Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 24 juin 2007 - 05h44: |
La Tradition
Un collègue a maintes fois demandé:
Peut-on être juif sans le livre sacré?
N'est-il pas notre fond et notre essence?
Le but même de notre espérance?
La bible peut nous être un guide
Si nous restons purs et limpides
Mais nous devons écouter la conscience
Et lui donner notre entière confiance.
C'est elle qui nous appelle
A nous identifier avec elle
Par nos faits de bonté et d'amour
Que nous devons remplir tous les jours.
Nos vieux les appelaient Mitzvot
Alors qu'ils vivaient dans les grottes
Et pour ne pas les oublier
Ils ont pris soin de les compter.
Nos aïeux ont créé la tradition
Afin que nous fassions attention
A ce qui leur paraissait précieux:
Ils ont écrit la Torah des cieux.
A nos jours tout nous semble étrange
Alors que le monde autour de nous change
Ainsi nous cherchons à adoucir
Notre chemin avec des plaisirs.
L'essentiel est de répandre autour de soi
La gentillesse, l'amour et la joie
Que ce soit d'après la bible ou la tradition,
Que chacun le fasse à sa façon.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 24 juin 2007 - 05h08: |
Maintenant que Barak est a nouveau dans le gouvernement j'ai trouve utile de revoir mes ecrits d'il y a deca 7 annees. Donc je vous prie de ne pas s'emballe mais de voir si cet ecrit est toujours valable?
Date: 24 Octobre 2000
J'ai lu la traduction en langue française de l'article écrit par Edward Luttwak. Les faits cités sont tous vrais et font partie de l'histoire mais les analyses restent toujours des analyses ou des suppositions. Maintenant que certains dés sont jetés, nous pouvons nous demander, que c'était-il vraiment passé entre Arafat et Barak, surtout après des années de négociations et de progrès qui a été achevé dans l'intérêt des Palestiniens. Du coup, rien ne va plus et les deux parties retournent à la violence. La parole ne compte plus. Le bon sens fait place à l'absurde.
Je ne crois pas aux excuses données par l'un ou par l'autre côté car chacun essaye de justifier sa position. Malgré tout Arafat avait tenu le coup depuis Oslo. Nous savons que certaines conditions des accords n'ont pas été entièrement respectées mais les Israéliens semblaient s'accommoder. Arafat avait contenu la Intifada et les violences avaient cessé. C'est ce que les Israéliens s'attendaient de plus de ces accords. Le calme avait reprit son cours, le commerce fleurissait des deux côtés.
Depuis la venue de Barak sur la scène politique les choses semblaient aller de mal en pire. Mais dans tout ce contexte quelqu'un avait aussi commis une grave erreur. Barak offrait plus que les Palestiniens ne pouvaient avaler. Dans le front du nord Barak retire ses forces armées après tant d'années de résistance et laisse la place à des mauvaises interprétations.
Les offres de Barak étaient plus que les Palestiniens ne pouvaient administrer. Ensuite vient le camp David accompagné d'un délai prescrit à l'avance. Aucun des deux leaders n'étaient prêt, car ni Barak ni Arafat ne pouvait décider sans avoir uni au préalable la majorité du peuple et des factions intéressées. Si les deux parties avaient plus de temps de préparation les négociations ne seraient peut-être pas terminées mais ne seraient pas rompues tel que nous l'avons vu, car les accords obtenus directement par les deux parties seraient plus solides que les accords forcés par d'autres.
La paix qui a été signée entre l'Egypte et Israël avait été signée entre Sadate et Begin, qui était le chef de la Droite israélienne. A mon avis, toute paix avec les Palestiniens ou les Syriens ne sera signée que par quelqu'un de fort, qui pourra aligner son peuple derrière lui.
Par Messaoud (Messaoud) le samedi 23 juin 2007 - 19h27: |
pour Cacouboulou
FOOT - Hop Suisse !!!
C'est dans une école à la frontière franco-suisse, l'institutrice dit qu'elle est fan de l'équipe de France et demande aux fans de l'équipe de France de lever la main.
Pour faire comme la jolie institutrice, tous les élèves lèvent la main, sauf une. "Bah alors, petite Emilie, tu n'es pas fan de l'équipe de France ?" demande l'institutrice. "Non", répond Emilie, "je suis fan de l'équipe suisse". "Ah bon ?"
Demande l'institutrice, "et pourquoi ?".
"Parce que mes parents sont fans de l'équipe suisse, donc je suis fan de l'équipe suisse" répond la petite fille.
L'institutrice veut donner une leçon à la fille et dit "Et si tes parents étaient des imbéciles finis, tu serais quoi ?".
Là, la petite Emilie répond "Je serais fan de l'équipe de France".
un petit clin d'oeil et mes meilleurs souhaits de chavoua tov
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le samedi 23 juin 2007 - 06h40: |
Henri il n'y a ni distance ni lieu dans l'amour. Il est partout pour ceux qui ont le coeur ouvert pour le recevoir.
Chabbat Chalom à tous les êtres
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le samedi 23 juin 2007 - 06h40: |
Henri il n'y a ni distance ni lieu dans l'amour. Il est partout pour ceux qui ont le coeur ouvert pour le recevoir.
Chabbat Chalom à tous les êtres
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le vendredi 22 juin 2007 - 23h43: |
Alors là Richard Bravo ! On n'a pas toujours été d'accord, mais alors là c'est du 100%,,,
Un Trés Bon Shabat, à bientôt,
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 22 juin 2007 - 23h03: |
Ya Breitou, ya Henri Ana Qalbi Safi (Breitou Henri mon coeur est pur) depuis Béja jusqu'à l'au-delà, grâce à Lui.
L'UNIQUE Créateur c'est lui qui nous nettoie, nous filtre et nous purifie à travers l'échelle de Jacob et tous les échelons intermédiaires.
C'est de lui que vient la lumière qui éclaire notre obscurité et nos mésententes.
Nos coeurs sombrent toujours avant la tempête, quoique nous sachions que le soleil est là derrière les nuages et apparaîtra juste quand nous croyons être abandonnés.
Il faut se répéter au fond de soi-même A ANI MAAMIN BE EMOUNA CHELEMA (Je crois avec mon entière foi) que nous ne serons jamais abandonnés là ou nous soyons. Voilà à quoi je crois.
Chabbat Chalom
Par Pauline (Pauline) le vendredi 22 juin 2007 - 22h06: |
« En prenant Jérusalem,
Israël a décidé qu’il n’y aurait pas de paix »
Tom Segev
Entretien avec l’historien israélien Tom Segev, réalisé par Pierre Barbancey
Où en était la société israélienne à la veille de la guerre, en juin 1967 ?
Si vous étiez en Israël au milieu des années soixante, vous pensiez participer à une aventure extraordinaire et pleine de succès. L’État existait malgré deux guerres, 2 millions de juifs étaient venus y vivre et construire la nation, l’économie marchait bien et culturellement c’était un succès. Les gens venaient du monde entier pour voir ça, d’Alfred Hitchcock à Jean-Paul Sartre. Les Israéliens étaient optimistes, confiants dans un avenir qui fournirait à leurs enfants une vie meilleure. Tout cela disparaît de façon abrupte dix-huit mois avant la guerre et Israël entre dans une crise psychologique terrible. Le pays connaît une récession économique et une montée du chômage. Il y a plus de départs du pays que d’arrivées. Cela ne s’était produit qu’une seule fois dans le passé, en 1953. Il n’y a rien de plus offensant pour l’ego sioniste ! Une blague est d’ailleurs apparue faisant état d’un panneau à l’aéroport de Tel-Aviv demandant au dernier juif qui partirait d’éteindre la lumière. Le rêve sioniste était fini.
Déjà en 1966 on parlait de post-sionisme. L’expression ne date pas de maintenant. Il y avait un grand fossé entre les générations. Les parents sentaient qu’ils perdaient leurs enfants en tant que sionistes. Pour la première fois les ashkénazes (juifs d’Europe centrale et orientale) étaient dépassés en nombre par des non-ashkénazes. Au niveau politique, le très charismatique David Ben Gourion était remplacé par Levi Eshkol, en qui personne n’avait confiance. Et le « terrorisme » palestinien commençait, ce dont peu de monde se souvient. Tout cela n’était pas dramatique mais un pays normal ne peut pas vivre avec tous les deux jours quelque chose qui se passe : une bombe ici, quelqu’un tué là...
Eshkol s’est donc tourné vers l’armée et a demandé ce qu’elle comptait faire. L’armée n’avait pas de réponse au terrorisme. C’est intéressant parce que c’est comme aujourd’hui. La seule réponse qu’ils avaient était de frapper la Syrie. La tension a commencé à monter à la frontière syrienne mais aussi à la frontière égyptienne. La crise à la frontière égyptienne avait des solutions diplomatiques variées, mais elles réclamaient toutes des nerfs solides et un gouvernement fort. La crise de mai 1967 a frappé la société israélienne au plus mauvais moment parce qu’elle se trouvait en perte de confiance. C’est à ce moment que l’idée de l’Holocauste a émergé.
Comme vous le savez l’Holocauste est un sujet problématique en Israël. Il y a beaucoup de manipulations. À cette époque le ministère des Affaires étrangères a demandé à son ambassadeur à Washington de prendre rendez-vous avec le rédacteur en chef du New York Times et de lui expliquer que Nasser était un nouvel Hitler ! La panique ici a été générale. Pour mon livre, j’ai collecté 500 lettres envoyées par des Israéliens aux États-Unis. Ce ne sont pas des lettres au New York Times mais des lettres personnelles, d’une mère à sa fille, d’un homme à son frère. Elles reflètent toutes cette peur. À Tel-Aviv, on a commencé à sanctifier des parcs, des terrains de football pour enterrer des corps parce qu’on pensait qu’il y aurait des dizaines de milliers de cadavres. Seul un pays qui a connu un holocauste peut se préparer ainsi au prochain.
La guerre était donc inévitable ?
Tom Segev. La guerre avec l’Égypte était inévitable. Pas pour des raisons diplomatiques et militaires comme le craignait Eshkol, mais parce qu’Israël était psychologiquement trop faible pour ne pas aller à la guerre. Mais il y a eu trois guerres cette semaine-là : avec l’Égypte, avec la Jordanie et avec la Syrie. Et trois explications différentes. Lorsque la guerre s’engage avec la Jordanie, le danger existentiel est fini. Nous avons déjà détruit les forces aériennes égyptiennes. La guerre avec la Jordanie contredit l’intérêt national d’Israël. Ce n’est pas moi qui le dis maintenant, ils l’ont dit eux-mêmes à cette époque. C’est une des choses nouvelles qu’il y a dans le livre. Six mois avant la guerre, la direction du Mossad, les renseignements militaires et le ministère des Affaires étrangères se sont réunis et ont fait quelque chose que les Israéliens ne font pas souvent : ils ont réfléchi à l’avenir.
La question était : quelles sont les circonstances qui rendraient nécessaire la prise de la Cisjordanie ? Parce qu’il y avait des groupes armés palestiniens qui venaient aussi de Jordanie. Mais à la fin ils sont arrivés à la conclusion qu’il n’était pas dans l’intérêt d’Israël d’occuper la Cisjordanie. Pourquoi ? À cause de la population palestinienne. Une occupation rendrait vie au nationalisme palestinien, ce serait dommageable pour la majorité juive et éventuellement cela amènerait une résistance armée. Ils ont donc dit qu’il ne fallait pas occuper la Cisjordanie. Mais au matin du 5 juin 1967 toutes ces raisons ont été oubliées. Le fait que Hussein de Jordanie ait attaqué Jérusalem pouvait donner lieu à des représailles, comme détruire l’armée jordanienne, exhiber Hussein en sous-vêtements comme ils ont fait avec Saddam.
Mais pourquoi occuper la Cisjordanie ? J’ai eu accès pour la première fois aux discussions du gouvernement. Pas un ministre n’a posé la question de savoir en quoi il était dans l’intérêt d’Israël de contrôler Jérusalem-Est. Ils n’ont pas convoqué un seul expert. On prend les lieux saints du monde chrétien et du monde musulman et on ne demande pas son avis à un juriste, comme on le fait pour acheter un appartement ? Il n’y a pas eu de question parce que la réponse est évidente. C’est irrationnel : la religion, l’aspiration nationale, deux mille ans de sionisme. Ils ont pris Jérusalem-Est et la Cisjordanie en sachant qu’il ne fallait pas. En prenant Jérusalem, ils ont décidé qu’il n’y aurait pas de paix puisque celle-ci ne peut exister sans rendre Jérusalem. Quarante ans après on sait qu’Israël n’a absolument rien gagné en prenant les territoires palestiniens.
Quel était le sentiment des Israéliens - lorsqu’ils sont partis en guerre ?
Tom Segev. Avant la guerre ils pensaient être en danger d’extermination. Ils utilisaient d’ailleurs ce terme. L’armée a expliqué que celui qui frappe le premier gagne. Elle a mis le gouvernement sous pression. Le premier ministre Eshkol a laissé le portefeuille de la Défense à Moshe Dayan.
En fait Eshkol est apparu comme quelqu’un de fort : il a dit dès le début qu’Israël n’engagerait pas la guerre sans le feu vert des États-Unis. Il y avait aussi une forte tension entre les jeunes généraux et ces vieux politiciens qui étaient à leurs yeux des juifs faibles de la diaspora. Rabin, le chef d’état-major, représentait les nouveaux Israéliens, ces sabras qui voulaient se débarrasser de ceux qui parlaient yiddish. Eshkol, lorsqu’il parlait des généraux, disait « les Prussiens », ou, à propos de Dayan, « l’Arabe ». Tout ça a joué un rôle. Après la guerre la blague était la rencontre de deux généraux : « Qu’est-ce qu’on fait aujourd’hui ? Si on attaquait Le Caire ? OK, et l’après-midi ? » La société est passée du plus bas à une élévation quasi messianique. De plus il n’y a pratiquement pas eu de résistance de la part des Palestiniens et l’idée d’une occupation douce s’est installée. Nous n’avons pas décollé de 1967. Ce sont les mêmes problèmes, les mêmes débats, mais plus difficiles à résoudre. 1967 continue.
Pour les Israéliens, les Palestiniens n’étaient pas là en quelque sorte ?
Tom Segev. Les Palestiniens n’étaient nulle part. Lorsque j’ai grandi, on disait « Arabes », ce qui voulait dire Égyptiens, Syriens, Jordaniens, Irakiens, Libanais. On n’a jamais pensé aux Palestiniens. Cela a été le grand choc de l’après-guerre. Il fallait compter avec un nouveau facteur. On n’avait jamais entendu parler des Palestiniens. On savait qu’une fois par an il y avait une discussion à propos des réfugiés aux Nations unies. Mais rien de vraiment concret. On ne savait pas à quoi ressemblait un camp de réfugiés. Rabin pensait qu’il fallait établir un État palestinien indépendant et pas rendre les territoires à la Jordanie. Il y a eu des discussions avec les Palestiniens ainsi qu’avec le roi Hussein. Mais on se sentait si puissant qu’on pensait qu’on pouvait mettre des conditions : on ne rendrait pas Jérusalem ni Gaza, pas plus que la vallée du Jourdain. Pas non plus le Golan, ni le Gush Etzion, ni Hébron... Donc il y a eu de plus en plus de colonies. Je ne suis pas encore arrivé à la conclusion qu’on a manqué une opportunité de faire la paix en 1967.
Je ne pense pas que les Israéliens et les Palestiniens étaient prêts. Le fossé était trop grand. En 1967, on a loupé l’opportunité de résoudre le problème des réfugiés. C’était le moment. Ils étaient arrivés à la conclusion qu’il faudrait mettre les réfugiés de 1948 qui se trouvaient à Gaza en Cisjordanie. Rien ne s’est passé alors qu’il y aurait pu y avoir l’argent. La branche française des Rothschild avait offert d’en donner. Mais les Israéliens ont pensé que ce n’était pas pressé, que l’ONU s’occupait de ces réfugiés. Il y avait aussi des problèmes politiques. Des gens comme Begin, Dayan, Alon disaient que la Cisjordanie devait être gardée pour les colonies juives. Eshkol s’est dit qu’on pouvait se débarrasser des réfugiés palestiniens dans des pays arabes comme l’Irak. Il en a même parlé au président des États-Unis, Johnson. Il y avait aussi une dimension idéologique : le mouvement sioniste, Israël faisaient partie du problème, ce qu’ils se refusaient et se refusent à admettre. En 1967 on a appris que le problème n’était pas entre Israël et les pays arabes mais entre Israël et les Palestiniens. C’est la conséquence majeure de cette guerre, même si tous les Israéliens ne veulent toujours pas le reconnaître.
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le vendredi 22 juin 2007 - 20h07: |
Gaza l imposture !!!
Combien de fois n a t on pas entendu que Gaza etait un endroit surpeuple ... combien de fois n a t on pas entendu que c etait la densite de population la plus forte du monde ...
https://www.mitspe.net/forum/
Une simple reprise des chiffres connus par tous mais qui ne sont jamais mis face a face c est pourtant ce qu a fait un internaute de Mitspe et voila l imposture
https://www.mitspe.net/forum/viewtopic.php?t=7058
Par A_Soued (A_Soued) le vendredi 22 juin 2007 - 19h01: |
ILS NE S’ARRETERONT PAS A GAZA
Moshé Arens
Arouts Sheva 21 juin 2007
Traduit par Aline Sultan
Si vous voulez savoir à quoi ressemble l’enfer, il vous suffit de jeter un coup d’œil sur les dernières images du carnage à Gaza. Il se peut que vous vous rassuriez en vous disant que cela ne nous concerne pas, nous les Israéliens, mais ce ne serait qu’une illusion catastrophique de plus, une de celles dont les esprits israéliens se bercent si souvent.
Non seulement la prise de pouvoir du Hamas sur Gaza nous affectera certainement dans l’avenir, mais il ne fait aucun doute qu’Israël et sa politique désastreuse ont une grande part de responsabilité dans ce qui se passe à l’heure actuelle. Cette politique partait sans aucun doute de bonnes intentions (l’aspiration à la «paix» et rendre justice aux Palestiniens), mais il est connu que la route vers l’enfer est jonchée de bonnes intentions.
Qui aime s’entendre dire «Je te l’avais dit» ? Certainement pas des gens comme Yossi Beylin, Avrom Burg et d’autres politiciens du cercle des «colombes» qui, des années durant, ont recommandé d’engager des négociations avec l’OLP et de faire des concessions et qui ont inlassablement exigé de mettre un terme à ce qu’ils continuent d’appeler «l’occupation de la Judée, de la Samarie et de Gaza»
Tout a commencé à Oslo il y a 15 ans. Le chef des terroristes, l’homme qui a inventé le détournement d’avions et qui a ordonné d’assassiner les athlètes israéliens aux jeux olympiques de Munich, s’est vu acclamé par quelques Israéliens, qui l’ont qualifié de «combattant pour la liberté» avec lequel, selon eux, nous devions absolument négocier afin de conclure la «paix»
«Vous êtes obligés de faire la paix avec vos ennemis», tel était le slogan continuellement rabâché pour justifier cette ligne de conduite complètement stupide. Et ainsi, à la fin des pourparlers à Oslo, menés par des amateurs en diplomatie internationale, Yasser Arafat et sa bande de terroristes corrompus ont été amenés de Tunis et ont été imposés à la population palestinienne dans la majeure partie de la Judée, de la Samarie et de Gaza. (C’est alors qu’Israël s’est retiré de Gaza et non au moment de l’expulsion des Juifs du Goush Katif en août 2005, comme le prétendent ceux qui ont approuvé la «séparation unilatérale»)
Il y a un lien direct entre le pouvoir corrompu de Yasser Arafat et son soutien aux actions terroristes contre la population civile israélienne et la prise de pouvoir du Hamas à Gaza. Il suffit de relier les points. Ils partent des accords d’Oslo et passent par la décision d’Ehoud Barak en 2000 d’abandonner la zone de sécurité au sud Liban et de trahir Tsadal, (l’armée du sud Liban), la vieille alliée d’Israël. Nassrallah n’était pas le seul à considérer Israël comme une toile d’araignées, incapable de résister au terrorisme. C’est la conception qui déclencha l’explosion de l’Intifada d’El Aksa, qui fut orchestrée par le Fatah et le Hamas et qui provoqua la mort de nombreux civils.
Juste au moment où Tsahal et le Shabak allaient imposer une défaite totale, le gouvernement de Sharon arriva avec son idée absurde de déraciner les habitants israéliens de Goush Katif par la force et de se retirer sur la ligne de cesser le feu israélo-égyptienne de 1947, idée qu’il promut sous le slogan mensonger «Nous sortons de Gaza !» C’était l’encouragement dont le Hamas avait besoin pour prétendre avoir remporté une victoire sur Israël et pour remporter les élections palestiniennes contre le pouvoir corrompu du Fatah.
Comme c’était à prévoir, le retrait unilatéral d’Israël fut suivi de tirs ininterrompus de missiles Kassam sur les villes et les villages d’Israël. Malgré tout cela, les porte-parole du gouvernement, dirigés par Tsippi Livni, continuèrent de répéter que le but et l’intérêt d’Israël était de créer un état palestinien en Judée, en Samarie et à Gaza. Le Hamas, qui s’est renforcé grâce à l’apparente faiblesse d’Israël, a remporté les élections palestiniennes, et à présent, après avoir mené un combat sans retenue, a pris le contrôle de toute la bande de Gaza. Et ils n’ont pas l’intention de s’en tenir là…
Le gouvernement d’Israël a accumulé les erreurs dans son estimation des réactions des Arabes aux démarches d’Israël qui avaient pour but de calmer la tension dans la région et de rapprocher les Arabes de leurs buts tels qu’ils sont perçus par Israël. Mais pour ceux qui aspirent à la destruction d’Israël, ce rapprochement les encourage à intensifier leur lutte contre Israël.
De bonnes intentions ne suffisent pas. Si on n’y joint pas une bonne dose de réalisme, elles risquent de mener directement en enfer. Je n’aime pas trop dire «Je vous l’avais dit», mais c’est un fait, je vous l’avais bien dit.
Par Victor (Victor) le vendredi 22 juin 2007 - 18h32: |
Le CRIF à l’inauguration de l’institut français à Tel-Aviv
22/06/07
- Thème: France/Israël
L’institut français a été inauguré à Tel-Aviv, jeudi 21 juin, lors d’une cérémonie à laquelle ont pris part Philippe Faure, secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Jean-Michel Casa, ambassadeur de France en Israël, et Jacques Huntzinger, président de la Fondation France-Israël. La présidente de la Knesset, Dalia Itzik, et le maire de Tel-Aviv, Ron Houldaï, ont ouvert la cérémonie. Le président du CRIF, Richard Prasquier, a pris la parole. Il a fait part de sa satisfaction de voir une évolution positive dans les relations franco-israéliennes et notamment dans trois domaines : la vision et la perception israéliennes sur la situation des Juifs en France, la stabilisation de l’image d’Israël en France et l’amélioration de l’image de la France en Israël. Le président du CRIF a également souligné l’importance de ne pas oublier les trois soldats qui ont été enlevés l’an dernier, et notamment Gilad Shalit, citoyen franco-israélien. Richard Prasquier a rencontré Noam Shalit, le père de Gilad. Ce dernier n’a aucune nouvelle de son fils. La cérémonie s’est poursuivie avec la fête de la musique et le concert de Juliette Gréco.
Vendredi 22 juin, Jacques Huntzinger, qui a également été ambassadeur de France en Israël, a inauguré une exposition au centre culturel sur les 50 ans de relations entre la France et Israël.
https://www.crif.org/index.php?page=articles_display/detail&aid=9148&artyd=2
Par Moshébé (Moshébé) le vendredi 22 juin 2007 - 14h16: |
b
Chers amis
Vous m’avez manqués, mais une panne de ma Wifi m’a contraint à renoncer à Internet durant plusieurs semaines. Je profite d’une petite semaine à Paris pour vous saluer.
Ce n’est pas faute d’avoir essayé de réparer, mais lorsque je ne suis pas en région parisienne, je pars avec mon ordinateur portable et ma wifi.
Je pense que dès mon retour en vacances, je ferai installer Internet, une fois pour toutes.
En ce qui concerne le sujet du jour, l’Amour, La Rochefoucauld a dit :
« Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies. »
Et bien entendu, chacun a sa version originale
Shabbat Chalom à toutes et tous.
A bientôt
Votre ami Moshébé.
Par Messaoud (Messaoud) le vendredi 22 juin 2007 - 12h51: |
albert
ou mets tu la barre?
quand tu aimes ton fils ta fille ta mere ou ton pere et meme toi!!!
un peu reducteur !!
mais je sais tu as la dafina sur le feu et tu n'as pas le temps
la je comprends!!!chabath chalom habibi!!
Par Meyer (Meyer) le vendredi 22 juin 2007 - 12h15: |
Braham m'a chargé d'entretenir son jardin en son absence
Par Albert (Albert) le vendredi 22 juin 2007 - 11h32: |
L'amour c'est la rencontre de deux sexes et point barre.../
Par Sarel (Sarel) le vendredi 22 juin 2007 - 11h10: |
L'amour
CHAQUE corps est une force magnetique
Il attire et est attire .
l`intensite depend de la nature de deux forces
Elle est specifiquement spirituelle
L;amour sans condition mene vers le sacrifice
Il ne s'explique pas
Il ne peut pas se mesurer
On apprend a aimer pour survivre
La tolerance ne peut etre sans condition
Car donner qui est necessaire n'est pas tolerer
Chabbat Chalom
Bien a tous
sarel
Par Henri (Henri) le vendredi 22 juin 2007 - 10h01: |
Jasmin pour Abraham
Par Henri (Henri) le vendredi 22 juin 2007 - 07h39: |
Toufik chalom,
Tes paroles sur l'amour de D.. sont "aassel"( du miel).
Rabbi maak.
Emile tu t'es trop eloigne de nous, peut etre est-ce pour cela que tu dis :
" je n’ai encore pas connu UN religieux qui ait saisi l’ampleur de cet amour"
De si loin il t'est dificile de voir cet amour d'Achem qu'il y a chez nous.
L'etude APROFONDIE de la Torah et de sa face cache nous enseigne l'amour incommensurable q'Achem a pour nous comme le dit Toufik.
Soit clement avec nous, ne nous condamne pas si vite.
Chabbat chalom.
Par Toufiq (Toufiq) le vendredi 22 juin 2007 - 04h32: |
l'amour de dieu est l'energie qui anime sa creation.
l'amour qu'un parent a pour ses enfants est un echantillon de l'amour que dieu a pour nous.
la qualite de cet amour est la meme mais sa quantite et son intensite sont des milliards de fois superieures.
au dela des religions on atteint un espace spirituel commun ou se retrouvent tous les mystiques.
les entites spirituelles principales sont les memes pour tous mais percues sous des noms et des formes differentes selon les cultures qui en ont conscience.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 22 juin 2007 - 04h14: |
La force de L’amour
Je comprends ce que l’homme dit quand il parle de l’amour, mais si Dieu me le permet, j’ajouterais quelques mots à ce sujet. Tout d’abord l’amour que nous connaissons tous entre homme et femme est un résidu du vrai amour.
L’amour est en effet la force la plus forte qu’un être humain peut connaître. S’il parvient à se remplir de cette force il peut faire des miracles. Puis l’amour est une force sacrée qui nourrit tout l’univers et jaillit constamment sans jamais s’arrêter.
Dans la bible on trouve des passages dans lesquels Jacob disait : « Ah, mon Dieu, je ne savais pas que c’est un lieu sacré », puis il marquait ce lieu avec quelques pierres. Il me semble que les Indiens avaient aussi découvert des lieux sacrés. En réalité ces lieux sacrés se trouvent partout sur terre, mais la meilleure place où l’on peut trouver cet amour est le centre de notre coeur.
Voilà le secret de la force de Jésus, l’amour éternel le remplissait et renforçait sa foi sur terre. A nos jours, hélas, je n’ai encore pas connu un religieux qui ait saisi l’ampleur de cet amour et de ces émouvants passages de la bible. Que Dieu nous remplisse de Son Amour Amen!