Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mardi 10 octobre 2006 - 07h57: |
Cher Sarel,
Merci de ton exposé sur la définition de la vérité, mais la réponse est beaucoup plus simple que tu le penses :
La Vérité, c'est ce qui est Vérifiable,,, tout le reste n'est que phantasme.
Salut à Toi et merci quand même.
Par Sarel (Sarel) le lundi 09 octobre 2006 - 22h05: |
Chers Harrissiens je vous presente un essai court su la VERITE RELATIVE J'espere que cela interressera quelques uns qui voudront approfondir le sujet
Verite et le point relatif
Essayons de definir autant que posssible “LA VERITE
C’est un mot don’t tout le monde s’en sert?
C’est quelque chose de necessaire ?
C’est une situation ou un etat de fait ?
Est elle une force physique ou spirituelle ?
Peut on la changer ou influer sur elle ?
Est ce que son influence est sa raison d’etre?
A t elle un temps de vie limite ou est elle eternelle ?
Cela est une partie de questions et d’apres les reponses qu’on peut se donner
On est deja persuade que c’est une force qui influe et englobe tout .
Tous les corps y sont attires pour arriver a survivre plus longuement .
Chacun aspire a avoir le maximum possible de verite {force eternelle}
Dans le parcours UTOPIQUE vers cette force impalpable chaque corps se trouve sur un point donne specifique a lui merme .
Ce point n’est jamais fixe et change d’endroit continuellement /
Ce meme point a ete acquis apres avoir accumule certaines donnees qui auraient augmente la part de VERITE qui lui permet de vivre.
Ce point est RELATIF et dependra de la part de verite absolue qui le compose
Il comporte tout ce qui peut definir ce meme corps .
Son aspect exterieur .son etat physique . sa force de persuasion .son savoir
Ses biens .sa force personnelle .Il faut ajouter les forces environnantes {pays
Region .services de securite differents .instituts divers .assurances . }
Tout cela se trouve avec le corps dans un point precis qu’on va nommer
LA VERITE RELATIVE .
Elle a un rapport partiel avec le mensonge ou le terme “d’avoir raison “en tant que dimension mentale .Ces derniers ne peuvent definir completement pas la V.R. du corps .
En somme la V.R. est la composante de tout corps
Les liens .contacts. discussions .differents .manifestations. et autres se feront
a travers la V. R. de chaque partenaire .
Les resultats en question dependront de l’intensite de chaque V.R
Chacun pourra etudier sa V. R. et evaluer d’apres ses connaissances celle du voisin .de ses proches .de son ami .de son rival .et meme de son ennemi .
L’examin final prouvera le niveau des connaissances acquises .
Voila en quelque mots le sens de la VERITE RELATIVE moyen necessaire a mon avis qui permet de voir mieux notre entourage .
hag sameah sarel
Par Mena (Mena) le lundi 09 octobre 2006 - 20h29: |
Syrie – Israël : que cachent les bruits de bottes (info # 010910/6) [Analyse]
Par Jean Tsadik © Metula News Agency
Beaucoup de gens se demandent pourquoi les analystes prévoient une nouvelle guerre au Moyen-Orient, à court ou moyen terme. 30'000 soldats, dont 7'500 occidentaux, du contingent de l’ONU ne suffiraient-ils pas à éviter un renouvellement du conflit ? Et quelle est donc cette dynamique, qui paraît mener inévitablement des Etats de cette région vers une recrudescence de violence, ce, d’autant plus que le Hezbollah a effectivement perdu le plus clair de son potentiel militaire et que l’armée libanaise renforcée contrôle désormais sa frontière avec Israël ?
L’un des indices de cette situation, si ce n’est pas une réponse à ces questions, se trouve dans l’interview donnée par le président syrien Béchar Al Assad, la semaine dernière, au journal koweitien Al Anba ("Les Nouvelles"), et immédiatement renforcée par les propos du ministre syrien de l’information et les media de Damas.
Les idées force de ces interventions : "Israël pourrait attaquer la Syrie à n’importe quel moment", et "nous avons entamé nos préparatifs dans le cadre de nos options".
C’est tout ce qu’il y a à retenir de prépondérant dans ces déclarations mais c’est déjà beaucoup. On délaissera volontiers, pour ne pas manquer l’essentiel, les mentions faites à la volonté du régime alaouite de récupérer le Golan et autres prétentions relatives à l’intégrité du territoire libanais et aux droits des Palestiniens. Ces revendications préoccupent les dirigeants syriens moins que leur dernière paire de chaussettes.
On retiendra toutefois que, parallèlement à ces bruits de bottes, Al Assad a fait entendre, dans son interview de dimanche, qu’il existait toujours une possibilité de conclure un accord de paix, que "80% des sujets divisant Israël et la Syrie avaient été résolus et qu’il ne restait plus qu’à s’occuper des différends les plus simples".
Vrai de vrai. Si Israël accepte de descendre du Plateau du Golan – et Assad fait courir le bruit qu’il ne chipotera pas pour quelques dizaines de mètres – Damas est prêt à faire la paix avec Jérusalem. Mais ce qui intéresse le dictateur-oculiste compte pour lui bien plus que le Golan, puisqu’il s’agit de la survie de son régime. Baignant de façon endémique dans une crise économique inextricable, relégué au ban des nations à cause des assassinats qu’il perpètre au Liban, mis au pied du mur par l’ONU à ce sujet, complètement isolé géographiquement, le régime baathiste n’a effectivement, pour se pérenniser, que le choix entre faire la guerre ou faire la paix.
La paix d’abord : si Al Assad signe un traité de cohabitation avec les Israéliens, le monde sera si content de s’être fait retirer une épine du pied, qu’il absoudra le fils de Hafez pour le meurtre de Rafik Hariri. Tout le monde sait pertinemment qu’un accord avec Israël entraînerait obligatoirement la fin du soutien de Damas au Hezbollah, au front du refus palestinien, et la déconstruction de son alliance stratégique avec Téhéran.
Ce n’est pas rien, le tyran syrien ne se promène pas les mains vides ! Il a seulement besoin, pour ne pas perdre la face – ce qui est souvent mortel pour les dictateurs – de récupérer le Golan afin de justifier son changement de cap, aux yeux des Arabes, mais surtout de son peuple et de son armée. Impossible, en effet, de maintenir la loi martiale depuis 1963, au prix de la privation de presque toutes les libertés individuelles, au nom de la nécessité de combattre l’Etat hébreu, sans, au moins, recouvrer le Golan…
D’aucuns en Israël voudraient bien réengager le dialogue avec Béchar, tel l’ex-ministre des Affaires Etrangères Sylvan Shalom, ou, à tout le moins, ne pas lui fermer la porte au nez, mais il existe un gros hic. Ce hic s’appelle Washington. Et si George Bush se mêle moins qu’on ne le pense de la politique qui se conçoit à Jérusalem, il est un sujet sur lequel il est intransigeant : non au désenclavement de la Syrie ! Il y a à ce veto deux raisons principales : d’abord, le régime damascène est incontestablement l’un des systèmes politiques les plus violents et ringards de la planète – à classer dans la catégorie restreinte qui comprend l’Iran et la Corée du Nord – et dont la perduration hypothèque les espoirs du monde. Ensuite, et cela a trait à la chair même des USA, Al Assad est le bras qui fournit des hommes et du matériel aux terroristes qui tuent des centaines de soldats de l’Oncle Sam en Irak. Or, après tous les avertissements que le leader alaouite a reçus en vain pour qu’il cesse son jeu dangereux, pour Washington, il n’est plus question de composer avec lui.
La Maison Blanche le fera renverser si l’occasion se présente et si on lui trouve un remplaçant qui empêchera que ne s’instaure en Syrie un chaos ethno-confessionnel à la mesure de celui qui sévit à Bagdad. Sinon, on le maintiendra dans une quarantaine étroitement surveillée, en continuant à pousser les 1ers ministres israéliens à user de tout prétexte pour infliger à Al Assad revers militaires et vexations qui l’affaiblissent. On avait bien aimé, à cet égard, sur les bords du Potomac, lorsque, avant la guerre au Liban, des chasseurs à l’étoile de David, fabriqués aux Etats-Unis, avaient effectué, en toute inaccessibilité, quatre passages au radada sur le palais de l’oculiste à Latakieh. On raconte que Béchar, en pyjama sur sa terrasse au milieu de la nuit, leur montra le poing, en signe de hargne et d’impuissance.
Donc, pas question pour Jérusalem, dans l’ordre actuel des choses, de reprendre les négociations avec les oligarques alaouites de Damas. Sans l’appui diplomatique de l’Amérique, notamment à l’ONU et au sein du Quartet, les positions d’Israël seraient intenables.
Voici, brièvement représentées, les conditions qui amènent à penser qu’un nouveau conflit est inévitable. Mais un affrontement différent du précédent, car les soldats de la force multinationale empêcheront les Fous d’Allah de s’approcher trop près de la barrière nord de l’Etat hébreu. A ce sujet, il est intéressant de relater un fait stratégiquement important, insuffisamment remarqué par nos confrères. En effet, il y a six jours à peine, le commandement des forces de l’ONU engagées au Liban-Sud diffusait à Naqoura (extrême ouest de la frontière) un communiqué qui n’a pas dû plaire à M. Nasrallah. On y lisait entre autres que "(…) par-delà l'autodéfense, la FINUL peut recourir à la force pour s'assurer que sa zone d'opérations n'est pas utilisée pour lancer des hostilités, pour résister à des tentatives d'utiliser la force pour empêcher la Mission d'accomplir son mandat".
La FINUL ajoutait son intention d’empêcher le transit de matériels dangereux dans sa région, comprenez des armes et des munitions. Nul doute que ces termes de la mission du contingent de l’ONU, qui sont graduellement dévoilés, ont fait l’objet de paragraphes secrets lors des négociations à Manhattan en vue du cessez-le-feu. Habilement, le gros des forces internationales s’est déployé, suivi des militaires libanais, en diffusant peu d’informations précises sur les détails de leur mission. Désormais, alors que leur présence massive constitue un fait accompli et qu’il est accompagné de multiples barrages établis dans la zone que les bérets bleus surveillent, ces derniers ont tout loisir d’informer le Hezbollah qu’ils s’opposeront à la reprise d’activités hostiles contre le territoire israélien. Les terroristes ne disposent pas des moyens de s’opposer à ces décisions, d’ailleurs, ils ont démantelé ou abandonné d’eux-mêmes des dizaines de bases qu’ils occupaient dans le voisinage de la frontière.
D’accord pour le Sud, et c’est ce qui me fait dire que la région frontalière ne va pas redevenir à nouveau un Hezbollahland à partir duquel Nasrallah pourrait agresser Israël. Mais la situation face à Metula n’est en aucune manière comparable à ce qu’elle est dans d’autres parties sensibles du pays des cèdres. Dans la Bekaa, par exemple, la présence de la FUNUL est inexistante, de même qu’aux frontières terrestres du Liban. Lors, personne ne contrôle sérieusement le réapprovisionnement des alliés d’Assad et d’Ahmadinejad dans la région de Baalbek et au nord-est du fleuve Litani.
C’est là où le bât blesse et produit des lésions dangereuses. De sources allemandes et israéliennes, Damas y aurait repris de plus belle ses livraisons d’armes aux miliciens chiites. Du gros, on parle – et la Ména confirme – de l’apparition de missiles balistiques à moyenne portée (800 km) et de lanceurs idoines, qui ne faisaient pas partie de l’arsenal de l’Axe du mal avant la dernière confrontation.
Il s’agit d’une décision périlleuse mais stratégiquement compréhensible de la part de l’axe Damas-Téhéran. Trois raisons à cela : 1) il n’y a pas, momentanément en tous cas, de miliciens hezbollanis en nombre et en état de reprendre le combat, or le maniement de ces missiles demande un personnel qualifié mais peu abondant ; 2) les abords d’Israël étant interdits par la présence de la FINUL, ces armes peuvent frapper l’Etat hébreu en passant au-dessus des têtes du contingent international. Il existe à ce titre un danger tactique – fort accaparant à nos yeux – de voir les militaires de la force internationale se faire coincer sous un feu croisé non conventionnel, qu’échangerait Tsahal avec les Syriens en Syrie et leurs supplétifs au Liban ; 3) lorsque Béchar Al Assad a confié à Al Anba qu’il a "entamé ses préparations dans le cadre de nos options", c’est exactement à ce genre d’options qu’il faisait référence.
Damas n’est pas en mesure de s’opposer à Israël dans les airs, pas plus que lors d’une guerre conventionnelle. Certes, mais son armée a su s’adapter afin d’être en mesure de faire peser des menaces insupportables sur la population israélienne avec des moyens de fortune. Nous savons ici qu’en cas de conflit, Assad nous a préparé des milliers de commandos, quasi-suicides, qui auront pour tâche de s’infiltrer en de multiples endroits, au-delà de la ligne de démarcation sur le Golan, et d’empêcher nos blindés de se déployer, à l’aide de milliers de missiles russes Kornet dont ils sont dotés et qui ont fait leurs preuves lors de la dernière guerre.
En plus de ralentir notre offensive, une action de ce genre aurait l’avantage symbolique de démontrer à l’opinion mondiale et arabe "l’attachement de Damas pour son territoire du Golan". Parallèlement à cette action terrestre, Al Assad imagine être en mesure de lancer les missiles balistiques à ogives chimiques et bactériologiques qu’il détient contre les agglomérations israéliennes. Le plan de l’Axe du mal consiste à procurer aux Syriens des sites de lancement alternatifs au Liban au cas, plus que probable, où les deux très grosses bases de Scud dont ils disposent chez eux seraient mises hors de combat aux premiers moments du conflit.
En dépit de ces plans mûrement organisés, sauf s’il reçoit l’aide de ses alliés perses, Béchar sait fort bien qu’il ne fera pas le poids face à la machine de guerre israélienne. Ce, d’autant plus que la Syrie n’est pas le Hezbollah, que ses familles alaouites régnantes n’aspirent pas spécialement ni à la destruction de leurs avantages ni à une mort de martyrs, et que son armée n’est pas faite de maquisards capables de subsister des semaines dans des trous en sous-sol, mais qu’elle possède plutôt une réputation de lâcheté et de fragilité, ainsi que des soldats qui demeurent dans des casernes visibles et donc destructibles.
Reste que l’axe Damas-Téhéran ne peut se résoudre à perdre le Liban, ses richesses, son réservoir de fanatiques chiites et palestiniens, le second front – indispensable dans une logique de confrontation – qu’il présente face à Israël et son vaste accès à la mer. Or cet axe n’a pas encore perdu le Liban, contrairement à ce que certains esprits superficiels aiment à se l’imaginer. Le président fantoche Emile Lahoud, marionnette des Al Assad, est toujours en place, et les composantes politiques de Beyrouth – à l’exception du cheik druze Walid Joumblatt – s’entourent de mille précautions lorsqu’ils abordent le sujet du rôle du Hezbollah et des relations avec la Syrie.
Aujourd’hui, Damas n’est pas prête à une guerre avec Israël, mais pour conserver ses "options" traditionnelles, il lui faut prendre le risque d’envoyer ses engins de guerre, démodés mais encore relativement efficaces, à ses alliés de l’autre côté de la frontière. Al Assad sait qu’Israël, suivant elle aussi son agenda stratégique, ne pourra souffrir ce trafic et ses conséquences très longtemps. Cette menace balistique sur son flanc nord justifierait, en termes stratégiques, une intervention de Jérusalem – au moins préventive et limitée – contre Damas. Ca n’est d’ailleurs un secret pour personne, pas plus qu’une révélation de l’interview d’Al Anba, puisqu’Israël l’a officiellement signifié au Secrétaire général de l’ONU.
Pour la Syrie, ne rien faire, c’est attendre le verdict des enquêteurs du crime Hariri contre son président-dictateur, et, à court terme ensuite, la fin de son régime. C’est, pour les favorisés de ce pouvoir ethnique, l’asphyxie et se regarder mourir.
L’Iran interviendra-t-il directement si Israël ne laisse pas le temps ni le loisir à ses adversaires de reconstituer le front qu’elle vient de détruire ? Rien n’est moins sûr. C’est qu’il faut ajouter dans cette équation qui sent déjà la poudre, que, dans le bassin de l’Est-méditerranéen, se serre une flotte occidentale aux proportions confondantes, y compris pas moins de 300 avions embarqués sur des porte-avions et environ 50'000 hommes. C’est largement plus qu’il n’en faut pour raisonner les va-t-en-guerre et les fanfarons…
Par Pauline (Pauline) le lundi 09 octobre 2006 - 19h30: |
Palestine : la bombe risque d'exploser...
Par Daniel RIOT
Peur, très peur... De la Corée du Nord, « nucléaire ». De l'Iran en voie d'être « nucléaire ». Des terrorismes de l' « islamo-fascisme ». Des explosifs pakistanais qui sont des bombes à retardement trop minimisées. Et de la Palestine, surtout. Une « tragédie annoncée », titre Le Monde dans son « édito » de son édition d'aujourd'hui. Il a raison. Même si l'ampleur de cette « tragédie programmée » reste imprévisible...
"Un jour, vous regretterez Arafat", avait dit Mitterrand aux responsables israéliens. C'est fait...Tant que le Hamas s'en tiendra à sa position de base et de principe (« Nous ne reconnaîtrons jamais, jamais, jamais l'Etat d'Israël ») , nous avons le devoir d'avoir peur... Nous payons ainsi une grave erreur : la démocratie, si louée, ne se résume pas à une arithmétique de votes, à des additions de suffrages, à des consultations « populaires ». Elle est d'abord une grille de valeurs. Les Américains l'ont trop oublié en acceptant que le Hamas se lance dans une compétition dite « démocratique », qui n'était qu'arithmétique....
Je cite l'édito du Monde : « Il y a presque un mois, le 11 septembre, Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne, et Ismaïl Haniyeh, premier ministre, concluaient un accord pour former un gouvernement d'union nationale palestinien. Ce texte, dit "d'entente nationale", ouvrait une porte de sortie honorable à l'impasse politique dans laquelle se trouve le gouvernement palestinien dominé par le Hamas, organisation inscrite sur les listes européenne et américaine des mouvements terroristes, sortie victorieuse des élections du 25 janvier. Cet accord offrait également la possibilité de reprendre l'aide internationale, suspendue au lendemain de ce scrutin. Cette petite lueur n'a pas duré longtemps. »
C'était prévisible ; le Hamas, dont le développement a été favorisé par les « services américains », n'a jamais accepté les résolutions de l'ONU sur la création de l'Etat d'Israël.
J'en reviens à l'édito du Monde : « Certes, il n'était pas facile de mettre sur pied un gouvernement dont la composition et le programme politique devaient respecter les différentes forces. Pourtant, le document d'entente nationale, fruit d'un compromis laborieux, est suffisamment clair. Mais c'était compter sans les réticences des irréductibles du Fatah, le parti de Mahmoud Abbas, qui n'a toujours pas accepté d'avoir perdu le pouvoir en janvier. C'était aussi compter sans la direction politique du Hamas, basée à Damas, qui voit d'un mauvais oeil tout arrangement avec "l'ennemi sioniste". Cette hostilité trouve à s'alimenter dans le comportement du gouvernement d'Ehoud Olmert, qui laisse se poursuivre la colonisation des territoires occupés et dont l'armée continue de mener des opérations militaires dans la bande de Gaza, pourtant évacuée il y a plus d'un an. »
Non. Le bricolage, en diplomatie, peut être catastrophique. Or, là, nous avons (mal) « bricolé ». «Nous avons notamment oublié « les exigences de la communauté internationale, et particulièrement du Quartet - Etats-Unis, Union européenne, Russie et ONU -, pour lequel la reconnaissance d'Israël, le renoncement à la violence et l'acceptation des accords passés entre l'Organisation de libération de la Palestine et l'Etat juif sont les conditions de toute solution». Eh oui ! Il s'agit là de préalables....De conditions. D'impératifs. Le Hamas ne les a en rien respectés.
Le Monde poursuit : « L'exacerbation des tensions, relancées par la privation de salaire des fonctionnaires palestiniens et le blocus imposé à la bande de Gaza, a entraîné de nouveaux affrontements inter-palestiniens meurtriers lors du week-end des 30 septembre et 1er octobre. Cette absence d'issue, après une montée continue des tensions depuis sept mois, est la parfaite recette pour provoquer une tragédie, hélas, programmée. » Oui. Mais à qui la faute ?
La paix ne sera possible entre Palestiniens et Israéliens que si l'on suit les principes que Sadate (assassiné par un Arabe) et Rabin (assassiné par un juif) avaient défendus devant les instances européennes, à Luxembourg, Bruxelles et Strasbourg : paix, démocratie authentique, marché commun régional. Nous en sommes loin, très loin. Et ça fait peur, très peur... Cette tragédie annoncée nous concerne directement, nous, les Français d'Europe... nous, les Européens de France.
Par A_Soued (A_Soued) le lundi 09 octobre 2006 - 17h40: |
Les prières les plus tonitruantes de la planète, à La Mecque
cliquez sur http://precaution.ch/wp/?p=191
vous serez édifié sur ce qu'on diffuse comme prière publique à la grande foule
albert
Par Claudia (Claudia) le lundi 09 octobre 2006 - 17h32: |
Assad : 'La Syrie est prête pour une guerre avec Israël'
Yael Ancri
Le Président syrien, Bachar El-Assad, a déclaré que son pays était prêt pour une guerre avec Israël. Dans une interview accordée au journal koweitien Al-Anba, il lui a été demandé si, après la guerre au Liban, la Syrie était prête le cas échéant à faire face à une agression israélienne et si elle était préparée à faire la guerre.
En réponse, le président a déclaré : "Au cours de l'attaque (israélienne) contre le Liban, l'opinion publique a fortement fait pression pour que nous luttions contre Israël et libérions le Golan. Nombreux sont ceux qui ont fait des suggestions dans ce sens, clairement et officieusement."
Selon Assad, son pays s'attend à une attaque israélienne : "Pour nous, la possibilité d'atteindre la paix ne dépend pas des circonstances, qui changent de temps en temps, c'est une principe fondamental. Cependant, malgré cela, nous nous préparons à une agression israélienne à tout moment. Nous savons tous qu'Israël est puissant sur le plan militaire et qu'il est soutenu par les Etats-Unis."
"Depuis qu'Ariel Sharon est monté au pouvoir, Israël a abandonné le processus de paix. L'élection de Sharon était un signe qu'Israël avait complètement abandonné le processus de paix et le gouvernement américain n'a fait que renforcé cette tendance. Par conséquent, de façon naturelle, nous ne nous attendons pas à ce qu'il y ait la paix et pensons qu'il aura peut-être même la guerre," a expliqué le président.
Assad a évoqué les plaintes libanaises accusant la Syrie de permettre les livraisons d'armes au Hezbollah. "Quand vous parlez de contrebande, vous devez comprendre qu'il s'agit cela arrive dans les deux directions, la contrebande ne se fait pas que d'un côté à l'autre. Les marchandises arrivent de chaque direction. Quiconque a besoin d'armes va là où il peut en acheter. Il y a de la contrebande en provenance d'Irak, du Liban et de partout. C'est un phénomène qui ne peut être arrêté," a-t-il indiqué.
En septembre, le président syrien a déclaré qu'il ne repoussait pas l'idée qu'une guerre éclate dans la région : "Cette option est envisageable, car Israël cherche comment sortir de la crise qu'il traverse depuis sa dernière aventure, pour pouvoir retrouver sa sécurité."
Assad a estimé qu'Israël pourrait attaquer la Syrie sous prétexte qu'elle aide l'Iran. Il a indiqué que la "Syrie résisterait, serait forte et ne se soumettrait jamais."
Mardi dernier, le Président Assad avait cependant indiqué qu'il croyait que la paix pourrait être réalisée avec Israël dans les six mois - si les négociations reprenaient là où elles avaient été interrompues.
Par Bazooka (Bazooka) le lundi 09 octobre 2006 - 17h28: |
Bly me ! Would the British scientists have bats in the belfry ? (Est ce que les chercheurs britanniques ont une araignee dans le plafond ?!)
Des equipes britanniques vont creer des embryons melant l'humain a l'animal
LE MONDE | 06.10.06 | 14h51
Dans son edition datee du jeudi 5 octobre, le quotidien britannique The Guardian revele que trois equipes britanniques de biologistes de renom s'appretent a creer, via la technique du clonage, des embryons chimeriques. Ceux-ci seraient obtenus a partir d'un noyau de cellule humaine place au sein d'un ovocyte de lapine ou de vache, prealablement enuclee. De tels embryons seraient dotes d'un materiel genetique pour l'essentiel humain (celui present dans le noyau de la cellule) associe a un soupcon d'ADN animal, present dans les mitochondries du cytoplasme de l'ovocyte.
La suite dans l'edition on-line du Monde d'aujourd'hui... ou peut-etre dans votre couveuse ou dans votre assiette d'ici quelques annees !
Par Bazooka (Bazooka) le lundi 09 octobre 2006 - 14h41: |
Le Vlaams Belang (parti d'extreme droite Flamand), laisse entendre qu'il accepte les voix de la communaute juive d'Anvers.
Les elections municipales a Anvers considerees comme un test en Belgique et en Europe pour l'ensemble des communautes juives.
Belgian rightist seeks Jewish allies
A far-right Belgian politician known for his antipathy toward Muslim immigrants called for an alliance with Jews in Antwerp.
Filip Dewinter, leader of Belgium’s Vlaams Belang, described the Jewish community as his allies “against the main enemy of the moment, the radical Islam, fundamentalism,” according to Britain’s Independent newspaper. Vlaams Belang is expected to win at least a third of the votes in local elections Sunday in Antwerp, where racist incidents again the Muslim population have been on the rise, as have anti-Israel activities.
Vlaams Belang was reformed several years ago after its anti-Islamic, anti-immigration rhetoric was declared illegal. Dewinter seeks to limit Muslim immigration and return immigrants to their countries of origin if they fail to integrate. Dewinter estimated that his party would get up to 35 percent of the Jewish vote in Antwerp. There are 15,000-20,000 Jews in the city, as well as 50,000 Muslims with ties to Morocco and Turkey.
www.jta.org
Par Email (Email) le lundi 09 octobre 2006 - 01h59: |
A l'occasion du 22e Festival International du Cinéma à Haifa, 2 grandes roues tournantes ont été montées sur la grande façade de l'Auditorium du "Centre Rappaport".
Ces statues, de 6 mètres et 4 mètres de diamètre, sont l'oeuvre de la fille d'un Harissien, Avraham Bar-Shay (Benattia) et de son mari. Elles font, à peu près un tour par minute.
Par Meyer (Meyer) le dimanche 08 octobre 2006 - 23h47: |
Images pendant la prière du Birkat Hacohanim sur la place du Kotel.