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CINEMA

Souvenirs, souvenirs: « Le Petit Blond de la Casbah »

L’Algérie et la famille sont quasi toujours au centre des films d’Alexandre Arcady, Le Petit Blond de la Casbah (qui adapte son roman autobiographique éponyme, publié en 2003) ne déroge pas à la règle. Alexandre Arcady revient sans cesse sur ce hiatus traumatique qui a marqué son enfance : le départ précipité, la perte des racines, le choc entre « la vie d’avant » et « la vie d’après » l’Algérie.

Le dernier des Juifs de Noé Debré

Bellisha a 27 ans et mène une vie de petit retraité, il va au café, fait le marché, flâne dans la cité…Il vit chez sa mère Giselle, qui sort très peu et à qui il fait croire qu'il est solidement intégré dans la vie active. Le vent tourne quand Giselle s'aperçoit qu'ils sont les derniers juifs de leur cité. Elle se convainc qu'il faut qu'ils partent eux-aussi. Bellisha n'en a pas très envie mais pour rassurer sa mère, il lui fait croire qu'il prépare leur départ.

Bradley Cooper prend finalement la parole au sujet de sa prothèse nasale dans « Maestro »

Bradley Cooper a décidé de sortir du silence au sujet de la fameuse prothèse de nez qu’il porte dans Maestro, son biopic consacré à Leonard Bernstein, et qui a tant fait polémique l’été dernier. Pour rappel, à la suite de la parution de la bande-annonce du film au mois d’août, de nombreuses personnalités juives avaient taxé l’acteur et cinéaste de s’être adonné à une « Jewface », lui-même n’étant pas juif.

Le poison de la vengeance : l’histoire vraie de justiciers juifs (Nakam) prêts à tout pour se venger des nazis ?

En 1945, en Allemagne, Max (August Diehl), rescapé du camp d’Auschwitz, trouve porte close quand il tente de rentrer chez lui. Et pour cause, le voisin qui l’a dénoncé comme étant juif s’est accaparé sa maison. Dans [ Le poison de la vengeance, il est question d’une volonté de réparer une injustice mondiale.

Elie Chouraqui : "La grande aventure quand j'étais petit, c'était de venir marcher sur les Planches"

"Pour moi, fouler ces Planches de Deauville, c'était comme monter les marches du Festival de Cannes, se souvient Elie Chouraqui. Il y avait quelque chose de mystérieux autour des Planches : je me disais que j'allais y rencontrer des gens extraordinaires, voire des choses que je ne verrais nulle part ailleurs". Ainsi le réalisateur dépeint-il le Deauville de son enfance, le sourire aux lèvres.