Par A_Soued (A_Soued) le mardi 15 juin 2004 - 07h31: |
Devant les anomalies de la justice française à l'égard des délits antisémites commis par des maghrébins immigrés, il nous a paru utile de publier le document qui suit, car de plus en plus les décisions de justice sont influencées par les médias et le "politiquement correct", créant une "double normalité". Voir aussi www.nuitdorient.com
DEUX POIDS ET DEUX MESURES
Par Newt Gingrich, ancien "speaker" de la Chambre des Représentants américaine, membre de l'American Enterprise Institute
Paru dans le Wall Street Journal du 9 mai 2004.
Traduit par Albert Soued, écrivain, www.chez.com/soued
La couverture médiatique des manquements à la loi américaine à l'égard des prisonniers de guerre irakiens risque d'instituer un périlleux "deux poids et deux mesures" dans les relations américano-arabes. L'administration américaine devrait exprimer clairement ce que nous ressentons et comment nous allons sévir. Autrement nos ennemis ne manqueront pas d'utiliser nos propres paroles comme excuse pour exploiter la situation à leur avantage, en faisant le raisonnement que les normes à appliquer sont différentes pour l'une et l'autre partie.
Un nombre infime d'américains se sont conduits d'une manière horrible dans une prison à Abou Ghraib. Et parce que nous vivons sous le régime de la Loi et que nous cherchons à protéger la Constitution coûte que coûte, ceux qui sont accusés d'abus ou d'exactions seront interrogés et s'ils sont coupables, seront condamnés…. Certains ont demandé que Donald Rumsfeld démissionne. Pourtant c'est lui qui a déclenché le processus d'enquête sur les abus incriminés et qui a demandé qu'il y ait un procès équitable et que les responsables soient punis. Nous autres américains nous sommes fiers de notre justice et nous ne devons pas être équivoques à ce sujet, même si ces incidents répréhensibles ne doivent être considérés que comme des parenthèses dans notre contribution à l'égard du peuple irakien et pour la sécurité mondiale.
Que nous soyons en colère devant ce type d'abus et que nous soyons déterminés à sévir paraît sain. Cependant a contrario, en paraissant pleins de contrition, en nous excusant d'une manière exagérée, nous commettons une grossière erreur. Je ne suis pas surpris que la gauche anti-américaine dans notre pays et en Europe, avec sa mémoire sélective, se souvenant toujours des erreurs des Etats-Unis et s'empressant d'oublier les atrocités commises par de nombreux autres pays contre les droits de l'homme et contre notre pays, se précipite pour nous condamner dans tous les médias.
Avec un sens particulier de la sélectivité des actes de violence, les médias de gauche et pan-arabes honorent et donnent la prééminence aux terroristes et aux foules déchaînées.
La moindre erreur américaine est mise en exergue dans les manchettes des journaux et vilipendée.
Il serait suicidaire de contribuer à instituer une double norme, une norme pour les démocraties, une autre norme pour tous les autres pays.
Rappelons que les médias pan-arabes étaient muets quand le dictateur syrien Hafez al Assad a détruit Hama, tuant plus de 20 000 innocents dans son propre peuple ou quand Saddam Hussein a utilisé des gaz mortels contre les Irakiens, envoyant dans des tombes anonymes plus de 300 0000 personnes. Rien de négatif n'a été prononcé par ces mêmes médias quand des américains ont été brûlés, mutilés et traînés à travers les rues de Fallouja, ou quand deux tueurs palestiniens embusqués ont tiré à bout portant sur une femme enceinte dans son véhicule, tuant ses 4 filles de 2 à 11 ans devant ses yeux, puis l'achevant (1).
Cela vaut la peine de se rappeler le responsable de CNN, Eason Jordan, qui a reconnu que sa chaîne avait délibérément ignoré et caché les atrocités de Saddam Hussein, afin de pouvoir rester à Bagdad, une politique de prudence qui n'a plus cours quand il s'agit de couvrir des insanités sadiques dans une prison irakienne sous responsabilité américaine…
Nous devons affirmer avec fermeté notre engagement pour nos valeurs et dénoncer tout acte qui les viole ou les salisse. Alors que nous annonçons publiquement notre volonté de punir les coupables d'Abou Ghraib qui violent nos propres lois, nous devons être vigilants à ne pas laisser croire que nous acceptons "une double norme", qu'il est permis de condamner les Etats-Unis pour n'importe quoi, alors qu'il est permis d'accepter la perversité arabe, la terreur, les mutilations et la barbarie comme norme de conduite acceptable dans les pays non démocratiques.
Nous devons demander avec fermeté aux gouvernements arabes et à leurs médias de condamner sans ambiguïté tout acte barbare, toute brutalité, toute terreur dans leur propre communauté. Et nous devons rejeter avec véhémence toute personne qui salit nos 200 000 soldats courageux risquant leur vie à tout instant pour un Irak libre et pour un monde en sécurité.
(1) Newt Gingrich s'indigne devant l'ampleur de la couverture des atrocités d'Abou Ghraib, quand ce drame atroce de toute une famille sans défense décimée est couvert par deux lignes dans un journal américain, sans émotion, sans dénonciation, sans signe d'horreur, ni de scandale, un acte de plus dans la perversité banale.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 15 juin 2004 - 05h34: |
Albert
Chez nous on dit:
Mcha Elmal Quand les tresors sont finis
Qyad Lahbal Reste toujours la folie
Puis on dit :
Youffa Mal Ejeden
Finis les tresors des ancetres
Outoqyod Sanyat El Yeden
Reste le metier des mains
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 15 juin 2004 - 05h25: |
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 15 juin 2004 - 05h11: |
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 15 juin 2004 - 04h25: |
George W. Bush is going to win. He'll win the war, and he'll win the election. How do I know this? Needless to say, I don't. And, God knows, the Bush administration often seems to be snatching defeat from the jaws of victory. But I've spent much of the last two weeks abroad, which (perhaps) gives you perspective. And that perspective leads me to think Bush will win.
It's not just that in Europe every leftist anti-American creep and every world-weary phony sophisticate wants and expects Bush to lose in November, and America to lose in Iraq. Surely the American people won't give them the satisfaction of having their wishes granted. Nor would the American people want to devastate the few beleaguered pro-American, pro-war-on-terror, anti-appeasement politicians and intellectuals in Europe.
Okay, that's wishful thinking. But there are grounds for hope. We are actually winning the war in Iraq, and the war on terror. We're not winning either as thoroughly or as comprehensively as we should be. Still, it is a fact that one year after the invasion of Iraq, Saddam and his regime are gone; a decent interim Iraqi government is taking over; we and the Iraqis have not suffered a devastating level of casualties; the security situation, though inexcusably bad, looks as if it may finally be improving; Moktada al-Sadr seems to have been marginalized, and the Shia center is holding; there is nothing approaching civil war. The failure to follow through in Falluja remains a problem, but it needn't become a precedent. And last week, the new prime minister, Iyad Alawi, thanked the United States for liberating Iraq, said that it would be "a major disaster" for U.S. forces to leave, and privately said that to win the war you have to kill the enemy. So it's unlikely he will constrain our troops excessively.
Meanwhile, most of the pathologies in the region that predate March 2003 still exist, but they're not worse, and some are better. There has been real progress, in Saudi Arabia and elsewhere, against terror; the A.Q. Khan nuclear proliferation network has been exposed; there has been progress on the Israeli-Palestinian front; there are signs of liberal ferment in the Arab world.
One sensible but conventional journalist wrote last week, "Can anybody seriously argue that, knowing what they now know about the unfolding of events in Iraq, the allies would willingly do the same thing again?" I think the answer is yes. And I think the American people will answer yes in November. They'll answer yes because they aren't really going to believe that we would have been better off to have left Saddam in power in Iraq. And the American people aren't really going to believe that more focus on first responders, and less on removing brutal dictators and changing the Middle East, is the right way to fight the war on terror.
Senator Kerry, it has to be said, is running a sensible and cautious campaign. But that makes him almost unique among Bush's opponents. Kerry is surrounded by loony supporters whose extremism will hurt him--or would hurt him, if the Bush campaign were more nimble. Poor Bob Dole had to pay in spades in 1996 for every incautious statement of Newt Gingrich. The first President Bush suffered for Pat Buchanan's convention speech. Left to their own devices, the media aren't going to make Kerry pay for anything, to be sure. But they would at least have to pay attention if the Bush campaign made a bigger deal out of the mind-boggling slanders by Kerry's fellow Massachusetts senator, Ted Kennedy, his predecessor as his party's nominee, Al Gore, and the largest bankroller of the anti-Bush forces, financier George Soros.
Kennedy last month hyperventilated about Abu Ghraib: "We now learn that Saddam's torture chambers reopened under new management: U.S. management." Kerry, asked about that statement the next day, said, "He's my friend and I respect him, but I don't agree with the framing of that." The framing? But that was that--no follow-up from the Bush campaign to wrap that comment by his buddy Ted around Kerry's neck and to cause him days of discomfort.
A couple of weeks ago, Al Gore gave a speech in which he referred to "Bush's Gulag." Where were the Bush campaign surrogates, asking Kerry whether he thought that formulation was appropriate? And then last week, George Soros said that "the way President Bush conducted the war on terror converted us from victims to perpetrators." The Republican party chairman called this remark "troubling"--but made no effort to put Kerry on the spot. (Instead, the Bush campaign made a silly attack on Kerry for skipping a 95-0 Senate vote to authorize $25 billion for Iraq.)
It's frustrating. It's a ham-handed campaign. But Bush will win anyway. Then he can shake up his administration and really make progress toward winning the global war in which we're engaged.
--William Kristol The weekly Standart from June 14,2004
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 15 juin 2004 - 01h47: |
Cher Henri, mais qui t'empeche de vivre en Israel?
Mon pere disait "Koul Ala Kifek Ou Eta'da kif Enass" ( Mange a ta guise et passe comme les autres.) Je ne crois pas avoir manque de respect pour ceux qui vivent en Israel" Je l'avais dit plusieurs fois, j'ai quatre soeurs avec leurs enfants et leurs petits enfants qui vivent en Israel et j'ai de la famille du nord au sud d'Israel et qui a parmi elle des enfants a l'armee depuis un simple soldat jusqu'au grade de colonel et plus. J'ai beaucoup de respect pour tous et tous me respectent pour ce que j'ai fait pour Israel. Mais j'ai horreur de voir des personnes qui se vantent tout le temps. En Arabe on dit: "Ma todrob El kelb Lama tTaref Moulah" Je ne crois pas que je dois traduire cela pour un tunisien.
Par Bekhor (Bekhor) le lundi 14 juin 2004 - 22h17: |
Un attentat déjoué à Jérusalem semblait viser les bureaux d'Ariel Sharon
[14/06/2004 20:55]
JERUSALEM (AP) -- Les forces de sécurité israéliennes ont récemment déjoué un attentat à la bombe qui semblait viser les bureaux d'Ariel Sharon à Jérusalem, a annoncé lundi le gouvernement israélien.
L'homme arrêté, Hussam Naboulsi, un Palestinien originaire de Jérusalem-Est, était employé par une société de distribution de courrier. Il a déclaré aux enquêteurs qu'il comptait déposer une bombe de 15 kilos d'explosifs dans les locaux de M. Sharon, qui a ses bureaux dans un quartier ultra-orthodoxe de la ville, selon un communiqué gouvernemental.
Son emploi lui aurait permis de pénétrer dans l'enceinte des bureaux du Premier ministre israélien, qui sont l'un des sites les mieux gardés d'Israël.
Naboulsi a été arrêté le 16 mais dernier dans le cadre d'une opération conjointe du service secret Shin Beth et de la police. Il a indiqué qu'il prévoyait de faire sauter sa charge explosive à l'aide d'un téléphone portable. Ses deux cibles étaient les bureaux d'Ariel Sharon ou une synagogue du quartier de Mea Shearim de Jérusalem. AP
tl/v475
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Par Albert (Albert) le lundi 14 juin 2004 - 21h34: |
Agnes Jaoui aurait mieux fait d'ouvrir un commerce de JAOUI, cet encens bien connu des tunes qui lui aurait certainement fait évaporer ses inepties et ses singeries...La célèbritès fait dire parfois de ces conneries..
Comme on dit en arabe...
Mchè èl bèl
Qââd èl ebèl...
Jè él mèl
Me yokyad qen el z...b.'
la Raison s'est envolèe
Et restèe que la folie.
Est venue la fortune
Ne restera que le zizi...!
Proverbe de ma grand-mère Meiha, allah yerhèma..
Par Nao (Nao) le lundi 14 juin 2004 - 18h48: |
Lu sur guysen.com
André Azoulay s'interroge sur son judaïsme !!! Participant à Fès, à une conférence sur ''La culture de paix au Moyen-Orient'', le conseiller du roi du Maroc, a estimé que ''tant que les droits les plus élémentaires des Palestiniens leur sont déniés, je m'interroge sur une part essentielle de mon judaïsme''
Vu sa position et vu le pays ou il se trouve, que peut-il dire d'autre? Vive la liberte d'expression au Maroc...
Par A_Soued (A_Soued) le lundi 14 juin 2004 - 18h40: |
RÊVES AU DELÀ DU JOURDAIN
Par Ehoud Yaari, journaliste du Jerusalem Report
Article paru dans ce journal le 14 juin 2004 et traduit par Bertus pour www.nuitdorient.com
Dans des cercles privés, des personnalités Palestiniennes commencent à parler du rôle nécessaire que doit jouer la Jordanie en Judée-Samarie. Seize ans après la déclaration forcée de désengagement des territoires au delà du Jourdain, par feu le roi Hussein, au milieu de la colère de la première "intifada", on murmure çà et là qu'il faut trouver une nouvelle formule, pour rétablir les liens entre un état palestinien indépendant et son voisin de l'Est. Il est encore trop tôt pour affirmer si ces espoirs sont le reflet d'un désespoir engendré par l'actuelle implosion en Judée Samarie ou s'ils sont le résultat d'une réflexion sérieuse.
Ce qui est intéressant de noter c'est que ces souhaits ne sont pas seulement exprimés par des opposants à Yasser Arafat, mais aussi par des chefs du Fatah qui sont proches de lui. Sans vouloir les nommer pour d'évidentes raisons, on peut dire qu'il s'agit de gens importants de Naplouse, qui a une longue tradition pro-hachémite, de personnalités d'Hébron, qui a des liens étroits avec Amman, de l'élite fréquentant les salons de Ramallah et de certains chefs du Fatah de la diaspora. On n'en parle pas à haute voix, mais néanmoins librement.
L'idée de base est la suivante. L'Egypte sera concernée par la bande Gaza, à travers des conseillers, des agents de formation et des forces de sécurité qui vont accompagner le processus de désengagement israélien et de réhabilitation d'une administration locale exsangue, en offrant un parapluie de protection au prochain pouvoir qui prendra le contrôle de la région. Bien qu'ils ne soient pas enthousiasmés par cette perspective, les Egyptiens sentent qu'ils n'ont pas d'autre choix. Ce processus à Gaza constituera un précédent et un feu vert pour la Jordanie pour en faire autant en Cisjordanie.
Dans ce dernier cas, il sera possible d'y envoyer le bataillon palestinien encore rattaché à l'armée jordanienne, et même de recruter sur place un autre bataillon. Les deux parties pourraient annoncer publiquement le lien qu'elles envisagent entre le futur état palestinien et la Jordanie, après un référendum dans les territoires. Il s'agirait d'étendre l'appareil administratif et de sécurité jordanien à ces territoires.
Cela posera un problème pour le gouvernement Jordanien, car il y a 3,2 millions de Palestiniens en Jordanie sur un total de 5,5 millions d'habitants, plus qu'il n'y en a à Gaza et en Judée-Samarie. L'exécutif Jordanien a toujours cherché à minimiser le rôle des Palestiniens dans la vie politique du Royaume, bien qu'ils bénéficient de tous leurs droits civiques, notamment en matière économique. Il faut savoir qu'aujourd'hui il n'y a plus aucun Palestinien dans un poste gouvernemental important. La nouvelle loi électorale a été élaborée pour qu'il n'y ait que 18 députés d'origine palestinienne au Parlement Jordanien sur 108 sièges. De plus le roi Abdallah a la plus grande méfiance à l'égard d'Arafat et de son entourage et il lui a même demandé de démissionner lors d'une interview au New York Times le 18 mai. Mais alors pourquoi reprendre une responsabilité en Cisjordanie ?
Selon les personnalités Jordaniennes et palestiniennes que j'ai interrogées la réponse est simple: la Jordanie dépend totalement des Etats-Unis et si ceux-ci le lui demandent, elle répondra à l'appel. En fait, il y a un consensus sur un état confédéral aussi bien chez les palestiniens de Jordanie que chez l'élite de Cisjordanie et même chez les Frères Musulmans. De plus la perspective d'un apport massif de capitaux aussi bien pour compenser les réfugiés que pour réhabiliter les territoires est tentante. Un autre avantage potentiel pour ceux des Palestiniens de Jordanie qui sont apatrides est celui de recevoir la nationalité palestinienne. Ce qui réduira sensiblement les tensions actuelles dues à un ostracisme de fait.
Pour le moment et pour l'avenir immédiat, il ne s'agit que d'un rêve; mais ce qui est important, c'est que l'idée est en train de cheminer dans les esprits, d'autant plus qu'il y a des doutes quant à la viabilité d'un état palestinien dans un territoire minuscule. Par ailleurs les Palestiniens savent qu'ils ne pourront pas construire un état et résoudre tous leurs problèmes par eux-mêmes.
Il y a aussi d'autres motivations, beaucoup de Palestiniens convoitant la Jordanie dont Arafat a essayé de s'emparer en 1970. Le taux de croissance constant du Royaume, son régime tolérant et stable, la relative sécurité qui prévaut dans des rues propres et surtout la capacité des dirigeants à résoudre leur conflit avec Israël ont tout pour attiser cette convoitise.
L'option Jordanienne n'est plus une expression répugnante dans le vocabulaire palestinien, même si elle a été effacée du dictionnaire politique hébreu.
Par Emma (Emma) le lundi 14 juin 2004 - 18h39: |
La Cour Suprême israélienne autorise la vente de porc
JERUSALEM (AP) - La Cour Suprême israélienne, plus haute juridiction du pays, a estimé lundi que les municipalités israéliennes doivent autoriser la vente de viande de porc si la majorité des habitants le demandent.
Ce jugement ne va manquer d'attiser la querelle entre juifs religieux et laïques en Israël, qui s'amplifie depuis des années. La consommation de porc est strictement interdite dans le judaïsme.
La Cour suprême examinait un recours intenté par des militants d'associations laïques contre trois municipalités qui interdisaient la vente de porc. L'instance composée de neuf magistrats a annulé ces arrêtés municipaux et estimé qu'une nouvelle réglementation devait prendre en compte le souhait des habitants. Eli Yishai, chef du Parti Shas ultra-orthodoxe, a estimé que le jugement de la Cour Suprême revenait à "clouer le cercueil de l'identité juive de l'Etat".
"Nous ne nous battons pas pour faire manger du porc aux gens. Nous nous battons pour le droit des gens à manger ce qu'ils désirent, quand ils le désirent et où ils le désirent", a répliqué le ministre de la Justice Joseph Lapid. AP
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le lundi 14 juin 2004 - 09h21: |
Merci Monsieur de Belmont de nous montrer cet aveuglement des juifs de cour , de ceux qui se disent "" intellectuels "" ou ""artistes "" et qui eux aussi tombent , pour plaire a un certain public , pour vendre un film ou un livre , dans une situation pathetique ... Serait il possible que l alliance racaille et elite dont parle Monssieur Finkelkraut , ait aussi envahi nos rangs ... AJ comme vous la nommez ferait bien de ne s occuper que de cinema ... meme l autruche qui a pourtant l habitude d enterrer sa tete dans le sable doit bien de temps en temps en sortir ... je lui souhaite que le reveil ne soit pas trop dur !!! Plus dure sera la chutte disait on !!! Dommage
Par Henri (Henri) le lundi 14 juin 2004 - 08h53: |
Cher Emile chalom,
De la meme facon dont tu dis preferer vivre au USA, moi je dis preferer vivre en Israel.
A mon avis 2000 ans de galout "is enough".
Je respecte ton choix, respecte le mien.
Pas de panique naturelement, mais il est bien evident que la France devient un pays ou il est dangereux d'etre Juif, ou les parents vivent dans la crainte que leurs enfants soient agresses.
Lorsque l'on voit que des parents qui ont porte plainte se retrouvent en tant qu'acuses,et obliges de payer une ammende, on se demande ou l'on va.
Nous avons lu ce Shabbat la paracha CHLAH LEHKA (Meraglims),il est remarquable la similitude de la situation. Ceux qui voulaient rentrer en Israel, et ceux qui se trouvaient bien en dehors et en disaient du mal .
C'est quand meme un comble, les Juifs se font agresser en France, et on accuse Israel de propagande, on dira bientot que c'est Israel qui organise ces agressions.
Chacun est libre de vivre ou il veut, mais moi je prefere vivre dans le pays qu'Achem a donne a nos ancetre Abraam, Itsaac, et Yacob.
Par Mailroom (Mailroom) le lundi 14 juin 2004 - 08h45: |
LES FILS ET FILLES DES DEPORTES JUIFS DE FRANCE
MILITANTS DE LA MEMOIRE
F.F.D.J.F.
ASSOCIATION REGIE PAR LA LOI DE 1901
32, RUE LA BOETIE - 75008 PARIS
PRESIDENT : ME SERGE KLARSFELD
TELEPHONE : 01 45 61 18 78 - 01 45 62 41 71
C O M M U N I Q U E
L'ASSOCIATION DES FILS ET FILLES DES DEPORTES JUIFS DE FRANCE
A EDIFIE EN 1993 AU CAMP DE RIVESALTES UN MONUMENT
A LA MEMOIRE DES 2 250 JUIFS DEPORTES DE CE CAMP VERS LES CHAMBRES A GAZ D'AUSCHWITZ.
NOTRE ASSOCIATION QUI A EGALEMENT REALISE LE MEMORIAL DES 11 000 ENFANTS JUIFS DEPORTES DE FRANCE
A DEMANDE A NOTRE DELEGUE DANS LES PYRENEES-ORIENTALES, MONSIEUR PHILIPPE BENGUIGUI,
DE PORTER PLAINTE CONTRE LES AUTEURS DU VANDALISME ANTISEMITE
PLAINTE A ETE DEPOSEE A LA GENDARMERIE DE RIVESALTES LE 12 JUIN 2004.
PARIS, LE 13 JUIN 2004.
SERGE KLARSFELD.