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Les juifs d'Iran
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A mon tour d'écrire dans un court poème ce que m'inspire cette odieuse histoire et si les grands de ce monde pouvaient lire ce qui suit et si ce qui suit pouvait les
aider à réagir efficacement, alors j'aurais aidé à ma manière. Quelle que sera la terrible sentence elle ne sera jamais aussi puissante que le courroux de D-ieu ! Et
nos amis juifs d'Iran montrent encore aujourd'hui la douloureuse histoire du peuple qui aime D-ieu et ses
commandements au-dessus de sa propre vie, parce que son existence toute entière est liée à la reconnaissance d'Achem ! Alors que leurs vies soient entre les mains de D-ieu et qu'il les bénisse de sa grâce et de sa bonté !
Que l'ennemi soit maudit et ne trouve plus jamais la paix pour le mal et la mort qu'il a donnés.
INTOLERANCE
Il fut condamné, impie,
Pour un crime qu'il n'avait pas commis.
Il fut condamné, impie,
Pour un crime que nul ne commit.
Il fut repoussé par des frères
En croyant que c'était lui qui avait trahi.
Et dans son cachot de misère,
Ses pleurs noyèrent ses prières.
"Pleure mon frère, pleure les méfaits
Que seul le pervers fanatisme a faits".
Pourtant, il ne sut, ces années durant,
Tant il avait l'innocence de l'enfant,
Que les chaînes étaient irréelles,
Qu'il devait ne plus vouloir d'elles,
Secouer le haines cruelles,
Et croire en l'amour d'ACHEM.
Seul décide de notre vie et de notre mort
ACHEM, D-ieu Tout-Puissant du sort
De chacun ; il l'appela très fort,
Et je dis avec lui ses prières
Chaque mot devint miséricorde.
Alors je rejoignis ce frère
Dans sa prison et dans sa peine,
Je portai à mon tour ses chaînes.
Ainsi D-ieu nous vit tous deux.
Mais peu à peu, nous fûmes plus nombreux
A prier derrière les barreaux ;
Achem fut présent en ces lieux ;
Il brisa les chaînes, aux yeux
Il donna la lumière.
Comme son crime était celui de ses prières,
Mon frère fut sauve par nos prières,
Que D-ieu entend chaque jour,
Parce que nos cris disent HaÏ ! La vie !
Encore et Toujours !
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