Par Richard_S (Richard_S) le mardi 15 juin 2004 - 18h50: |
Henri,
Vous ecrivez :
"Il ni a pas de mitsva d'habiter au USA, par contre c'est une mitsva de la Torah d'habiter en Erets-Israel."
Pouvez vous nous eclairer et nous dire exactement ou vous avez trouve cette mitsva ? J'ai relu toute la Torah (les 5 livres de Moise bien sur) depuis votre message et n'ai rien trouve.
Richard
Par Albert (Albert) le mardi 15 juin 2004 - 18h47: |
'....Où alors profiteraient elles d'une situation qui semble à priori propice à leurs yeux, pour
convaincre le menu peuple juif de France en jouant sur le régistre bien connu 'Vous ne serez bien nulle part sauf en Israêl...?'
Par Douda (Douda) le mardi 15 juin 2004 - 12h00: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur : Cher Henri,
Emile a sur ce point raison,
Tu dois être très religieux pour vouloir confondre à tout prix, le religieux et le laïque, autrement dit l’Israélite et le Peuple Juif, car tu peux être Toi même Juif d’origine ( Ce qui ne saurait être contesté), mais dis toi bien que la majorité des Tunes de confession Israélite, ne sont pas des Juifs d’origine, mais des berbères convertis, ce qui n’engendre qu’un cousinage spirituel, avec les hébreux qui leur
communiquèrent leur conceptions religieuses.
Il en est de même pour nombre de dénommés Ashkénaze qui descendent de l’Empire Khazar, qui furent également des convertis.
N’oublies pas non plus, que la Religion Israélite a essaimé ses préceptes dans de nombreux courants
religieux ( Pour ne citer que : les Israélites, Chrétiens, Musulmans, Libres Penseurs, Agnostiques
...etc...), ce qui fait que si l’on suit ton raisonnement, Israël devrait compter plusieurs milliards d’habitants, est tu prêt à accueillir un Alya aussi gigantesque ?
Tu vois bien que le mot Diaspora ne signifie plus rien en ce vingt et unième siècle ? alors que chacun a fait son trous là où il est, alors sois donc heureux d’avoir creusé le tien, là où il te semble bon de vivre !
Profites en bien car le bonheur ne dure pas autant qu’on le voudrait !
Mais dis nous un peu, ce que tu penses, de tes Frères et Soeurs qui ne s’étant pas adapté, ont procédé à un alya à l’envers, en s’expatriant du Pays du Lait et du Miel vers d’autre nations ?
Cela devrait être un thème intéressant à développer.
Salut à Toi, et portes Toi bien,
Wnessou El Douda
Par Douda (Douda) le mardi 15 juin 2004 - 16h13: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur : Cher Bazooka,
Détrompez vous, notre causticité sans complexes ne s’adresse pas à votre nation d’accueil, mais à tous les bled qui se prennent pour le “Nombril du Monde” car le nombrilisme, cela aussi des Psy Tunes ou non Tunes, pourraient vous le décortiquer, sans toutefois trop d’espoir...en ce qui vous concerne !
Au fait le terme générique de “bas monde”, désignait la Planète Terre, et non pas uniquement celui que vous connaissez, donc fouin de nombrilisme mal placé ! Quant au “trou perdu” “mongoub”, sentez vous libre d’imaginer ce que vous pouvez !
Ne vous en déplaise également, nombre de Tunes ont effectivement fait ce beau voyage “La rose à la boutonnière”, certains sont restés y faire souche (et c’est tant mieux), mais bien d’autres s’en sont retournés de là où ils venaient ( même si c’est pour la France, le pays envers qui vous semblez nourrir toutes les haines indéfectibles), comment expliquez vous donc ce phénomène?
Comment expliquez vous également que si l’on se trouve si bien chez sois, nombre de natifs du Pays
du Lait et du Miel, s’expatrient pour aller vivre sous d’autres cieux ? C’est vous en conviendrez, tout à fait étrange comme comportement ?
On attend avec impatience vos théories sur le sujet,
Bien à vous,
Wnessou El Douda
Par Albert (Albert) le mardi 15 juin 2004 - 18h37: |
Avant de proposer, il faut d'abord exposer avec luciditè les avantages et les inconvenients de l'ALYA....Alors que l'on nous les expose...Ici sans venir nous dire 'que c'est parce que c'est la terre de nos ancetres qu'il faut faire cette mitsva en venant s'établir en ERETZ....!'
C'est un peu maigre comme prétexte.
Les organisations juives seraient elles entrain de faire 'DU PROSELITYSME POUR L ALYA ENVERS LES JUIFS DE FRANCE....????
Par Meyer (Meyer) le mardi 15 juin 2004 - 18h16: |
Albert Memmi, marabout sans tribu
LE MONDE | 15.06.04 | 13h59 •
A 84 ans, l'auteur du "Portrait du colonisé", juif tunisien, revient, près d'un demi-siècle plus tard, avec un "Portrait du décolonisé" et un verdict sévère sur la société arabo-musulmane.
On croirait un cliché de l'époque coloniale. C'en est un : trois femmes, trois sœurs, en costumes de bédouines, prennent la pose. Celle du milieu porte sur ses genoux une gargoulette en terre. La photo a été accrochée dans le cabinet de travail, en face du lit-divan. Elle n'est pas là pour faire joli. "Ma mère est celle du milieu. La plus belle des trois, non ? Elle était enceinte au moment de la photo. Elle a fait treize enfants au total - dont seulement huit ont survécu", commente Albert Memmi. Une photo "pour me rappeler d'où je viens", ajoute ce natif des quartiers pauvres de Tunis, ce juif arabe passionné de Montaigne, fils d'un bourrelier illettré et d'une Berbère analphabète, devenu écrivain célèbre et, ce qui ne gâche rien, objet d'infinies controverses, même à 83 ans.
Dans son "grenier" de la rue Saint-Merri, à Paris, dans le 4e arrondissement, ce refuge sous les combles tout habillé de livres où il reçoit ses visiteurs et travaille chaque jour, il y a d'autres images : un Bouddha aux yeux mi-clos, un cloître, quelques dessins aussi, une pièce de monnaie romaine de la province de Byzacène (l'actuelle région de Sousse, en Tunisie), frappée du nom de Memmi, "famille consulaire". Ici et là, des chapelets pendent du plafond, "non pas pour la prière, mais afin qu'on évite de se cogner aux poutres", précise le locataire de sa voix égale, légèrement métallique.
L'appartement est situé au deuxième étage. L'écrivain et son épouse Germania, dite Germaine, Lorraine et catholique d'origine, agrégée d'allemand et peintre amateur, y ont posé leurs valises à la fin des années 1950. Ils n'en ont jamais déménagé. Dans le couloir d'entrée, le mur est couvert de photos prises lors de cérémonies d'hommage ou de remise de prix. Albert Memmi en a eu beaucoup : son œuvre a été traduite en plus de vingt langues et "environ soixante-dix ouvrages ou thèses" lui ont été consacrés.
Né le 15 décembre 1920, celui qui s'est lui-même baptisé "le nomade immobile" (titre d'un de ses nombreux livres, publié en 2000 aux éditions Arléa) s'est souvent amusé au jeu des origines, qui est, à lui seul, une invite au voyage et à la quête de soi. "Memmi serait un antique patronyme kabyle, qui signifie "le petit homme" ou, autre hypothèse, le vocatif de Memmius, membre de la gens romaine Memmia."
Mais est-ce seulement un jeu ? "Voici un écrivain français de Tunisie qui n'est ni français ni tunisien. C'est à peine s'il est juif puisque, dans un sens, il ne veut pas l'être", avait noté Albert Camus, dans sa préface au premier roman de Memmi, La Statue de sel, paru en 1953 (Corréa) et plusieurs fois réédité (Gallimard). "J'étais une sorte de métis de la colonisation, qui comprenait tout le monde, parce qu'il n'était totalement de personne", confirme Albert Memmi lui-même, quelques années plus tard, dans la présentation de son essai majeur, Le Portrait du colonisé (précédé du Portrait du colonisateur, préface de Jean-Paul Sartre, éditions Corréa, 1957, plus tard réédité par Pauvert et Gallimard). Fuyant la tyrannie du groupe - qu'il soit partisan, religieux, national ou ethnique -, fuyant aussi la malédiction d'être pauvre, l'obscurité des dominés, ce réfractaire impénitent n'a pourtant pas rompu avec ses "appartenances multiples", qu'elles soient de naissance ou acquises. Du moins, pas tout à fait. S'il a largué quelque chose, c'est seulement les amarres.
Sa première fugue est celle de la langue. "Je ne pouvais pas m'exprimer profondément et rigoureusement dans la langue de ma mère, qui n'a jamais parlé qu'en patois tunisois", souligne-t-il, évoquant l'arabe dialectal, qui est alors le lot exclusif de la majorité des "indigènes", selon l'expression de l'époque. "La langue française était pour moi la seule issue - je me suis construit à travers elle", ajoute l'ancien élève du lycée Carnot de Tunis, qui fait l'apprentissage du français comme on se jette à l'eau. "Il fallait que je nage. C'était du quitte ou double !", s'exclame-t-il aujourd'hui, presque douloureusement. Le prix à payer pour ce premier arrachement a été lourd - sans doute bien plus qu'il ne l'avoue.
Self-made-man acharné et presque masochiste, cet admirateur de la "belle Université française"- où il finira par se faire intégrer dans les années 1960 - ne supporte pas qu'on la moque. Railler l'Université n'est-ce pas le railler lui, le fils de pauvre, l'immigré méritant ? Les "pseudorévolutionnaires de Mai 68" le mettent en rage. Lui qui a eu "tant de mal à -se- dépêtrer de l'emprise familiale", le voilà contraint de subir le joug de l'utopie, ce "placebo de la pensée". Les manifestations du Quartier latin lui rappellent les monômes, "ces divertissements d'enfants de la bourgeoisie qui rentraient ensuite dîner chez leurs parents". Il n'en démordra pas. De Tunis à Paris, le verdict est le même : "La séparation des classes est aussi profonde que celle des religions, et je n'étais pas des leurs." A ce constat, se mêlent, il l'écrit lui-même, "l'envie amère, l'aigre rancœur et le ressentiment" contre ceux qu'il appelle "les riches"... Vieille histoire ! "A l'image de la ville, le lycée était d'une diversité dépaysante. J'eus des camarades français, tunisiens, italiens, russes, maltais, et juifs aussi, mais d'un milieu si différent du mien qu'ils m'étaient des étrangers", raconte Albert Memmi dans La Statue de sel, récit de sa "jeunesse amère", selon le mot de Sartre, portrait d'une Tunisie cosmopolite aujourd'hui disparue.
"Autofiction avant la lettre", ce coup d'essai fit l'effet, à Tunis, au sein de la communauté juive, d'un "coup de tonnerre", se souvient une ex-Tunisoise, l'universitaire Annie Goldman, amie de l'écrivain. "Les gens étaient à la fois fiers et choqués. C'était la première fois que quelqu'un de Tunis, juif, en plus, était publié à Paris, explique-t-elle. Mais c'était aussi la première fois qu'on décrivait la pauvreté - sans parler de certains personnages du livre, très facilement reconnaissables..."
Quelques décennies plus tard, dans les années 1995, quand ce classique de la littérature maghrébine francophone est mis au programme de l'Institut supérieur des langues de Tunis, "l'immense majorité de mes étudiants ignoraient le nom d'Albert Memmi", rappelle Rabaa Abdelkefi, maître-assistante au département de français de l'Institut. "En lisant La Statue de sel, ils ont découvert qu'il y avait eu un ghetto juif - et même, pour certains, qu'une communauté juive avait existé. Ce qui les a le plus surpris, c'est de réaliser que des juifs tunisiens pouvaient avoir eu l'arabe comme langue maternelle. Et qu'on pouvait être juif et pauvre !", souligne l'universitaire. Il est vrai que les temps ont changé : forte de quelque 150 000 membres en 1945, la communauté juive de Tunisie a décliné jusqu'à ne plus compter aujourd'hui qu'un peu moins de 1 000 personnes. Parmi les étudiants de Rabaa Abdelkefi, "la plupart ont réagi avec sympathie", en découvrant La Statue de sel. Une infime minorité - "deux, je crois, pas plus" sur quelque 400 étudiants - ont refusé d'ouvrir le livre de Memmi, "parce qu'il était juif". Un deuxième récit romancé, Agar (Corréa, 1955, réédité par Gallimard), sur le naufrage d'un couple mixte, fait lui aussi événement. Plusieurs autres romans suivront. "Moi, je commence par le vécu et je théorise ensuite, cela a toujours été ma méthode", explique l'écrivain, qui tient son journal depuis l'âge de 15 ans. Mais, s'ils disent beaucoup de lui, ses livres, heureusement, ne racontent pas tout. A la fin de La Statue de sel, le héros, qui a connu les camps de travail créés en Tunisie pendant la brève occupation nazie, s'embarque à la Libération pour l'Argentine. Dans la réalité, c'est à Alger, où il entame ses études, que le jeune Memmi s'installe en 1944. Un an plus tard, le voilà à Paris, inscrit à la Sorbonne, promis à un avenir d'éminent philosophe. Mais il déchante. "J'arrivais d'une Afrique du Nord en pleine tourmente, j'étais sans le sou, j'avais faim, et je tombe sur quoi ? Le jeu transcendantal chez Kant ! Moi qui avais tout misé sur la philosophie, ça m'a semblé du bavardage."
C'est pourtant au cours de ce premier séjour "désastreux" au pays de Voltaire qu'il rencontre sa future épouse, étudiante comme lui. Elle est aussi blonde qu'il est brun ; elle a les yeux bleus, il les a noirs, mais tous deux sont à la fois épris de savoir et en rupture de ban avec leurs familles. Ils se marient en décembre 1949, avant de prendre le bateau pour Tunis. Un peu comme dans Agar, à l'exception de la fin : alors que le roman s'achève sur une séparation, l'histoire vraie d'Albert et Germaine Memmi est une histoire qui dure - en dépit des "secousses", selon son mot à lui.
L'un et l'autre enseignent à Tunis, où ils restent sept ans. C'est là que naissent leurs deux premiers enfants. Ecrivain "engagé, mais jamais militant", le jeune professeur participe aux débats organisés chaque dimanche, après la projection d'un film, au cinéma Le Paris. C'est à Tunis, aussi, qu'il s'engage dans le lancement de l'hebdomadaire Afrique-Action, ancêtre de Jeune Afrique. En 1956, année de l'indépendance, il quitte cette terre, ce "terreau affectif", qui baigne son œuvre et sa vie. "Mon rôle était fini, le pays allait vers l'indépendance", explique-t-il. "La Tunisie allait devenir une jeune nation et je savais que cette nation serait arabo-musulmane : les minoritaires comme moi n'y auraient pas de place", précise-t-il. Albert Memmi n'a pourtant rien d'un fataliste. Simplement, cet "ultravoltairien", comme il aime à se définir, n'a "jamais confondu le constat et le vœu".
Avec son Portrait du colonisé, publié en pleine guerre d'Algérie, son nom franchit les frontières. Salué par les partisans des indépendances, ce livre est décrié par ceux, alors nombreux, favorables au maintien plus ou moins aménagé de l'ordre colonial. L'ouvrage sera également pris pour cible, quelques années plus tard, par des étudiants maghrébins, nationalistes arabo-musulmans. "Ils refusaient à Memmi, accusé de sionisme, le droit d'être considéré comme un ex-colonisé", rapporte l'universitaire Juliette Bessis, qui enseignait l'histoire à l'université de Vincennes (Paris-VIII) dans les années 1970.
Dans le Portrait du colonisé, comme dans sa suite, le tout nouveau Portrait du décolonisé (Gallimard, 2004), il s'agit, indique l'auteur, d'une "description ordonnée" de son sujet - non d'un pamphlet. Dans le premier portrait, Memmi prévenait : "Pour vivre, le colonisé a besoin de supprimer la colonisation. Mais pour devenir un homme, il doit supprimer le colonisé qu'il est devenu", cet "être d'oppression et de carences". S'il veut parvenir à ce résultat, il faut que le colonisé "se conquière libre vis-à-vis de la religion de son groupe" et qu'il cesse "de n'exister que par elle". De même qu'il doit se rendre libre vis-à-vis de la "nation", de la "tradition" ou de l'"ethnicité". Dans cet essai prémonitoire était dénoncée, déjà, la "fameuse et absurde opposition Orient-Occident", cette "antithèse durcie par le colonisateur", soucieux d'instaurer une "barrière définitive entre lui et le colonisé".
Près d'un demi-siècle plus tard, terrorisme islamique aidant, le bilan est amer. "La révolution n'a pas eu lieu", note-t-il, dénonçant les "fruits rabougris des indépendances", le fléau de la "corruption" et la "démission des élites". Particulièrement visée, la "société arabo-musulmane" est atteinte d'un "grave syndrome dépressif", insiste-t-il, égratignant au passage, de manière étonnamment violente, le nom de Leila Chahid, déléguée générale de la Palestine en France.
Parmi les lettres de réaction qu'Albert Memmi reçoit de ses lecteurs, "une bonne moitié m'approuve et regrette parfois que je n'aille pas plus loin, l'autre moitié m'accuse, comme d'habitude, de tous les maux de la Terre", assure-t-il, la moue philosophe. Accueilli avec chaleur sur les ondes de France-Culture comme sur celles de Beur-FM, pour évoquer Le Portrait du décolonisé, Albert Memmi a, en revanche, été "décommandé" par un animateur de Radio-Libertaire, lui reprochant ses positions "pas nettes" sur le conflit israëlo-palestinien. L'évadé solidaire du ghetto de Tunis n'en a cure.
Son prochain livre, dont la sortie est prévue à l'automne, sera un recueil de nouvelles. Il y parlera des femmes, du plaisir, de l'amour. Rien à voir avec son travail passé ? Tout, peut-être, au contraire... "Celui qui n'a pas fait ses comptes avec la féminité n'a pas fait ses comptes avec la nature, ni avec l'univers", assure le marabout de la rue Saint-Merri.
Catherine Simon
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 15 juin 2004 - 18h14: |
Bazooka nous sommes au courant de cette transaction puisque l'Arabie Seoudite a signe un accord secret avec la France a un prix exorbitant pour l'achat de ces petits avions espions.
Mais cela ne prouve rien. Ca c'est votre argument? pour convaincre les Juifs de France a immigrer en Israel?
Par Bazooka (Bazooka) le mardi 15 juin 2004 - 17h26: |
Emile et Albert :
Pour vous deux, la preuve par neuf est dans l'actualite du jour ....
La meilleure pub qu'Israel puisse faire, c'est sur sa matiere grise:
La France, par le biais de EADS (le consortium europeen constructeur d'Airbus) vient d'acheter a Israel pour 200 millions de dollars de savoir-faire sur les avions sans pilotes.
C'est qui, alors, le pilote dans l'avion ?!! ;-)
Voir ci-dessous l'article publie dans Globes hier :
France to purchase $200m in UAV know-how from IAI
The French defense industries will produce Eagle unmanned aerial vehicles based on Israel Aircraft Industries' Heron/Eagle (Mahats) UAV.
Felix Frisch 14 Jun 04 16:25
Senior Ministry of Defense officials and their French counterparts will this week sign an agreement, valued at $200 million, for the transfer of know-how to the French defense industries about the manufacture of unmanned aerial vehicles (UAVs).
According to defense sector sources, France's final decision will be made in the next two days. A joint official announcement will apparently be made at Eurosatory 2004, the international exhibition for land and land-air defense, in Paris.
As part of the agreement, the French defense industries, Dassault Aviation and European Aeronautic Defense and Space Company EADS NV (EADS) will develop a UAV, called Eagle, based on Israel Aircraft Industries' (IAI) Heron/Eagle (Mahats) long-endurance medium-altitude UAV. The French military already uses IAI-made Hunter UAVs, which it purchased six years ago in a smaller $30 million deal, as well as Heron/Eagle medium-altitude long-endurance (MALE) type UAVs which it purchased three years ago.
Over the past few days, IAI president and CEO Moshe Keret and Ministry of Defense director-general Amos Yaron have been negotiating feverishly with the French, in order to close the deal and make the announcement at Eurosatory 2004.
According to Israeli defense sector sources, manufacturing the Eagle UAV in France will open additional markets to Israel, especially those that are forbidden from acquiring Israeli-made UAVs.
Published by Globes [online] - www.globes.co.il - on Monday, June 14, 2004
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 15 juin 2004 - 16h50: |
Henri
A Tunis on disait: "Tu as raison et je n'ai pas tort"
Je n'ai pas argumente pour les Etats Unis ou autre mais je trouve que du point de vue marketing, l'argument que vous faite(les Israeliens) est faible. Si on veut inviter les Juifs a immigrer en Israel ce n'est pas par des arguments ni religieux ni nationaux. Mais en vendant le produit tel qu'il est en montrant les avantages que les Juifs n'ont pas ailleurs. L'intimidation ou creer la peur ne sont pas des arguments valables.
Ce n'est pas moi qu'il faudrait convaincre.
Par Albert (Albert) le mardi 15 juin 2004 - 14h53: |
'...Shass le cochon, il reviendra aux GALOPS...!'
-16 JUIN 1920 NAISSANCE DE LA HAGANAH...
-De Regean (Z'AL)...Ses perles
'....Quels sont les quatre obstacles de l'agriculture soviètique...?'
'...Le Printemps, l'étè, l'hiver et l'automne...!'
(27/7/1987)
'....Et les solstices...!'
Par Bazooka (Bazooka) le mardi 15 juin 2004 - 14h48: |
Albert,
C'est de La Douda qu'il s'agit ou du Concorde ??!
;-)
Par Albert (Albert) le mardi 15 juin 2004 - 13h44: |
Bazouka/Merkava.
'....Kosslou jwenhou...
I tir ba'bou'ssou...!
Pour la Douda..
Coupe lui les ailes
Il volera avec sa queue..!
Les proverbes d 'Albert.
Par Bazooka (Bazooka) le mardi 15 juin 2004 - 13h21: |
Cher Douda,
Par conscience intelectuelle, je reprends votre intervention d'hier adressee a Emile:
"Cela fait des lustres que des Adrassiens, s’évertuent à promouvoir une telle propagande, et au besoin d'essaimer un vent de panique, mais on peut que constater que ce sont les mêmes qui se gardent bien d’entreprendre un tel voyage sans projet de retour.
La Culture Tune, c’est ce qui nous reste quand on a tout oublié, et on est surpris quand on la retrouve par hasard, au fin fond d’un trou perdu de ce bas Monde."
Hmmm ! Toujours aussi caustique quand il s'agit d'Israel ...
Ne vous en deplaise, nombre d'Adrassiens (nes) ont fait "ce voyage sans retour" (comme moi), en partie du fait des raisons que vous evoquez car loin d'etre de la propagande, c'est bien d'une triste realite exponentielle qu'il s'agit, surtout en France. Ces Tunes "eclaireurs" (et tres certainement eclaires) n'ont pas du tout ete "decus du voyage" quand il s'est agi de monter en Israel (cf. "bas monde" [sic]), car loin d'etre un "trou perdu", notre pays est au coeur de ce que qui est considere depuis l'eternite comme le "Centre du monde" (il n'y a d'ailleurs qu'a constater la proportion que nous occupons -- a bon ou mauvais escient -- dans vos journaux ecrits et parles, pour s'en convaincre).
Si pour vous exprimer sur un sujet une opinion positive et encourageante, face a une realite/adversite pathetique c'est faire preuve de propagande, vous cachez surement un complexe quelque part.
Ca tombe bien, y'a moult psys chez les Tunes ...
Par Henri (Henri) le mardi 15 juin 2004 - 08h06: |
Cher Emile,
Tu dis,
"Il faut arreter de dire Israel a besoin de la diaspora et la diaspora a besoin d'Israel. Tu ne trouves pas? Tous les mariages forces ne reussissent pas."
Explique moi avec ta sagesse pourquoi il faut arreter de dire le lien naturel qui relie Erets-Israel et le peuple Juif.
A mon avis, ce n'est pas parceque quelqu'un a rate son mariage que tous les mariages ne sont pas bon.
Je suis ne en Tunisie, et je pourais avoir un lien naturel avec ce pays, mais pas avec la Suisse ou les USA.
Par contre, Erets-Israel est le pays de mes vrais ancetres.
Deux mille ans les Juifs ont reve de revenir en Erets-Israel, et aujourdh'hui ce reve c'est enfin realise baroukh Achem.
Il ni a pas de mitsva d'habiter au USA, par contre c'est une mitsva de la Torah d'habiter en Erets-Israel.
Et j'ajouterais que "col Israel arevim ze le ze", et c'est une mitsva de dire a un Juif de venir habiter en Erets-Israel.
Chalom et brahka.