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L’origine du nom de famille « ZUILI / ZVILI » :
Nom provenant des initiales, (RASHEI TEVOT) d’une phrase en hébreu.
ZONA VAKHALALA YOTER LO YKAKHOU.
Z=lettre alphabétique de ZAYNE, pour le mot : ZONA
V=lettre alphabetique de VAV , pour lemot:VAKHALALA
Y=lettre alphabetique de YOD, pour le mot : YOTER
L=lettre alphabetique de LAMED, pour le mot: LO
Y=lettre alphabetique de YOD, pour le mot: YKAKHOU
Ce qui veut dire : PROSTITUE NON-VIERGE IL NE PRENDRONT (n’épouserons)
PLUS.
Cette phrase est assimilée à la famille des COHEN, car, il est marqué dans
la THORA a leurs égards :.
ICHA ZONA VAKHALALA LO YKAKHOU = UNE FEMME PROSTITUE NON-VIERGE NE PRENDRONT
(n’épouserons) PAS.
La différence dans les deux phrases est « ils ne prendront « PAS ». Pour
les Cohen » et « ils ne prendront « PLUS » pour les Zuili. »
Ce qui laisse supposer que les Zuili ont les mêmes titres de noblesse que les
Cohen qui étaient les grands prêtres du temple de Jérusalem.
Descendants en lignée directe de AAHARON HACOHEN premier grand prêtre, frère
du prophète MOISE.
Les Cohen étaient non seulement les sacrificateurs, mais aussi les garants du
culte des lois juives, et les gardiens du saint des saints, lieu faisant
partie du temple de Jérusalem ou était déposé l’arche sainte qui
contenait les tables de la loi remisent par Dieu à Moise sur le mont Sinaï.
Dans la hiérarchie juive les Cohen, c’étaient les nobles de l’époque.
En tant que sacrificateurs, et par rapport à leur proximité immédiate avec
le saint des saints,
ils devaient êtres purs de corps et d’esprit, ne devaient avoir aucune
infirmité et surtout ne se marier qu’avec des jeunes filles vierges et
pures.
On raconte qu’un saint homme descendant de la tribu de ZABULON, l’une des
douze tribus des enfants d’Israël passait tous son temps au temple, malgré
qu’a l’époque les prières n’existaient pas, on s’acquittait de nos péchés
par des sacrifices.
Au fil du temps, et à force d’être dans le temple, ce saint homme avait
appris à connaître les rites du travail sacré du temple autorise a etre
pratiquer que par les Cohen (COHANIM)
Ce Monsieur connaissait le travail sacré mieux que les prêtres COHANIM
(Cohen) eux-mêmes, et il s’était même mis à enseigné les lois du
travail du culte aux nouveaux prêtres.
.
Quand il y avait un différent entre deux COHANIMS sur une affaire de culte,
c’était devenu une sorte d’arbitre et c’était, ce saint homme qui
tranchait (POSSEK) dans les différents.
A un certain moment de cette époque, il y eu une grande épidémie. La
maladie emporta beaucoup de monde et aussi des COHANIM en grand nombre.
Et il n’y eu plus de sacrificateur valide pour exécuter les sacrifices du
temple, ce saint homme voyant que le culte s’était arrêté, il du lui-même
faire les sacrifices et le reste du travail du temple, passé l’épidémie
ses descendants eurent l’autorisation de continuer à faire le travail du
temple, mais ils durent subirent les mêmes lois de purification que les
Cohen, (COHANIM) d’où « ILS NE PRENDRONT PLUS » au sujet des ZUILI.
Apres la destruction du temple de Jérusalem, en 582 avant notre ère, les hébreux
furent déportés a Babylone et réduits a l’esclavage, c’était une
pratique courante dans l’antiquité pour les peuples vaincus.
Une autre élite du peuple d’Israël, les LEVY réussirent à racheter leur
liberté aux Babyloniens.
Ces derniers quittèrent Babylone, a la recherche de nouvelles terres
d’accueil, certains d’entre eux réussirent a rejoindre Tyr, l’un des
grands port de l’époque d’ou ils embarquèrent sur un navire qui faisait
le tour des cotes méditerranéennes.
Ils débarquèrent pour une raison inconnue, dans le Nord de la Tunisie (a
quelques kilomètres de l’actuelle ville de Tunis) dans une baie qu’ils
nommèrent SALAMBO ( de l’hébreu « SHALOM-BO signifiant PAIX-ICI »).
Les Lévy sachant qu ‘ils auraient a faire des sacrifices pendant leurs pérégrinations,
rachetèrent aussi aux babyloniens, deux des descendants du saint homme du
temple, et ceux-ci dans leur nouvelle terre d’accueil, prirent le nom de
ZVILI ou ZUILI se referant a la phrase citée plus haut.
Dans la période de la colonisation française en Tunisie, la plupart des
ZUILI habitaient la ville de MAHDIA près de SOUSSE au centre des côtes de
Tunisie.
Il n’existait pas de famille Zuili en Algérie, au Maroc, en Espagne ou en
Italie, ce sont des purs orientaux descendants directs des tribus d’Israël.
Victor Cohen.
Texte inédit et dédié a mon amie SABINE ZUILI épouse Haudry.
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