Les assassins, qui se réclament de la “résistance islamique” ont d’abord tiré pour immobiliser le véhicule, puis se sont rapprochés : suffisamment pour voir l’agonie de leurs petites victimes qu’ils ont achevées à l’arme automatique.

Cela, le jour même ou a lieu le vote sur le plan de désengagement.

Il n’y a, bien évidemment, aucun fait de résistance dans cet acte de sauvagerie pure. Pas plus que de vengeance dont il se réclame. Il est la froide démonstration que nous sommes arrivés à un stade où le monde démocratique va devoir faire des choix douloureux pour sa survie.

D’aucuns ont reproché aux Juifs d’aller dans les chambres à gaz comme des moutons à l’abattoir. Ce sont plus ou moins les mêmes qui leur reprochent aujourd’hui de se conduire en “nazis”.

Nous ne sommes ni des moutons, ni des monstres. Juste un peuple qui veut vivre en paix, au milieu des tirs croisés de la haine et de la bêtise poussés à leur paroxysme.

Dans l’esprit de ceux qui s’en sont pris à cette femme et ses enfants, il n’y a pas de place pour la paix, pour la pitié, pour la vie. Serait-ce d’un nourrisson de deux ans. Leurs commanditaires nourrissent le projet d’éradiquer la présence juive au Proche-Orient. Pour eux, l’extermination commence par les plus jeunes.

Je n’espère pas faire basculer l’opinion de nos contemporains, tant elle est polluée par les voix de ceux qui voudraient faire passer des meurtres brutaux pour des actes héroïques ou désespérés.

Il n’y a aucun désespoir. Il n’y a qu’une détermination sadique à mutiler, faire souffrir, tuer. Terroriser suffisamment à Ryad, à Falloudja, en Europe, pour que le monde bascule du côté des assassins plutôt que des victimes. Paralyser la pensée, user les ressorts humains pour ne laisser place qu’aux réflexes, qu’ils soient de peur ou de révolte.

Si le conflit Palestino-israélien revêt une importance si symbolique aujourd’hui, c’est que plus de trois ans de boucherie, de meurtres de masse, d’assassinats d’enfants et de civils sans défense n’ont pu transformer une nation démocratique suffisamment pour éroder ses valeurs.

Une victoire bien amère du l’être humain sur la bête.

Au lendemain des célébrations de l’Europe à 25, le vieux continent se doit de réfléchir à la manière dont choisira d’aborder ces problèmes. Car la vague islamiste ne s’arrête évidemment pas à Gaza. Pas plus qu’elle ne cessera avec un Proche-Orient pacifié.

Les Israéliens veulent vivre en paix, mais aucune “discrimination positive” ne peut s’appliquer à ceux qui ont choisi d’aimer – selon leurs propres termes – la mort plus que nous aimons la vie.

Les Européens chantent à présent l’hymne à la joie à 25 voix. Et cela fait sourire ceux qui, dans l’ombre, préparent d’autres feux d’artifice tels que ceux de Madrid. Et qui se délectent d’avance du sang de ceux qui vont à la mort en chantant.

Soutenir les commanditaires d’actes aussi cruels est un défi aux lois de l’humanité et tresse une corde autour de notre cou. L’Europe est à l’heure des choix. Céder à la peur aujourd’hui, c’est nourrir une bête qui sommeille en se berçant de l’illusion qu’ainsi, on la maintiendra en sommeil, loin de nous. Mais on ne fait que la renforcer, lui donner plus de vigueur et l’assurance qu’à terme, le radicalisme islamique étendra son cortège de mort et de douleur à l’intérieur de nos frontières.

Albert Capino

Lisez le recit de l'enterrement.. c'est insupportable..

Thousands mourn slain mother, girls
By Nir Hasson

Thousands of mourners gathered yesterday in Ashkelon's new cemetery for the funeral of Tali Hatuel, the mother killed along with her four daughters in the Kissufim road terror attack. Social worker Hatuel, 34, was seven months pregnant.

David, the father of the family and its sole survivor, was supported by friends as he cried out the traditional mourner's prayer in a broken voice.

Tali's family comes from Ashkelon and her husband's from Ashdod.

The couple settled on the Katif settlement in the Gaza Strip 12 years ago, after living for a period in Ofakim. David Hatuel became acquainted with Gush Katif while studying in a yeshiva in the settlement bloc.

Nine years ago, the Hatuels left Katif to pursue studies for 18 months, but returned to the settlement. They had four daughters and were expecting a son in two months. "We knew it was a son, and we were so happy," David said yesterday at the funeral. "And now everything has been terminated."

Tali Hatuel worked in the social welfare department of the Gaza Coast Regional Council. As a social worker she helped people who had lost relatives in terror attacks. "She would come to my home and comfort me and now its her husband who needs such help," said Haim Ben Aryeh, a neighbor of the Hatuels' from Katif.

"They were a true Israeli family - good, quiet people who loved education and they raised four model children. It's so hard for me to talk about them in the past tense," he said.

Yesterday afternoon, after her three older daughters finished school, Tali picked them up and was driving with them and her 2-year-old in the family's Citroen station wagon. She planned to drive to Ashkelon to pick up her husband, who works as a school principal in the city.

The family intended to work at a Likud precinct to try to persuade party members to vote against Ariel Sharon's disengagement plan. "About 500 families left Gush Katif today to campaign against the initiative and nobody imagined an [attack] like this would happen," said one Katif resident.

While waiting for his family to pick him up in Ashkelon, David heard about the terror attack on the radio and tried to phone his wife.

"She didn't answer the calls and so he tried to phone some friends," said Katif resident Ezra Haido. "But they already knew about the incident and recognized his cell phone number, and didn't answer him."

David set out to look for his family at Gush Katif. Tali's father, Shlomo Malka, reached the site at almost the same moment as her husband David. "Shlomo looked for his grandchildren. He kept saying, `where's Hila, where's Hadar," said Ben Aryeh.

In addition to thousands of mourners from Gush Katif and Ashkelon, President Moshe Katsav, Minister Efi Eitam and MK Zvi Hendel attended yesterday's funeral.

Katsav said at the funeral that Arab leaders should be ashamed of such atrocities: "You are a disgrace, talking about Allah while a mother and four children are murdered. Is this what you call a struggle for freedom?" said Katsav.

Some politicians at the funeral brought up the Likud referendum. Minister Eitam, from the National Religious Party, said "the heart of a Jew cannot disengage." Hendel said, "what is left today - who now needs proof of what the enemy wants?"

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 03 mai 2004 - 17h23:

Cher Bekhor,

Il y a un proverbe tunisien qui dit:
"Koul Ala Kifek Ou Elbess Ala Kif Enass"
Mange a ta guise et habite toi comme les autre.
En fait personne ne peut nous prescrire notre chemein si ce n'est pas nous meme. C'est de l'egoisme peut etre, mais si tu penses profondemment c'est un devoir de veiller a son bien etreet de faire ce qui te plait tant que ca ne nuit a personne.

Par Henri (Henri) le lundi 03 mai 2004 - 16h03:

Cher Bekhor,

Il me semble que vous etes un Cohen, et moi un simple Israel.
Etes vous pret a me convertir en Cohen? je pense que non. Pourtant je le voudrais tant.

Que diriez vous si un rabin deforme serait pres a me convertir pour qq dollars?
Cette conversion serait elle reele?

Le probleme de la conversion n'est pas une formalite comme un simple examen, c'est bien plus profond. Je pense que cela touche plus a l'ame de la personne.

Chalom et brakha.

Par Douda (Douda) le lundi 03 mai 2004 - 13h16:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Le Mariage : Reçu ce jour, avis aux futurs amateurs !

Définition religieuse :
Acte religieux qui consiste à créer un crucifié de plus et une vierge de moins

Définition juridique :
Sentence dont le « condamné à perpétuité » est libéré uniquement pour mauvaise conduite

Définition de la vie courante :
Aucune femme n’a ce qu’elle espérait et aucun homme n’espérait ce qu’il a

Définition mathématique :
Somme d’emmerdes, soustraction de libertés, multiplication de responsabilités, division des biens

Définition pondérale :
Méthode la plus rapide pour grossir

Définition militaire :
C’est la seule guerre où l’on dort avec l’ennemi

Définition philosophique :
Sert à résoudre des problèmes que l’on aurait jamais eu en restant célibataire

Wnessou El Douda