| Page d'accueil | Objectif | Histoire | Religion | Coutumes | Délires | Commentaires | Arts | La bouffe | |Links | Galerie Photo | Contacts | Musique | Tunes Célèbres | Chatroom | Annonces | Enregistrement | Souvenirs | |Communautés | Recherche | Samsara | Fun |
|
Bush ne va pas sortir sans Saddam ! |
Forum Medias Culture Sommaire Harissatheque Genealogie Plan du site Kandil |
(info # 011011)
Par Jean Tsadik © Metula News Agency
A la Ména, on na jamais fait mystère, de ce quon croit que Bin Laden nest
pas le protagoniste principal des attentats du 11 septembre. Pour être encore plus
précis, le jour même des attaques contre le World Trade Center et contre le Pentagone,
Stéphane Juffa pointait déjà un doigt ferme et accusateur, en direction de lIrak
et de son dictateur absolu, Saddam Hussein. Bien sûr, à lépoque, personne ne
disposait de preuves matérielles, pour soutenir cette accusation. Cest dailleurs
toujours le cas aujourdhui !
A la Ména, où on a plusieurs de pilotes davions parmi nos journalistes, on sait
tout simplement la profondeur de larrière-salle logistique, dont il faut disposer,
afin dentraîner des pilotes, qui vont percuter trois cibles au sol et au premier
passage, avec des Boeings ! Aussi vrai que les chiens ne font pas des chats, on vous
répète que la possibilité pour que ces pilotes aient été formés en Afghanistan, soit
par une organisation clandestine comme El Quayda, est inexistante !
Ces pilotes disposaient dune connaissance parfaite des avions quils
pilotaient. Mieux que cela, ils avaient derrière eux des centaines dheures de
simulateur ET dexpérience pratique de vol. Demandez à nimporte quel pilote
professionnel et il confirmera ce que nous écrivons. Dautre part, prétendre que
tous ces pilotes ont été formés dans des petites écoles de pilotage « Ab Initio et ad
fine » est tout simplement une ineptie. Lauteur de cet article est sorti premier de
promotions dans deux de ces écoles, lune au Texas et lautre dans le
Tennessee. Il vous affirme, quaprès quatre mois dentraînement intensif, il
était capable, à lépoque, de piloter un bimoteur léger, par une tempête de ciel
bleu, entre deux aéroports ; de là à faire voler un 767 à 35.000 pieds, aux
instruments, de procéder à une descente, sans assistance au sol et en dehors des voies
aériennes balisées, pour finalement précipiter du premier coup, deux avions sur deux
tours distantes de cent mètres lune de lautre, il y a un pas quil nest
pas sensé de franchir ! Ajoutez à cela la tension générée par larraisonnement
des appareils en vol, par le risque de la mission, par les impératifs de coordination
entre les quatre avions kidnappés et surtout, par létat desprit dans lequel
se trouve une personne, lorsquelle sait quelle va mourir et vous obtiendrez un
résultat déquation absolument limpide.
Ces hommes réunissaient des qualifications hors du commun et qui ne devaient rien au
hasard : Tout dabord, ils avaient atteint un degré impressionnant de foi
religieuse, suffisant, non seulement pour prendre la vie de milliers de personnes, de
sacrifier la leur mais suffisant encore, pour que les organisateurs des attaques, aient pu
éliminer le risque inhérent de fuites par indiscrétion, lors de la phase préparatoire.
Ces hommes étaient fiables !
Deuxième condition nécessaire : ces hommes étaient doués pour laviation, ils
disposaient dun haut niveau déducation, qui leur a permis de maîtriser la
gestion complexe des coordonnées de vol et de navigation des avions et ils étaient en
parfaite santé. Et pour trouver huit pilotes, réunissant ces aptitudes, en excluant
encore leur accord pour se suicider, il est nécessaire dauditionner des centaines
de candidats et den former des dizaines à laviation de haut niveau. Ces
processus de recrutement, de sélection et de formation, ne peuvent être réalisés QUE
dans un environnement étatique protégé, dans des camps secrets et gardés
militairement. Si trois cents candidats-pilotes du Moyen Orient avaient soudain déferlé
sur les écoles de pilotage avancé, telle Flight Safety, aux USA, ça se serait
remarqué, croyez-moi !
Troisième condition : Ces hommes étaient en parfaite condition physique et psychique.
Ils avaient suivi un entraînement minutieux, moderne, poussé et « intelligent » !
Quatrième condition : Ces hommes disposaient de temps dentraînement sur des
simulateurs dédiés et sur des avions en état de vol. Alternativement, on pourrait
envisager, que les pilotes-kamikazes ont été formés exclusivement sur de vrais avions.
Cest onéreux mais cest possible !
Ajoutez maintenant tous les critères que je viens dénoncer et dites-moi, si ces
conditions peuvent être réunies en Afghanistan ? Est-il bien nécessaire que je vous
souffle la réponse ? Ce qui est étonnant, dans cette histoire, cest quil
existe des milliers de personnes, au États-Unis, qui savent ces choses aussi bien que moi
et dont lavis nest pas suivi ! Pourtant il suffit de visiter nimporte
quel centre de formation, de nimporte quelle grande compagnie aérienne occidentale,
pour se rendre à lévidence, quil faut bien exclure lAfghanistan, comme
lieu de recrutement et de formation des pilotes du 11 septembre !
Je sais ce que vous pensez déjà, lecteurs cervelés de la Metula News Agency ! Si ce
vieux Tsadik ne nous mène pas en bateau, il se pourrait fort, que les Talibans soient
absolument étrangers aux événements de New York et de Washington et quils se
ramassent des « tapis de bombes », déversés depuis les B-52, sans relation causale
directe, avec ce pourquoi ils sont pourchassés ? Non seulement, le Vieux Jean vous
répond par laffirmative mais il ajoute encore, quil est possible, que Bin
Laden non plus, ne soit pas à lorigine des attentats ! Et sil est leur est
attaché en aucune manière, cest probablement de façon secondaire. A Métula, on
en est sûr, Bush sattaque au mauvais dragon
Je ne vais pas vous refaire la théorie de Stéphane Juffa, qui démontre, par
éliminations, que seul lIrak dispose, dans la région, à la fois des mobiles, de
la main duvre et des structures nécessaires à préparer les attentats de
septembre. Non seulement, il est inutile de se répéter mais en plus, les indices
incriminant Saddam, samoncèlent les uns sur les autres. Et ce nest pas par
hasard, si Colin Powell, vient davertir, « quaprès en avoir terminé avec
les Talibans, les USA sen prendront à lIrak et aux autres États qui abritent
le terrorisme ! »
Les faits qui ont amené lAdministration à sortir de sa prudence, consistent dans
les déclarations des déserteurs irakiens et du gouvernement tchèque, relevés cette
semaine, par le New York Times et par CNN. Cest, tout dabord, deux déserteurs
de larmée de Saddam Hussein, dont un général des renseignements, qui nous
informent de lexistence dun camp dentraînement, situé sur les rives du
Tigre, et nommé « Salamé Park ».
Les transfuges en question, témoignent que « de très nombreux terroristes islamistes
ont été formés à Salamé durant ces dernières années. Ces terroristes proviennent de
tous les États du Proche Orient ! » Ces recrues des organisations extrémistes se
succèdent à Salamé, suivant des rotations de 5 à 6 mois, a ajouté le général
irakien. « Le centre du camp abrite un complexe de production dagents biologiques,
par des scientifiques irakiens, sous la direction dun chercheur allemand. Ce
complexe est lourdement gardé », ajoutent les défecteurs.
Le général admet quil existe de nombreux éléments quil ignore, à propos
des finalités de ces formations de terroristes mais ce quil sait, avec certitude, cest
que les Irakiens les ont entraînés « à attaquer des installations importantes aux USA
! » Il précise encore, que pour Saddam Hussein, la guerre du Golfe nest toujours
pas terminée et que cest un axiome quon lui répétait à tous bouts de
champ.
Dans une partie du camp, témoignent les déserteurs, il y a le fuselage dun Boeing
707. Cet avion a été lobjet dune attention toute particulière, durant ces
derniers mois. « On y apprenait à des équipes de 5 à 6 islamistes, à prendre le
contrôle dun appareil civil, sans armes ! »
Ce qui est intéressant, dans le témoignage des deux fugitifs, cest quil
recoupe parfaitement les déclarations dun autre défecteur de larmée
irakienne. Les descriptions du capitaine Sabah Khalifa Khodada Alami, installé désormais
au Texas, à propos du camp de « Salamé Park », se superposent à celles des deux
nouveaux arrivants.
Autre indice sérieux de la participation de lIrak aux attentats de septembre, les
déclarations publiques du ministre de lintérieur tchèque Stanislav Gross et du
Premier ministre Milos Zeman. Selon ces personnalités, il est désormais établi, que
celui qui est considéré comme le leader des pilotes-suicidaires, Mohammad Atta, a
rencontré, à deux reprise au moins, un diplomate-espion irakien, dans la capitale
tchèque.
Lagent irakien, Ahmed Khalil Ibrahim Samir al-Ani, avait dailleurs été prié
par les Tchèques, de rentrer chez lui, deux semaines après sa dernière rencontre avec
Atta.
Milos Zeman a aussi ajouté, quà lépoque, les deux hommes avaient envisagé
de détruire les installations de « Radio Free Europe » à Prague, à laide dexplosifs
et de méthodes traditionnelles. LIrak a toujours nié que les rencontres en
question aient eu lieu.
Au sujet de lIrak, rien ne prouve que le camp de « Salamé Park » soit le seul en
activité à Babylone. Rien ne prouve, non plus, quAtta et ses complices, naient
pas été formés dans lun de ces autres camps ou sur une base aérienne isolée. On
rappelle, pour soutenir cette hypothèse, que la compagnie irakienne Iraqi Airways est
sujette à de grosses limitations de fonctionnement, depuis la guerre du Golfe, et quelle
offrait toutes les installations infrastructurelles, structurelles, matérielles et
humaines, afin de préparer les attaques sur lAmérique. A Métula, on n'a aucun
doute quant à limplication de Saddam Hussein dans les attentats et chaque semaine
qui passe, apporte désormais son lot de nouveaux indices dans ce sens. Or, à Métula, on
a toute la patience du monde, de voir les investigations du FBI et de la CIA aboutir. Cela
prendra du temps mais lissue de lenquête ne fait aucun doute !
Vous laurez compris, dégourdis abonnés de la Ména, au-delà de savoir si Bush ne
commet pas une méga-incongruité, en massacrant les Talibans, lépicentre virtuel
de la guerre contre le terrorisme, se déplace sûrement dans la direction de Métula !
Ici, dailleurs, on ne sest jamais demandé sil fallait lier les
activités des organisations terroristes irakiennes, syriennes et libanaises à Al Quayda
mais plutôt, si les activités dAl Quayda étaient déterminantes, par rapport au
Hamas, au Hezbollah, au Jihad et au FPLP ! Cela aussi, cest une question
rhétorique, car, à similarité de credo religieux (lIslam que ces organisations
professent, à part le FPLP qui est laïc, est exactement le même !), les mouvements les
mieux organisés, les plus actifs, les mieux équipés et ceux jouissant des soutiens
étatiques les plus substantiels, ce sont assurément les organisations proche orientales
et pas celles de Bin Laden ! Pourquoi les différencier, par ailleurs, puisquelles
agissent la plupart du temps de concert ?
Ces révélations vont dailleurs embarrasser de plus en plus le Président Chirac et
son Va-chercher du Quai dOrsay, Hubert Védrine. Tant quil sagit de
faire leur fête aux Afghans miséreux, sans relations publiques efficaces en Occident, à
lombre des images de télévision manquantes, il ny a pas de problème. Mais
lorsque le ton monte, entre les USA et le Liban, cest tout à fait une autre affaire
! Cest pourtant exactement ce qui est en train darriver : Le Président Lahoud
et le Premier ministre Hariri, ont reçu lordre de Damas, de rejeter les exigences
américaines de collaborer contre les organisations terroristes islamistes ayant pied au
Liban et cest ce quils ont fait. Sans attendre, les Américains ont élevé le
ton, en déclarant notamment, par la bouche dAri Fleischer, le porte-parole de la
Maison blanche : «La neutralité nest pas une position acceptable. Vous ne pouvez
pas dun côté condamner el- Quayda et de lautre embrasser le Hezbollah et le
Hamas ! »
Dans les heures qui viennent Rafik Hariri est attendu à lÉlysée, afin de rappeler
au Président Chirac, les termes de leur contrat. Si la France entend que ses entreprises
continuent à se remplir les poches, dans la « reconstruction » du Liban, elle doit
absolument continuer de soutenir activement linsoutenable ! Dites, vous imaginez
TF1, condamner publiquement la collusion déraisonnable, entre le gouvernement libanais et
les terroristes islamiques, ou encore lannexion de facto, du sol libanais par la
Syrie, alors que le grand patron de « la Première », Bouygues, est engagé auprès dHariri,
dans des adjudications de construction, valant centaines de millions de dollars ? Est-il
raisonnable de sattendre à ce que TF1 parle aux téléspectateurs français des
projets Solidere (cest pas une faute dorthographe, cest juste un projet
qui ruine le Liban) et de « lAutoroute arabe ? » Est-il surtout raisonnable, de
confier au chat la garde du bol de lait ? A Métula, on trouve quà Paris, on ne
fait pas grand cas de lindépendance de linformation !
Ceci dit, la position de lAbracadabrantesque est de plus en plus délicate et sans
véritables issues de secours. Gageons que Chirac va encore une fois sen sortir, en
publiant une phrase idiote et inepte, du genre : « La France et le Liban, voient dun
même il, la nécessité de résoudre les injustices, comme le meilleur moyen de
barrer la route à lintégrisme islamiste » mais combien de temps, ces fadaises,
cacheront-elles les commissions du grand Jacques ? A notre avis, lAutoroute arabe,
dont lun des premiers tronçons, doit relier Beyrouth à Damas, a déjà des trous
dans le bitume.
A Métula, on a le temps de voir venir, il ny a pas le feu aux lacs Karaoun. Quest-ce
quils sont beaux, à lautomne !
| Page d'accueil | Objectif | Histoire | Religion | Coutumes | Délires | Commentaires | Arts | La bouffe | |Links | Galerie Photo | Contacts | Musique | Tunes Célèbres | Chatroom | Annonces | Enregistrement | Souvenirs | |Communautés | Recherche | Samsara | Fun |
Pour toutes informations, critiques et commentaires, envoyez un émail a : jhalfon@mediaone.net