Par Henri (Henri) le dimanche 27 juin 2004 - 09h09: |
Naomi Shemer 1931-2004
Une tres grande dame nous a quite.
Nechama Guavoa Meod.
Qu'Achem la recompense et l'accueille dans le jardin d'Eden.
Nao,et Emile chalom, des petits articles en Anglais oui, mais des romans fleuve c'est un peu dificile pour un site en francais.
Merci de prendre note.
Chavoua tov lekoulam.
Par Email (Email) le dimanche 27 juin 2004 - 09h13: |
Bonjour,
Des amis américains, qui ont adoré la Tunisie, la Goulette, le jasmin et les complets poisson de chez Bichi, voudraient aller dîner ce soir dans un restau tune à Belleville -et pas dans un autre quartier -. Que me conseillez-vous ? J'ai vu la liste proposée par harissa.com mais j'aimerais avoir des indications supplémentaires.
Moi, je suis une fidèle de la brasserie Niel et de Douieb. Donc, si vous pouviez me guider un peu du côté du 20éme arrondissement, je vous en serai éternellement reconnaissante.
Merci de me répondre au plus vite.
E.N
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 27 juin 2004 - 07h45: |
Naomi Shemer 1931-2004
Par Albert (Albert) le samedi 26 juin 2004 - 22h03: |
'....Erdogan....! Une vraie tête de Turc,celui là...! J'ai fais un kif sur l'article De La Mena.
Emile, domage que le texte n'est pas traduit...Kifech nââmèl...Comment m'y prendre pour le traduire et le lire...?
Par Mena (Mena) le samedi 26 juin 2004 - 06h07: |
Les membres de la famille de la Ména, de Beyrouth à Washington, en passant par Jérusalem, pensent très fort à leur camarade Raphaël Lellouche qui traverse ce vendredi une épreuve importante.
Nous sommes de tout cœur avec toi, Raph, pour que tu équarrisses le Fatum !
Michaël Béhé, au nom des rédacteurs et du staff technique
Ce qu’ils nous cuisinent, 1ère partie (info # 012506/4) [analyse]
Par Michaël Béhé à Beyrouth © Metula News Agency
C’est en Chine que le président-dictateur syrien, Béchar al-Assad, a subi cette semaine un nouveau camouflet diplomatique taille adulte. Pendant sa visite officielle à Beijing, le jeune oculiste s’est vu refuser net un crédit très important qu’il avait demandé aux dirigeants communistes afin de moderniser le réseau énergétique de son pays.
Parallèlement à ce refus, Assad apprenait la présence en Chine d’une imposante délégation israélienne, emmenée par leur ministre du commerce Ehud Olmert, et comptant plus d’une centaine d’hommes d’affaires représentant 85 sociétés. Pendant que le despote alaouite faisait du tourisme à la Grande Muraille, le gratin local n’avait d’yeux que pour la haute technologie des Hébreux. A ce titre les ministres des deux pays ont inauguré le premier centre commercial israélien permanent dans l’Empire du milieu et des contrats portant sur des transactions de high-tech ont été signés pour des centaines de millions de Dollars.
Mais le rendez-vous sino-israélien n’était pas que marchand, ainsi, lors d’une cérémonie émouvante, des hauts dignitaires du régime ont accompagné Monsieur Olmert dans la visite qu’il a effectuée dans la ville de Harbin, d’où sa famille est originaire. Dans cette cité, située au nord-est du sous-continent chinois, le ministre israélien a récité la prière traditionnelle juive des morts sur la tombe de ses grands-parents. Ehud Olmert a pu relever le très grand soin que prenaient les autorités de la région dans l’entretien et le fleurissement permanent du cimetière israélite. De nombreux juifs, dont la famille Olmert, s’étaient réfugiés à Harbin au début du XXème siècle, fuyant les tumultes associés à la révolution russe. Les autorités municipales ont assuré leurs hôtes israéliens que la situation de leur ville était resplendissante "en raison", je cite, "de la très vivace tradition culturelle et commerciale que les juifs leur avaient laissée en héritage".
Les événements liés à la visite de la délégation de Jérusalem occupent les manchettes des quotidiens chinois et font les gros titres des journaux télévisés alors que le voyage du président de Damas n’intéressait personne (ce qui me semble assez normal, on peut en convenir). C’en était d’ailleurs largement plus que l’héritier de la république népotique syrienne ne pouvait en supporter. Dans le courant de la semaine, il a décidé d’interrompre inopinément sa visite bien avant son terme prévu et de réintégrer son palais damascène, édifié par Rafik Hariri sur les deniers publics, qu’il a extorqués aux citoyens du Liban avec l’aide active de ses amis français.
Officiellement, l’ambassade syrienne à Beijing (ils ont de la chance, il n’y en a pas à Beyrouth, pays annexé), a annoncé que l’épouse de Béchar s’était fait une entorse en escaladant les escaliers de la Muraille et que le couple devait regagner Damas pour qu’elle y soit soignée. Côté délégation chinoise, personne ne s’était aperçu de l’accident.
Un autre petit séisme diplomatique secoue notre région en influençant défavorablement les affaires de notre occupant en chef et de ses acolytes casqués. Il s’agit des révélations faites par le New Yorker au sujet de l’implantation en profondeur des agents du Mossad dans le Kurdistan iraquien et notamment, le long de la frontière syrienne.
Mais les plus irrités par cet autre développement, ce sont sans conteste nos presque voisins turcs. Pour être tout à fait précis, il faudrait parler spécifiquement du gouvernement ottoman et notamment du Premier ministre Recep Tayyip Erdogan. Ces derniers, élus du parti d’inspiration "musulmane-démocrate", font tout ce qui est en leur pouvoir afin de détériorer les relations d’alliés qui unissent traditionnellement l’Etat turc à celui des Hébreux. Voici quelques semaines, pour protester contre la façon disproportionnée par laquelle Tsahal réprime l’Intifada palestinienne, Erdogan avait rappelé son ambassadeur à Tel Aviv et son consul à Jérusalem-ouest (une des seules représentations diplomatiques à s’être installée dans la partie juive de Jérusalem, soit dit en passant, Ndlr.).
Mais cette démonstration de biscoteaux n’était pas du goût de l’état major de l’armée turque, qui veille à conserver à tout prix l’alliance stratégique israélo-turque. De ce fait et après s’être fait vertement tirer les bretelles par les tout puissants militaires, le Grand Turc à renvoyé ses diplomates en Terre sainte, moins de 24 heures après leur atterrissage à Ankara.
Au milieu de la semaine qui s’achève Erdogan récidivait et annonçait la suppression unilatérale des mesures spéciales de sécurité qui entourent les vols de la compagnie El Al en Turquie. Les services généraux de sécurité de Jérusalem répondaient du tac au tac en interdisant immédiatement aux avions juifs de fréquenter les tarmacs turcs. Et cette fois, les militaires n’ont même pas eu le temps d’intervenir, ayant été devancés en cela par les hôteliers. C’est une véritable furia des professionnels du tourisme qui a obtenu très rapidement du gouvernement d’Ankara que les conditions de sécurité soient rétablies, pour permettre aux vacanciers israéliens, plusieurs centaines de milliers l’an, de revenir fréquenter les palaces, les clubs, les casinos et autres souks.
Par Maurice (Maurice) le vendredi 25 juin 2004 - 23h39: |
Le CRIF-Est condamne la profanation odieuse du cimetière musulman
Ils ont combattu pour la France, ils ont combattu pour la libération de l'Alsace et ils sont tombés pour notre patrie.
Ces 55 musulmans dont les tombes viennent d'être odieusement profanées ne méritaient pas ça.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le samedi 26 juin 2004 - 01h51: |
Mes chers Harissiens, Laissez tomber Hajklouf vous lui donnez beaucoup d'importance.
Voila plus important:
Tunisia's Tangled Web Is Sticking Point for Reform
June 25, 2004
By NEIL MacFARQUHAR New York Times
TUNIS - Walking toward an Internet cafe in this balmy
Mediterranean capital, Siham Bensedrine, a journalist and
human rights advocate, quietly points out the secret police
agent regularly assigned to watch her building.
She chooses a cafe at some distance from her apartment,
lest the owner take fright at her surfing the Web with
foreign visitors and ban her. Once inside, she sits at a
terminal beneath several intimidating signs. "It is
strictly forbidden to connect to banned sites,'' reads one
in part, while another warns, "The use of any diskettes
except those provided by the manager is absolutely
forbidden.''
Mrs. Bensedrine taps in the address for her weekly
magazine, Kalima, and the standard page for an inaccessible
Web site pops onto the screen. She runs through a
half-dozen addresses for other independent Tunisian
publications and is equally thwarted. Her attempts to open
a scattering of foreign sites, like that of Reporters
Without Borders, fail as well. "In this country, all the
sites that speak about freedom are blocked,'' sighs Mrs.
Bensedrine, a short, wan woman dressed mostly in black,
adding that she was forced to use the heavily monitored Web
cafes because her phone line at home was inexplicably
severed.
The experiences of Mrs. Bensedrine and other activists like
her in Tunis and across the region reflect the practical
difficulty in trying to carry through reform in the Arab
world. Governments have become very adept at paying the
idea of reform lip service - especially in the months since
Washington adopted the issue - but practice lags.
Indeed, Arab leaders at their annual summit meeting in this
capital last month issued a five-page Tunis Declaration
committing themselves to basic rights like freedom of
speech, an independent judiciary and fostering civil
society. The Tunisian president, Zine el-Abidine Ben Ali,
told the assembled leaders in a speech that the measures
they adopted "will help our peoples make further strides on
the path of reform and change.'' But a far more stifling
reality prevails in the real-life Arab world, where
frustrated political activists hear promises from their own
leaders or from Washington and ask, "When?''
To take the Internet as just one example, Tunis has proven
itself to be perhaps the most repressive Arab government,
activists here say. Not only are many Web sites blocked,
they say, but e-mail is also heavily monitored. The ability
to offer Web services is kept within a small privileged
circle. Web cafes are shuttered if deemed too lax about
monitoring every site visited by patrons. Harsh jail
sentences are meted out to young men convicted of creating
or even visiting banned sites.
The number of Web cafes is shrinking in Tunis because so
many have been closed.
With more sophisticated filtering techniques that block
restricted sites far more vigorously, struggling Tunisian
publications like Kalima resort to the samizdat techniques
of the old Soviet Union - photocopying their magazines and
passing them around clandestinely. For the Web versions
available outside Tunisia, articles are smuggled or
e-mailed out piecemeal. "Tunisia is economically liberated,
but politically we live in the Soviet Union of the 1950's;
that is the paradox,'' says Souhayer BelHassen, the deputy
director of the Tunisian League for Human Rights.
Activists are especially incensed that the United Nations
has chosen Tunis for the next international conference on
information technology in November 2005, wondering how a
country that so heavily curbs Internet access can be used
to help showcase its future potential.
Many activists say the Internet got off to a bad start when
the first license went to the president's oldest daughter,
Cyrine Ben Ali, whose company Planet Tunisie still
dominates, though there are now about 12 providers.
(Tunisian officials say she is a respected businesswoman
and her company has nothing to do with the government's
seeking to maintain control.)
This spring, eight mostly young men accused of terrorism
were given nearly 20-year prison sentences. The government
accuses them of trying to learn how to use explosives via
the Internet and planning to attack a police station and a
girls' school. Defense lawyers say they had a healthy
adolescent curiosity and were visiting sites about the
Palestinian cause and Al Qaeda.
"There is actually no law against entering certain Internet
sites, and yet they used the sites they entered as the
strongest evidence that they are terrorists,'' said Samir
Ben Amor, one defense lawyer.
Defense lawyers say not even the documents the group
supposedly downloaded were in the case files, so they saw
no evidence to support the charges. "They received such
severe sentences as a means of telling the Americans that
'Ben Ali is the only one who can help defend you against
terrorists - he is the one who resists change. If you throw
me out, the terrorists will take over Tunis,' '' said
Radhia Nasraoui, one of Tunisia's most prominent human
rights lawyers.
The case of the defendants, from Zarzis, is hardly unique.
Another group stands similarly accused, and there have been
several infamous individual cases.
Zohair Yahyaoui, lacking a job eight years after graduating
from college with a management degree, decided a few years
ago to start a Web magazine called Tunezine. Its sarcastic
political commentaries soon irritated the government. When
President Ben Ali organized a referendum in 2002 to alter
the Constitution to lift the limit on presidential terms,
Mr. Yahyaoui organized a referendum, too, asking visitors
to his Web site to choose whether Tunisia was a republic, a
monarchy, a prison, a zoo or none of the above. The
government voted by jailing Mr. Yahyaoui for nearly 18
months.
The extent of the surveillance can be baffling. When a
Western diplomat complained to his service provider that
his e-mail had failed for a few days and he wanted back
messages, he received every message from the preceding two
years.
Tunisian officials defend the country's Internet record.
They point out that the country is advanced in deploying
the computer for everything from university registration to
soccer tickets to paying utility bills. They also note that
sites that were once blocked, like Amnesty International
and much of the French press, are now open. "The sites that
are blocked belong to fundamentalist and terrorist
groups,'' one Tunisian official said. Those jailed in the
Zarzis case, he said, were trying to get logistical support
from Al Qaeda and experimenting with explosives.
As to the question of freedom of speech overall, he said,
"Our media landscape is improving, but we are doing it
gradually.''The United States made note of the government's
heavy hand in May, when it lumped Tunisia along with
repressive states like China, Cuba and Burma in terms of
press freedom. Tunis protested by withdrawing its
ambassador from Washington for several weeks. But Tunisian
activists don't expect any real American pressure for
internal change any time soon. Indeed, Washington has
announced plans to set up an office here this August to
help spread its vision of reform in the region.
Because Mr. Ben Ali "is a good partner in the war against
terrorism,'' Mrs. Bensedrine said, "the Americans ignore
all the measures taken against democracy.''
Par Albert (Albert) le vendredi 25 juin 2004 - 23h36: |
les D ieux du stade de France sont Grecs se soir.
Grèce 1 France 0.
Par Albert (Albert) le vendredi 25 juin 2004 - 22h06: |
Cacaboulou 1 de ce nom dit...
'...On va te matmater....'
Et moi j'ajoute de TOMATMATER AUSSI ...Puisque tu ne sais même pas rougir de honte...
Par Email (Email) le vendredi 25 juin 2004 - 20h09: |
Par Emma (Emma) le vendredi 25 juin 2004 - 20h00: |
PETITION CONTRE L'ANTISEMITISME
Cette pétition a été initiée par le Congrès Juif Mondial. En septembre prochain , Mr . Edgar M. Bronfman devra se rendre devant l'assemblée générale de l'ONU riche nous l'espérons de plus d'un million de signatures pour faire passer la résolution condamnant l'antisémitisme . Merci
http://www.worldjewishcongress.org/taf/
Par Francois (Francois) le vendredi 25 juin 2004 - 19h51: |
DESINFORMATION DE HAJKLOUF
Monsieur, vous essayez de semer le trouble sur ce qu'aurait dit Bill Clinton. IL A POURTANT ETE TRES CLAIR QUE C'EST BIEN ARAFAT QUI EST RESPONSABLE. VOICI POUR VOUS :
Dans son autobiographie '' Ma vie '', l'ancien président américain Bill Clinton impute à Yasser Arafat l'échec des entretiens à Taba. Il qualifie d''' erreur historique '' le refus par M. Arafat d'une proposition acceptée par le Premier ministre israélien Ehud Barak. (Guysen.Israël.News)
. Clinton a alors dit à M. Arafat qui le louait : '' Je ne suis pas un grand homme. J'ai échoué, et c'est à vous que je le dois ''.
Par A_Soued (A_Soued) le vendredi 25 juin 2004 - 19h55: |
LE FEU COUVE AU MOYEN ORIENT ET L'ANTISÉMITISME SÉVIT
Par Albert Soued, écrivain www.chez.com/soued
Le feu couve au Moyen Orient malgré le désir d'apaisement des Etats-Unis.
La guerre éclair menée par les Américains en Irak en 2003 et leur ambition de transformer politiquement la région ont bousculé les coutumes locales et le statu quo établi par les familles régnantes.
Le bulldozer est allé trop fort et trop vite en Irak, puis s'est quelque peu enlisé devant deux écueils prévisibles mais limités,
- les anciens baathistes dépouillés de leurs prérogatives et les sunnites revanchards qui se sont mis sous la bannière d'al Qaeda pour fomenter des troubles dans l'Irak central
- un petit groupe de shiites menés par un voyou ignare al Sadr, sous la bannière iranienne, qui cherchait à installer en Irak une république islamiste, à l'instar de l'Iran, à partir de lieux sacrés (Najaf et Kerbala sont les équivalents irakiens du Qom iranien), au détriment de la shia'h modérée et moderne (sheikh Sistani).
Cette dernière menace a été partiellement résorbée et à court terme. Jusqu'aux élections américaines et irakiennes, on assistera sans doute encore à des soubresauts et à des attentats, sans conséquence politique sérieuse. À plus long terme, le front irakien devrait se calmer ou du moins se stabiliser, du fait d'une présence américaine musclée mais discrète à proximité.
Il en est de même du front palestinien où de nombreux dirigeants ont reconnu avoir perdu la guerre d'usure menée contre Israël depuis quatre ans. Appelée "intifada" pour tromper l'Occident, cette guerre douloureuse pour les deux peuples n'a été possible que du fait de la complaisance et de la continuité de financement des occidentaux. Elle a été gagnée par Tsahal, par la mise en œuvre progressive d'une panoplie de moyens techniques inédits et de méthodes d'avant garde (1).
Du côté du conflit israélo-arabe, on peut espérer un mandat égyptien pour la gestion de Gaza et un mandat jordanien pour celle des territoires de Judée et de Samarie qui reviendraient aux Palestiniens, après la terminaison de la barrière de séparation.
Du côté américain, si la situation ne s'améliore pas dans la zone centrale sunnite d'Irak, celle-ci sera "circonscrite", avec la création de deux états souverains, kurde au Nord et shiite modéré au Sud, dépouillant les sunnites des ressources pétrolières.
Faisant partie de l'"axe du mal" visé par G W Bush, le pouvoir islamiste et autoritaire d'Iran cherche ouvertement à acquérir l'arme nucléaire, de manière à asseoir une suprématie dans la région et à assurer de ce fait une pérennité à l'intérieur du pays. Il est aidé dans ses ambitions par la Syrie qui entretient les troubles, laissant passer en Irak les armes et les combattants d'al Qaeda. Dans le même esprit, la Syrie qui ne craint pas des mesures de rétorsion à court terme, ni d'Israël ni des Etats-Unis, continue à alimenter les groupes terroristes en Palestine afin de torpiller toute solution pacifique. En effet la minorité alaouite qui gouverne le pays a besoin de ce militantisme pour se maintenir au pouvoir, de même que des ressources financières venant d'Iran.
Le risque le plus sérieux de déstabilisation de la région à court et à moyen terme se situe en Egypte et en Arabie, dont l'avenir politique est incertain, du fait de l'état de santé et de l'âge des dirigeants. La collusion de membres de la famille régnante d'Arabie avec al Qaeda et la lutte intestine pour le pouvoir qui a déjà commencé sont à l'origine des troubles actuels dans ce pays.
En ce qui concerne l'antisémitisme, il continue à sévir dans tous les pays arabes du Moyen Orient, qui n'ont pratiquement plus de communauté juive. Sermons enflammés dans les mosquées, caricatures dans les journaux, émissions télévisées et films diffusés par les réseaux satellites arabes, tout est mis en œuvre pour orienter la haine du peuple. Mais l'Europe n'est pas en reste. Un dernier exemple est celui du dérapage verbal d'un vieux dirigeant socialiste, Michel Rocard. On est tellement sidéré par ses propos violemment antisémites qu'on lui cherche des excuses, il est malade, "maniaco-dépressif", il est en mauvais termes avec sa deuxième femme israélienne…, puis viennent les démentis. En fait, il a bien dit à Alexandrie ce qui a été bien traduit par Proche Orient Info. (2).
Pour calmer le jeu, voilà que Kofi Annan, qui cherche peut-être à se faire pardonner sa responsabilité dans la distribution de prébendes lors de l'opération "pétrole contre nourriture" du temps de Saddam Hussein (voir rubrique Onu), se veut le champion de la lutte internationale contre l'antisémitisme (3). Il n'est jamais trop tard…
Puis vient le Vatican qui s'émeut devant les facéties de Madonna en matière spirituelle, se voulant le défenseur des vraies valeurs de la qabalah! En effet la pratique de la qabalah par Madonna peut laisser rêveur plus d'un. Toujours est-il qu'elle a pris un certain nombre de dispositions qui vont dans le sens d'un "retour". Elle a changé de prénom devenant Esther, prénom choisi à bon escient. Elle a décidé de ne plus donner de concert le shabat et de manger casher. Elle visitera Israël à titre privé lorsqu'elle se produira dans la région (4).
Notes
(1) la baisse des actes terroristes est significative du fait de l'arrestation continue de suspects et de candidats au suicide par l'armée (2000 et 58 en 6 mois) et de la mise en place de moyens sophistiqués de détection et d'élimination des instigateurs.
(2) Participant à un colloque organisé par la Bibliothèque d'Alexandrie sur les relations euro-américaines au Proche-Orient, Rocard a affirmé que "la promesse Balfour accordant le droit aux Juifs de créer leur État en Palestine était une erreur historique..." Il a précisé "Israël est un cas exceptionnel, né d'une erreur historique, et qui s'est transformé en un État racial qui a rassemblé des millions de Juifs venus du monde entier. Pire, il constitue une menace à ses voisins". Source "Alsharq al Awsat" - Londres
(3) Le secrétaire général des Nations unies Kofi Annan a dénoncé la résurgence de l'antisémitisme: "cette fois, le monde n'a pas le droit de garder le silence…. II est difficile de croire que, 60 ans après la tragédie de l'Holocauste, l'antisémitisme, une fois de plus, lève la tête. Mais il est évident que nous assistons, sous de nouvelles formes et de nouvelles manifestations, à une résurgence alarmante de l'antisémitisme"…
(4) Ayant reçu des menaces contre ses enfants, Madonna a préféré éviter l'escale officielle en Israël où elle devait se produire.
Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 25 juin 2004 - 19h57: |
Chers frères,
je viens d'avoir connaissance de votre site. Bravo pour l'idée et la réalisation !
En cherchant dans vos sites sportifs, et notamment sur l'ALLIANCE SPORTIVE DE TUNIS, section VOLLEY BALL, j'ai constaté avec regret l'absence de plusieurs joueurs et certaines erreurs :
1° Nous n'avons jamais battu le STADE FRANCAIS à Paris. Ce n'est pas élégant pour
ce Club, plusieurs fois champion de France. Je souhaite qu' aucun ancien joueur de cette
équipe n'a lu ce passage
2° Notre équipe de Volley ne comprend pas seulement les 6 joueurs photographiés que vous avez cité. Vous avez omis : Charley Smadja (notre principal attaquant)
Emile Bismuth
Benny Maruani (Capitaine-joueur permanent)
Max Berrebi
Il serait également utile de citer André Berrebi entraineur infatigable de l'équipe ; et qui
a eu le grand mérite d'importer le Volley ball en Tunisie.
D'autre part, il me serait agréable d'avoir le contact de tous mes amis de cette équipe
avec l'espoir de les voir, sachant que certains ne sont hélas plus là..........
Bien à vous
Benny Maruani