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KANDIL |
Photo de kandil - Collection Freddy Galula
Je pense que le mot kandil vient de l'italien candela qui veut dire bougie ou cierge.
Meyer
Je ne pense pas que le
mot KANDIL vient de la langue hebraique.
Kandil en judeo-arabe designe les veilleuse que nos parents faisait dans un
verre rempli au trois quart d'eau et d'environ deux centimetres d'huile
d'olive, et une petite meche en coton.
Ces KANDILS etait allumes les vendredi soir en faisant une benediction. Ils
sont remplaces aujourdhui par les bougies du SHABAT.
Ils etait aussi allumes lors des veilles de fetes, pour les memoires des
defunts, des rabbins, et lors des pelerinages.
Ces Kandils en grands formats reposants sur des socles verticaux ou etait
marques sur plaque d'argent les noms des defunts ainsi que la date de deces,
ornaient pratiquement tous les murs des synaguogues de Tunisie.
Ces pratiques sont presques revolus de nos jours.
Victor Cohen
Le Quandil (avec un qof et non pas un
kaf)
Tout le monde a raison, mais un complément s’impose.
Le Quandil est bien une veilleuse, plutôt un lumignon.
Il y en a plusieurs, en fonction de la personne que l’on veut vénérer.
Commençons par une personne décédée.
Pendant la première année qui suit son décès, on allume une veilleuse,
tous les jours, à la maison.
Cette veilleuse est souvent composée d’un verre, parfois ciselé ; on y
verse de l’eau aux trois-quarts, deux doigts d’huile, et on fabrique une mèche
en coton, dite ââwama.
En principe, cette veilleuse reste allumée tout le temps.
Une fois l’année écoulée, on fait fabriquer un lumignon, plus grand, plus
beau, ce sont souvent de véritables objets d’art.
On le fait transporter à la synagogue.
Ces lumignons sont allumés par le responsable (Shamash) ou par la famille,
avant l’entrée du Shabath, le vendredi.
Il y avait des familles, qui alimentaient la synagogue en huile, pour le
Qandil d’un membre de leur famille ou pour les Qnadel (pluriel) de défunts
de familles nécessiteuses.
Le deuxième Qandil est allumé le vendredi soir avant Shabath et gardé à la
maison, en vénération d’un saint.
Ma grand-mère n’oublie jamais d’allumer «l’ââwama» pour Rebbi Miyer
bââl ha nesh ou pour Rebbi Fraji.
Yossi Matalon
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