Arrêtons de parler politique pour quelques temps et parlons....d'autres
choses.
Alors un petit retour en arrière, si vous le voulez bien.
Vous souvenez-vous du concert des auditeurs à Radio TUNIS? Il y avait tellement d'incrits
pour dédier une chanson à un proche, que l'émission se résumait souvent, à l'audition
de deux chansons au maximum.
C'était l'époque d'une jeunesse dorée, insouciante, heureuse de vivre.
Nous ne pensions qu'à rire, nous amuser, aller au ciméma, organiser des
surprises-partie.
Qui se souvient de cette chanson?
Arrête, arrête ne me touche pas
Je t'en prie ai pitié de moi
Je ne peux plus te supporter
Avec une autre te partager
D'ailleurs demain tu te maries
Elle a de l'argent, elle est jolie
Et ça se termine par
Puisque, puisque c'est elle qui aura ton nom
Ce soir, ce soir moi je te dis non
Non! Non!
Si vous en connaissez d'autres, à vos crayons électroniques.
Nous pourrions également évoquer les chanteurs amateurs qui ont fait les belles nuits
d'été des boîtes de Douar-Chott ou de Gammarth.
Les rigolades du Café Vert, les marchands de glibettes qui nous faisaient crédit sans
reconnaissance de dettes.
Vous ne trouvez pas que c'est plus amusant que de parler conflits, guerre, intolérance ou
fanatisme?
Retournons en enfance le temps de NOUS faire plaisir.