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LE WEB DES JUIFS TUNISIENS

 

RABBI MESSAOUD ELFASSY

PAR 

RUBEN CORCOS


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Originaire de la ville de Fez ; on raconte qu’il voulait comme Rabbi Chimon LAVI (auteur du pizmon BAR YOHAÏ) et Rabbi Aron PEREZ se rendre à JERUSALEM et en route ils décidèrent de créer des centres d’étude : Rabbi Messaoud ELFASSI à Tunis ; Rabbi Aron PEREZ à Djerba et Rabbi Chimon LAVI à Tripoli en Libye.

Rabbi M. Elfassi voyageait dans une caravane qui traversait le désert et le vendredi après midi il refusa de poursuive le voyage pour ne pas transgresser le Chabbat.(ses compagnons de voyage poursuivirent le voyage et lui et son servant se retrouvèrent en plein désert. Il traça un grand cercle autour d’eux pour fixer un domaine et s’installèrent pour le chabbat ; la nuit un lion s’approcha, mais ne put dépasser la ligne tracée. A la sortie du chabbat , ils montèrent sur le lion et arrivèrent à Tunis avant la caravane.

Avec ses deux fils CHLOMO et HAÏM ils compilèrent un livre épais et important sur des questions de Halakha qui leur parvenaient de tout le Magreb. Leur livre MICHKHADERABOUTA sont les initiales de MESSAOUD – CHLOMO – HAÏM . Rabbi Messaoud Elfassi était aussi un. … . .maître du Nistar (c’est à dire la partie cachée, ésotérique de la Thora).

R. M. ELFASSI fut Grand Rabbin de Tunisie ; il fut réveillé un soir par un rêve et en plein milieu de la nuit il dit à son fils Chlomo « cette nuit dans mon rêve j’ai vu l’âme du ARIZAL (Rabbi ITSHAK LOURIA) , grand maître de la kabale, guilgoul de Rabbi CHIMON BAR YOHAÏ ? qui s’apprête à descendre sur cette terre en la personne d’un bébé sur le point de naître. (Pour ceux d’entre vous qui se pose encore la question qu’est-ce qu’un kabaliste vous avez là un élément de réponse). Allons accueillir cette âme sainte. Ils se hâtèrent et R. M. Elfassi alla bénir l’accouchée et lui promit son aide pour l’enfant. L’enfant fut nommé YOCHOUAil devint plus tard un maître Rabbi YOCHOUA BESSIS. Un jour arriva à Tunis un émissaire du kollel de JERUSALEM pour recueillir des dons ; il fut l’hôte du caîd (chef de la communauté juive ) qui lui demanda de lui rédiger une amulette. Dès qu’il la termina, le caîd prit l’amulette et la montra à R. M. Elfassi pour vérifier si elle était conforme. Rabbi Messaoud fit venir le jeune Yochoua et lui demanda son avis. Le jeune Yochoua l’examina et dit qu’il y avait des erreurs dans l’emplacement et la position des anges. Voici la correction à y apporter. L’émissaire comprit ses erreurs et s’étonna qu’un jeune étudiant puisse avoir une connaissance supérieure à la sienne en matière de kabala.

Il y avait du temps où il vivait à Fez une jeune fille, fille de Talmid Hakham que les parents voulaient marier. Ils lui trouvèrent un hatane, fixèrent le jour du mariage mais le hatane mourut le jour du mariage. Il en fut de même pour le deuxième et le troisième mari. La fille retourna chez ses parents très affligée. Rabbi Messaoud dit à un de ses élèves c’est toi qui va l’épouser. Le jeune étudiant fut pris de panique, mais le rabbin lui dit : « Tu n’a rien à craindre, car c’est ton zivoug (c’est à dire ta moitié) épouse la lui dit le rabbin et tu vivras jusqu’à 120 ans. La famille voulut l’en dissuader, mais ils finirent par fixer la date de la khoupa. Rabbi Messaoud bénit lui-même le couple. Les 7 jours se passèrent et tout allait très bien. Le marié ouvrit une boutique et s’enrichit. Il fit un voyage pour aller acheter de la marchandise et il prit le bateau. La mer fut très agitée et l’embarcation fut très maltraitée, tous les voyageurs pensaient que la vague fatale approchait, l’élève se rappela la bénédiction du maître Elfassi , il adressa alors sa prière à D’ : « Maître du monde, ton bien aimé Rabbi Messaoud Elfassy m’a promis de vivre jusqu’à 120 ans, sauve moi de la mort ». La mer se calma instantanément, il retourna chez lui et vécu jusqu’à. . .. .120 ans.

Son fils Chlomo fut AV BETH-DINE à Tunis. Ses qualités étaient : kedoucha – hessed – simplicité ; il subit des souffrances physiques, connut la pauvreté sans se plaindre et il perdit ses enfants. R. OUZIEL ELHAIK qui était son élève comparait ses souffrances à ceux du MACHIAH.

Dans les synagogues de rite tunisien ; à l’office de kipour , lors de la prière de la hazkara « souvenirs des saints » pour qu’ils interviennent en notre faveur, Rabbi MESSAOUD ELFASSI ? Rabbi CHLOMO et Rabbi HAÏM sont parmi les premiers.

Né dans une famille de rabbins en 1743, il se distingue dès son jeune âge par son savoir et son intelligence ; érudit en Talmud et évoluant aisément dans le zohar.

Fils unique, Rabbi Haï TAÏEB habitait avec sa mère et passait de longues heures à étudier le Talmud et la Kabale. Il avait l’habitude de noter ses commentaires sur des feuilles qui traînaient aux quatre coins de sa chambre.

Sa mère pensait qu’elles n’avaient aucune utilité ou peut-être craignait-elle pour la santé psychique de son fils et elle les brûla par inadvertance. Vu d’en haut l’explication est la suivante : On dit qu’un jour, alors qu’il était plogé dans une « souguia » il décida d’arrêter son étude pour reprendre plus tard, et c’est à cette négligence que serait due la destruction de ses écrits. Un livre fut quand même sauvé et édité : « HELEV HITIM » mais depuis il se mit à la boisson forte (à la boukha en l’occurrence).

Des contes et des légendes ne manquent pas sur les nissims et niflaots qu’il accomplit.

$. Il y avait à Tunis un riche commerçant qui réunissait chez lui chaque année un minian pour lire le « Tikoun de Chavouot » et le matin il préparait un repas copieux et offrait des cadeaux à ses invités. Il eut un revers de fortune et pour continuer ce « minhag » (cette habitude) il alla vendre les bijoux de sa femme ; au retour il rencontra Rabbi H. TAÏEB qui lui demanda de l’argent et ne put lui refuser.

En rentrant chez lui, il rencontra un émissaire du Bey qui lui dit : « Le Bey veut un service à café en faïence qui coûte très cher, pour boire le café avec ses ministres ».Impossible de trouver ce modèle au marché.

Le juif continua sa route et voilà qu’il rencontre un marchand qui lui dit : j’ai dans ma réserve un service à café , je ne sais qu’en faire, prend le à n’importe quel prix. Il retourna alors chez le Bey et lui vendit le service à café à prix d’or. Au retour, il rencontra le Rabbin H. TAÏEB qui lui dit : Quelle était meilleure, la somme que tu m’as donné ou celle que tu as reçu du Bey. Le rabbin le bénit et depuis ce jour il s’enrichit.

$. Il y eut un jour une sécheresse en Tunisie et la communauté décréta un jour de jeune (sans consulter le Rabin H. TAÏEB) . Le matin du jeune , le rabbin demanda un café à sa femme ; n’as-tu pas entendu que la communauté a décrété un jour de jeune ? Prépare le café lui dit-elle la pluie va tomber. Connaissant son mari, elle prépara le café. La pluie commença à tomber. Mais la pluie tombait trop dru. «   Maître du monde fait tomber une pluie de BERAKHA ». Le jeune fut annulé et chacun rentra joyeux chez lui.

$. Le voisin de R.H Taïeb qui était non juif, avait entendu le rabbin parler avec le Maître du monde, il voulut vite changer de voisinage ; argument donné au propriétaire :

Il parle avec le Créateur comme à son ami ; d’abord donne la pluie, ensuite une pluie douce, si demain il se fâche avec moi il peut me mettre à mort. La nouvelle parvint à R.H.T qui lui dit qu’il n’avait rien à craindre tant qu’il ne ferait pas de mal aux juifs.

$. On raconte que les Hakhamim d’Eteretz ISRAEL envoyèrent un kollelman à Tunis pour apprécier le niveau des rabbins de Tunisie. Dans son ROUAH HAKODECH

R.H.T alla recevoir au port l’envoyé. Il se présenta à lui comme « porteur ». Le lendemain à la synagogue, l’envoyé put se rendre compte des connaissances de R.H.T qui étaient d’un ordre supérieur. Il put donc apprécier d’une part de la valeur des Hakhamim de Tunisie, mais aussi de leur modestie et simplicité.

$. La servante de R.H.T. aimait tellement la vie qu’elle demanda à son maître une prière pour sa longévité. Le rabbin pria pour elle et lui assura qu’elle vivrait jusqu’à 120 ans. La vielle dame mourut à 110 ans ; elle avait renoncé à 10 ans de sa vie , demandant à D’ , d’offrir à son fils ces 10 années pour le sauver de la mort.

$. R.H.T fut un jour malade et s’absenta du BETH HAMIDRACH pendant trois semaine. Rabbi YOCHOUA BESSIS dit à ses élèves de ramasser de l’argent pour lui. Ils ramassèrent 50 pièces d’argent et allèrent chez lui pour les lui remettre. Arrivés chez le rabbin, ils s’aperçurent que celui-ci était guéri et qu’il se promenait dans la cour.

Ils se dirent : La moitié de la somme lui suffirait. Ils entrèrent chez le rabbin, prirent de ses nouvelles et lui remirent 25 pièces d’argent. R.H.T. les dévisagea et leur dit : Celui qui sort se promener dans sa cour doit-il perdre 25 pièces d’argent ? Les envoyés présentèrent leurs excuses et demandèrent au rabbin de les excuser pour leur conduite.

$. Le Rav H. Taïeb habitait près du notable Y. SILVERA

dont la femme était stérile et très chagrinée car son mari voulait épouser une autre femme pour procréer. R.H.T lui promit Qu’elle aurait un garçon l’année suivante. L’année écoulée elle eut un garçon. Le notable Silvera donna une grande fête et invita beaucoup de monde, dont le rabbin Y. BESSIS et un éminent émissaire de JERUSALEM. Ils organisèrent une table pour étudier le zohar ; mais la maîtresse de maison leur demanda de patienter jusqu’à l’arrivée de R.H.T.

soudain, un homme simple vêtu de haillons et de souliers rafistolés entra et tout le monde se leva. Le rabbin alla s’asseoir à côté de R. Y. BESSIS , se versa un verre de boukha, il mit les pieds sur la table et s’endormit. L’émissaire fut étonné et même vexé par la conduite de cet invité. Il exigea qu’on lui fit baisser les pieds de la table. Mais R. Y. BESSIS l’en dissuada. Ces paroles augmentèrent sa perplexité. Quelques instants plus tard le rabbin se réveilla et commença son étude avec le rabbin Bessis. L’émissaire fut stupéfait par cette intelligence et cette facilité avec laquelle ils passaient d’une séquence à une autre. IL sortit, leva les bras vers D’ « Maître du monde, donne moi autant d’intelligence que ces deux sages pour que je puisse étudier avec eux »

Il retourna à la réception R.H.T l’interpella « pour comprendre il te suffit de faire l’effort ». Avant de quitter Tunis l’émissaire embrassa les pieds de Rabbi Haï TAÏEB et alla jusqu’à prendre de la boue de ses chaussures qu’il emporta avec lui.

$. Pourquoi appelle-t-on Rabbi Haï TAÏEB « LO MET ? »

Car lorsque le rabbin décéda, le graveur de tombe voulut graver : « Décédé l’année. . . . » Le rabbin lui apparut le soir en rêve et voulut l’étrangler. « Que t’ai-je fait ? » « Comment écris-tu sur ma tombe mort ? » « Ne sais-tu pas que les tsadikim sont appelés vivants après leur mort ». Excuse-moi dit l’ouvrier. « Seulement si tu ajoute demain le préfixe (lo) non mort ». Et le rabbin disparut de son rêve. La correction fut bien sûr apportée dès le lendemain.

A Paris un des derniers bastions des juifs « tun » est la synagogue de Belleville « REBBI HAÏ TAÏEB LO MET ».

Rabbi YOCHOUA BESSIS fut un des plus grands rabbins de Judaïsme Tunisien du 19 ième siècle.

Un soir R. M. ELFASSI réveilla son fils et lui dit : Allons accueillir l’âme du ARIZAL qui descend cette nuit en la personne d’un bébé. Le rav ELFASSI bénit l’enfant et l’accouchée et promit à la mère de lui venir en aide.

$. On respecta Rabbi Y. BESSIS dès son jeune âge.

Un jour, arriva à Tunis un émissaire du Kollel de JERUSALEM. Il fut l’hôte du Caïd (chef de la communauté juive) Ce dernier lui demanda de lui écrire une amulette.

Lorsqu’il eut fini l’amulette il la remit au notable. Ce dernier la montra au rabbin ELFASSI pour vérification. Le rabbin fit venir son protégé Yochoua BESSIS qui l’examina : Il y a des erreurs dans l’emplacement des noms des anges et il y apporta la correction. L’émissaire perplexe comprit son erreur et s’étonna qu’un jeune élève puisse posséder une connaissance si profonde en kabala.

$. Avant d’occuper la fonction de Grand Rabbin R.Y. BESSIS ouvrit un commerce, mais ce n’était pas fait pour lui car son bon cœur entravait sa réussite. En 1847 le Rav BESSIS fut nommé Grand Rabbin de Tunisie.

$. De par sa fonction de Grand Rabbin il traita de plusieurs « responsa » en matière de Halakha. Il forma ainsi des dizaines de futurs rabbins qui vinrent renforcer la Rabbanout.

$. Cette situation évolua sous le protectorat français ; la légende raconte qu’il eut la vision qu’aurait l’influence de la culture française sur le judaïsme tunisien. Il se prononça contre l’action de l’alliance Israelite Universelle et pour cette raison, il dit au rav Chaoul Hacohen de Jerba de former de nombreux sages, ainsi la communauté de Jerba restera ferme dans sa spiritualité et émigra directement en Israel sans passer par la France. Il est curieux de noter qu’aujourd’hui c’est le réseau de l’Alliance Israélite Universelle qui sauvent les juifs de l’assimilation. Le monde a bien changé.

$. Le rav BESSIS était très aimé dans la communauté. Il était connu pour sa popularité et par sa modestie.

R. Y. BESSIS a vécu dans la première moitié du 19° siècle.

Les juifs étaient alors soumis à l’autorité des musulmans.

Un musulman était propriétaire d’une boucherie, il était anti-juif et il frappait tout juif qui passait devant sa boutique ; qui était située devant la synagogue et de ce fait il y avait toujours plusieurs victimes.

Un chabbat, R.Y.BESSIS rentrait chez lui après la prière du matin, l’arabe le remarqua et il se mit à sa poursuite dans l’intention de le frapper. Sans s’émouvoir R.Y. BESSIS le fixa dans les yeux et continua son chemin. L’arabe reprit sa poursuite et aussitôt apparurent des hommes du roi qui arrêtèrent l’arabe . L’arabe vit alors qu’à l’entrée de sa boucherie à la place d’un bœuf était suspendu le cadavre d’une femme. Les serviteurs du roi l’arrêtèrent sous prétexte qu’il vendait de la viande d’une femme que le boucher aurait égorgée. Le boucher supplia « je suis innocent. . .je suis innocent » je n’ai égorgé personne et je ne sais qui m’a joué cette farce. Il raconta qu’il haïssait les juifs et qu’il avait essayé de frapper le rabbin qui était passé devant son magasin. Comment as-tu osé porter atteinte à ce saint homme lui dit le roi ! Jette toi à ses pieds et implore son pardon. R.Y. BESSIS accorda son pardon à deux conditions : Que la boucherie face à la synagogue deviennent propriété des juifs et qu’elle soit transformée en synagogue. Et que le roi promulgua une loi interdisant d’offenser les juifs. Le roi fut très peiné d’apprendre que les musulmans offensaient les juifs et les traitaient avec cruauté et que cela changerait. C’est ainsi que les juifs connurent une période de tranquillité.

R.Y. BESSIS avait un jour demandé à son serviteur de lui apporter un verre de café. Celui-ci revint avec deux verres ; pourquoi deux verres demanda le rav ? « Je vous ai vu parler avec un sage qui était assis près de vous » Sil en est ainsi dit le rabbin Bessis tu as eu le mérite de le voir. Par cette réponse le rav signifiait à son serviteur qu’il avait eu le mérite de voir le prophète ELIE qui étudiait le Thora à ses côtés.

$. Un toit pour une souka :

Les juifs tunisiens recouvraient leurs soukots avec des branches de myrte que les arabes vendaient à bon marché. Une 

 année, ils décidèrent avec préméditation de faire grimper les prix (de 4 sous à 25 sous) Le vendeur leur dit vous ne trouverez pas moins cher au marché. Les juifs s’adressèrent à R.Y. BESSIS Il se rendit au marché, paya 25 sous la gerbe et dit au marchand de porter la gerbe sur sa terrasse. R.Y.BESSIS demanda à D’ de faire en sorte que ce vendeur monte au ciel afin que tous le voient et tremblent. Tous les arabes furent effrayés par ce prodige. Le roi dépêcha un carrosse pour faire venir R.Y.BESSIS. Le rabbin en exposa la raison ; l’homme qui « planait » se présenta et avouia la vérité, le roi se hâta alors de publier un manifeste fixant le prix de la gerbe à 2 sous. Les juifs célébrèrent la fête de soukot dans une joie particulière et ne cessèrent de raconter le prodige accompli par R.Y.BESSIS.

$. Une année, la situation économique se dégrada. La forte demande de céréales et de denrées entraîna une flambée des prix. Les dirigeants communautaires s’adressèrent au Rabbin BESSIS. A la stupéfaction générale, de son bâton il traça un cercle autour du souk ; alors on vit un prodige ! Dès que le Rabbin traça le cercle les prix commencèrent à baisser. Comment ? Pourquoi ? le rabbin leur expliqua : « selon la kabale, il arrive parfois que des forces du mal fassent apparition dans le monde. Ces écorces se renforcent et sont à l’origine de cette flambée de prix. Je suis sûr que vous avez mieux compris. Ces puissances impures ont pris l’aspect de marchands et ont provoqué la montée des prix. C’est pourquoi j’ai tracé un cercle autour du marché pour l’en protéger.

$. A partir de la mort de R.Y.BESSIS le respect de la Thora et des talmidé hakhamim s’amenuisa à Tunis .

$. Parmi les rabbins de cette dernière génération citons : RABBI HAÏM HOURI.

Une femme avait l’habitude d’allumer des bougies pour la HILLOULA de Rabbi Haïm HOURI décédé à Beersheva.

Quelques temps avant la guerre des 6 jours , elle vit en rêve le rabbin, qui éteignit sa bougie en lui disant : « Pour le moment, je n’ai pas le temps, car nous sommes tous sur les frontières à la défense d’ISRAEL » Rabbi HAÏM HOURI était du temps où il habitait à Jerba le délégué du KOLLELOUT RABBI MEÏR BAAL HANESS de TIBERIADE.

 


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