Cette histoire se passe aux cours des dernières inondations de STRASBOURG.

Le rabbin de la grande synagogue était en train de prier pour qu’il y est un peu plus de pluie sur ISRAEL plutôt que sur STRASBOURG.

Arrive alors un pompier en courant ;

« Monsieur le rabbin, venez vite car bientôt nous allons être inondés et vous risquez de vous retrouver prisonnier ici »

« Jeune homme, il y a tellement de gens à sauver avant moi, allez d’abord vous occuper des autres, moi, je suis dans ma prière, j’ai une foie inébranlable en l’éternel et je suis sûr qu’il ne m’abandonnera pas »

Effectivement, les trombes de pluies sont telles que l’eau monte, monte. Le rabbin monte au 1^er étage, et voit, par la fenêtre, arriver les pompiers en barque qui l’interpelle :

« Monsieur le rabbin venez vite, on essaye de sauver tous les habitants de ce quartier parce que les eaux continuent à monter »

« Ecoutez, messieurs, , il y a tellement de gens à sauver avant moi, allez d’abord vous occuper des autres, moi, j’ai une foie inébranlable en Dieu, que son nom soit béni, je suis sûr qu’il ne m’abandonnera pas »

Et l’eau continue à monter. Le rabbin se hisse sur le toit de la synagogue. Arrive alors un hélicoptère . On lui jette une corde en lui criant :

« Venez vite, monsieur le rabbin, la ville est inondée, après on pourra plus rien faire pour vous »

« MERCI encore, messieurs, mais ne vous inquiétez pas pour moi, je suis sûr qu’il y a encore des gens à sauver avant moi, allez d’abord vous occuper des autres, moi, je suis très proche de Dieu que son nom soit sanctifié, je suis sûr qu’il ne m’abandonnera pas »

L’eau arrive maintenant aux chevilles, puis aux genoux puis au ventre et là le rabbin commence à avoir peur. Alors de sa voix la plus profonde il implore :

Dieu, toi, le créateur, toi qui voit tout, tu es unique. Tu sais combien ma foie en toi est sans mesure, je t’implore. Fait moi un signe, montre moi la voie, sinon je vais mourir »

Tout à coup le ciel s’assombrit, un éclair jaillit des nuages et une voix grave se fait entendre : (je reste persuadé qu’Abraham et Moïse ont entendus l’accent de la GOULETTE ! !)

A MEGEVE, en pleine saison de neige, arrive un couple de Belges à l’Hôtel et interpelle le concierge :

« Nous souhaiterions prendre des cours de ski comme l’an dernier. Cependant nous aimerions avoir le même professeur que l’an dernier car il était très bon et très patient car nous ne sommes que des débutants ».

« C’est simple, Messieurs/Dame, comment s’appelait-il ? »

« Nous ne savons pas nom, mais il avait un pull bleu marine, col montant, avec une bande rouge sur les manches »

« LES MONITEURS ONT TOUS LES MEMES PULLS »

« Il avait un pantalon stretch noir avec une bande blanche sur les côtés »

« ILS ONT TOUS LES MEMES PANTALONS »

« Il avait des lunettes noires magnifiques comme des miroirs »

« ILS ONT TOUS LES MEMES LUNETTES » le concierge commence à souffler bruyamment. La femme belge dit alors à son mari :

« Ecoute une fois, s’il faut lui dire, dit lui »

« Et bien voilà, monsieur, ce moniteur avait un problème physique peu commun, il avait 2 anus ! »

Le concierge, les yeux ronds leur rétorque « Mais comment vous savez ça, vous ? »

« JE ME SOUVIENT TRES BIEN QU’UN JOUR OU NOUS ETIONS, MA FEMME ET MOI, EN PLEIN COURS, UN AUTRE MONITEUR QUI DEVALAIT LA PENTE LUI A CRIE :

ALORS,COMMENT VAS-TU CE MATIN, COMMENT T’EN SORS-TU,AVEC TES DEUX TROUS DU CUL »

Le conseil personnel de BILL CLINTON s’appelle comme chacun sait JOSEPH COHEN. Un matin, le président lui demande « Comment faites vous, vous, les juifs, pour être au courant de tout en priorité, tous les secrets militaires, les potins du monde entier, et tout le reste, vous savez tout avant tous le monde ?»

Son conseiller lui répondit « Monsieur le Président, vous savez, tout se passe dans les synagogues, les gens parlent entre eux et ainsi tous sont au courant de tout »

Voulant savoir ce que les juifs disaient de lui, un samedi matin, en cachette de tous et très secrètement, il se déguise en hassid (avec tous les accessoires et même une perruque noire et un grand chapeau) Il s’installe à la synagogue et fait semblant de prier. Le lieu est silencieux et personne ne parle. Il se penche légèrement vers son voisin et lui dit « Comment se fait il qu’il y ai un tel silence ici, d’habitude tous le monde parle ». « CHUT, lui répond son voisin, Y PARAIT QUE CLINTON EST ICI DANS NOTRE SINAGOGUE… »

Si vous en voulez d’autres un petit message pour :

RONYHAVA@HOTMAIL.COM

Si vous insistez HAVA vous donnera une recette qu’elle tient de sa mère FRIT’NIN de la GOULETTE….