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CULTURE MEDITERRANENNE et 7 IEME ART 


   

 Un livre, un festival , des films en DVD pour aborder ce sujet

     ***CINEMAS DE LA MEDITERRANEE , CINEMA DE LA MELANCOLIE de Raphaël Millet                                

 Edition L’Harmattan 2002

 

 

 

                                                   Si l’on montrait la carte de la Méditerranée au travers le cinéma, en relisant par les films son histoire, cette histoire si mouvementée, si interpellée qui connut ses frustrations, ses peines et ses guerres ,rendant mélancoliques ces cinéastes si empreints de leur culture. Cette Méditerranée peut elle se résumer simplement par son cinéma ? la mélancolie si présente dans leurs œuvres est elle une caractéristique  de leurs habitants ? . Cette tristesse, ce pessimiste est pourtant compréhensible dans ces sociétés qui phagocytent au gré de leurs lois et de leurs coutumes ceux qui y vivent. Le cinéma Méditerranéen n’est pas un mais plusieurs, plusieurs cris, plusieurs révoltes , plusieurs dégoûts engendrant cette humeur appelée mélancolie. Ces cinémas  fragiles par manque  financier, modestes par leur courage contenu  , peu entendus du fait de leurs mauvaises et  faibles diffusions, ont ils raison d’êtres si ce n’est témoigner de leur identité de leur mal de vivre ?

                                         Raphaël Millet tente d’approcher de comprendre, de reconnaître, de faire connaître ces cinéastes marginaux , s’attachant à chaque pays, à chaque auteur significatif et dévoilant un à peu ces malaises et ces joies qui perdurent . Il nous présente le cinéma libanais qui renaît de ses cendres, nous parle de ces « rivages saccagés, visages ravagés, et paysages défigurés » nous présente tour à tour le cinéma israélien et ses desperados

Comme Amos Gitai , franc tireur israélien  à la pensée peu commune , le cinéma  égyptien avec la méconnue Ateyyat Al  Abnouby documentariste depuis deux décennies, le cinéma libanais avec la prolifique Jocelyn Saaab et le cinéma algérien avec Djamila Saharoui .  Ces cinéastes soulignent le rôle proéminent des femmes  qui apportent un nouveau ton, des nouvelles questions allant jusqu’à casser des tabous ,une nouvelle implication .

Le cinéma méditerranéen étonne, détonne , en fait parfois des tonnes , mais reste une des plus fortes mémoires vivantes, il demeure plus  novateur , pertinent et dénonciateur que des cinémas nationaux, populaires car par moment trop étouffé, trop local avec sa difficulté à s’exporter. L’auteur s’évertue à citer les éléments de la nature ,des mouvements philosophiques et des citations pour mieux véhiculer ses idées et mieux nous expliquer ces mouvances du cinémas qui existent et s’éteignent aussitôt : « Tout ce qui commence à prendre forme, se retire »  lance t-il . La Méditerranée n’est elle pas la plus forte car elle nous résiste par son gigantisme géographique, par l’ampleur de ses problèmes , par sa nonchalance jamais passéiste, par ses créations cinématographiques furtives, sur sa quête à raviver la mémoire oubliée, par ses structures étouffantes due à une censure vigilante et à une emprise politico religieuse sur elle. Ce livre qui réhabilite , ravive un passé cinématographique , d’honorer des cinéastes déracinés et de revendiquer un cinéma qui se libère.

 

 

                               

 

                                            ****  CINEMA ITALIEN  en DVD  Editions Opening Novembre 2002

 

 

 

1)       « L’homme aux 100 visages »  et « Valse d’amour  » 1959 et 1990 de Dino Risi  (réunis dans le même dvd)

 

 

 

                                            Le premier film dont le titre original est « Il mattamore » conte la vie de Génaro (Victorio Gassman) un petit escroc qui vit de combines plus ou moins fructueuses. De ses débuts d’acteurs, il a gardé le goût du déguisement pour mieux tromper ses victimes, ce qui nous donne un éventail du talent de Gassman. Il connaîtra la prison et l’amour. Le film commence quand ce nouveau couple aura un visiteur escroc vite démasqué par Gennaro et avec qui il racontera ses aventures rocambolesques, mais l’invité improviste est –il vraiment un escroc ?

                                 La comédie italienne dans toute sa splendeur avec le plus représentatif de ses comédiens (1) . le scénario est inventif, les scènes sont désopilantes et le ton du film reste à l’avenant. Le film correspond à une décennie faste financièrement et cinématographiquement  ; les meilleurs films furent tournées entre 1960 et 1070  environ. L’italien , un des symboles méditerranéen nous apparaît comme un, un charmeur  festif , un hâbleur parfois et un être cynique aigrefin, baratineur. Cette première rencontre entre le comédien et le réalisateur allait donner plus de 15 films dont certains inoubliables (2)

                                 ----------------------------------------------------------------------------

                                Le second film marquât la fin de leur longue et productive collaboration et correspondait à une période de crise en Italie ; le cinéma s’affaiblissait. Vittorio Gassman joue ici le rôle d’un directeur de banques qui a passé 10 ans dans un hôpital psychiatrique . de retour chez lui ; il y trouve sa  bru (Dominique Sanda) son amant ainsi que  deux petites filles dont la sienne. Avec cette dernière va se nouer une histoire d’amour, faite de complicité et de respect ; deux valeurs qu’il ne retrouve plus avec les siens. D’ailleurs ceux ci veulent l’interner à nouveau.

                             Trente ans après Risi peint une société malade, des familles décomposées et un entourage hostile et intolérant. l’Italie a davantage de maux, elle est moribonde et affaiblie comme son cinéma et défait comme les personnages du film. Le ton n’est plus à l’extravagance, malgré quelques séquences empreintes de délire, il est devenu grave depuis quelques années et amer ; regards négatifs que seule peut être la nouvelle génération (ici la petite fille) allait rénover. Le film poursuit néanmoins sa tradition  en restant fidèle à ce qui fit ses beaux jours : un appétit incommensurable d’exister

 

 

(1)     avec A.Sordi, U.tognazzi, Nino Manfredi, M.Mastroïanni

(2)     « Les monstres » «  Le fanfaron » et « Parfum de femme » entre autres

 

 

 

2)       « Les hors la loi du mariage » et « Saint Michel avait un coq » 1963 et  1971 de Paolo  & Vittorio Taviani

                                                                                                                                          (réunis dans le même dvd)

 

 

                        En 1963,  en Italie, il n’existait de loi sur le divorce, seules quelques situations exceptionnelles permettaient de le faire. Ce sont ces cas de force majeure que les frères Taviani assistés de Valentino Orsini évoquent : en cas de séparation de fait ou de corps , d’abandon de domicile d’une durée minimale de 15 ans, d’atteinte à la vie de l’autre, ou de maladie incurable comme la folie. Cela donne cinq sketchs sur cette loi aberrante que les auteurs dénoncent de façon virulente, en montrant les contradictions et le poids insupportable du conjoint parfois obligé comme dans l’épisode avec Ugo Tognazzi de prouver la mort de son épouse devenue religieuse, de ceux veufs qui doivent se cacher pour aimer au risque de se mettre à dos une société puritaine. Réquisitoire violent contre cet état de fait, peinture sans concession d’une société hypocrite ; du cinéma mature, subversif et contestataire comme nous avions aimé. Plus tard les deux frères donneront des œuvres comme « Padré Padrone » Palme d’or à Cannes

                       Presqu’une décennie sépare « Saint Michel avait un coq » du précédent et les années passées n’ont point altérer le regard critique des cinéastes, bien au contraire il a gardé une virulence et une analyse pertinente. L’histoire remonte à la fin du 19 ème siècle, l’anarchiste Giulo Raniéri (Giulo Broglie) à la suite d’un mouvement révolutionnaire avorté où il y a eu mort d’homme se retrouve successivement condamné à mort puis à réclusion à perpétuité. La seule solution pour éviter l’enfermement moral et la folie est d’organiser ses journées par des occupations avec des faibles moyens : il mime des réunions , donne des cours de géométrie, réinvente ses repas, fait des exercices physiques ; il lutte pour garder une lucidité permanente. Au bout de 10 ans le gouvernement le change de prison, durant le trajet il croisera  des camarades , cette rencontre changera sa destinée. Peut –on enfermer un esprit libre se demande les auteurs qui s’inspirent d’une nouvelle de Tolstoï

« Le divin et l’humain »l’idéologie de leur héros n’est –il pas un leurre, sa lutte révolutionnaire correspond t-elle à la réalité, quels sont les moyens pour affirmer sa liberté. Une œuvre mature sur un très beau sujet malgré un ton trop didactique et académique qui est un des films les plus importants du cinéma politique italien.

 

 

3) « Sous le signe du scorpion » et « Allonsanfan » 1969 et 1974 des frères Taviani  (réunis dans le même dvd)

 

 

 

                                       « Sous le signe du scorpion » narre l’histoire d’un groupe d’hommes rescapés d’une éruption volcanique qui débarquent sur une autre île que la leur et tentent des relations avec les autochtones. Ils cherchent à les convaincre de revenir sur le continent dévasté.

                                      Cette approche de deux groupes antagonistes , reflet d’une société italienne éclatée se veut une morale, une démonstration - parfois pesante - de la vie communautaire et nous invite à la réflexion. Mais la forme du film peut ne pas emporter, car trop déroutante , l’adhésion totale malgré la qualité intrinsèque de son contenu. Contenu moins déconcertant et plus politisé dans leurs œuvres suivantes. Mais le cinéma politique européen étant à cette époque une rare denrée, mieux vaut ce genre d’exercice à aucun.

                                        Allonsanfan fut tourné après « saint Michel avait un coq » poursuit les mêmes réflexions avec autant de grandeur si ce n’est plus : l’utopie, l’échec avec un élément nouveau la fatigue , l’abandon , la traîtrise du héros. Nous sommes en 1816, Fluvio Imbrani issu de l’aristocratie , officier sous Robespierre, exilé jacobin, accusé de vouloir réorganiser la secte secrète des Frères Sublimes (1) est libéré traînant un passé inventé de dénonciateur. Il retourne dans la demeure familiale pour s’essayer à une vie nouvelle et stoppé ses ambitions qui l’ont menées à l’engagement politique. Mais le passé par le retour de sa femme et de ses amis va modifier son choix et Fluvio n’est plus le révolutionnaire d’antan.

                                Les frères Taviani se veulent interrogateurs sur l’Italie moderne au travers cette histoire d’engagement et de désistement. Ils mettent tous leurs moyens artistiques pour appuyer leurs causes : œuvre romanesque et romantique, images soignées et léchées , jeu des couleurs, musique omniprésente de Ennio Morricone mélangée avec des airs folkloriques et populaires. Un film politique d’une grande ampleur qui est un des fleurons de la décennie 70

 

(1) carbonari disciples de Babeuf(révolutionnaire français qui conspira contre le directoireet dont la doctrine se rapproche du communisme )et Buonarroti (disciple et biographe du précédent)

 

 

3)       « Mamma Roma » et « Carnets de notes pour une orestie africaine » 1962 & 1969 de Pier Paolo Pasolini

                                                                                                                  (réunis dans le même dvd)

 

 

                    La grande actrice Anna Magnani incarne ce personnage haut en couleurs et bas en noirceur : Mamma Roma une ex prostituée qui décide de ramener son fils à Rome pour y réussir. Mais le rejeton qui  ne l’entend guère de cette manière , poursuit son chemin seul .Abandonné par son père et apprenant l’ancien métier de sa mère l’équilibre de l’enfant sera perturbé.

                  Le traitement du film dépasse la construction de l’histoire , non point négligeable pour autant, mais Pasolini  mystique chrétien fouille l’âme humaine pour en retirer la quintessence et développer l’aspect religieux de son œuvre : le début du film montrant un mariage s’assimile à la cène biblique et le final : l’enfant attaché à une représentation christique et à un développement du thème de la Rédemption. Pasolini filme comme Eisenstein  privilégiant la blancheur des visages par un éclairage naturel vif et la pureté des êtres par des images immobiles. Son film représente l’amorce d’un travail, d’une recherche esthétique et morale  pour dénoncer les interprétations faussées d’une religion et d’une société qu’ils rend responsables de l’avenir de son héros, la ville devient coupable  par les agressions qu’elle engendrent par intolérance. Pasolini  iconoclaste reste un chrétien déchiré pas toujours compris , souvent décrié et parfois reconnu. Il reste un des cinéastes les plus libres et les plus originaux de cette période.

                     Son carnet de notes  est la tentative de récréer l’ Oreste d’Eschyle sur une terre africaine Il se tourne vers se continent pour mieux comprendre l’histoire contemporaine de l’Afrique et les reflets de son hypothétique adaptation littéraire. Pasolini montre que les thèmes de la tragédie grecque persistent encore dans cette déchirée

, que la mort, le deuil , les massacres que sont que des répétitions de L’Histoire (Le Biafra), qu’une démocratie naissante possède toujours ses problèmes infinis(Colonialisme et démocratie) .Son regard virulent donne à ce documentaire une puissance exceptionnelle difficile de séparer de ses œuvres futures.

 

 (5)Viva l’Italia    1960    de Roberto Rossellini      

(6) Anno Uno  et   Onze fioretti de Saint Francoise d’Assise   1974 &1960  De Roberto Rossellini       

                                                                                                                  (réunis dans le même dvd)

 

 

                               Avec ses deux films politiques qui sont ses moins connus , Rossellini ausculte l’histoire de son pays . Il nous rappelle l’effondrement des frontières grâce au fameux Garibaldi , ce patriote qui lutta pour l’unification de l’Italie en 1860 dans « Viva l’Italia », la reconstruction en 1945  par le démocrate chrétien A de Gaspéri. Il trace deux portraits d’hommes combattants pour une idéologie séparé des intérêts politiques. Rossellini  nous donne deux œuvres politiques, parfois pesantes et ennuyeuses mais aussi convaincantes et passionnées qui vit un des maîtres du cinéma italien  se tourner vers la fin de sa carrière, faute d’écoute, vers la télévision. Outre les choix politiques il eut aussi son regard sur le christianisme qui motiva  son œuvre, comme dans « Onze fioretti de Saint Francoise d’Assise » une œuvre épurée qui raconte avec simplicité onze moments de la vie du fondateur de l’ordre des franciscains. Nous pouvons que cautionner l’avis d’André Bazin qui qui disait que cet auteur «  est néo-réaliste dans son film qui illustre une réalité purement spirituelle »Rossellini reste un auteur à redécouvrir.

 

 

 

7)       l’incompris de Luigi Comencini 1967

 

 

 

                       Sir Duncombe (Anthony Quale) consul de grande Bretagne en Italie, vient de perdre son épouse.IL a deux enfants Milo six ans, petit garçon espiègle qui croit sa mère partie en voyage et Andréa onze ans enfant mature qui comprend avant qu’on lui dise le décès de sa mère. Son indifférence devant la triste nouvelle passe pour de l’indifférence aux yeux du père. Dès lors entre les deux va se dérouler une relation difficile, qu’ Andréa enfant sensible va vivre difficilement et qui le plongera dans un grand désarroi d’autant plus que la préférence affective de son géniteur pour son frère va en grandissant.

                      Film d’amour non déclaré d’un enfant à son père, l’incompris est une œuvre émouvante qui tente avec succès d’explorer l’âme enfantine, film sur l’aveuglement d’un père qui se retrouve à doubler d’attention et

d’amour subitement – son métier lui en donnait pas autant l’occasion -en l’absence de celle qui les prodiguait .

                      Luigi Comencini est un cinéaste déroutant capable du pire (pain amour et jalousie, Don Camillo en Russie ) comme du meilleur (Casanova, l’argent de la vieille), son film confirme qu’il possède un regard attentif,

Humain sur l’enfance, ce monde qu’il sut si bien peindre (Pinocchio).

 

 

                                   **** FESTIVAL MEDITERRANEEN    Bruxelles 28 novembre  au  7 décembre 2002

 

 

TUNISIE :  «  Fatma » De Khaled Ghorbal

                                   Portrait de femme moderne dans la société tunisienne

                 «  Poupées d’Argile » de Nouri  Bouzid

                                   Destin des enfants sacrifiés

                 «  Satin rouge » de Raja Amari (déjà traité dans nos rubriques cinéma)

                                  L’image sacralisée de la mère

 

PALESTINE : « Le mariage de Rana » de Rachid Masharawi

                                           Parcours d’une femme qui refuse le prétendant choisi dans un pays chaotique

                         « Un ticket pour Jérusalem » de Rachid Masharawi

                                                     Les rapports tendus d’un  couple

 

EGYPTE  « El médina » de Yousry Nasrallah

                                         La solitude de l’exil

 

MAROC : « Et après » de Mohamed Ismail

                                         « L’immigration clandestine est –elle une illusion »

                 « Leila » de Gabriel Axel

                                        Nouvelle version de Roméo et Juliette

                 «  Mona Saber » de Abdelhaï Laraki

                                       Une jeune femme recherche son vrai père dans le Maroc d’aujourd’hui

                 « Soif » de Saad Chraïbi

                                      La vie d’un village et de ses gens

                 «  Une histoire d’amour » de Hakim Noury

                                    Une prostituée peut elle aimer ?

 

ISRAEL :  «  Bombes humaines » de Serge Gordey et Ilan Ziv

                                     Le phénomène des attentats suicides

                   « Desesperado square » de Benny Torati  (déjà traité dans nos rubriques cinéma)

                                    Un film introuvable met la discorde dans le seul cinéma d’un village

                      « Gaza, l’enfermement » de Ram Loevy  (déjà traité dans nos rubriques cinéma)

                                    « frustation et misère des Palestiniens »

                  « Kedma » 2002 de Amos Gitaï

                                     La venue d’émigrants en 1948 sur la Terre Sainte

                   « Mariage Tardif » de Dover Kosashvili  (déjà traité dans nos rubriques cinéma)

                                     Vision critique sur la société patriarcale israélienne

                  « Promesses » Documentaire de B.Z. Goldberg, Justine Shapiro, Carlos Bolado

                                                                          (déjà traité dans nos rubriques cinéma)

                                      Regards des enfants sur le conflit du Moyen Orient

 

TURQUIE  « Confessions » de Zeki Demirkubuz – 2002

                                        L’adultère et sa douleur

                   « Vizontele » - Fiction de Yilmaz Erdogan et Omar Faruk Sorak

                                       L’arrivée de la télévision dans un petit village

 

GRECE  « Histoires méditerranéennes » - Documentaire de Stelios Haralambopoulos – 2000

                                    Ces habitudes alimentaires et culturelles communes à beaucoup de nations

               « Only journey of this life » Fiction de Lakis Papastathis – 2001

                                  Les difficultés d’un écrivain à réunir toute sa mémoire dans son autobiographie

 

ALBANIE  « Slogans » de Gjergj Xhuvani – 2001

                                  En pleine dictature communiste en 70, un jeune maître tente d’enseigner

                   « Tirana,An Zéro » de Fatmir Koçi – 2001

                                 Portait de l’Albanie actuelle sur fond d’immigration

 

MACEDOINE  « Destin » Court métrage documentaire de Sefer Musliu – 2001

                        L’attachement à la terre de Maria née de père juif hongrois dans un village déserté

 

BOSNIE « No Man’s land » - Fiction de Danis Tanovic – 2001 (sortie sur les écrans)

                          Trois soldats ,deux bosniaques et un serbe sont bloqués dans une même tranchée

 

Italie   « Iris » Fiction de Aurelio Grimaldi – 2000

                         Une histoire d’amour d’une petite fille pour sa mère

 

           « Je brûle dans le vent / Brucio Nel Vento »  Fiction de Silvio Soldini – 2001

                        « Solitude, rédemption par l’amour seconde chance »

 

ALGERIE «  Chemin de Traverse » Court métrage de fiction de Malika Tenfiche – 2001

                         Une mère et une fille tente de renouer un dialogue

                  « Des vacances malgré tout »  Documentaire de Malek Bensmaïl – 2001

                                 la perception de l’Algérie par des algériens en exil

                  « Inch'Allah Dimanche » Fiction de Yamina Benguigui – 2001

                               l’intégration difficile d’une jeune femme algérienne

                  «  L'Autre monde » Fiction de Merzak Allouache – 2001

« La situation de l’Algérie d’aujourd’hui , à travers une fiction qui ne sera pas facilement acceptée»

                  « Rachida » Fiction de Yamina Bachir-Chouikh – 2002

                                 « Le sort des femmes dans l’Algérie à la fin des années 90 »

 

Espagne    « El Bola » Fiction de Achero Mañas - 2000 90'

                                  Un enfant marginal retrouve goût à la vie grâce à un camarade

                 «  Hombres Felices / Des Hommes Heureux » Fiction de Roberto Santiago – 2001

                                   les rapports hommes femmes dans un pays latin machiste           

 

France      « Au temps du Ramadan » Documentaire de Mustapha Hasnaoui – 2001

                                  Identité culturelle et intégration

                 « Fille de Keltoum (La) / Bent Keltoum » Fiction de Mehdi Charef – 2002

                                 La recherche de ses racines d’une jeune femme maghrébine et suissesse              

                 «  Frontières » Fiction de Mostéfa Djadjam – 2000

                                visite de l’immigration africaine

                 « Histoires de vies brisées » Documentaire de Bertrand Tavernier – 2001

                               Le droit et la reconnaissance des étrangers

                « Le Caire, mère et fils » France/Tunisie - Documentaire de Mustapha Hasnaoui – 2000

                             Les retrouvailles d’une mère et d’un fils en rupture avec son milieu social

                « Les Diables » Fiction de Christophe Ruggia – 2001 (déjà traité dans nos rubriques cinéma)

                            l’enfance troublante de deux adolescents déracinés

                « Loin » de André Techiné 2001

                            Trois personnages confrontent leurs vies dans la ville mythique de Tanger

 

Belgique « Au delà de Gibraltar » Fiction de Taylan Barman et Mourad Boucif – 2001

                             Un jeune marocain est confronté à sa culture par ses choix contraires

                « Carnet de notes à deux voix » Documentaire de Rajae Essefiani et Frédéric Fichefet – 2002

                            deux jeunes maghrébins tentent de donner une autre vision de l’immigration en Belgique

                « C'est notre pays pour toujours » Documentaire de Marie-Hélène Massin – 2002

                          la participation au pouvoir par des originaires du Maghreb

               «  El Batalett - Femmes de la Médina » Belg/ France/Maroc – Doc. de Dalila Ennadre – 2001

                        Le voile levé sur le statut des femmes marocaines

               « Ninos » Documentaire de José Luis Peñafuerte – 2001

                         Les oubliés de la guerre d’Espagne : les enfants exilés

 

LIBAN   « Aux frontières » Liban/France/Belgique - Documentaire de Danielle Arbid – 2002

                                         Le traumatisme de la guerre dans une société meurtrie

              « Quand Maryam s'est dévoilée » Fiction d'Assad Fouladkar – 2001

                                          Une femme stérile est répudiée par son mari

               « Seule avec la guerre » Liban /France/ Belgique - Documentaire de Danielle Arbid – 2000

                                         Portrait d’une ville sortant de 15 ans de guerre

               « Si proche si loin » Documentaire d'Eliane Raheb – 2002

                                        Les éclaboussures de la guerre civile

 

 ROGER CHEMOUNI

                                           


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