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Première action
d'envergure des commandos "irakiens" dans les territoires (info # a12508) En exclusivité par Stéphane Juffa |
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Bulletin spécial (info # 012508)
La rédaction © Metula News Agency
Une succession d'événements significatifs s'étant produite ces dernières heures, en
relation avec la situation au Moyen Orient, la rédaction de la Ména a jugé qu'il était
nécessaire de produire ses commentaires. Il nous semble, en effet, que les dépêches
d'agences, quant à ces événements, ne permettent en aucune façon aux médias
francophones, d'en évaluer la portée et, partant, d'informer l'opinion publique de telle
manière, qu'elle dispose des bases lui permettant de se forger une opinion indépendante
et circonstanciée.
Première action d'envergure des commandos "irakiens" dans les territoires (info
# a12508)
En exclusivité par Stéphane Juffa
Cela fait désormais près de deux mois, que nous tenons les lecteurs de la Ména
informés des infiltrations de commandos irakiens, à travers le territoire du Royaume
hachémite de Jordanie. Nous vous avons également informés, de ce que les buts de ces
infiltrations consistaient, d'une part à créer la subversion en Jordanie et d'autre
part, à soutenir l'action militaire déclenchée par Yasser Arafat contre l'Etat
d'Israël.
Dans les deux cas, des combattants du FDLP (Front Démocratique de Libération de la
Palestine), dont la charte ne prévoit que l'éradication de l'Etat hébreu, comme
solution au conflit, font partie intégrante des forces armées venues d'Irak.
Cette nuit, ces éléments infiltrés ont perpétré leur première action
"réussie" contre les forces de Tsahal. S'agissant de la nature de l'opération,
de ses commanditaires et de ses exécutants, nous avons bien à faire à un acte
asymptomatique et significatif des opérations militaires, pour le compte de l'Autorité
palestinienne, en comparaison de ce que nous avons connu jusqu'ici.
En effet, si jusqu'à présent, l'AP agissait uniquement par voie d'attentats suicides, de
tirs d'armes automatiques sur des automobilistes et sur les habitants des implantations,
ainsi que de tirs d'obus de mortiers, voici désormais, qu'elle s'est dotée des moyens de
conduire des actions militaires, contre des cibles militaires israéliennes.
Ce matin, vers trois heures locales, deux commandos irakiens ou membres du FDLP au service
de l'Irak, ont fait irruption dans le camp de "Marganit", rattaché à la
Brigade "Shaked" de la division d'infanterie "Golani". Le camp en
question se situe dans le sud de la bande de Gaza, non loin de l'implantation
d'"Atzuma", avec laquelle les soldats de Shaked n'entretiennent cependant aucun
lien opérationnel.
Les deux commandos ont été amenés sur le site de leur attaque par un troisième homme,
qui a réussi à prendre la fuite. Les deux hommes, au premier contact, ont tiré entre 30
et 40 balles de fusil d'assaut chacun et ont jeté une dizaine de grenades sur les soldats
de Tsahal. Au cours des échanges de feu qui ont suivi et qui ont duré dix minutes, un
soldat a été mortellement atteint et plusieurs autres ont été blessés.
Des renforts israéliens sont rapidement arrivés sur les lieux et sont parvenus à
neutraliser l'un des agresseurs, non sans déplorer la perte de l'infirmier du groupe
d'assaut, ainsi que de l'officier en second de la brigade. Le second commando a réussi à
prendre la fuite, avant d'être rattrapé et abattu à son tour, dans la région des
serres agricoles de l'implantation d'Atzuma.
Une enquête est actuellement en cours, au sein de la division Golani, afin de déterminer
comment les Irakiens sont parvenus à s'introduire dans le camp et aussi, pourquoi deux
des soldats arrivés en renfort, ont-ils perdu la vie dans l'accrochage. A l'heure de
publier cet article, on dénombrait encore sept blessés israéliens, dont un dans un
état critique.
A la Ména, on est en mesure d'ajouter, que l'état major israélien considère une
réplique appropriée et qu'elle sera certainement dirigée, au moment opportun, contre
les commanditaires de cette attaque. On doit s'attendre à des mesures de représailles,
publiques ou discrètes, contre des cibles situées dans le territoire de l'AP mais
également dans le désert jordanien, au Liban, en Syrie et même en Irak.
On apprend par nos sources, que toutes les unités irakiennes et celles du FDLP ont été
placées en état d'alerte maximale, dans toutes les contrées susmentionnées. Voilà
quelques jours, dans notre article intitulé "L'heure des grandes manuvres",
nous vous entretenions des possibilités d'actions rampantes, de la part du deuxième axe,
Irak-Syrie-AP. De ces actes militaires, "qui sont de nature à faire pleuvoir, sans
pour autant déclencher le déluge." L'opération de ce matin est bien l'illustration
de cette prévision, puisqu'elle embarrasse les pays du premier axe, USA-Israël-Turquie,
en réclamant une réponse efficace (et très difficile à déterminer), sans pour autant
justifier le départ d'un feu d'artifice régional.
Ci-après, le compte rendu de l'attaque par l'AFP, à titre comparatif :
"GAZA (AFP) Attaque près d'une colonie juive - Trois soldats israéliens et deux
Palestiniens ont été tués à l'aube dans une attaque revendiquée par le Front
démocratique de libération de la Palestine (FDLP) contre une colonie juive du sud de la
bande de Gaza.
Un porte-parole de l'armée israélienne a confirmé la mort des trois militaires, parmi
lesquels figure un officier, précisant que sept autres personnes ont été blessées. Les
auteurs du commando sont les deux victimes palestiniennes."
A la Ména, on relève à ce propos les éléments de désinformation caractérisée
suivants :
a) Le titre : "Attaque près d'une colonie juive". Dans la déontologie
journalistique, un titre doit "illustrer" le propos d'une dépêche. Dans ce cas
précis, il n'en fait rien, puisqu'il n'existe aucun lien philologique entre la proximité
de l'implantation israélienne (nous avons déjà démontré, tant au plan sémantique,
que sur celui de l'historique des sciences politiques, que l'usage du terme
"colonie" est inadéquat et manipulateur, lorsqu'il s'agit de définir une
implantation israélienne dans les territoires de l'AP). L'usage de ce titre, par l'AFP,
n'a pour but, que de justifier "à priori" l'attaque des soldats israéliens par
le commando irakien. Il implique impérieusement, que "le commando a attaqué ces
soldats A CAUSE de l'existence de l'implantation d'Atzuma dans sa proximité.
Au titre de l'information, il s'agit bien sûr d'un énoncé fallacieux et dolosif, à
caractère objectivement raciste anti-juif, dans la systématique répétitive de ce genre
d'erreurs, car si les rédacteurs de l'AFP s'étaient donnés la peine de prendre
connaissance des buts revendiqués par le FDLP, ils y auraient découvert les évidences,
que le FDLP entend massacrer les Israéliens, que les implantations existassent, où
qu'elles n'existassent pas !
b) " une attaque revendiquée par le Front démocratique de libération de la
Palestine (FDLP) contre une colonie juive du sud de la bande de Gaza. " Il s'agit là
d'une désinformation pure et simple, à caractère pénal, justifiant, sans aucun doute
d'une action judiciaire. En effet, aucune "colonie", ni aucune implantation n'a
jamais constitué l'objet de l'attaque du FDLP mais c'est bien, comme mentionné plus
haut, le camp militaire de "Marganit", qui était la cible des commandos ! A
Métula, on ne comprend pas, pourquoi le gouvernement israélien n'entreprend-il pas
d'action en justice contre l'AFP, pour ce genre d'actes de désinformation préméditée ?
Notre interrogation s'étend, bien sûr, aux associations françaises de lutte contre le
racisme, pour la protection des valeurs démocratiques, ainsi qu'à l'Association
France-Israël ! Comment toutes ces personnes faillissent-elles de la sorte à leurs
responsabilités, en permettant à l'AFP, qui est une agence publique de l'Etat France, de
s'adonner librement et répétitivement à des propos calomniateurs, à l'encontre d'une
ethnie définie ?
c) "Les auteurs du commando sont les deux victimes palestiniennes" Hmmmf
messieurs les désinformateurs, quel mauvais goût ! Dans le langage civil et respectable,
les "victimes" sont les personnes "ayant subi un outrage" et pas
"celles l'ayant administré". Ceci est ainsi, même si les assaillants sont
morts, lors de leur entreprise. L'AFP mélange ici les genres, il aurait été
préférable d'écrire "que les agresseurs, voire les commandos palestiniens ont
été tués" et ne pas commettre l'excès de faire des meurtriers de trois personnes,
des "victimes".
La France dépasse toutes les bornes de l'indécence (info # b12508)
Par Michael Béhé correspondent permanent de la Ména au Liban
C'est en tous cas le sentiment de la grande majorité des Libanais, aujourd'hui à
Beyrouth, après les déclarations surprenantes de l'ambassadeur de France, M. Philippe
Lecourtier.
Les Libanais, sont déjà meurtris dans leur chair et dans leur dignité nationale, par
leur Premier ministre et par les services secrets (SR) de leur propre armée, qui,
agissant pour le compte de la dictature syrienne, font régner par la terreur,
l'occupation étrangère.
M. Rafik Hariri, qui est donc ce Premier ministre décrié par les Libanais pour faire le
jeu de leur pire ennemi, a reçu hier un soutien de taille.
Philippe Lecourtier est allé extrêmement loin, dans son alignement sur les positions de
l'occupant syrien, puisqu'il "a demandé à ce que soit accordé au Premier ministre
Rafik Hariri le temps nécessaire afin quil puisse mettre à exécution son
plan." Aucun Libanais n'a pourtant jamais entendu parler, jusqu'à ce jour, du
"plan Hariri", puisque ce dernier se borne à exécuter les desiderata de
Béchar Assad, au coup par coup !
Questionné par les journalistes à Dimane, à propos du rôle joué par Rafik Hariri,
lors de la répression de son propre peuple, M. Lecourtier, devant les Libanais outrés, a
répété : "Il faut maintenant lui laisser le champ libre !"
L'ambassadeur de France, se refusant à toute déclaration politique (sic) a encore
trouvé le temps "d'émettre un ferme souhait. Celui de voir la situation libanaise
exclusivement marquée, dorénavant, par des événements positifs. Et ce, afin que le
sommet de la francophonie puisse se tenir comme prévu, et dans les meilleures
conditions".
Je désirais lui soumettre mon projet de traduction de son message, en français
compréhensible, afin que le menu peuple ait une chance de connaître de la position de
Paris. Ca donnait cela : "J'aimerais que les Libanais cessent de se soulever contre
l'occupation syrienne, sinon, nous ne pourrons pas amener Bernard Pivot à Beyrouth, pour
fêter la communauté d'intérêts entre le Président Chirac et l'occupant syrien de
votre pays, Béchar Al-Assad".
Que votre Excellence se rassure, les Libanais ont bien compris le message de la France.
Elle vient d'ajouter son coup de poignard dans le dos d'un peuple ami, alors que
celui-là, traverse les pires heures de son histoire moderne ! Il n'est que de lire tous
les quotidiens libanais (à part ceux du mouvement chiite de Nabi Berri) pour se persuader
que votre message est bien passé, Monsieur l'Ambassadeur !
Je ne peux compter que sur la Ména, afin de convoyer le compte rendu de mon article aux
médias francophones. Les autres agences filtrent l'information, au lieu de la diffuser.
Gaza d'abord (info # c12508)
Par Ilan Tsadik
L'Egypte continue son activité diplomatique, afin d'isoler et d'affaiblir le Président
de l'Autorité palestinienne, M. Yasser Arafat.
Dernière action en date, la décision de Hossni Moubarak, d'endosser le plan du Ministre
israélien des affaires étrangères, Shimon Pérès, pour un règlement du différent
israélo-palestinien. Ce plan a pour nom "Gaza d'abord" et il prévoit un retour
à la normale, par régions successives, jusqu'à l'arrêt complet des violences entre les
parties, ce afin de rendre possible la reprise d'un dialogue politique.
On sait, d'autre part, que le but de M. Arafat, consiste, au contraire, à forcer les
Israéliens "à négocier sous le feu", c'est-à-dire à poursuivre les actions
violentes de l'AP.
C'est le journal arabe "El-Sarak Aleoust", qui a publié l'information.
Désinformation anti-israélienne primaire en Suisse romande (info # d12508)
Par Luc Noverraz, correspondant de la Ména à Genève
La "Tribune de Genève" emboîte le pas de la manipulation grossière de
l'information au détriment de l'image d'Israël. Un dénommé Christian Chesnot, publie
cette semaine un long article, truffé de contrevérités.
Il y traite notamment de "la politique (israélienne) d'assassinats ciblés de cadre
politiques (palestiniens)". Si la politique consiste à préparer des bombes et à
envoyer des kamikazes islamiques, les faire sauter, au milieu de civils innocents, on sera
d'accord avec M. Chesnot. Si ça n'est pas le cas et que les personnes éliminées par les
Israéliens, étaient en voie de mettre la dernière main à une attaque terroriste
(hommes armés s'attaquant systématiquement à des civils - définition Ména), il faudra
définir ces actions, comme "des actes préventifs, visant à éliminer des
terroristes", que cela plaise ou non à ce désinformateur.
Chesnot, dans la foulée, dépeint d'autres situations qu'il ne maîtrise pas. Ainsi,
décrit-il Gilo, comme "une colonie construite en 1972 à la périphérie de
Jérusalem Est". Et encore, "que des militants palestiniens armés, prennent
pour cible les maisons des colons".
A nous, de prétendre, que si ce "journaliste" confond Gilo et les
"implantations" (la raison pour laquelle le terme "colonie" est
sémantiquement impropre figure dans les articles de Stéphane Juffa et, de manière
détaillée, dans les archives de la Ména), c'est qu'il n'a jamais mis les pieds, ni à
Gilo, ni dans une implantation.
Factuellement, Gilo est un ensemble HLM, bâti dans le no man's land entre Israël et la
Jordanie, d'avant 1967. Elle est située dans le Sud de Jérusalem, au départ de "la
Route des tunnels" et pas "à la périphérie de Jérusalem Est".
Et puis, les lecteurs auront corrigé d'eux-mêmes une autre inanité du commentaire de
Chesnot : Les militants palestiniens armés, en question, s'appellent les
"Tanzim" et ils ne prennent pas pour cible les "maisons des colons"
(il faudrait être fêlé pour tirer sur des maisons, non ?) mais bien les "civils
habitant le quartier de Gilo". Cet acte, consistant à tirer systématiquement sur
des civils, s'appelle terrorisme et pas autrement !
A Genève, nous suggérons à la Tribune d'éloigner ce genre de scribouillards amateurs
de ses colonnes. S'il veut militer, à son tour, pour le massacre des Israéliens et
l'établissement d'un Etat palestinien, "de la rivière à la mer", nous
enverrons volontiers à Christian Chesnot les adresses du Jihad islamique et du Hamas !
Quant à la Tribune, qui n'a aucune raison de mêler sa voix à la cacade raciste contre
les habitants d'Israël, elle devrait s'astreindre à mieux choisir ses sources.
A ce titre, la reproduction aveugle d'un article de l'AFP, ce matin, dans lequel la
Tribune de Genève, transforme en gros titre, l'affirmation d'Hachem Mouttab, un
Palestinien de 51 ans, dont Tsahal vient de détruire la maison et qui traite les
Israéliens de "Criminels et de menteurs" est pour le moins incomplète. Elle
aurait dû, au moins, expliquer, qu'Hachem prêtait volontiers sa maison aux snipers
palestiniens et que ces derniers s'en servaient pour assassiner des enfants israéliens.
Comme ce "colon", selon le verbiage de l'AFP, reproduit par la Tribune,
grièvement blessé par les snipers de chez Mouttab, qui venait d'avoir dix ans. Comment
devient-on "colon" à dix ans, il faudra demander ça au quotidien genevois, qui
ferait bien de jeter un il sur ses copies, avant de répercuter des conneries, aux
vilains relents racistes !
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