Par Albert (Albert) le jeudi 17 juin 2004 - 21h22: |
'...Il n'y a que deux endroits où le communisme
peut réussir au paradis où ils n'en ont pas besoin et en enfer où ils l'ont déjà...!'(LE 20 MAI 1983)
De REAGAN Z'AL.
Par Albert (Albert) le jeudi 17 juin 2004 - 20h43: |
Mon cher la DOUDA....! Savez vous qu'il existe au Sénègal, une danse qu'on nomme la danse du VENTILATEUR...!. VRAI.
Elle est très connue là bas. Il s'agit de mouvements ondulatoires et giratoires du postèrieur sous des rythmes endiablès, et celà afin d'initier les jeunes filles vierges aux premiers actes de l'amour, le jour où elles prendront maris.
Ben la nouvelle danse à la vogue qui vient d'être lancèe se nomme la Danse du MICRO ONDE....A defaut de faire tourner leur postèrieur, les mouvements HOT, sont dirigès d'avant-arrière.
Le saviez vous..?
Par Douda (Douda) le jeudi 17 juin 2004 - 19h40: |
La Douda:
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur : A un Bazooka qui n’aime ni le Rikh ni les Ventilateurs
Quand nous annonçons que : “Nous en connaissons et c’est la raison pour laquelle, nous avons lancé le débat sur ces mêmes lignes, ceci de façon à tous nous éclairer, s’il en est qui désirent s’exprimer.”
En bon français cela veut dire que la question s’adresse à Toutes et Tous, donc pas de nombrilisme !
Ou alors le ventilateur se remet à ventiler
Wnessou El Douda
Par Albert (Albert) le jeudi 17 juin 2004 - 19h49: |
Michel Barnier, le ministre des Affaires Etrangères de France et de Naguère est bien embarrassé.
Comment faire pour amadouer Sharon afin que ce premier puisse rendre visite au reclus de
Ramallah à la Moukakhra, sans soulever l'ire de Sharon..!.
Malgré les diverses propositions du Quay d'Orsay, Sharon reste intraitable et maintient sa position de refus et si Michel Barnier persiste à rencontrer le reclus, il ne sera pas reçu par le premier ministre.
Une situation que l'agence SHARON/BREITOUNA trouve imbécile tant l'entêtement de la Présidence Française est grand.
Car, à vouloir toujours remettre sur la selle d'une bourrique, un âne qui n'est pas capable de courir un deux mètres sans s'essouffler et encore moins capable de terminer en beauté , celà ressemble, à s'y méprendre à vouloir faire avaler à un cancre ( Arafat) un petit volume( genre bouchon de coca-cola) d'intelligence pour l'instruire.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 17 juin 2004 - 19h46: |
Claudia merci d'avoir affiche le commentaire sur le depart des Juifs de France. Au moins je suis ravis que les representants officiels de la communaute Juive soient de mon avis.
Par Claudia (Claudia) le jeudi 17 juin 2004 - 18h59: |
Le départ vers Israël envisagé par un nombre croissant de juifs de France
Un nombre croissant de juifs de France envisagent de partir vers Israël, selon l'Agence juive, organisme para-gouvernemental israélien qui a démenti cependant tout plan concerté pour inciter au départ la plus importante communauté juive d'Europe occidentale.
Selon Menahem Gourary, représentant de l’Agence juive en France, il s'agit d'adapter le dispositif au départ "prévisible" de quelque 30.000 à 33.000 juifs français vers Israël "dans un avenir proche".
Mais "l'agence juive ne prévoit en aucune façon une opération concertée pour inciter les juifs à quitter la France", a-t-il noté.
Le grand rabbin de France Joseph Sitruk a estimé mercredi qu'une initiative d'incitation au départ n'était "pas une bonne démarche". "La communauté juive en France a toujours bien vécu, heureuse, et elle envisage de le rester", a-t-il assuré à sa sortie de l'Elysée, où il venait d'être reçu avec d'autres responsables juifs par le président Jacques Chirac.
Le vice-président du CRIF, Roger Benarrosh, a condamné toute "initiative d'envergure visant à provoquer des départs groupés", ajoutant que le CRIF n'a pas été consulté sur un tel projet. "II n'y a pas eu concertation pour un projet qui n'existe pas", a des conversations avec les responsables communautaires sur le programme d'activité de l'agence juive", a-t-il dit. Roger Cukierman, le président du CRIF, a annoncé qu'il allait protester auprès de l'ambassade d'Israël.
Par Bebel (Bebel) le jeudi 17 juin 2004 - 16h56: |
Permettez moi de ramener du site cheela.com, un echange de questions-reponses a propos du nom de D.ieu
Line
voici l'echange :
question :
Chalom,
J'ai lu sur un site internet que le mot "D.ieu" serait tiré du latin Zeus. De ce fait, il pourrait représenter un grave Hilloul Hachem.
J'aimerais connaitre votre opinion sur ce sujet.
Merci par avance.
reponse :
Rav Elyakim Simsovic : Plus exactement, il vient du latin deus qui lui-même vient d'une altération de zeus. Ca n'en fait pas un grave hilloul haChem, mais ça explique pourquoi il ne faut pas écrire le mot Dieu avec des points, tirets et autres guillemets, comme les Saints Noms qu'on n'a pas le droit d'effacer. C'est un mot (et pas un nom) et le respect dû à Celui qu'il désigne est suffisamment marqué en français par la majuscule. Le traiter en lui appliquant les règles d'écriture des Chémoth Haqodech risquerait de laisser croire que ceux-ci ne sont guère plus que ne nom commun.
question
4018
Nissim
2701 Chalom,
Suite à la réponse N°3208 que vous m'avez formulé sur le Hilloul Hachem que pourrait représenter le mot français "D.ieu", j'aurais besoin de quelques précisions.
Vous nous dites que ce n'est pas un grave Hilloul Hachem mais qu'il faut arrêter d'écrire ce mot avec un point ou un tiret au milieu. Cependant certains Rabbanim du présent site (que je salue au passage) l'écrivent encore de la sorte. Pourquoi ?
D'autre part, lorsque j'étais au Talmud Thora, pour la préparation de ma Bar Mitsva, le Rabbin qui nous formait nous avait expliqué qu'il ne fallait pas écrire ce mot sans point ou tiret au milieu.
Que faire ? Qui croire ? Je ne remet pas en cause la réponse que m'a fait le Rav Elyakim Simsovic, mais j'aimerais être bien certain d'avoir bien compris ses propos.
D'autre part, une autre question me "titille" : lorsque nous adressons des prières à Hachem (en français), devons nous éviter de dire "D.ieu" ou est-ce permis ?
Merci par avance pour votre réponse.
Nissim
reponse :
Rav Elyakim Simsovic : J'ai exposé dans ma réponse précedente les raisons pour lesquelles il n'y a pas vraiment lieu de reporter sur le MOT "Dieu" les précautions scripturaires imposées par la halakha à l'écriture des NOMS divins en hébreu. Il existe une lettre explicite du rav Askénazi (Manitou) à ce sujet. Le "hilloul" pourrait procéder du fait que le MOT "Dieu" n'est pas un des "Shémoth Haqédoshim" qu'il est interdit d'effacer ou de profaner, par exemple en jetant des documents qui les contiennent. On pourrait ainsi être amené à croire que ces NOMS ne sont rien de plus que ce MOT..
Il est vrai que la coutume d'écrire "D.ieu" ou "D." ou toutes les autres formes est largement répandue, y compris sur ce site. J'ai aussi fréquenté Talmudé Thora et écoles juives où on pratiquait ainsi. Cela n'est certes pas interdit et on peut parfaitement comprendre l'intention pieuse qui s'exprime ainsi. Les rabbanim en général ont parfaitement conscience de la différence que je souligne et leur intention est de reporter sur le mot "Dieu" les intentions liées aux Shémoth Haqédoshim" et non le contraire.
L'utilisation du mot Dieu dans la prière en français ne pose pas de problème. Il me semble souhaitable d'avoir la précaution mentale, en le prononçant, que notre intention porte sur le Nom qu'il vise en hébreu à chaque endroit de la prière.
Peut-être d'autres rabbanim du site souhaiteront s'exprimer sur ces sujets. En tout cas, je les y invite de bon coeur.
question :
4342
Chalom Hayim
0602 Suite à la réponse 4018, je désirerais savoir qu'en est-il du mot "dieu" en allemand "Gott" et anglais "God" et éventuellement dans les autres langues sémites, l'arabe, par exemple. Merci beaucoup de m'éclairer sur ce point.
reponse :
Rav Elyakim Simsovic : En arabe, c'est très clair, Allah est très proche de l'hébreu E.loha ou de l'araméen E.laha qui sont généralement traduits par "Dieu". Allah était dans l'Arabie polythéiste pré-islamique l'un des noms du dieu-Lune (divinité masculine chez les Arabes, le soleil étant féminin) qui était une sorte de dieu suprême du panthéon de la Mecque, ce qui pourrait expliquer pourquoi la lune tient une telle place dans l'héraldique arabo-musulmane. Cela jette aussi une certaine lumière sur la formule de la profession de foi (authentiquement monothéiste par ailleurs) : la allah ila Allah soit à peu près : Allah est seul à être Dieu".
God en anglais (à l'origine Godd) et Gott en allemand sont en fait le même mot. Il existe aussi des formes apparentées appartenant à d'autres langues ou dialectes germaniques : Godh, Gutt, Godz...
Il est apparenté au persan (khoda) ou à l'hindu (khooda).
La signification reliée à la racine teutonique gheu est "celui qu'on invoque" ou "celui à qui on sacrifie".
question :
4362
franciz
0702 Kvod Harav Shalom,
Suite à la qustion 4342. J'ai lu que le mot " God " aurait la même origine que le mod " good" ( bien ), Dieu ne pouvant faire que le bien. Auriez-vous eu vent de cet explication ?
Avec mon plus profond respect.
Kol touv !
reponse :
Rav Elyakim Simsovic : J'ai rencontré cette hypothèse mais elle n'est pas fondée philologiquement.
Le mot god est apparenté au persan (khoda) ou à l'hindu (khooda), de même que l'allemand gott.
La signification reliée à la racine teutonique gheu est "celui qu'on invoque" ou "celui à qui on sacrifie".
fin de l'echange.....
Par Henri (Henri) le jeudi 17 juin 2004 - 09h15: |
La Douda,
Le premier commandement demande de ne pas evoquer le nom de D.. "lachav" pour rien.
Cette facon de l'ecrire m'eloigne un peu de cette transgression.
La moquerie est un vilain defaut, et j'ajouterais meme,qu'avec la flaterie c'est un peche grave.
Le probleme c'est que cela devient une "DOUDA" et qu'il devient dificile de s'en debarasser.
Pour conclure je te remercie pour "Toi qui connais tout en matière de religion"
Car il y qq annees j'etais bien ignorant ,sujet religion, et avec perseverance et etude journaliere,aujourdh'ui, j'en sait un peu plus,et mon plaisir est immense.
La Torah et son etude, est appelee "sam ahaim" que je pourais traduire par l'essence de la vie.
En toute amitie moi qui connais les deux cotes,je te conseillerais d'utiliser ton intelligence, et je sais que tu en as, de te plonger dans l'etude approfondie de la torah. Je suis sur que le plaisir que tu en tireras sera bien superieur a une Boukha avec adamt hout.
Chalom et brahka
Par A_Soued (A_Soued) le jeudi 17 juin 2004 - 09h09: |
L'ESCLAVAGE ET LE COMMERCE DES FEMMES EN IRAN
Par Donna M. Hughes, professeur, ayant une chaire d'études sur les femmes (Carlson Edowed Chair) à l'Université de Rhode Island. Toute information sur la prostitution et l'esclavage et le commerce des femmes en Iran peut lui être expédiée par mail à
dhughes@uri.edu et pour en savoir plus faire www.uri.edu/artsci/wms/hughes
Article paru dans "Insight on the News" et www.FrontPageMagazine.com – le 11 juin 2004 et traduit par Bertus pour www.nuitdorient.com
Un des moyens les plus efficaces pour contrôler la société, utilisé par les mollahs intégristes d'Iran, est de dépouiller la femme de ses droits et de sa liberté. Ces islamistes appliquent depuis 25 ans des règles sadiques et humiliantes contre les filles et les femmes du pays, les transformant en esclaves dans un système d'apartheid sexuel, les forçant à se voiler, les traitant en citoyens de seconde zone, les fouettant et les lapidant à mort.
Dans le même esprit, ces mollahs fondamentalistes ont ajouté un autre moyen de déshumaniser filles et femmes, en en faisant commerce pour la prostitution. Il est impossible d'avoir le nombre précis des victimes, mais selon une source officielle à Téhéran, on a recensé un accroissement de 635% des jeunes filles qui se prostituent.
Ce chiffre donne un idée de la vitesse de propagation de tels abus. À Téhéran, on estime le nombre de filles et de femmes prostituées à 84 000, la plupart dans les rues, certaines dans les 250 bordels connus de la capitale. Le commerce est international et des milliers de filles et de femmes ont été vendues à l'étranger pour l'esclavage sexuel.
Le chef du bureau d'Interpol en Iran pense que ce type de commerce est l'un des plus lucratifs aujourd'hui en Iran. Cette activité criminelle est menée avec l'assentiment et même la participation des mollahs intégristes. De hauts fonctionnaires du gouvernement sont impliqués dans l'achat, la vente et l'abus des filles et des femmes. La plupart d'entre elles viennent de régions rurales pauvres. L'usage de la drogue est très répandu dans ce pays et des parents dépendants de la drogue vendent leurs enfants pour alimenter leur accoutumance. Le niveau élevé du chômage (28% des jeunes de 15 à 29 ans, 43% des femmes de 15 à 20 ans) incite les filles à accepter des opportunités risquées. Les marchands d'esclaves n'ont plus qu'à ramasser les plus vulnérables. L'exemple du récent tremblement de terre à Bam qui a rendu un grand nombre de filles orphelines est frappant. Sous prétexte de protection, ces filles ont été enlevées, emmenées sur le marché de Téhéran pour être vendues à des marchands Iraniens et étrangers. Dans ce dernier cas, la destination la plus courante est le Golfe persique.
D'après le chef du tribunal de la province de Téhéran, les trafiquants visent des jeunes filles de 13 à 17 ans pour les envoyer dans les pays arabes, mais des informations par ailleurs nous donnent une tranche d'âge de 8/10 ans. Une jeune fille de 18 ans a réussi à s'échapper d'un sous-sol de rassemblement avant expédition au Qatar, au Koweit et aux émirats, et le réseau a été découvert.
Le nombre de filles Iraniennes déportées des pays du Golfe donnent une idée de l'ampleur de ce commerce. À leur retour en Iran, les Islamistes blâment ces victimes et souvent les punissent et les mettent en prison; elles sont "examinées" pour savoir si elles ne se sont pas eu des "activités amorales" et, dans ce cas, ils leur interdisent la sortie du territoire (1).
La police a découvert plusieurs réseaux de prostitution et de commerce opérant à Téhéran et exportant en France, en Grande Bretagne et en Turquie. Un réseau basé dans ce dernier pays, achète des filles iraniennes passées en contrebande, leur donne un faux passeport et les expédie de là en Europe ou dans le Golfe. Dans un cas précis, une fille de 16 ans a été vendue à un citoyen européen de 58 ans pour 20 000 $!
Dans la province du Khorassan, au Nord-Est, la police locale a rapporté que les filles étaient vendues à des Pakistanais comme "esclaves sexuels". Les Pakistanais épousent ces filles de 12/20 ans, puis les vendent "après usage" à des bordels appelés "kharabat". Un réseau a été découvert, contactant des familles pauvres autour de Mashad et leur offrant "le mariage". Les filles sont alors emmenées dans des bordels pakistanais à travers l'Afghanistan. Au Sistan Balouchestan, à la frontière du sud-est, des milliers de filles iraniennes ont été vendues à des Afghans. La destination finale n'est pas connue.
L'accroissement de la prostitution et du commerce de filles est lié à celui des fugues. La rébellion des filles contre la rigueur intégriste, l'absence de liberté, les abus domestiques et la dépendance familiale à la drogue contribue à cette calamité. Mais la fuite vers plus de liberté à l'extérieur mène à plus d'abus et à l'exploitation, 90% des filles qui fuguent se retrouvent prostituées. À Téhéran seulement, on compte 25 000 enfants des rues, la plupart des filles. Les proxénètes chassent les fugueuses et les écolières vulnérables dans les rues et les parcs. Dans un cas précis, on a découvert une femme vendant depuis quatre ans des filles pour les pays du Golfe, les enlevant dans la rue; elle a même vendu sa propre fille à 11 000 $.
L'Iran est un pays totalitaire et la plupart des activités organisées sont connues des autorités. De nombreux mollahs et officiels du pouvoir sont impliqués dans les réseaux d'esclavage sexuel. On sait que pour obtenir le divorce une femme est obligée de couchée avec le juge. Les femmes arrêtées pour prostitution sont obligées de coucher avec l'officier qui les arrête. On nous a signalé le cas d'officiers de police traquant des jeunes femmes pour les amener aux riches et puissants mollahs.
On a construit des abris pour assister les fugueuses. Les fonctionnaires qui gèrent ces abris sont souvent corrompus et montent des réseaux de prostitution autour des filles qu'ils sont censés protéger. À Karaj par exemple, l'ancien chef du tribunal révolutionnaire et sept autres officiels ont été arrêtés, car ils étaient impliqués dans un réseau utilisant des jeunes filles de 12/18 ans venant d'un abri appelé "Centre d'Orientation Islamique"…. À Qom, le centre spirituel de l'Iran, quand un réseau a été éventé, on a découvert qu'il était animé par des fonctionnaires, certains appartenant au Département de la Justice.
Les mollahs au pouvoir ont des opinions officielles différentes vis à vis de ce commerce. Les uns le nient en le cachant, les autres le reconnaissent et s'en accommodent. En 2002 une journaliste de la BBC a été chassée du pays car elle avait pris des photos de prostituées. On lui a dit "on vous chasse…pour les photos de prostituées que vous avez prises, car ce n'est pas le reflet de la vie dans notre République Islamique, car nous n'avons pas de prostituées". Plus tôt la même année, des officiels du Département Social au Ministère de l'Intérieur ont suggéré de légaliser la prostitution, afin de la contrôler et d'éviter la propagation du Sida. Ils ont proposé la création de bordels qui seraient appelés "maisons de la moralité", en utilisant la coutume traditionnelle du "mariage temporaire", le couple se mariant un laps de temps très court, pour faciliter la prostitution. Quand il s'agit d'utiliser ou de contrôler les femmes, les Islamistes ne manquent pas d'imagination.
On pourrait penser qu'un commerce de filles aussi florissant, dans une théocratie, avec des mollahs comme maquereaux, est en contradiction avec la loi religieuse du pays. En fait non! D'abord l'exploitation des femmes est étroitement liée à leur répression et elles sévissent ensemble là où les droits de la femme et sa liberté sont dénigrés, individuellement ou collectivement. Ensuite les fondamentalistes islamiques d'Iran ne sont pas simplement des musulmans conservateurs: on est devant une idéologie politique raciste qui considère la femme comme inférieure sur le plan intellectuel et moral. Ces gens-là haïssent l'esprit et le corps de la femme. Vendre des filles et des femmes pour la prostitution n'est que le complément déshumanisant à l'obligation de se couvrir entièrement le corps. Dans une dictature basée sur la religion comme l'Iran, on ne peut faire appel à la loi pour obtenir justice. Il n'y a aucune garantie et aucun espoir d'obtenir un quelconque respect ou dignité. Seule la fin du régime des mollahs pourra libérer les filles et les femmes iraniennes de toutes les formes d'esclavage qu'elles subissent.
(1) note du traducteur: dans un autre régime autoritaire comme la Birmanie, toutes les femmes sont interdites de sortie du territoire, en dehors des guides et des femmes d'affaires. La raison officielle invoquée: éviter le commerce du sexe et la prostitution.
voir aussi www.nuitdorient.com
Par Nectar (Nectar) le jeudi 17 juin 2004 - 10h01: |
PAULINE,
Les paraboles que tu mentionne dans ton texte ressemblent étrangement aux paraboles éditées dans les revues diffusés par la secte des témoins de Jeovah.
Est-ce les meme methodes que se servent les association ou sectes des diverses religions dites "prophetiques ou apocalyptiques" pour faire du prosélitisme religieux?
Par Mena (Mena) le jeudi 17 juin 2004 - 09h11: |
Guillaume Dasquié, parlons-nous franchement, 3ème partie (info # 011606/4) [analyse]
Interview par Stéphane Juffa © Metula News Agency
Stéphane Juffa Après une enquête très fouillée, comprenant des dizaines d’interviews aux Etats-Unis, nous sommes aujourd’hui en position d’affirmer qu’aucun des cas mentionnés par le rapport de la DEA n’avait le moindre rapport avec le renseignement, ni qu’aucune des personnes citées dans ce rapport n’a fait l’objet d’un interrogatoire par aucune des nombreuses officines américaines s’occupant d’espionnage et de contre-espionnage.
Maintenez-vous, de votre côté, qu’il y ait eu affaire d’espionnage et si affaire d’espionnage, en quoi était-elle caractérisée ?
GD Je comprends maintenant pourquoi vous insistiez sur cette question. Je n’ai jamais, jamais, posé les données que j’avais recueillies à l’époque dans ces termes-là. Aujourd’hui comme hier, je constate qu’il y a des faits extrêmement précis, relevés par plusieurs services administratifs américains…
SJ Pouvez-vous, Monsieur Dasquié, nous donner l’exemple d’un seul de ces faits ? Pourrait-on parler précisément de l’un de ces faits ou de l’un de ces cas ?
GD Il y a peut-être quelque chose de fondamental que je n’ai pas dit jusqu’à présent. Moi, par principe, les déclarations officielles de services de renseignements ou de services ayant des activités de renseignement ou de sécurité, je ne les considère pas comme des déclarations ayant la même valeur qu’une interview donnée par une personne publique dont on peut vérifier chacune des déclarations. C’est vrai, et c’est aussi valable en France et ça n’a rien à voir avec le pays, naturellement, les déclarations officielles de la CIA, qui par vocation est un service de renseignement, donc, de manipulation, je les écoute mais je ne les prends pas pour argent comptant.
SJ Mais dans le même souffle, vous continuez à considérer avec un infini sérieux les déclarations de deux inspecteurs d’une autre agence, tout aussi américaine – auxquels a priori on n’a pas de raison objective d’accorder plus de crédit qu’aux chefs du FBI, de la CIA et de l’IMS réunis -, d’où vous vient cette préférence ?
GD Sur le principe je crois que vous avez parfaitement raison. A l’époque, nous n’avons pas pris pour argent comptant le rapport de la DEA mais nous avons multiplié les enquêtes pour vérifier tout en partie ce qui y était mentionné. Aujourd’hui, je ne dis pas que les conclusions auxquelles parviennent ce rapport et ces fonctionnaires américains étaient exactes. Vous voyez, avec du recul, je suis loin de les cautionner. Simplement, entre les observateurs de cette affaire qui seraient tentés de la rejeter complètement, en disant "tout cela est imaginaire, rien, rien n’a pu exister, ces ressortissants israéliens n’étaient que des étudiants et tout ça c’est l’œuvre du hasard" et d’autres, qui disent "oh là là, oui, il y a eu une grosse affaire d’espionnage", mon point de vue de professionnel consiste simplement à dire qu’aujourd’hui, je n’ai aucune preuve, pour, de manière catégorique, abonder dans un sens ou dans l’autre. Désormais, contrairement à ce que j’ai pu, peut-être, écrire en mars 2002, je pense qu’on a suffisamment d’informations pour constater qu’à cette période-là, très précise, mars 2002, les services américains s’affrontaient dans des guerres de services absolument effroyables et redoublaient avec une extrême fébrilité sur toutes les affaires d’espionnage. A l’époque, ce qui a pu être dit dans un sens comme dans l’autre, à charge et à décharge, sur cette affaire et sur d’autres, doit être pris avec beaucoup plus de précautions ; parce qu’aujourd’hui on rencontre des gens qui à l’époque refusaient de nous parler parce qu’ils étaient encore en fonctions officielles et qu’entre temps, ils sont partis dans le secteur privé, par exemple, et qui nous disent : "Oui c’est vrai, cette affaire, à l’époque, elle a fait beaucoup de bruit, il s’est sûrement passé quelque chose mais c’était peut-être plus compliqué que ce que l’on pensait etc." et ils nous ont apporté certaines informations en ce sens.
SJ Serait-il possible de connaître le nom, ne serait-ce que d’une seule personne qui pense de cette manière ?
GD Là vous m’embêtez… ça me pose un problème… je ne peux pas vous répondre. Aujourd’hui, comme ça, je ne peux pas vous répondre, il faudrait que je leur demande.
SJ Quant à moi, je peux vous communiquer les noms de cinq personnes, aux plus hauts postes de l’Etat, qui ont confirmé les résultats de nos enquêtes. Cela couvre de nombreuses affirmations du rapport de la DEA, comme, par exemple, que les adresses des étudiants israéliens qui y figuraient n’étaient pas exactes, que leur emploi du temps a été vérifié et démontre qu’ils ne se sont jamais occupés d’espionnage, que, de plus, on sait avec précision à quelles activités ils se vouaient, à la suite des enquêtes diligentées par l’IMS afin de juger s’ils pouvaient rester aux Etats-Unis ou s’ils devaient être reconduits à la frontière. Lors de cette procédure, le cas de chaque étudiant a été vérifié et ceux qui avaient des raisons légalement acceptables de demeurer aux USA y sont restés et les autres ont effectivement été expulsés.
Cela m’amène à une autre considération : Une affaire d’espionnage, c’est quelqu’un qui se rend quelque part afin d’y chercher une information secrète défendue par un pays…
GD Je peux vous répondre là-dessus. A l’époque, il n’y a pas que le Monde qui avait traité cette affaire, il y avait des médias américains, comme FOX News.
SJ Oui mais FOX News s’est publiquement rétractée, vous le savez bien.
Autre chose encore : Aujourd’hui, deux ans après cette affaire, comme il y a quatre ans, il y a sept ans et comme dans deux ans, il y a toujours le même nombre d’Israéliens entre 20 et 30 ans aux Etats-Unis, qui répondent précisément aux critères du rapport de la DEA. Ils répondent à une habitude sociologique qui veut qu’après trois ans d’armée, de nombreux jeunes se rendent aux USA pour y travailler et pour faire du tourisme, souvent munis de visas invalides. Faut-il conclure que l’espionnage continue ?
GD Je ne réponds pas à la question. Moi je n’ai jamais eu l’ambition de faire une thèse sur les relations existant entre les communautés du renseignement israélienne et américaine. Ce qui se passe dans l’histoire du renseignement entre deux pays est très complexe, moi je n’ai jamais eu la prétention de réaliser un travail exhaustif à ce sujet. Je préfère revenir sur votre question principale : Considérez-vous toujours, aujourd’hui, qu’il se soit agi d’une affaire d’espionnage ? Aujourd’hui, je considère que parler d’une affaire d’espionnage à l’époque était un manque de prudence et j’en assume la responsabilité.
Mais de plus, il est indéniable que l’Office of Special programs de la DEA joue un rôle très important au sein de la communauté du renseignement. Cela a une raison historique, c’est que tout le renseignement des USA sur l’Amérique centrale est réalisé conjointement avec la DEA, parce que la DEA est le service responsable de cette région, eu égard au trafic de drogue qui en provient.
SJ Oui, il s’agit d’unités très spécifiques au sein de la DEA et très localisées, notamment sur la frontière mexicaine. Les deux personnes qui nous intéressent dans le cadre de notre discussion liée à l’affaire du Monde, quant à eux, n’ont pas participé de ces unités et ces unités ne se sont jamais intéressées aux activités des étudiants israéliens.
GD Notre travail ne consiste pas à établir des vérités immuables, celui qui fait notre travail et qui prétend écrire des vérités immuables devient instantanément dangereux. Je ne considère pas notre discussion comme une empoignade à propos du passé, d’ailleurs, si demain je m’aperçois qu’il n’y avait même pas le commencement d’une affaire de renseignement, c'est-à-dire que tout ça était effectivement une succession de paranoïas émanant de quelques éléments isolés à l’intérieur de l’appareil sécuritaire américain, c’est ma fierté et mon honneur que de l’écrire haut et fort. L’idée que je me fais de mon travail ne supporte pas qu’un jour on puisse avoir écrit une information, présenté une information, qui se révélera inexacte dans le futur. Je pense que nous travaillons sur une matière mouvante entre deux voies et que nous devons en permanence nous amender et nous critiquer. Ma réputation passe aussi par cela, de reconnaître qu’à un moment j’ai pu me tromper ou j’ai pu être un petit peu éloigné de la réalité. Aujourd’hui, je suis tenté d’incliner vers ce sens-là.
SJ Bien. Ce qui suit est un peu dérangeant, c’est que quelques mois plus tard, vous quittez Intelligence on line (il rit) et vous créez Géopolitique point com avec Marc Bauland.
GD C’est exact mais j’y suis seulement actionnaire majoritaire. A l’époque j’occupe déjà mes fonctions chez Flammarion et je n’assume pas le suivi éditorial quotidien du site. Je n’ai plus les mains dans le cambouis dans ce qui est produit par cet organe d’information.
SJ Parce que, oh surprise, Géopolitique.com est le seul média qui sort en gros titre : "Ottawa neutralise un réseau d’espions israéliens !". On est au mois d’octobre 2003. L’article se réfère à l’autre affaire américaine.
(A suivre…)
Par Pauline (Pauline) le jeudi 17 juin 2004 - 08h56: |
"bsd"
Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 17 juin 2004 - 07h11: |
La Douda:
1. Si des harissiens sont decus de leur aliya, pourquoi me poser a moi la question ?
Posez-la leur.
2. For the record :
j'ai toujours le meme avis (sur la France et l'ansisemitisme), il n'a pas change (c'est comme Julio); l'amalgame entre les 2, c'est vous qui l'avez commis.
... Et fidele a vous-meme vous parlez de tout, et ne repondez toujours pas a la question posee.
Vous execellez dans l'art de faire du vent !
La Douda = Eolienne.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 17 juin 2004 - 06h59: |