Par A_Soued (A_Soued) le jeudi 21 juin 2007 - 20h55: |
NOS "ALLIES" DU FATAH
Par Barry Rubin, directeur du Centre interdisciplinaire “Global Research in International Affairs (GLORIA = Recherche Mondiale dans les Affaires Internationales), et rédacteur de « Middle East Review of International Affairs » (MEMRI). Son dernier livre : "The Truth About Syria". [la vérité sur la Syrie]
Jewish World Review 18 juin2007
https://jewishworldreview.com/0607/rubin061807.php3
Adaptation française de Sentinelle 5767 ©
Pendant la Première Guerre Mondiale, l’Allemagne conclut que son principal allié, l’Autriche-Hongrie, était plus une charge qu’un atout. Comme un officiel allemand le formula, être membre de cette alliance, c’était être « enchaîné à un cadavre ».
Et plus d’un siècle avant, on disait de la dynastie française condamnée, les Bourbons, qu’ils n’apprenaient rien et n’oubliaient rien.
Bienvenue dans l’alliance avec le Fatah, espèce d’Autriche-Hongrie et de Bourbons enroulés en une pièce. Le groupe dirige maintenant un demi Etat sur la Rive Occidentale après que le Hamas se soit emparé de la bande de Gaza à ses dépens. Les Etats Unis soutiennent le chef de l’Autorité Palestinienne Mahmoud Abbas, par leur aide et probablement par une assistance militaire. De même, le gouvernement d’Israël fait tout ce qu’il peut pour préserver ce régime.
C’est une décision politique complètement logique. Elle est pleine de sens étant donné l’équilibre des forces et la situation globale. Je comprends pourquoi cela est fait. Le problème est que cela ne va pas très bien marcher, ou au moins seulement dans une mesure limitée. Et si nous savons cela dès à présent, peut-être cela peut-il un peu remodeler la stratégie politique ?
Mais d’abord, nettoyons le sol de tous les débris qui font partie de la boite à ordures. Il y a ceux maintenant qui sont en faveur d’un soutien, ou au moins de parlementer avec le Hamas. On dit que l’Union Européenne va poursuivre son aide à la bande de Gaza sous la férule du Hamas, de façon à éviter une crise humanitaire.
Comme je le rappelle, en temps de guerre, on n’envoie pas d’aide aux Etats dirigés par l’ennemi, même pour y aider les civils. Mettre la pression est nécessaire pour vaincre l’ennemi. Bien sûr, les Etats-Unis et l’Europe ne sont pas en guerre avec le Hamas, ou le Hezbollah, la Syrie ou l’Iran dans cette affaire. Le problème est que l’Occident ne comprend généralement pas que ces forces sont en guerre avec nous.
Si vous envoyez de l’aide à la bande de Gaza, cela renforcera la férule du Hamas. L’aide sera détournée pour payer des terroristes et acheter des armes. Les instituteurs dont vous payez le salaire enseigneront aux enfants que leur devoir le plus élevé est de devenir un islamikaze à la bombe, et que les Chrétiens et les Juifs sont des sous-hommes. Les salaires payés sont utilisés pour acheter le soutien pour le Hamas.
Ceux qui sont loyaux sont payés ; ceux qui s’opposent au Hamas ne le sont pas. Tout cela est-il trop dur à comprendre ?
Et si quelqu’un veut faire quelque chose d’humanitaire, prenez l’argent qui serait envoyé à la bande de Gaza, et donnez le aux pauvres gens d’Afrique, d’Asie, d’Amérique du Sud, d’Irak, et même à la rive Occidentale. Ne financez pas le terrorisme, l’antisémitisme, et l’islamisme radical, bon sang !Tout cela est-il trop dur à comprendre?
La seconde partie absurde est qu’il existe une grande opportunité pour faire avancer le processus de paix. N’ayez aucun doute. Les Etats-Unis et Israël peuvent donner de l’argent au Fatah, échanger quelques renseignements, et essayer de faire cesser les attaques terroristes à travers la frontière. Mais des négociations sérieuses ? Laissez tomber.
Pour comprendre la vision du monde du Fatah, essayons un test simple. Vous êtes un officiel du Fatah. Vous recevez de l’argent. Qu’en faites-vous ? Réponse : vous le mettez sur votre compte bancaire à l’étranger. Pourquoi ? Parce qu'à côté de l’avidité pure et de la culture de la corruption, vous avez peur que le Hamas ne s’empare aussi de la Rive Occidentale. Vous aurez besoin de fonds pour que vous et votre famille puissiez vous enfuir à l’étranger et y vivre confortablement, très confortablement.
De même pour Abbas : c’est un perdant, et ce n’est que s’il est remplacé que l’on pourra commencer à croire à la survie du Fatah. Il représente ce qu’il y a de plus proche d’un intellectuel français dans le mouvement palestinien, mais pas le type de personne que vous aimeriez avoir à côté de vous dans une lutte au couteau.
Réfléchissez à ses deux premières décisions. Quel est le Premier Ministre qu'Abbas a choisi ? Mohammed Dahlan, qui a prévenu de la menace du Hamas depuis plus de cinq ans, ou quelque autre guerrier ? Non, Salam Fayed, un économiste professionnel. Pourquoi ? Est-ce que Abbas a l’intention de lancer une campagne de développement majeure contre la pauvreté ? Non, c’est parce que Fayed, un homme il est vrai honnête et expérimenté, mais certainement pas un conseiller en temps de guerre, est plus adapté pour obtenir l’aide de l’argent occidental.
De plus, Abbas a refusé de mettre le Hamas hors la loi sur la Rive Occidentale. Peut-être espère-t-il une réconciliation ? Ou veut-il éviter une confrontation sur ce qui lui reste de territoire ? Si Abbas pense comme un bureaucrate de l’Union Européenne, il est vraiment condamné.
Il y a aussi quelque chose de plus profond, dans ce désir de beaucoup de gens en Occident ou en Israël de croire dans une alliance ave le Fatah, groupe qui continue de perpétrer des attaques terroristes, et ne croit pas dans le droit à l’existence d’Israël. Il s’agit de l’obsession du rêve de processus de paix.
Aujourd’hui la paix est une très bonne chose. Elle est certainement préférable à la guerre. La paix sert beaucoup mieux les intérêts de gens dans la moyenne. Mais hélas, une paix complète, formelle, n'aura pas lieu. Oubliez la. Humez le café. Et faites face à la réalité déplaisante.
OK, alors nous devons traiter avec les cartes distribuées. Mais cela signifie une politique dure, montrant aux adversaires ce qu’il en coûte d’être des ennemis ; en faisant pression sur les alliés supposés pour qu'ils livrent des gages.
- Quelle leçon l’Iran tire-t-elle de la faiblesse occidentale dans son opposition au programme d’armes nucléaires ? Pour paraphraser les mots de l’Amiral de l’Union pendant la Guerre Civile [aux USA, Ndt] : « Au diable les notes diplomatiques ! Mettez pleine vitesse et en avant ! »
- Quelle leçon la Syrie tire-t-elle de l’échec d’Israël à mener des représailles contre elle l’été dernier, et dans le torrent des prétendants qui lui apportent des cadeaux et flattent la dictature ? Poursuivre l’escalade de la guerre contre le Liban !
- Quelle leçon le Hezbollah tire-t-il du refus occidental de durcir sa position sur la contrebande d’armes, et le tremblement des Européens de crainte que le Hezbollah n’attaque les Forces de gardiens de la paix de la FINUL au Liban ? Réarmez-vous, reconstruisez vos positions dans le Sud, et recommencez à expédier des roquettes sur Israël !
Alors d’accord, coopérez avec le Fatah, mais n’ayez aucune illusion, ni aucune attente. Et ne cédez rien pour rien.
Jewish World Review June 18, 2007 / 2 Tamuz, 5766
Our Fatah ‘Allies’
By Barry Rubin
https://jewishworldreview.com/0607/rubin061807.php3
A sobering article that the Bush administration, EU and any other would-be "humanitarian" should read
During World War One, Germany concluded that its chief ally, Austria-Hungary, was more of a burden than an asset. As one German official put it, being in that alliance was like being "shackled to a corpse."
And more than a century earlier, it was said of the doomed French dynasty, the Bourbons, that they learned nothing and forgot nothing.
Welcome to the alliance with Fatah, sort of Austria-Hungary and the Bourbons rolled up into one. The group is now ruler of a West Bank-only semi-state after Hamas captured the Gaza Strip from it. The United States is backing Palestinian Authority leader Mahmoud Abbas with aid and probably military assistance. Israel's government will do everything possible to preserve that regime, too.
This is a completely logical policy decision. It makes perfect sense given the balance of forces and the overall situation. I understand why it is being done. The problem is that it isn't going to work very well, or at least only to a limited extent. And if we know that now, perhaps this fact should shape policy just a bit?
But first, let's sweep the floor of all the debris that belongs in the garbage can. There are those now arguing for backing, or at least parlaying with, Hamas. Reportedly, the European Union is going to keep giving aid to the Hamas-ruled Gaza Strip in order to avoid a humanitarian crisis.
As I recall, in wartime one does not send aid to enemy-ruled states, even to help the civilians there. Putting on pressure is necessary to defeat the enemy. Of course, the United States and Europe are not at war with Hamas, or Hizballah, Syria, or Iran for that matter. The problem is that the West generally doesn't understand that these forces are at war with them.
If you send aid to the Gaza Strip, it will strengthen Hamas's rule. Aid will be diverted to pay terrorists and buy arms. The schoolteachers whose salary you pay will teach children that their highest duty is to become a suicide bomber and that Christians and Jews are sub-human. The salaries paid are used to buy support for Hamas.
Those loyal get money; those who oppose Hamas don't. Is all this so hard to understand?
And if one wants to do something humanitarian, take the money that would have gone to the Gaza Strip and give it to poor people in Africa, Asia, South America, Iraq, even the West Bank. Don't finance terrorism, anti-Semitism, and radical Islamism for goodness sake. Is that so hard to understand?
The second piece of nonsense is that this is some great opportunity for advancing the peace process. Have no doubt. The United States and Israel may give Fatah money, trade some intelligence, and try to get them to stop cross-border terror attacks. But serious negotiations? Forget it.
In understanding the Fatah world view let's try a simple test. You are a Fatah official. You receive money. What do you do with it? Answer: put it into your foreign bank account. Why? Because aside from pure greed and a culture of corruption, you are afraid that Hamas will take over the West Bank, too. You will need a bankroll so that you and your family can flee abroad and live comfortably, very comfortably.
As for Abbas, he is a loser and only if he is replaced can one even begin to believe in Fatah's survival. He is the closest thing in the Palestinian movement to a French intellectual, not the kind of person you would like to have by your side in a knife fight.
Consider his first two decisions. Who did Abbas make prime minister? Muhammad Dahlan, who has been warning about the Hamas threat for more than five years, or some other warrior? No, Salam Fayyad, a professional economist. Why? Does Abbas intend to launch a major development and anti-poverty campaign? No, it's because Fayyad, an honest and experienced guy it is true, but certainly no wartime consigliore, is more likely to bring in Western aid money.
In addition, Abbas has refused to outlaw Hamas on the West Bank. Perhaps he hopes for reconciliation? Or wants to avoid a confrontation on his remaining turf? If Abbas is thinking like a European Union bureaucrat he is really doomed.
There is something deeper, too, in the desire by many in the West or Israel to believe in an alliance with Fatah, a group which still carries on terrorist attacks and doesn't believe in Israel's right to exist. This is the obsession with the peace process dream.
Now peace is a very good thing. It is certainly preferable to war. Peace far better serves the interests of average people. But, unfortunately, a comprehensive, formal peace is not going to happen. Get over it. Smell the coffee. Deal with unpleasant reality.
OK, so we have to deal with the cards which have been dealt. But this means a tough policy, showing adversaries that it is costly to be enemies; pressing supposed allies to deliver the goods.
What lesson does Iran draw from Western weakness in opposing its nuclear weapons' program? To paraphrase the words of the Union admiral during the Civil War, "Damn the diplomatic notes! Full speed ahead!"
What lesson does Syria draw from Israel's failure to retaliate against it last summer and the stream of Western suitors bearing gifts and flattering the dictatorship?
Escalate the war against Lebanon!
What lesson does Hizballah draw from Western refusal to get tough on arms smuggling and Europeans trembling lest it attack the UNIFIL peacekeeping forces in Lebanon? Rearm, rebuild positions in the south, and start firing rockets against Israel again!
So, all right, work with Fatah but have no illusions or expectations. And don't give something for nothing.
JWR contributor Barry Rubin is director of the Global Research in International Affairs (GLORIA) Center, Interdisciplinary Center, and editor of the Middle East Review of International Affairs. His latest book is "The Truth About Syria".
Par Claudia (Claudia) le jeudi 21 juin 2007 - 18h59: |
Pêche au thon en Méditerranée: "bilan alarmant" selon Greenpeace
PARIS (AFP) - L'organisation Greenpeace, en campagne pour la protection du thon rouge dans le sud de la Méditerranée, dénonce jeudi la multiplication des infractions commises par les pêcheurs et un "bilan alarmant".
"La pression de pêche sur la zone a atteint des niveaux inégalés et les infractions au plan (de sauvegarde du thon) de Dubrovnik ont été nombreuses sans qu’aucun contrôle ni surveillance des autorités ne soient mis en oeuvre", assure Greenpeace dans un communiqué, citant un de ses militants à bord du Rainbow Warrior qui achève une campagne de 40 jours entre Malte et les côtes libyennes.
L'ONG, qui indique avoir "croisé ses observations en mer avec les données issues de la surveillance de plusieurs ports et aérodromes", affirme que les grosses pêcheries continuent notamment de recourir à des avions de repérage des bancs sur la zone, procédé hors-la-loi.
Elle a également relevé la "présence sur zone de plusieurs thoniers-senneurs sans licence internationale" de l'ICCAT, l'organisme de régulation, notamment des bateaux "tunisiens et au moins un italien".
Elle dénonce encore des "transbordements en mer" depuis des thoniers français et italien vers des cargos-surgélateurs panaméens, meilleur moyen selon elle de blanchir les captures illégales.
"Ce que nous avons constaté pendant cette campagne suffit amplement à justifier notre demande d'arrêt immédiat de la pêche au thon. Le plan de Dubrovnik, qui a accordé un volume de captures deux fois supérieur aux préconisations des experts scientifiques, ne mérite ni l’appellation de plan de gestion ni, a fortiori, celle de plan de sauvetage", s'insurge Greenpeace.
En novembre à Dubrovnik (Croatie), les pays membres de la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l'Atlantique et de la Méditerranée (ICCAT) avaient opté pour une réduction progressive des quotas annuels de pêche, de 32.000 tonnes aujourd'hui à 25.000 tonnes en 2010.
Les recommandations des experts préconisaient de ne pas dépasser les 15.000 tonnes pour garantir la sauvegarde du thon rouge, très prisé des amateurs de sushis.
Par Sarel (Sarel) le jeudi 21 juin 2007 - 17h15: |
Tradition
Le mot en hebreu est MASSORET
La racine est de trois lettres M>S>R
Il y a le verbe remettre LIMSSOR
Le terme morale est le plus important MOUSSAR
Il y a encore plusieurs derives sur la base de ces trois lettres
Effectivement la morale se transmet
Son message depend de sa VERITE RELATIVE
Elle est liee a une echelle de valeurs ‘ specifique
Elle est continuellement active
Voici quelque mots et bien a tous
sarel
Par Braham (Braham) le jeudi 21 juin 2007 - 13h53: |
3- Je garde chez moi une tres vieille edition de ce Livre (1909), en Hebreu puis traduit en Judeo-Arabe, avec ce qui a ete ecrit plus haut.
PS
Je m'excuse pour la suite de la discuss, je serai absent pendant 3 semaines
Par Braham (Braham) le jeudi 21 juin 2007 - 13h51: |
2- Le 1er chapitre du Livre "Pirkey Avoth" qui peut se traduire "Traites ou Discours des Peres", contient 2 fois le verbe Massor comme TRANSMETTRE
Par Henri (Henri) le jeudi 21 juin 2007 - 13h46: |
Braham chalom,
Desole mais les differentes definitions de massorette n'apparaissent pas
Mais tu connais certainement ce paragraphe que l'on lit le matin juste avant Alenou lechabeah, et qui dit
"alihkot olam lo ,al tikre alihkot ela alahkot."
Ceci est tres bien valable pour massorette.
Bonnes vacances.
Par Braham (Braham) le jeudi 21 juin 2007 - 13h46: |
Cher Henri
Ce rapprochement entre Le mot Tradition et la Scie m'etant inconnu, je voudrai donner ici:
1- L'explication du mot Massoret, donnee par le dictionnaire EVEN SHOSHAN, qui est le "Larousse" israelien, avec traduction en francais
Par Messaoud (Messaoud) le jeudi 21 juin 2007 - 12h33: |
richard
il est un dicton qui dit pour vivre heureux vivons caché
or ces organisateurs et participants de cette Foire font tout pour ne pas rester cachés
j'en deduis les pauvres qu'il faut les plaindre car il ne sont point heureux et que toute cette exhuberance et energie n'est qu'un masque a leur triste condition
(j'imagine tout de suite; pourquoi triste???)
cela est un point ;secondo je suis parti voir sur google toutes les villes ou ont eu lieu ces parades
question :pourquoi a Turin et pas a Rome qui elle aussi a son passé de tuerie et de meurtres mais centre et siege que d'une religion
alors excuse moi mais cites moi une ville musulmane ou s'est deroulé cette parade
ah oui ,excouser moi il n'y as pas de cette categorie de personnes pour organiser un defile de ce type
allons mon cher Richard imagine tu un instant que cela puisse se concretiser
ne sens tu pas comme une provocation de choisir Jerusalem et pas Tel aviv pour parader un peu comme si l'on veut defier cette ville; centre de religion qui ne les reconnait pas et qui les condamnent
je ne suis point Psy mais il y aurait surement beaucoup a ecrire sur cela !
pour vivre heureux sachons vivre cachés!!!
Par Braham (Braham) le jeudi 21 juin 2007 - 12h09: |
Cher Henri
Ce rapprochement entre Le mot Tradition et la Scie m'etant inconnu, je voudrai donner ici:
1- L'explication du mot Massoret, donnee par le dictionnaire EVEN SHOSHAN, qui est le "Larousse" israelien, avec traduction en francais
2- Le 1er chapitre du Livre "Pirkey Avoth" qui peut se traduire "Traites ou Discours des Peres", contient 2 fois le verbe Massor comme TRANSMETTRE
3- Je garde chez une tres vieille edition de ce Livre (1909), en Hebreu puis traduit en Judeo-Arabe, avec ce qui a ete ecrit plus haut.
PS
Je m'excuse pour la suite de la discuss, je serai absent pendant 3 semaines
Par Girelle (Girelle) le jeudi 21 juin 2007 - 11h57: |
Merci Emile de ce poème sur Bible Tradition et Conscience.
Il nous invite à réfléchir sur ce bien précieux que grace à la Thora et à la Tradition, nos ancêtres ont su fortifier en nous: nos consciences.
Et c'est déjà un point de départ d'importance.
Par Girelle (Girelle) le jeudi 21 juin 2007 - 11h37: |
A Richard,
Que Jérusalem soit ou pas considérée comme une Ville Sainte n'est pas le débat.
Jérusalem est un symbole pour le monde entier, ce n'est pas n'importe quelle ville, y organiser une Gay Pride est tout simplement une provocation, comprenez que ce soit ressenti comme tel puisque c'est le but.
Loin de porter un jugement sur l'homosexualité et sur la Gay Pride, j'estime que le non respect des sentiments d'autrui est simplement une muflerie vulgaire.
Le monde est rempli de villes, choisir Jérusalem c'est vouloir choquer délibérément et ce n'est pas estimable.
Par Henri (Henri) le jeudi 21 juin 2007 - 10h44: |
Richard chalom,
Vous ecrivez " le bien a besoin du mal, autrement le bien n'aurait plus de raisons d'exister."
On est presque d'accord sur ce sujet, sauf que c'est le mal qui a besoin du bien.
Achem a cree le mal pour que vous et moi le transformions en bien, par l'amour du prochain, c'est le but de notre passage dans ce monde du bas.
Facile a dire!!!!!, il ne nous reste plus qu'a le faire.
Chalom et brahka.