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Yael Naïm


   

Née dans une famille sépharade originaire de Tunisie, Yael quitte la France pour Israël à l’âge de quatre ans et s’installe près de Tel-Aviv, à Ramat Hacharon. Dès l’âge de dix ans, elle se met au piano classique, écrit ses premières compositions à douze ans, et fréquente le conservatoire de longues années durant. Et puis vient le choc de la découverte des Beatles et plus tard d’Aretha Franklin, de Joni Mitchell et de quelques concerts avec les musiciens de Winston Marsalis.

Autre choc, le service militaire obligatoire, son peu de goût pour le maniement d’armes. Durant cette période elle réussit néanmoins à former un groupe pop, The Anti Collision. La volonté de composer, de faire de la musique est bien ancrée mais elle ne sait trop que choisir, ballottée entre tous ces genres qu’elle affectionne : "beautiful mess inside" —joli bordel en moi— comme elle le chante sur le morceau "Far Far". À 21 ans, alors que débute le millénaire, c’est l’appel de Paris, un nouvel exil, le temps de promesses pas tenues, de chagrins d’amour, d’échecs professionnels (un premier album joliment titré In a Man’s Womb passé inaperçu et aujourd’hui retiré de la circulation) et de boulots alimentaires divers y compris dans des comédies musicales bibliques. "Déboussolée par ces expériences peu concluantes, j’ai alors pris la décision de ne plus participer aux projets d’autres personnes. J’avais deux cents compositions à mon répertoire et j’ai estimé qu’il était temps de me consacrer à moi-même" raconte-t-elle.

En 2004, c’est l’heureuse rencontre avec David Donatien, musicien exilé d’origine martiniquaise qui joue des percussions depuis l’âge de cinq ans, son talent lui vaudra de travailler avec de nombreux musiciens dont Wasis Diop, Alan Stivell, Bernard Lavilliers, Sally Nyolo, Gerald Toto ou encore Fire Tongue & Chief Cook, mais il se lasse des limites du rôle d'accompagnateur. "J’avais, dit-il, très envie de réaliser". De leur complicité naissent les 13 chansons de cet album de la résurrection. "Je suis une nouvelle âme venue en ce monde étrange espérant apprendre un peu", chante-elle sur "New Soul", très personnel, introspectif et magique à l’instrumentation festive (cuivres, mellotron), réparti entre chansons en hébreu et en anglais dont une étonnante et bilingue reprise de "Toxic" de Britney Spears. Et maintenant ? "Le bonheur, pour moi, ce serait de faire beaucoup de scène" déclare Yael avec un grand sourire. C’est tout le mal qu’on lui souhaite.

http://www.myspace.com/yaelnaim

Envoi de Nao

           

 

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