Par Claudia (Claudia) le dimanche 23 mai 2004 - 18h57:

Kadhafi en vedette au sommet arabe de Tunis

TUNIS (AP) - Fidèle à sa réputation, le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi a ravi la vedette au premier jour du sommet de la Ligue arabe qui s'est ouvert samedi à Tunis en présence de 13 rois et présidents et de trois premiers ministres.

Après avoir entretenu le suspense sur sa participation, il est arrivé inopinément dans la capitale tunisienne, une heure à peine avant l'ouverture du sommet.

"J'ai seulement répondu aux démarches des présidents tunisien Zine El Abidine Ben Ali, algérien Abdelaziz Bouteflika et égyptien Hosni Moubarak", a-t-il lancé comme pour dire qu'il ne croyait pas trop au sommet.

Coup d'éclat propre à Kadhafi: peu après l'ouverture, l'homme fort de Tripoli claque la porte alors que le secrétaire général de la Ligue arabe Amr Moussa évoque les critiques adressées à l'organisation pan-arabe, sans citer nommément un pays quelconque.

Du coup, le dirigeant libyen qui, une cigarette à la main, souriait en observant une attitude plutôt désinvolte, en échangeant des propos tantôt avec Bouteflika, tantôt avec Moubarak, quitte la salle de réunion, pour ne plus y revenir.

"Pour moi, le sommet est fini", devait-il déclarer peu après dans une conférence qu'il s'est empressé de tenir au palais des hôtes à Gammarth, dans la banlieue nord de Tunis.

"Je ne suis pas d'accord avec l'agenda des gouvernements, mais plutôt avec celui des peuples", a-t-il martelé en se disant persuadé que le sommet ne serait d'aucune utilité, surtout pour la cause palestinienne.

Aussitôt, il rejoignait l'aéroport de Tunis-Carthage d'où son Airbus baptisé "Afriquyah", du nom du continent dont il se veut désormais le porte-drapeau après avoir désespéré des Arabes, décollait en direction de Tripoli. AP

Par Mena (Mena) le dimanche 23 mai 2004 - 18h43:

La France elle-même ne sera plus la France (info # 012205/4) [analyse]

Par Guy Millière © Metula News Agency


Une manifestation contre l’antisémitisme a eu lieu à Paris, le 16 mai dernier. S’y sont retrouvées moins de cent mille personnes (dix mille ? Ndlr.). Lorsqu’un combat est important en France, le chiffre des manifestants se monte à des centaines de milliers de personnes, quelquefois à un million ou davantage. La lutte contre l’antisémitisme n’est pas un combat important aux yeux des français, c’est évident.

Quand un cimetière juif est profané et couvert de croix gammées en Alsace, on s’indigne. Un jour ou deux. Puis on oublie. Quand quelques jours plus tard, c’est un monument en l’honneur des juifs combattants morts pour la France qui se trouve profané à son tour, on s’indigne un tout petit peu plus. Puis on oublie à nouveau. Le maire du petit village où le monument se dresse, pas très loin de Verdun, souligne pourquoi on doit s’indigner davantage que pour le cimetière en Alsace : « même Hitler n’y avait pas touché ». Hitler deviendrait-il en France une référence en matière de respect ? Je m’interroge encore ?

Quand on appelle, un peu plus tard, à manifester, certains s’inquiètent vite, à haute et intelligible voix : ces juifs, est-ce qu’ils n’en font pas un peu trop ? Après tout, ils n’ont pas le monopole de la souffrance. Et puis, cela fait soixante ans qu’ils nous parlent de la Shoah, c’est trop ! Manifester, oui, disent les porteurs de ce discours, mais contre tous les racismes, et, en France, le racisme anti-arabe est bien plus développé que l’antisémitisme, ne nous égarons pas. N’allons surtout pas jusqu’à dire que l’antisémitisme en France, aujourd’hui, est de racine musulmane, surtout si c’est le cas…

Le cinéaste Elie Chouraqui l’a dit récemment, lui, dans un reportage très nuancé et teinté d’appels à l’humanisme diffusé à la télévision. Dès le lendemain, ce fut le scandale : enseignants, hommes politiques, responsables associatifs se sont empressés de nier l’évidence. Les enseignants, en leur immense majorité, savent de quels côtés peuvent venir les ennuis pour eux et comprennent qu’il vaut mieux jouer celui qui n’a rien vu et rien entendu, et puis, ils ne sont pas antisémites, mais, malgré tout, si les juifs cachaient qu’ils sont juifs, tout ne serait-il pas plus simple ? Les politiques, à droite et à gauche, savent quel est le poids électoral des musulmans, tandis que les juifs…, et puis qui voudrait compromettre la politique arabe de la France ? Les responsables associatifs, eux, sont de gauche ou d’extrême gauche, donc du côté de l’opprimé : or celui-ci, c’est bien connu, c’est le travailleur immigré maghrébin ou le jeune beur de banlieue, pas le juif voyons. Si vous ajoutez à cela les exactions odieuses de l’armée israélienne…

Quiconque n’est pas juif et veut garder les idées claires face au conflit israélo-arabe doit faire l’effort, jour après jour en France, de résister à un véritable tir de barrage médiatique. Tous s’y mêlent : radio, télévision, presse écrite. Le mot terrorisme a totalement disparu du vocabulaire lorsqu’il s’agit des « Palestiniens » : le mot « activiste » suffit amplement. Un « activiste » n’assassine pas : il « milite ». Un soldat israélien « tue », lui, toujours, de préférence des enfants, rarement des « activistes ». Les dirigeants des « activistes » sont des « chefs spirituels », bien sûr. L’armée israélienne détruit des maisons de « Palestiniens » pour le pur plaisir de détruire, et si un activiste dit que c’est une opération d’ « extermination », tous les journalistes reprendront goulûment ses paroles. Ils n’attisent pas la haine, bien sûr, ils font juste leur métier, et ils s’étonnent, disent-ils, que leurs reportages soient reçus comme biaisés, eux, si honnêtes, si scrupuleux qu’on pourrait les engager chez Al Djezeera sans qu’ils aient à changer une virgule à aucun de leurs commentaires.

De temps à autres, un dirigeant français dira, dans un effort surhumain, qu’il ne faut « pas importer en France un conflit qui se déroule à plusieurs milliers de kilomètres de Paris » et feindra de ne pas s’apercevoir, que le fait que ce conflit soit dépeint de manière si biaisée et si spécieuse en France, ressemble comme deux gouttes d’eau souillée à une incitation très concrète à la haine anti-juive en France.

D’après un sondage récent, 86% des Israéliens considèrent la France comme un pays antisémite. Quand ce chiffre est donné à la télévision, les commentateurs prennent un air effaré et disent, désolés, que les israéliens ne comprennent rien à rien. Je dis, moi, que les Israéliens ont raison, et je le dis avec tristesse : l’antisémitisme est tellement répandu et tellement banal en France, qu’il fait désormais partie du décor.

Un juif est agressé ? Ce n’était qu’un juif, voyons… Et puis, Israël se conduit tellement mal que c’est logique, non ? Un « Palestinien » vient d’être tué ? On vous l’avait dit que c’était la faute d’Israël. Un attentat a lieu en Israël : c’est le cycle de la violence, bien sûr. Si Israël n’avait pas conduit ces gens au désespoir, il n’y aurait pas d’attentats.

Ma voisine, septuagénaire, me disait voici peu qu’en France, sous Pétain, on vivait finalement très bien. Les juifs ? Oh, c’était leur problème.

On associait autrefois l’antisémitisme en France à l’extrême droite pronazie. Cet antisémitisme là existe encore et reste aussi répugnant que jamais : il est incarné par un ramassis de vieux crétins, aigris, qui ne se sont guère reproduits. Un antisémitisme musulman est venu se greffer sur lui et rajouter une nouvelle composante, qui elle aussi lit Mein Kampf : certains vieux crétins aigris s’en trouvent ragaillardis, mais ce sera passager. Des vieux crétins aigris ne peuvent constituer des alliés durables de qui que ce soit. Un antisémitisme d’extrême gauche s’est greffé sur les deux précédents et fait d’Israël le sale Etat juif capitaliste parmi les Etats de la terre. Les adeptes de l’antisémitisme d’extrême gauche détestent les vieux crétins aigris, sans accepter de discerner qu’ils sont aussi crétins et aigris que leurs ancêtres d’extrême droite et qu’ils représentent juste la relève relookée de la même horreur. Eux ne lisent pas Mein Kampf, mais aiment d’un amour simple, passionnel et, bien sûr, très « prolétaire » les antisémites musulmans.

Un quatrième antisémitisme est présent dans l’atmosphère, celui de l’indifférence, de la lâcheté, du conformisme, de l’avachissement. Un antisémitisme de gens qui se disent que tout cela c’est des histoires de juifs et d’arabes, et qu’avec tous ces arabes en France, les juifs pourraient au moins se taire, raser les murs et laisser les braves gens innocents, parce que non juifs, boire leur camomille devant la télévision en toute tranquillité.

L’antisémitisme n’est pas un combat important aux yeux des français, non.

L’antisémitisme fait partie intégrante de l’air que les Français respirent quotidiennement sous diverses formes et selon divers modes. Il est tellement présent que les Français ne le perçoivent plus ou ne le voient plus.

J’ai bien peur que d’ici quelques années ce soit pire. La jeune chanteuse Shirel, être de lumière et de bonté, à qui j’en parlais récemment me disait : tout cela, ce n’est pas grave, nous allons rentrer chez nous. Les juifs français devront sans doute rejoindre Israël pour vivre libres. Certains rejoindront les Etats-Unis. Ceux qui vivront encore en France devront se cacher, nier leur judéité, devenir marranes ou dhimmis. Ce jour là, la France elle-même ne sera plus la France, les derniers Français non juifs et épris de décence et de dignité, qui n’ont pas encore déserté le navire moisissant, l’auront déserté alors. Il restera quelques vieux crétins devenus très très vieux, de nombreux gauchistes, vivant dans les ruines et les décombres et de nombreux musulmans antisémites. Ce ne sera pas très grave. L’avenir du monde se dessinera ailleurs, comme il commence déjà à s’y dessiner.

L’antisémitisme n’est pas un combat pour les Français aujourd’hui parce que rien n’est plus vraiment un combat pour les Français aujourd’hui. Ils ont déjà renoncé à être depuis si longtemps…

Par Hajklouf (Hajklouf) le dimanche 23 mai 2004 - 15h18:

je viens de faire une visite a la france de 15 jours.
j'etais choqué par la montè de la haine des femmmes voilés. parce que moi qui a été en france l'annne dernière en france j'ai remarqué une grande différence.
mnt, on dit a la télé "on est contre les femmes voilèes" et ici on parle pas a l'ecole mais partout. les auteurs de livres qui critiques ouvertement les musulmanes sont les bien venus dans toutes les emissions télé. s'il s'agissait de critiques logique basé sur un dialogue entre les musulmans et les non musulmans je voudrais bien mais non c'etait pas ça .

ce qui est clair c'est qu'on a reussit a mettre ça dans la tete de tous les français

"LA FEMMME VOILEE C EST SOIT
*UNE MANIPULE
*UNE CONNE, MAUCHE
*UNE DANGEREUSE

non ! non ! c'est pas ça . la femme voilé ca pourait etre ma mère ca pourrait etre ma soeur . elles sont voilées parce qu elles ont tout simplement la foi. c est leur croyance mais pourquoi vous ne voulez pas comprendre

l'an derniers elles ont fait un grand sacrifice. en elevant le voila a l ecole . personne n a pense sur la souffrance que ça pourrait leurs faire! on s'en fait. malgres ça les musulmans ont acceptes cette lois sans grande resistance. mais malheuresement les français n'ont pas vu ça comme un bon effort au contraire les attaquent continue encore plus intense . et on veut meme interdire les bandanats mnt mlgres que ce n'est pas un signe ostentatoire.

svp soyez tolerants
comprenez qu il y a des gens qui sont differents de vous et que c est normal

Par Breitou (Breitou) le dimanche 23 mai 2004 - 15h22:

Henri, mon cher Henri...

Si tu regardes bien autour de toi, tu vas te rendre compte que les 'gens sont devenus trop sérieux' pour pouvoir faire le 'Tfeldlik' et ce qui me désepère c'est que beaucoup de gens prennent pour argent comptant ce que j'écris alors que la vie c'est du 'tfech' alors comme on le dit '...En néz oui netli ( je rammasse et je calfeutre) c'est tout ce que je sais faire.

Tant bien fasse à ceux qui me prennent trop au sérieux. Faut bien un 'fedleg' dans un site sinon où irions nous. Et puis c'est un métier qui n'a plus sa raison d'être. Il s'est perdu.

Après en khelli blasti. RM.

Par Breitou (Breitou) le dimanche 23 mai 2004 - 15h12:

SKETCH GRATUIT RECHAUFFE...AU MICRO ONDE..


' Ya baba Emile…! Je sais que tu as fais un long voyage pour venir ici….Viens assis toi…!
'Yèèèèèèèèèèèè Belebou ….! Koum ou haddar stal mè chkroun…'
(…………………………….Léves toi et prèpare moi un sceau d'eau chaude…!'

Lui….;' Ou en hat tarf mélh….?'
('Et j'ajoute un peu de sel…?'

' Oui pour que l'on prenne pas de l'œil tes orteils…!

Belebou rentre avec le stal, il renverse la moitié par terre…
'Yè Jahch…. ' ( Gros balourd)..
'Zeddah…!'

Emile s'en prendre garde plonge directo ses phalanges….

'AIEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE….! Chnouè ehdèhhhh…! Hamam ou lè blèch….!'

'Yè Belebou ââmelou massage ….!'
('Fais lui un massage….!'

Belebou…..' Ye Yarfi….! Yandou kalouat mèbin swab'you…!'
('Patron……! Il a des cors entre les doigts….!'

Albert ' Thab tkoul kââbar bèchbéch….?'
('Tu veux dire des boulettes de fenouils….?'

Emile……'Lé….! Lé….! Echbikôm ….! Ehdouk trouf ktone bèl ouxygini....!Bel méchièn oulèw mek'boussin...'!
('Non.....! Non....! Qu'avais vous....! Ca ceux sont des morceaux de coton avec de l'eau oxygènee …! A force de marcher ils ont durci…!'

Belebou…….' Yè Emile ….! Wèl kouffa ehdi chnouè……?'
('Emile….! Et ce couffin…..! C'est quoi…?'

Lui………….' Dje'jè ou fli' lchètè..…..! jèt myayè mèl Béjèou Faksset hara admat fèl tniè…!'
(' C'est une poule, avec ses poussins, qui m'a accompagnée de Béja….! Elle a pondu un quart d'œuf en route ( et ses poussins sont éclos) …!'

Belebou…….' Mellè kolna élli hatit 45 nioum béch touss'lou ouni…..? '
('Alors dis nous que tu as mi 45 jours pour venir ici…..?')

Lui…………' Lé ….Lè…! Ektar….! Ehdi él tén'yè djéjè …..! Lokhra arbet li ou mchit én kaleba fi Souk el Arba..jôm'atin en ferkess fiè….! Wallè moul' ellah….! Quédèt'ni…!'
('Non….! Non….! Plus……! C'est ma seconde poule….! La première elle s'est enfuie et je suis allé la chercher à Souk-El- Arba….! Deux semaines que je la cherche mais en vain…..! J'ai eu de la peine…!')

Albert………' Heureusement que tu n'avais pas trois sinon tu aurais mis six ans pour nous rendre visite..!'

Rabi Myak Emile    Allez montre- nous ton art…site…! l'Artiste…!

Albert le ' nègre'
( Pour obtenir des 'émoticons'- figurines ( appuyer sur deux points : et ' fermer la parenthèse )

Par Henri (Henri) le dimanche 23 mai 2004 - 14h27:

Bebert mon ami,
Qu'elle benediction
"ou rabi lei i warik douni."
Ah!!!! elle vaut de l'or.
Tu sais Bebert, toutes les mitsvots qui ne sont pas faites dans la joie, ne valent pas une seule accomplie dans la joie.
Et toi tu n'arretes pas de nous rejouir tout le temps avec ton sois-disant tfedlik.
Rabi maak ou la ichwik.

Par Albert (Albert) le dimanche 23 mai 2004 - 12h23:

Enfin, en voila un d 'ami sérieux qui dit quelque chose de bien, ourass khouiye nââmel elli nejèm bniti ( je fais ce que je peux avec naivetè) mais ca ne paye pas aujourd'hui tout ca.

Heureusement que nous avons dés fois quelques éclaicies..

Raby Mââk Henri, merci, ou rabi lei i warik douni.

Par Henri (Henri) le dimanche 23 mai 2004 - 08h37:

Lalla chalom,
Comment preparez vous les grains de lin "malha ou bnina"
Merci et HAG SAMEAH.
Emile laisse tomber la politique, au moins cette semaine, et parle nous plutot des coutumes de Chavouot.
Bebert tu es le seul a parler "serieusement" sur ce site, et pour cela on t'aime bien.
Rabi maak ya houia.

Par Email (Email) le dimanche 23 mai 2004 - 08h43:

Le conflit israélo-palestinien domine le premier jour du sommet arabe de Tunis

TUNIS (AP) - Hormis le coup d'éclat du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi qui a fait une apparition furtive de quelques heures, la première journée du sommet de la Ligue arabe à Tunis a été dominée samedi par le conflit israélo-palestinien, longuement évoqué dans les discours d'ouverture.

Un total de 13 chefs d'Etats, sur les 22 membres que compte la Ligue arabe, étaient présents.

Premier temps fort de cette rencontre placée sous très haute surveillance, la minute de silence observée solennellement lors de la séance inaugurale, à la demande du président tunisien Zine El Abidine Ben Ali, à la mémoire des victimes palestiniennes de l'opération "Arc-en-ciel" lancée ces derniers jours par les forces israéliennes à Rafah et Gaza, faisant une quarantaine de morts.

Le président tunisien, le secrétaire général de la Ligue arabe Amr Moussa et le président de l'Autorité palestinienne Yasser Arafat, qui communiquait par visioconférence à partir de son quartier général de la Moukataâ à Ramallah (Cisjordanie), ont stigmatisé cette offensive, qualifiée par Arafat de "crime de guerre".

Face aux défis auxquels est confrontée la nation arabe, le sommet de Tunis marque "un tournant sans précédent", selon Amr Moussa tandis que le roi Mohammed VI du Maroc a appelé à une "action rédemptrice" pour "le redressement" de la situation d'un monde arabe divisé et soumis à une forte pression pour se réformer.

Les intervenants ont par ailleurs réaffirmé leur attachement à la paix, "un choix stratégique" pour les pays arabes, selon le président Ben Ali.

Yasser Arafat, après s'être attardé sur un ton pathétique sur "les souffrances qu'endure le peuple palestinien depuis plus de 40 ans", a réitéré son appel à "une paix des braves" avec les Israéliens.

Autre thème central de cette première journée: la situation en Irak. Les orateurs se sont prononcés pour un transfert au plus tôt du pouvoir aux Irakiens, en insistant sur l'importance de préserver l'unité et l'intégrité territoriale de l'Irak. Ils se sont déclarés en faveur d'un rôle central des Nations unies après le transfert des pouvoirs le 30 juin.

Sujet de divergences lors du premier sommet de Tunis reporté fin mars dernier, les réformes démocratiques réclamées par Washington dans le cadre de son projet de "Grand Moyen-Orient", ont par ailleurs été largement abordées à la lumière d'un "pacte arabe sur les droits de l'Homme" adopté en réunion préparatoire par les ministres des Affaires étrangères.

"Nous affirmons notre foi en la dignité de l'Homme, les principes de liberté, de démocratie, de justice et d'égalité, ainsi qu'en les valeurs de dialogue, de coopération, de tolérance et de solidarité", a proclamé le président tunisien.

Le terrorisme a enfin été condamné par l'ensemble des intervenants car "contraire aux principes, aux valeurs et aux convictions" de la "ouma" (communauté) musulmane. AP

Par Braham (Braham) le samedi 22 mai 2004 - 23h32:

A propos de noms tunisiens pour certaines céréales

Les mais était les Shboul (cousin de Shiboleth en Hébreu), et les grains de lin s’appelaient Zaria’th Ketten ou Kettania. Ce qu’on donnait aux poules c’était de la Noukhalla qui était l’écorce des grains de blé (je crois qu’on l'appelle Soubinn en Israël).

Par Lalla (Lalla) le samedi 22 mai 2004 - 19h18:

ah, en arabe c'est jariat ketten =grains de lin.

Par Lalla (Lalla) le samedi 22 mai 2004 - 19h10:

ktania,ce sont des grains d'orge qu'on donnait aux poulets pour les engraisser;malha ou bnina c'esten hebreu pichtan,en francais,grains de lin-et je m'en suis prepare une bonne dose aujourd'hui!

Par Simon_Baroukh (Simon_Baroukh) le samedi 22 mai 2004 - 19h02:

Par Simon_Baroukh (Simon_Baroukh) le samedi 22 mai 2004 - 18h53: