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NOEL A AUSCHWITZ


    Noël à Auschwitz

© Chroniques séculières et pastorales de la guerre métaphysique

François Celier (1)

23 décembre 2006. Avec mon épouse et mon fils aîné, nous nous sommes rendus à Auschwitz - Birkenau (2). Ce jour-là, seuls quelques rares visiteurs s’étaient hasardés à visiter ces lieux de la plus grande déréliction du monde, conçue par des hommes envoûtés par une idéologie mortifère, irrationnelle. Pendant quatre  heures, nous avons arpenté cette frontière de l’enfer, gorges nouées et yeux gonflés de larmes. Tout ce que nous savions jusqu’alors n’était que livresque, films et photos d’horreurs abstraites, inassimilables à notre entendement, mais ce jour-là, nous avons entendus dans nos coeurs les plaintes et la souffrance sourdant de baraquements aux briques rouges pétries de sang innocent, noircis des cendres de corps calcinés.

Toute personne qui veut connaître la mesure de son humanisme devrait s’y rendre, notamment les dirigeants des nations, les maîtres à penser et tout homme de bonne volonté. Les prétendants à la Présidence de la République française en particulier. Postulants et candidats pourraient y évaluer qu’elle fut la jauge de l’éthique occidentale à son plus bas degré d’inhumanité. Ils pourraient même y mesurer leur échelle de valeur morale personnelle, avant d’aller haranguer et promettre renouveaux et merveilles, y compris en géopolitique des Affaires Etrangères.

A Auschwitz, ils auront pris conscience à quel point Le peuple de la mémoire est réellement  présent, vivant et vigilant. Il ne sera plus jamais « victimable » ni bouc émissaire de la géopolitique des nations et des hommes.

Cette aune de l’éthique et de l’équité, qui que ce soit ne l’apprendra jamais d’une cathédrale ou d’une chapelle, Sixtine soit-elle, d’un temple protestant, d’une Mecque ou d’une mosquée d’or, d’une université ou d’un muséum. Mais à Auschwitz, marchant seul, sans délégation officielle ni média, il pourra réaliser à quel point le Mal peut s’incarner en l’être humain, si cultivé soit-il. Il saura enfin, paradoxalement, que Dieu existe, le laissant libre d’incliner vers le bien ou le mal. En l’occurrence, jusqu’au Mal absolu, degré zéro de l’humain.

Depuis ce printemps de 1940, Auschwitz est devenue la référence de l’inhumanité dont est capable le genre humain dans son orgueil de la connaissance et de son instinct de mort destructeur. Visiter ce haut lieu du Mal peut marquer au fer rouge la conscience de quiconque y cèderait, par lâcheté négativiste ou d’un haussement d’épaules..

Auschwitz symbolise toute l’horreur dont est capable l’être humain. Même les grands prédateurs de l’espèce animale seraient épouvantés s’ils en avaient connaissance. Sceau du crime organisé, Auschwitz est l’étendard de tous les holocaustes génocidaires passés et… à venir, le glaive haineux de toute liberté individuelle, le vortex de la barbarie planifiée, le viol de la dignité de la vie et, plus profondément, l’arène d’une frontal combat spirituel avec Dieu.

Auschwitz, c’est l’échec de la civilisation occidentale du XX ème siècle.

A travers les âges, la morale de l’être humain n’a pas évolué d’un iota. Un million cent mille juifs d’Europe, selon les chiffres avancés au Muséum d’Oswiecim (2). Cette haine irrationnelle et récurrente des juifs de notre temps provenait-elle (à nouveau) du fait d’être les témoins gênants de l’existence de Dieu ?  Contrariaient-ils seulement l’exaltation fantasmatique d’une prétendue « race » blanche aryenne allemande supérieure (génétiquement celle d’Esaü-Edom) à celle de Jacob-Israël ? Auschwitz relève d’un ordre ontologique.

Ce lieu de ténèbres manifeste l’effondrement éthique de la société moderne. Il obère l’avenir et raccourcit le temps qui reste avant que n’advienne le jour du Jugement.

Hitler plaça l’enjeu suivant : « …il ne s’agit pas de conquérir des peuples, mais uniquement de conquérir des terres pouvant êtres cultivées ». Formule simpliste d’un projet National Socialiste consistant à « réclamer des terres et des sols pour nourrir le peuple allemand et répartir le surplus de ses habitants » ?

Ce programme initial révéla rapidement ses véritables intentions :

« J’ai donné l’ordre de fusiller chaque personne qui, ne serait-ce que par un seul mot, oserait critiquer le fait que le seul but de la guerre n’est pas l’atteinte des limites définies, mais l’anéantissement physique de l’adversaire ».

On y retrouve les éléments du chantage à la terreur jihadiste… du Hamas revendiquant des terres et plus encore, en échange d’une paix illusoire (ou trêve tactique). .

Heinrich Himmler, responsable de la police et de la SS, déclara en 1942 :

 « Notre devoir n’est pas de germaniser les pays de l’Est (…) nous voulons par contre veiller à que l’Est soit peuplé de gens, de pur sang allemand germanique ». Paroles racistes parfaitement explicites auxquelles faisaient écho celles du Ministre de la Justice du IIIème Reich Otto Thierack : « Le peuple allemand doit être entièrement libéré des polonais, des russes, des juifs et des tziganes »

Nantis de ce programme, « les surhommes aryens » et leur formidable machine de mort entreprirent l’anéantissement des « sous-hommes », notamment par la « la solution finale de la question juive ».

Quelle étrangeté que de se focaliser sur une population trimillénaire, désarmée et dispersée aux quatre coins de la terre. Cela montre bien l’irrationalisme de l’ordre hitlérien. Etant nés « juifs » et se différenciant des sous-hommes européens, leur droit de vivre ne devait pas exister.

En fait, implicitement, témoins de l’existence de Dieu, les juifs devaient être éliminés. Plus de témoins, plus de jugement divin à craindre. Cette intention à leur endroit et pour un même mobile, fut tentée à plusieurs périodes de l’Histoire (les empires babylonien, égyptiens, romains).

N’est-ce pas la caractéristique d’une guerre métaphysique qui se poursuit continûment ?

Initiée à la conférence de Berlin-Wannsee, cette volonté d’extermination des juifs signifiait la « solution finale de la question de l’existence de Dieu ». Ainsi, le concept nihiliste et existentialiste de « la mort de Dieu » pouvait s’amplifier et se répandre, plus virulent que jamais.

Ignorant l’opinion publique de la Pologne occupée et lui dissimulant son dessein d’extermination des juifs, la région d’Oswiecim (où fut édifié Auschwitz) devint le carrefour stratégique de la mort en masse. Sur des dizaines de kilomètres carrés des baraquements d’extermination entrèrent en action, cependant que des mesures de terreur et de représailles furent appliquées à l’encontre des polonais dans le but de soumettre leurs leaders politiques, intellectuels, résistants, élites culturelles et économiques du pays.

Cette stratégie diabolique n’est pas s’en rappeler celle d’un islamisme conquérant, par sa doctrine de la dhimmitude (soumission) appliquée aux populations vaincues.

En l’occurrence une dhimmitude polonaise basée sur la terreur, version occidentale du nazisme.

A cette fin, Hitler déclara : « Il est nécessaire de supprimer tous les intellectuels polonais. Cela peut sembler dur, mais telle est la loi de la vie » (octobre 1940). Une Loi de la vie par la mort de la vie ?  Alors que Dieu exhorte de tous temps à ne choisir que la vie, rien que la vie, l’amour de la vie ! N’est-il pas étrange que les islamistes radicaux préconisent également une doctrine de la mort des juifs, puis des judéo-chrétiens et enfin des infidèles en général, y compris par le martyr de l’impétrant. Des sections SS à têtes de morts aux légions islamikazes actuelles…

Rien de nouveau sous le soleil.

Exterminés à 70-75% dans les chambres à gaz dès leur arrivée, les juifs n’étaient pas inscrits sur les listes des camps et ne portaient pas de numéros matricules comme ceux qui étaient dirigés vers les camps de travail des prisonniers en sursis. Les autorités du camp tenaient à effacer les traces de leurs crimes et détruisaient méticuleusement documents et listes de transports où figuraient les noms des victimes. Pour ce faire, ils avaient créé un système sophistiqué de cryptogrammes et de dissimulation de la vérité concernant le gazage des convois arrivants et le décès des prisonniers (le tout planifié et falsifié).

Là encore l’ordre nazi appliquait (sans doute à son insu) le vieux principe religieux de la Taqiya coranique, à savoir, le droit de dissimuler et de mentir aux non musulmans pour les entraîner, soit à  se convertir soit à se soumettre (la dhimmitude), en l’occurrence à l’ordre hitlérien.

A chaque arrivée des trains, le responsable du camp (Lagerführer Karl Fritzsch) annonçait à ceux qui avaient survécu, parfois jusqu’à dix jours, sans boire ni manger : 

« Vous n’arrivez pas ici dans un sanatorium, mais dans un camp de concentration allemand d’où il n’y a qu’une seule sortie possible, la cheminée du crématoire ».

Ainsi, les juifs survivants avaient le droit de vivre quinze jours, les prêtres un mois, les autres trois mois, car Hitler avait déclaré à ses SS : « Je ne veux pas que, des camps, on fasse un hôtel... La terreur est l’arme politique la plus efficace. Chaque personne apprenant ce qui l’attend dans le camp réfléchira à deux fois avant d’entreprendre quoi que ce soit contre nous ».

Il semble que les stratèges et les dirigeants du terrorisme islamique aient bien retenus cette doctrine. L’arme de la terreur du III Reich redevient celle du troisième millénaire, sous d’autres dogmes et drapeaux.

Par ailleurs, dès 1939, la convoitise des richesses de l’Europe était programmée.  

 « Parmi les objets de valeurs trouvés, surtout à l’arrivée des convois de juifs en provenance d’Europe occidentale, raconte le Commandant d’Auschwitz, Rudolf Höss, il y avait le plus souvent des choses de grande valeur, des pierres précieuses évaluées à des millions, des montres en or et en platine garnies de diamants d’une valeur inestimable, des bagues, des boucles d’oreilles, des colliers d’une singularité qui en rehaussait la valeur, des millions de billets de banque de tous les pays. Il arrivait souvent qu’une seule personne porte sur elle des centaines de billets de mille dollars. Il n’y avait pas de cachette dans les vêtements, dans les bagages ou dans le corps humain qui ne fut utilisée. Après la fin de chaque action plus importante, les valeurs triées étaient emballées dans des coffres et expédiées en camions à Berlin et à la Reichsbank ».

Le principe de la puissance d’un conquérant repose toujours sur sa cupidité et son enrichissement provenant des pillages. Ce qui amène cette question : l’islamisme conquérant du Moyen-Âge aurait-il put s’imposer sans la pratique des razzias ? Quand à notre actualité, une razzia des richesses de l’Europe n’est-il pas pris en compte dans les objectifs du jihad islamique ?

« Une section spéciale de la Reichsbank, poursuit R. Höss, s’occupait uniquement des valeurs qui provenaient de l’extermination des juifs. Un jour, Eichmann m’a dit que les objets précieux et les devises étaient vendus en Suisse et qu’ils dominaient même tout le marché des valeurs de ce pays. On expédiait aussi des milliers de montres ordinaires à Sachsenhausen. On y avait créé, sous la direction immédiate de Maurer de l’Office DII, un grand atelier d’horlogerie où des centaines de détenus travaillaient. Les dents en or étaient coulées en barres par les dentistes de l’infirmerie SS et envoyés tous les mois à la Direction Centrale des Service Sanitaires. Même dans les dents plombées on trouvait parfois des pierres précieuses d’une valeur inestimable. Les cheveux coupés des femmes étaient expédiés dans une fabrique en Bavière ».

En costumes de bonne coupe, les banquiers de la mort se chargeaient ensuite de les gérer diligemment. Dans une totale bassesse d’âme, les criminels nazis n’omettaient pas de faire fructifier leurs forfaits par la profanation de millions de cadavres.

Au-delà du tribunal de Nüremberg, lorsqu’ils se présenteront devant Dieu, tous, jusqu’au dernier auront à en rendre compte.

L’idéologie nazie n’était pas la seule raison pour laquelle les tziganes étaient raflés à travers l’Europe pour être dirigés vers les camps de la mort (Décret de décembre 1942 d’Heinrich Himmler, responsable de la police et des SS). Après les juifs et les polonais, ces derniers constituaient la troisième catégorie d’êtres humains la plus nombreuse quand au nombre de victimes d’Auschwitz-Birkenau. Leurs errances cosmopolites, leurs marginalisations, leurs rejets de nombreuses nations, certes, mais aussi, la grande probabilité d’ancêtres communs avec les juifs, ce qui les apparentait (selon des recherches d’historiens) à une des dix tribus perdues d’Israël… Là encore, troublant indice du combat irrationnel contre les juifs… témoins de Dieu.

En les singularisant de la sorte, les nazis leur conférait une communion de destin identitaire.

Juifs et gitans, un même sang ? Le réalisaient-ils d’instinct ou par intuition métaphysique ?

Dans l’environnement des camps, les nazis estimaient à juste titre que la population polonaise leur était hostile et s’en plaignaient : « La population d’ici (Auschwitz) est fanatiquement polonaise et (…), elle déteste les SS et serait prête à nous affronter. Chaque prisonnier qui réussit à s’évader peut compter sur son aide dès qu’il arrive à rejoindre la première maison polonaise ». 802 prisonniers, dont 45 femmes (396 polonais, 179 citoyens d’URSS et 115 juifs) tentèrent l’évasion et beaucoup y parvinrent, d’autres furent repris et assassinés.

Auschwitz connut également une résistance relevant de la foi en Dieu qui s’y exerçait clandestinement. Un prisonnier polonais, Waclaw Stacherski, détenu dans les sous-sols du « bloc de la mort » parvint à faire passer une lettre à sa femme qui résume cette foi qui se vivait jusqu’au centre des morts-vivants (le terrifiant block 11) : « Dieu existe, même s’il est tellement difficile d’y croire aujourd’hui, et que Sa volonté se fasse. Hier, dimanche, j’ai écouté par la fenêtre du sous-sol, la messe célébrée en cachette au rez-de-chaussée. Ensuite, j’ai reçu la communion. On m’a envoyé l’hostie au bout d’une ficelle ».

Lors d’une fête judéo-chrétienne, une croyante nommée Iza, responsable de salle, a dit :

« Nous, les prisonnières chrétiennes, nous souhaitons à nos sœurs juives qu’elles recouvrent le plus vite possible leur liberté et qu’elles puissent célébrer cette fête l’année prochaine au sein de leur famille ». Lettre d’un polonais avant d’être fusillé : « Ma Stefcia bien-aimée, ma chère femme. C’est aujourd’hui, le 31 octobre que je vais, innocent, être tué. Souviens-toi de moi, ma chère femme et veille à ce que notre fille bien-aimée soit élevée dans la piété pour que Jésus la protège. Montre cette lettre aussi à ma mère. Chère mère. Chers frères et sœurs, vivez en paix et prenez soin de ma fille et de ma femme. Que Dieu vous protège ! Priez pour moi »

Quelle soit israélite, catholique, orthodoxe, protestante et quelles que soient ses formes d’expressions et ses langues natives, la foi judéo-chrétienne survivait et brillait au cœur de l’enfer nazi.

Les Mémoires du Commandant d’Auschwitz, SS Oberstumban, führer Rudolf Höss racontent :

 « … Le Führer a décrété La Solution finale définitive du problème juif. Nous, les SS, sommes chargés d’exécuter cet ordre. Les lieux d’extermination existants déjà dans l’Est ne sont pas en état de mener jusqu’au bout les grandes actions qui sont projetées. J’ai assigné ce rôle à Auschwitz, premièrement à cause de sa situation favorable du point de vue des communications, deuxièmement, parce que la zone désignée peut facilement être isolée et camouflée… C’est donc à vous que la tâche incombera ».

Dans la filiation continue des tyrans, cet ordre d’un maître es-terreur exterminatrice se retrouve 66 ans plus tard, par la négation de la Shoa et la volonté de détruire Israël, dans la bouche d’un Chef d’Etat iranien. Guerre métaphysique toujours.

Dans la litanie des bourreaux nazis (Hitler, Himmler, Eichmann), un autre extrait des mémoires de Höss, Commandant d’Auschwitz précise les ordres reçus : « C’est un travail dur et pénible qui exige l’engagement de toute votre personne, sans tenir compte des difficultés qui surviendront peut-être. Les détails vous seront communiqués par le Sturmbanführer Eichmann du Bureau Central de la sécurité du Reich qui vous contactera prochainement. Les administrations participantes seront informées par moi en temps utile. Vous devez garder au sujet de cet ordre un silence complet, même devant vos chefs hiérarchiques. Après votre conversation avec Eichmann, envoyez-moi tout de suite les plans de l’installation prévue. Les juifs sont les ennemis éternels du peuple allemand et il faut nécessairement les extirper. Tous les Juifs que nous aurons entre nos mains doivent être anéantis maintenant, pendant la guerre, et cela sans aucune exception ».

L’obéissant bourreau d’Auschwitz finira pendu, Hitler se suicidera.

En dépit des solennels plus jamais ça, la lourde chaîne des leaders génocidaires se poursuit toujours : Pol Pot, Sadam Hussein, Ahmadinejad et autres Ben Laden et ses féaux.

Elle ne sera brisée qu’à la venue de Jésus, le Messie. Il jugera les hommes et les nations.

 

© François Celier.

 

1) François Celier. Ebéniste. Ecrivain. Scénariste. Dramaturge. Conférencier. Converti au judéo-christianisme en 1972. Pasteur/Evangéliste depuis 1976. Fondateur du mouvement des Amis de Jésus le Juif. Dernier ouvrage :

« Le choc des religions » (avec les contributions de Dalil Boubakeur, recteur de la mosquée de Paris; Daniel Sibony, psychanalyste et du Père Pierre Lambert, Dominicain. Ed. Presses de la Renaissance (2005)

(2) Auschwitz et Birkenau figurent depuis 1979 sur la liste du Patrimoine Mondial de l’UNESCO

(3) Cet article représente une première chronique d’une série de 30. Apolitiques et d’un caractère ontologique, ces analyses métaphysiques se singularisent par une argumentation spirituelle sur les conflits passés, présents et à venir. Bien qu’étant une menace planétaire, l’exaltation du jihad islamique ne concerne pas l’ensemble des musulmans de l’Oummâ (plus d’un milliard de croyants dont il convient de respecter la foi). Par contre, il est nécessaire de dénoncer les leaders des réseaux de musulmans extrémistes, idéologiquement politisés et de les neutraliser.

 

Nda : Avec mes remerciements à Teresa et Henryk Swiebocki, rédacteurs de l’ouvrage « Résidence de la mort », que je recommande chaleureusement. Editions Bialy Kruk.

           

 

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