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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nectar (Nectar) le mardi 08 juin 2004 - 01h51:

Qui de nos mamans ou de nos grands méres n'avait pas son Burnous en laine de Gabes ou de Kairouan?

Burnous de femmes de Tunisie Musé Dar Jelouli Sfax


Burnous de femmes de Tunisie Musé Dar Jelouli Sfax


Broderie artisanale tunisienne sur burnous Musé Dar Jelouli Sfax


Broderie artisanale tunisienne sur burnous Musé Dar Jelouli Sfax

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nectar (Nectar) le mardi 08 juin 2004 - 01h47:

Qui se souvient de ces veritables verous ou cadenas antiques qui ont fermés les portes des magasins de nos péres ou grands péres?


Verous ou  cadenas des magasins de Tunisie Musé Dar Jelouli Sfax


Verous ou cadenas des magasins de Tunisie Musé Dar Jelouli Sfax

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nectar (Nectar) le mardi 08 juin 2004 - 01h41:

Qui se souvient de l'artisanat juif tunisien des Portes d'entrées des maisons arabes ornées de gros clous.

Ces grandes portes sont a double battant ou a un seul battant.

Elles sont uniques en leurs genres, vous pouvez les voir encore aujourdhui, souvent dans les immeubles des Médinas derierre les remparts.

Les décorations en pointillés de ces gros clous representent des fois des menorah, des maguen-David ou des fleurs.

Quand c'est des ménorah ou des maguen-David cela designe que cette habitation etait juive.

Les artisans qui fabriquaient ces portes etaient exclusivement de confession juive, a part ces portes ils fabriquaient aussi des coffres en bois et des lits en bois.

J'ai trouvé un ancien coffre exposé au musé Dar Jelouli a Sfax:

Coffre clouté a la maniére de l'artisanat juif tunisien Musé Dar Jelouli Sfax


Coffre clouté a la maniére de l'artisanat juif tunisien Musé Dar Jelouli Sfax

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 07 juin 2004 - 23h35:

Omega, lorsqu'on commence par:

" N'etes vous pas fatigue de repeter sans arret que Oslo est la source de tous les problemes d'Israel ?"

Vous montrez que vous n'etes pas une personne avec qui nous pouvons dialoguer et vous devenez pour moi une persona non grata.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Omega (Omega) le lundi 07 juin 2004 - 20h13:

Mr Tubiana

N'etes vous pas fatigue de repeter sans arret que Oslo est la source de tous les problemes d'Israel ?

Oslo est la demarche courageuse qui a permis de faire reconnaitre aux Arabes et aux Israeliens qu'il fallait s'asseoir et discuter de paix. Et ce n'est pas parce que la route est semee d'embuches qu'il vous faut cracher sur Oslo.

Pouvez vous dire par exemple que votre heros Ariel Sharon ait mieux reussi avec sa politique de "Paix et Securite" ??? Ou alors que vous soyez partisan des solutions de "Transfert" pronees par nos ministres d'extreme droite.

Toute solution au probleme Israelo-Palestinien devra passer par une negociation quelconque et vous verrez que nous reviendrons toujours a un OSLO.

A moins que bien sur vous ayez une solution miracle dont je vous suggerre de nous faire part ici meme.

OMEGA

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le lundi 07 juin 2004 - 19h24:

Le joli mois de mai (info # 010706/4) [analyse]

Par Stéphane Juffa © Metula News Agency



Merci à Sylvie Tobelem, notre précieuse assistante de rédaction, qui a recueilli et rationalisé les données statistiques figurant dans cet article.



Le mois de mai a été faste pour la Metula News Agency. En tous cas du point de vue du nombre de ses lecteurs et des visites sur le site de notre agence, qui ont connu leurs meilleurs résultats depuis la création officielle de la Ména, en mai 2001.



L’agence compte désormais 82'278 abonnés et les estimations les plus sérieuses font état de plus de 260'000 lecteurs de nos articles les plus populaires sur PC, sans compter ceux qui nous lisent sur des copies-papier et que nous n’avons aucun moyen de dénombrer.



La qualité de notre lectorat n’est pas moins significative du rôle central que remplit désormais notre petite agence de presse dans l’information liée aux événements du conflit proche oriental. A en juger par nos bases de données, près de 10% des politiciens de langue française consultent occasionnellement nos analyses et cette proportion tutoie les 50%, auprès des responsables politiques francophones exerçant une responsabilité nationale ou européenne.



Au sein des journalistes et des femmes et hommes de communication ayant un regard professionnel sur la situation internationale, la presque totalité de nos confrères prend désormais nos informations en compte en préparant leur travail. Ils appartiennent à toutes les ramifications médiatiques, télévision, radio et presse écrite.



Nos papiers sont traduits spontanément parfois jusqu’en quinze langues, qui vont de l’anglais, dans des publications américaines de première importance, au ladino de la revue Desde de Sefarad.



Cette popularité s’explique partiellement par les analyses stratégiques et les articles de réinformation exclusifs que l’on trouve sur la Ména. Où d’autre les personnes intéressées à la problématique israélo-arabe auraient-elles pu trouver une analyse aussi détaillée de la stratégie et des tactiques du chef de l’Autorité Palestinienne, Yasser Arafat, explicitées ou citées dans plus de soixante-dix de nos articles. [voir les articles de la Ména mentionnant le projet du Porte-avions de monsieur Arafat] [1].



Et qui connaîtrait de l’imposture de France 2, de Talal Abou-Rahma et de Charles Enderlin dans l’affaire A-Dura, dans ses moindres détails, si la Ména n’était pas là ? Une recherche exclusive référencée en plus de cent analyses [A-Dura (30 articles), Al Dura (20), A Dura (20), Al-Dura (30)][2], et qui a déjà convaincu la vaste majorité des éditorialistes et de l’opinion publique américains du bien-fondé de nos conclusions. Qui douterait, en Europe, de l’allégation du caméraman de FR2, selon laquelle des soldats israéliens auraient harcelé un gamin arabe de douze ans, durant quarante-cinq minutes, dans l’intention de le tuer ? Qui d’autre que la Ména s’est-il attaqué à ce formidable mur de l’Atlantique médiatique, dressé autour du mensonge, par une presse française largement complaisante et peu curieuse, y compris la presse communautaire juive ?



Alain Legaret in Primo Europe, dans "Sous prétexte qu'ils sont aussi Israéliens", a érigé une liste des plus graves cas de désinformation médiatique, liés au conflit israélo-palestinien. Ceux que j’ai recopiés en rouge ont été dévoilés et démontrés, à concurrence de preuves, par la Ména. Il s’agit de sept affaires sur dix :



"Sylvain Cypel dans le Monde fait son scoop sur le plus gros complot israélien aux Etats-Unis : un faux.



Libération publie en couverture la photo d'un Palestinien ensanglanté menacé par un policier israélien : un faux.



Sara Daniel, dans le Nouvel Observateur, informe que les soldats Juifs violent les filles palestiniennes pour qu'elles soient exécutées : un faux.



TV5 diffuse le reportage de la Basilique de la Nativité saccagée par les Israéliens : un faux.



Plusieurs médias annoncent le meurtre par des Israéliens d'un prêtre catholique italien : un faux.



France 3 montre un bébé palestinien tué par des balles israéliennes : un faux.



Thierry Thuillier, sur France 2, diffuse un reportage dans lequel il montre des soldats juifs sadiques prenant plaisir à tuer trois enfants avec l'approbation du peule israélien: un faux.



Le Nouvel Observateur publie un article de Victor Cygielman dans lequel l'armée israélienne a ordre d'empêcher les soins aux blessés palestiniens : un faux.



France 2 et Charles Enderlin diffusent au yeux du monde l'assassinat du petit Al-Dura par des balles israéliennes : un faux."



A cette liste de Legaret, il convient d’ajouter la fausse information à propos du massacre de Jénine, qui avait intoxiqué jusqu’au Secrétaire général de l’ONU. La Ména avait informé ses lecteurs, une semaine avant l’issue de la bataille de Jénine, de ce que l’Autorité Palestinienne s’apprêtait à mettre en scène un simulacre de massacre dès le départ des forces israéliennes. [Relire "Massacres post-mortem ?" d’Ilan Tsadik]



Au-delà du nombre d’analyses et d’articles - à la qualité et à la précision de plume de nos rédacteurs généralement reconnues - tous consacrés au problème de la cohabitation israélo-arabe, au Proche-Orient et au problème juif, il me semble que d’autres facteurs expliquent l’intérêt qu’on porte à notre agence. En relisant le dernier Ilan Tsadik à propos du procès Morin, j’ai eu l’impression de comprendre certaines de ces raisons. Elles tiennent, à mon sens, des éloignements physique et intellectuel bénéfiques existant entre nos rédacteurs et l’événement qu’ils commentent, lorsque cet événement se situe en Europe – quant aux événements du Proche-Orient, ils sont analysés par un spécialiste palestinien lorsqu’ils se déroulent en Palestine, libanais au Liban et en Syrie et israéliens en Israël -.



Certes, l’ouverture, l’argument et le verdict du procès de Nanterre ont été ici et là couverts, du bout de la fourchette, par un petit nombre de médias mais personne d’autre qu’Ilan n’avait passé sous la loupe les points scandaleux qui les ont émaillés. Personne d’autre que la Ména n’avait occupé trois journalistes et deux juristes, deux jours durant, afin de livrer aux lecteurs de l’agence les fait troublants qui entachent les onze pages du jugement de la cour. De les livrer sans ambages, avec l’assurance que ce qu’on publie est juste et nécessaire. De les livrer dans un format qui permet aux lecteurs de comprendre que ce jugement entérine un acte de racisme intellectuel brut, diffusé et défendu par le plus important quotidien français, et qui punit la demi poignée d’avocats et de représentants institutionnels des victimes qui ont eu la détermination d’engager la procédure qu’il fallait, afin de défendre l’intégrité de la société dans laquelle ils vivent et la peau de leurs coreligionnaires.



Cela se passait sous les yeux des Français et à quatre mille kilomètres des nôtres. Tout comme lors de l’épisode Sara Daniel, qui serait passé inaperçu, aucun organe de la presse indigène n’avait remarqué que le verdict de Nanterre constituait un authentique scandale judiciaire qui, qui plus est, met en péril l’intégrité physique des Israélites en France.



Je vois au fait que c’est à Métula qu’on lève souvent ces lièvres, la raison supplémentaire que nous ne faisons pas partie de l’environnement social, politique, communautaire et intellectuel dans lequel ces événements se sont déroulés. Ici, pas de crainte – hormis celle, permanente, que le ciel nous tombe sur la tête – pas de vaches sacrées, pas de complexes d’exilés, pas de nécessité de ménager des édiles ou des dirigeants politiques. Rien de tout cela. A Métula, nous jouissons du double luxe d’avoir accès à l’information aussi vite que nos concurrents et de pouvoir la traiter sans entraves. Vu d’ici, un acte qui condamne les caractères nuisibles de tout un peuple – quel que soit ce peuple et quel que soit l’endroit où cet acte est commis - est un acte raciste, tout comme les anglicismes frelatés de l’agence de presse officielle d’un pays et d’un quotidien étrangers constituent des tentatives indiscutables d’orienter l’information dans un but propagandiste.



Alors nous l’écrivons et nous jouons ainsi notre rôle d’informateurs, en fournissant, dans le cas de la France, aux responsables politiques et communautaires les évidences utiles de ce que l’antisémitisme actuel est causé par des choix politiques, que ceux-ci engendrent directement un processus de démonisation frénétique de la nation d’Israël dans les médias et une désorientation de l’appareil judiciaire. L’antisémitisme que nous observons recèle des coupables, de l’antisémitisme et des antisémites, il n’est pas un phénomène métaphysique spontané, il n’est pas une fatalité qu’on ne pourrait gérer qu’avec des forces de police. Il n’est pas non plus, et c’est encore plus important à relever, un phénomène d’inspiration populaire, mais il est grossièrement suggéré au peuple.



La seule ombre au bilan semestriel des activités de la Ména que je dresse dans cet article, c’est que nous pourrions en faire encore beaucoup plus. Nous aurions pu, par exemple, participer à une enquête internationale à laquelle nous fûmes conviés en Irak ; nous aurions pu diligenter beaucoup plus rapidement l’action à caractère éthique que nous avons entamée en Israël contre la désinformation contrôlée de l’AFP, nous aurions voulu créer la Ména aux USA et celle en espagnol, nous aurions voulu posséder un bureau de marketing et de rencontres politiques au cœur de Paris.



Que personne ne doute de la solidité financière de la Metula News Agency pour autant ; contrairement à d’autres organes de presse (nombre d’entre eux sont en situation de faillite virtuelle permanente), nous avons, dès le début, eu recours à un système qui nous met à l’abri des dangers économiques : Nous ne dépensons chaque mois que le produit des abonnements et des ventes d’actions du mois précédent. Ainsi, par principe de fonctionnement, la Ména ne doit jamais rien à personne.



Ceci dit, cet équilibre financier doit beaucoup aux sacrifices de nos rédacteurs. Nous comprenons parfaitement ce qu’Ilan a voulu dire lorsqu’il a écrit que "cela le gonflait" de travailler autant et de prendre des risques alors que la Ména a autant de lecteurs et aussi peu de payeurs [3]. Et il n’est pas le seul à prendre des risques afin de vous informer, je pense à Sami el-Soudi et à Michaël Béhé en particulier. Leur travail et leur courage devraient être mieux reconnus. Je ne parle certes pas des gens qui n’ont pas les moyens de s’acquitter d’un abonnement de cinq Euros par mois, je parle de tous les autres ; je parle de ceux qui peuvent contracter un abonnement AM, qui nous lisent tous les jours, et qui ne le font pas.



C’est au plan intellectuel que je ne les comprends pas, tout comme je ne conçois pas qu’Avocats sans frontières et France-Israël doivent gratter la terre pour s’acquitter des frais d’appel dans le procès Morin.



Je sais bien qu’on peut lire presque tous nos articles sur les sites autorisés de Desinfos, Guysen, Primo, sur le site de l’UPJF et que vous êtes des dizaines de milliers à le faire. De là à ne pas comprendre l’utilité publique d’une Ména encore plus forte et efficace, il y a une économie surprenante que des gens font et qui me dépasse assurément.





Notes :



[1] J’ai édité ces liens afin que les lecteurs qui désirent avoir accès à l’intégralité des publications de la Ména sur la stratégie du porte-avions puissent les consulter

[2] Idem pour l’affaire A Dura, selon les 4 orthographes d’A Dura qui figurent dans nos articles

[3] La proportion entre le nombre de lecteurs réguliers, d’abonnés et celui de ceux qui s’acquittent de leur abonnement est à ce point décevante que j’ai vergogne à l’indiquer dans cet article. Sachez qu’il ne représente pas 1% des lecteurs quotidiens de nos dépêches.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le lundi 07 juin 2004 - 18h29:

Yad Vashem sur le net


Très prochainement, les noms des victimes de la Shoah déjà transmis à l’Institut Yad Vashem de Jérusalem, pourront être consultés sur le site Internet https://www.yad-vashem.org.il/.

Afin de poursuivre la collecte des noms, nous vous invitons à contacter l’Institut Français pour Yad Vashem qui met à votre disposition des feuilles de témoignages à remplir, une par victime, pour ceux et celles dont vous connaissez les identités.

Ces documents seront ensuite transmis à l’Institut Yad Vashem de Jérusalem pour que ces noms figurent sur la banque de données des victimes de la Shoah.

Si par ailleurs une personne non juive a pris des risques pour vous ou votre famille pendant l’occupation, vous pouvez lui rendre hommage en constituant un dossier auprès de l’Institut Yad Vashem France, qui décore les Justes des Nations, même à titre posthume.

Institut Yad Vashem France, 64 avenue Marceau, 75008 Paris
Tel : 01 47 20 99 57
Fax : 01 47 20 95 57
Email : yadvashem.france@libertysurf.fr

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le lundi 07 juin 2004 - 18h19:

Le cimetière de Niederhaslach profané pour la deuxième fois en un mois


STRASBOURG (AFP) - Des croix gammées et des sigles SS ont été découverts lundi matin sur quatorze tombes du cimetière catholique et protestant de la commune de Niederhaslach (Bas-Rhin), déjà profané début mai, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.

Les inscriptions ont été marquées à la bombe de peinture noire sur les pierres recouvrant les tombes, de part et d'autre de l'allée du petit cimetière situé au coeur du village.

Un transformateur électrique installé à l'extérieur du cimetière a également été tagué.

Le 2 mai, quarante-huit heures après la découverte de la profanation de 127 tombes du cimetière juif de Herrlisheim (Haut-Rhin), des croix gammées, tracées à l'envers, avaient été découvertes sur 22 tombes de ce même cimetière.

A l'extérieur du cimetière, des insultes comme "Fils de pute" avaient été inscrites sur une poubelle, sur la salle des fêtes, sur une route à l'entrée du village, ainsi que sur un transformateur électrique situé en face du cimetière sur lequel était également tagué "Vive FN".

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le lundi 07 juin 2004 - 07h49:

Les Fils et Filles des Déportés Juifs de France
Militants de la Mémoire

F.F.D.J.F.
Association régie par la Loi de 1901
32, rue La Boétie - 75008 Paris
Président : Me Serge Klarsfeld

C O M M U N I Q U E

Vendredi 11 juin 2004 à 10 heures,
au Palais de Justice de Paris,
à la Chambre Criminelle de la Cour de Cassation
réunie en Assemblée Plénière,
sera examiné le pourvoi en cassation
de Maurice Papon,
contre le verdict de la Cour d'Assises de Bordeaux
qui l'a condamné à 10 ans de réclusion criminelle,
comme l'avaient demandé les Fils et Filles des Déportés Juifs de France.

Si ce pourvoi de Papon est rejeté, comme nous le souhaitons et le pensons,
ce sera l'acte ultime d'une procédure engagée en 1981.
Il aura fallu 24 ans pour juger et condamner définitivement Papon.

Nous comptons sur vous pour venir le 11 juin,
devant ou dans le Palais de Justice, Boulevard du Palais, à 9 heures.

Les FFDJF seront présents en nombre!

Serge Klarsfeld.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 06 juin 2004 - 23h19:

c:/

Envoye par Avraham

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Francois (Francois) le dimanche 06 juin 2004 - 22h49:

«Si vous êtes musulman, vous êtes suspect»
par Daniel Pipes
New York Sun

Version originale anglaise: "If You Are Muslim, You Are Suspect"

Adaptation française: Alain Jean-Mairet

Le gouvernement américain arrêta par erreur Brandon Mayfield, 37 ans, domicilié à Beaverton, dans l'Oregon, le 6 mai dernier. Des empreintes digitales en provenance de Madrid semblaient l'impliquer dans les attentats à l'explosif qui y tuèrent 191 personnes et en blessèrent 2000 autres le 11 mars de cette année. Lorsque le gouvernement espagnol identifia finalement ces empreintes comme étant celles d'un Algérien, le Département de Justice ordonna que M. Mayfield soit remis en liberté, ce qui fut fait.

Au-delà de la simple erreur technique, le Département de Justice a fait l'objet de critiques pour avoir constitué son dossier contre M. Mayfield en partie sur la base de ses attaches islamiques. «Je suis un Musulman américain», clama M. Mayfield lors de sa libération. «Mon sentiment est que j'ai été victime de discrimination en raison de ma religion.» Son père Bill abonde dans ce sens: «Ils l'ont choisi parce qu'ils voulaient quelqu'un qui corresponde à son profil. Il était le plus proche qu'ils aient sous la main, et il était musulman.»

«Si vous êtes musulman, vous êtes suspect», conclut Samer Horani, du Centre islamique de Portland, dans l'Oregon. Dave Fidanque, de l'Union des libertés civiles américaines, s'avança même jusqu'à dire que «pour le Département de Justice, si vous êtes musulman et que vous fréquentez certaines mosquées considérées comme suspectes, vous êtes présumé coupable jusqu'à preuve du contraire». Le New York Times relève sur le ton de la désapprobation que la décision d'incarcérer M. Mayfield «était clairement influencée par ses attaches islamiques».

Mais les forces de l'ordre ont-elles commis une erreur en soulignant l'identité de M. Mayfield?

Non, leur attitude était parfaitement appropriée. C'eut été faire preuve de myopie que d'ignorer les nombreux liens de M. Mayfield avec l'Islam militant et le djihad mondial.

Il priait dans la même mosquée Bilal que plusieurs individus (Maher Nawash, Ahmed Ibrahim Bilal et Muhammad Ibrahim Bilal) qui plaidèrent coupables en 2003 à l'accusation de complicité avec les talibans. Le site Web de cette mosquée contient des hyperliens vers des organisations islamiques militantes, y compris certaines «associations caritatives» interdites par le gouvernement américain pour avoir financé le terrorisme. Le spécialiste des affaires saoudiennes Stephen Schwartz estime que Bilal est «une mosquée plutôt typique de celles contrôlées par le wahhabisme».

Alors qu'il étudiait le droit à l'université de Washburn, au Texas, M. Mayfield participa à l'organisation d'une branche de la Muslim Student Association, un groupe décrit par l'analyste Jonathan Dowd-Gailey comme «une organisation ouvertement politique» épousant «le wahhabisme, l'antiaméricanisme et l'antisémitisme (…) et exprimant sa solidarité avec les idéologies de Islam militant, parfois avec des retombées criminelles».

En 2002, M. Mayfield se porta volontaire pour représenter Jeffrey Leon Battle – qui, plus tard, plaida coupable à l'accusation d'incitation à la guerre contre les États-Unis et fut condamné à 18 ans de prison – dans un litige portant sur la garde de son fils. Curieusement (à en croire Quanell X, porte-parole national des New Black Panthers et ami de Battle), M. Mayfield se rendit au Texas à ses propres frais pour y défendre Battle.

Quelqu'un se trouvant dans la maison de M. Mayfield était en contact téléphonique avec Perouz Sedaghaty (alias Pete Seda), directeur de l'antenne américaine de l'Al-Haramain Islamic Foundation, dont plusieurs branches étrangères ont été désignées comme des organisations terroristes.

M. Mayfield faisait de la publicité pour son cabinet dans un recueil d'adresses «musulmanes» dirigé par Jerusalem Enterprises Inc., une société appartenant à Farid Adlouni. Or ce dernier est «directement impliqué dans des activités commerciales» avec Wadih El Hage, secrétaire personnel d'Oussama Ben Laden dans les années 1990 et condamné en 2001 pour avoir préparé le meurtre de citoyens américains.

Et il y a davantage encore:

Le profil politique de M. Mayfield recoupe celui de nombreux terroristes aigris et haïssant l'Amérique: il condamne fermement le Patriot Act, peste contre la politique étrangère américaine envers les pays musulmans et se montre «particulièrement irrité», selon son frère Kent, par les étroites relations entretenues par les États-Unis avec Israël. M. Mayfield suppose que l'administration Bush était au courant des préparatifs des attentats du 11 septembre et qu'elle décida de laisser faire les terroristes pour justifier l'entrée en guerre. Et, à sa remise en liberté, il compara le gouvernement des États-Unis à l'Allemagne nazie.

M. Mayfield partage avec de nombreux islamistes enclins à la violence en Amérique (tels que Maher Hawash, Mohammed Ali Alayed, Zacarias Moussaoui et le «Lackawanna Six») la caractéristique d'avoir passé d'une appartenance nominale à l'Islam à l'expression d'une foi «de plus en plus intense».

Les responsables de l'instruction judiciaire, lorsqu'ils disposent de preuves apparemment tangibles, sont-ils supposés ignorer sciemment ces liens et ces comportements? Le Département de Justice faisait tout simplement son travail en les mettant en lumière.

Même Ibrahim Hooper, du Conseil des relations américano-islamiques (Council on American-Islamic Relations, CAIR) – un groupe islamiste lui-même impliqué à de nombreux égards dans la violence – admet qu'«aucun Musulman n'est jamais très éloigné du terrorisme». Les gouvernements du monde entier doivent prendre en compte cette réalité.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Finzi (Finzi) le dimanche 06 juin 2004 - 21h09:

JOCELYN HATTAB,
Félicitations pour ce site qui est très sympa ! On voit que tu t'éclates dans ton travail !
Bisous,
Sandra
(je suis aussi de ta famille puisque maman c'est ... Jacqueline Finzi-Guez)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le dimanche 06 juin 2004 - 18h13:

Agression d'un jeune juif: un suspect déséquilibré au centre de l'enquête


EPINAY-SUR-SEINE (AFP) - L'enquête sur l'agression au couteau d'un jeune juif à Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) se concentrait dimanche sur un suspect suivi au plan psychiatrique qui aurait attaqué de la même façon quatre autres personnes quelques heures après la première agression.

Ce suspect, âgé de 28 ans, d'origine maghrébine et ayant des antécédents psychiatriques, a été interpellé samedi après-midi et placé en garde à vue dans les locaux du service départemental de la police judiciaire de Bobigny, chargé de l'enquête.

Vendredi après-midi, Israël, un jeune étudiant juif de 17 ans pensionnaire de l'école talmudique "Mékor Israël", a été attaqué d'un coup de couteau au pectoral droit par un individu qui aurait crié "Allah Akbar" (Dieu est grand), selon son témoignage recueilli par la police, avant qu'il ne s'écroule.

Hospitalisé à l'hôpital Beaujon à Clichy (Hauts-de-Seine), son état de santé était jugé "bien meilleur" dimanche après une opération vendredi soir, son poumon droit n'ayant pas été touché, selon Sammy Ghozlan, président du bureau national de vigilance contre l'antisémitisme.

Quelques heures après cette première agression, quatre autres personnes ont été à leur tour attaquées à Epinay, également au couteau et par un jeune, selon la police.

Deux de ces quatre personnes ont porté plainte et formellement reconnu leur agresseur, qui a proféré des propos plus ou moins cohérents, en relation avec une origine ou une religion, selon des sources policières.

Parmi ces victimes figure Alberto Pandupy, originaire de Guinée-Bissau, attaqué tôt samedi matin non loin du lieu de l'agression d'Israël. "Il a voulu me poignarder. Je l'ai immobilisé en le tapant sur la main et je l'ai mis à terre. Il a crié en arabe +Bissimi Lahi+ (Au nom de Dieu, ndlr) qui est le premier verset du Coran qui signifie +Dieu est grand+, comme +Allah Akbar+", a expliqué à l'AFP M. Pandupy qui a porté plainte.

"Les profils des quatre victimes sont très différents de celui du jeune de confession juive. L'une d'elle est livreur de journaux, l'autre a été agressée en sortant ses poubelles à Epinay. Aucune d'entre elles n'est de confession juive", a-t-on précisé dimanche à la préfecture de Bobigny.

Les enquêteurs doivent attendre que l'état de santé du jeune Israël s'améliore pour lui permettre de témoigner et de reconnaître ou non son agresseur.

A l'école talmudique, un professeur, interrogé par l'AFP, restait convaincu dimanche du caractère antisémite de l'agression : "Que l'enquête montre si l'agresseur est fou ou non, cela est la même chose pour nous. Une agression antisémite n'est-elle toujours pas commise par des fous ?", a estimé Francis Guedj.

"Israël est très choqué après cette agression et il m'a dit que la personne qui l'a attaqué était très hargneuse et méchante et a bien crié +Allah Akbar+ (Dieu est grand)", a ajouté Sammy Ghozlan.

Selon la victime, citée par M. Ghozlan, l'agresseur est physiquement "très grand, environ 1,90m et d'origine maghrébine".

L'agression du jeune homme a suscité une intense émotion et de nombreuses réactions de politiques comme d'associations qui se sont inquiétés d'une aggravation des actes antisémites.

Le président Jacques Chirac a "condamné avec la plus grande fermeté" vendredi l'agression et a adressé "un message de solidarité" à la communauté juive de France, et dès vendredi soir, le ministre de l'Intérieur, Dominique de Villepin, s'était rendu sur place.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Haim (Haim) le dimanche 06 juin 2004 - 17h35:

Jocelyn Hattab
tu as aussi un autre neveu en israel qui s'appelle Aboulafia Michel psychiatre pour enfants
en fait c'ets aussi mon neveu puisque sa mere Mme Aboulafia Lise est ma soeur.
Lise Aboulafia est la fille De Albert Hattab
Bye
Victor Hattab Ex ELAL
on a deja discute une fois Bye