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UN JOUR PAS COMME LES AUTRES...DELIRES...

Auteur papy breitou 
UN JOUR PAS COMME LES AUTRES...DELIRES...
RECIT D UN JOUR PAS COMME LES AUTRES.

Paris le 25/03/2007.
Passe au PTB.

Bonjour,

Ce matin à lâheure où vous dormiez avec une heure dâavance, notre dirlo a tenté de se prendre. Câest sa fille Valérie qui lâa découvert dans la cave alors quâil pendait la crémaillère suite à la remise à neuf de sa cave.

Il a trébuché sur un clou et il sâest embroche par le cou.

Laissons Valérie, sa fille, raconter.

ââ¦.Bonjour chers amis à mon père, lâincident bien quâaccidentel nous a tous remué.
Même une dame honorable en fut secouée, elle a prié pour son animation.

LâInconscient a parlé de vous et surtout dâune certaine

-Mamili, qui lui cause un grand chagrin. Il a souhaité quâon lui fasse part de sa joie si elle revenait avant quâil ne parte animer.
-DâElsa, son amie de toujours. Il regrette dâavoir trop pisse sur son rideau.
-De Michka disant quâil aimait ses dessins,
-De son ami CACOUBOULOU qui lâa trahi,
-De Madame Annie Girelle, une dame douce comme de lâeau de source,
-De Monsieur Suggest un homme bon qui lui a écrit une page de belles phrases, câest ce qui lui a donne lâenvie de revenir vite fait parmi nous suite à ce courrier que vous lirez en bas tant il est sincère et émouvant.

Papa lâen remercie du fond du cÅur.

-Et puis Nao aussi a qui il porte une vraie affection tant elle est tendre et humaine malgré ce quâelle peut radoter sur Adra.
-De la Mena, de Monsieur Juffa, un jeune homme bien et surtout honnête et aussi de son staff qui fait honneur au journalisme. Ils sont des cas dâécole ces Messieurs.
Il a aussi parlé avec beaucoup de chaleur de son ami Monsieur Halfon qui le premier lui a dit
ââ¦.Albert cesse de faire le con, tu deviens fouâ¦â Au moment dâannoncer la mise en scène.
-De Mr Tubiana aussi, en qui je porte une grande amitié,
-De Poupée quâil considère comme sa sÅur tant par sa gentillesse et sa naïveté,
-De Lalla qui a prit peur par mon mail.

Il a parlé

-De Meyer aussi, un gentil monsieur qui ne sâendort certains soirs quâaprès avoir échangé quelques blagues sans importance.
Bref, mon papa a déjà joue le rôle du pendu dans une pièce autrefois à lâO.S.E, il y tenait le rôle de Aman, donc la corde il la connaît. Il mâa aussi parle de ce quâil avait vu lorsquâil était dans les nuages voilà ce quâil ma racontéâ¦

ââ¦Ma fille, je suis sur un nuage, je voyage à la vitesse de lâéclair mais avant de franchir le mur du con, je voudrais te rapporter ce que jâai vu, alors consigneâ¦.


\2{\b{\c{\bleu{VIOLATIONS DâORDINATEURSâ¦.
OU VOYAGES DANS VOS RESEAUXâ¦

SUIVI PAR LE TESTAMENTâ¦}}}}
Je reviens te dire combien tes mots m'ont procurè intense émotion Suggest.

Je sais que tu es un grand homme dans le sens le plus large du terme. Efficace et circonstanciè.

Je suis surpris par tants d'éloges.
J'en ai eu la chaire de poule dans un moment où je plaisantais bien que celà ne soit pas un sujet d'amusement mais comme on me l'a déja dit '...On peut rire de tout même de la bétise humaine...!'

Merci.


VIOLATIONS DâORDINATEURSâ¦.
OU VOYAGES DANS VOS RESEAUXâ¦

SUIVI PAR LE TESTAMENTâ¦


Albert poursuit son récit à sa fille.

ââ¦Jâai fondu comme un aigle dans le premier ordinateur qui se présentait à moi, celui de Monsieur Jack Halfon. Un tas de consoles. Je pénétrais la principale et là devant moi, alors que je suis derrière lâécran, Monsieur le Webmaster, assis, sélectionnant les articles avant passation, mettant à la poubelle ceux qui ne lui paressaient pas intéressants du moins pour nombre dâentre nous qui nâentrons pas en direct. Il y mettait beaucoup dâattention, certains mails allaient chez les modérateurs, je les voyais prendre une autre voie. Jâessayais dâattirer son attention par delà la vitre fumée, allant même jusquâà taper sur la vitre mais peine perdue, il cherchait ce bruit de dessous sa chaise mais en vain, il comprit que ce bruit de fond venait de lâextérieur, il nây prêta plus dâattention. Jâai pu lire ses mails dans ses archives.
Un certain Wness qui se plaignait bien souvent de la censure.
Je sortais de sa mémoire pour aller dans celle de Nao, elle était là, assise jouant dans le salon avec ses enfants. Son écran allumé, à un moment je crus quâelle mâavait aperçue et quâelle venait me parler mais non, elle venait éteindre son ordinateur me laissant dans le noir.
Je sors par les canaux et je me retrouve dans celui de Emile. Emile qui corrigeait certains textes avec bcp de conscience. Demandant parfois à sa femme si ââ¦Couillonâ¦â Prend un L ou deux LL ??? Jâentendais son épouse dire ââ¦Ye Emile, enfin, COUILLON câest comme BOUILLON⦠!â Et lui ââ¦BOUILLON alors câest avec un L ou deux LL⦠?â Et son épouse de lui rétorquer ââ¦Câest comme deux AILES⦠!â â¦ELLE ou LL⦠?â Ca nâen finissait plus entre EUX avec ces LLâ¦. ! Bref, je laissais Emile avec ses deux LL. Je profitais dâun moment de pause, il se leva pour boire un verre dâeau, je lui écrivais ceci ââ¦Emile, nâoublie pas dâalerter ta famille, Kouka et Houiata et compagnie au sujet des 1500 ⬠de dédommagement⦠!â il retourna son ordinateur pour dénicher celui qui lui avait laissè ce message sibyllin. Puis, je mâenvolais vers lâordinateur de Tawfiqâ¦Il était là Tawfiq, assis fidèle à lui-même, un verre de thé dans la main. Guettant mon passage au PTB ââ¦.Jâattends mon ami Biber, avant de boire, boire sans lui câest pas boire avec kif⦠!â Il parlait avec lui-mêmeâ¦Je lui fis signe de par-derrière la vitre fumée mais hélas il ne pouvait pas me voir, par contre je le voyais caresser lâécran comme sâil sentait ma présenceâ¦Il avait une intuition, il marmonna ââ¦Biber, ne serais- tu pas là dés fois⦠?â.

Je ne voulais pas lui faire de peine, lui dire que jâétais sur un nuage de toutes les façons, il ne mâaurait pas crû.

De là, je mâenvolais vers celui de Lalla et là, je me prends le coin de la mémoire, son disque dur, sur ma tronche, il était fermé. Je repars avec une bosse sur le front.

Je pars vers la France visiter lâordinateur dâElsa. Son rideau est fermé quâà cela ne tienne, je passe par en dessous, par la fente de sa boite aux lettres et jâatterris en plein dedans. Dans sa mémoire.
Elle avait oublié la veille dâéteindre son écran. Son MSN est allumé. Je lis ââ¦Mam câest bon arrête de faire la conne tu ne vois que Albert est contrarié, rentre enfin au PTB montre lui que tu nâest pas rancunièreâ¦â ââ¦Lou⦠! Trop câest trop⦠! GRUES ???? Ah bonâ¦!?â
ââ¦Il parlait de GRUES, les montes charges enfin, celui qui tâa rapporté cela a transformé le sens tu ne vois pas⦠? Ye Mamiâ¦CHE⦠!â ââ¦Fout moi la paix, merdaliq⦠!Si tu continues de me parler de ce con, je ne te parle plus⦠!â âMahssoub, tu te crois intéressant peut être, bon je vais rentrer chez moi, il est minuit⦠!â Je lui tape un petit mot ââ¦Elsa lorsque tu liras ce mot, je ne serai plus là⦠! RM⦠!â Je sors par la fente et je vais chez Mamili.

Elle ronfle. Son ordinateur est encore chaud, je me précipite avant quâil en sâéteigne et jâécris

ââ¦Mamili, je te rappelle que tout a commencé par toi, donc je me suis soulagé pour ne pas attraper un coup de sang, mais tu sais bien que je ne pense pas à ce que je dis sinon cela fait bien longtemps que tu ne mâaurais jamais parlé⦠!â Ouf, il étai temps, lâécran sâéteint, jâai eu juste le temps de fuir en crachant sur son écran pour essuyer la tache.

Direction qqs secondes plus tard chez Madame Michka. Tout est fermé mais pas la cheminée.
Je passe à travers et je tombe sur mes fesses. Direction première étage, je monte, je cherche, je tombe sur son ordinateur Je presse sur le bouton de son appareil. Jâattends. Je rentre dans sa mémoire. Que de beaux dessins sur Breitou, en réserve. Je chemine dans le réseau et paf, je lis ââ¦Maboul⦠!â Jâen rie. Contre toute attente, la chambre sâéclaire, câest elle. Elle aperçoit son écran allumé. Elle sâassoit et puisâ¦.â â¦Je sais que tu es là, derrière lâécran, tu ne peux pas me rouler et puis tu cesses de faire le Pinocchio ok ??? Tu joues à quoi avec tes conneries⦠? Te faire pendre, jouer le rôle du pendu⦠? Tu te prends pour une carte de TAROT dans un jeu MARSEILLAISâ¦. ! Tu vas te faire PRENDRE un jour à ton jeu, si tu continues comme cela⦠! La plaisanterie à ses LIMITES⦠! Ton humour noir parfois⦠! Laisse à désirer sans être dessine⦠!â Je me sauve vite fais.

Je pénètre la mémoire pure et vierge de Poupée ma gentille amie. Rien que des combinaisonsâ¦.de jeu de dames et dâéchecs. Pas un seul texte médisant, rien de rien, sa mémoire est presque vide, son MSN est vierge de tout. Elle me dit ââ¦Albert tu es mon ami, je tâaime bcp⦠!â Je lui laisse ce message ââ¦Et moi aussi⦠!â

Je pense rentrer dans lâordinateur de Rose mais elle a si bien cadenassée sa mémoire que je ne le peux. Malgré mes efforts.
En Israël, ils prennent leurs précautions, même les fantômes ne peuvent violer leur espace.
Dans celui de Braham, il nây a que des photos de fleurs pour les shabatots, rien que cela, les articles confidentiels et ses mails sont enterrés dans son jardin, difficile de les déterrer.
Hajkloufette trop hermétique sa mémoire, jâai utilisé une clef de biche mais rien nây fait.
Elle ne cède pas.

Chez Henri, je lis ââ¦Ye roul, tu es le seul sérieux ici même lorsque tu lâes, on ne te prends pas au sérieux⦠!â ââ¦Alors dis moi quand me prendras tu au sérieuxâ¦. ? Lorsque je deviendrai LOUBAâ¦.OU LOBZAâ¦.?â


Retour en France, chez Sibylle. Elle dort. Je compose le code de son ordinateur.

ââ¦Vous ne pouvez pas rentrer ici, domaine privé⦠!â Je reste derrière lâordinateur.
Jâattends que la belle se réveille. Une heure, deux heures, trois, rien ne se produit.
Enfin, 9 heures ce matin, elle se réveille mais elle ne va pas vers son ordinateur mais pour préparer son café. Jâattends. Rien ne se produit. Je la regarde boire son breuvage, assise dans son balcon. Je bouge et là un stylo tombe. Elle tourne la tête. Elle se lève vient vers moi.
ââ¦Loup⦠? Câest toi qui a fait tomber le stylo⦠?â Loup accorde ses cordes, il nâentend pas.
ââ¦Bizarre⦠!â Elle replace le stylo sur son bureau mais voilà quâil retombe. Elle panique.
Sybile panique. Elle sâassoit devant son ordinateur, son écran sâallume. Mais au lieu et place de la photo de sa fille sur son bureau, elle voit mon visage apparaîtreâ¦.ââ¦Salut Sybille⦠!â
Elle prend peur et éteint lâécran, elle transpire et va voir son mari, toute apeuréeâ¦ââ¦Il est là ???? ââ¦Qui est là⦠?â â..Albert⦠?â ââ¦Où⦠?â â â¦Dans lâécran, en penduâ¦. !â

Il se lève rallume lâordinateur mais voilà, il ne se produit rien, pas dâimages de Albert le penduâ¦ââ¦Tu as du rêver ma belle, va prendre une douche, et avance lâheure de lâhorloge, tu as subi ce quâon appelle une image perdue⦠! Rassure-toi Albert rigole en ce moment⦠!â

Rassurée, elle fait sa douche et retourne prudemment allumer lâécran. ââ¦Albert vous salue bien⦠!â ââ¦Manquerait plus que tu me fasses peur maintenant⦠!â

Vol plané et piqué dans lâordinateur de Girelle.
Elle allume son écran.

ââ¦Bonjour chéri⦠!â
ââ¦Bonjourâ¦!ââ
ââ¦Je suis inquiète, Albert sâest pendu⦠!â
ââ¦Jâai lu, je vais me renseigner⦠!â


ââ¦Tâinquiètes pas Annie, je joue, avec vous tous comme un bêta, rien que pour lâémotion⦠!â
ââ¦Mais quand même, ça fait un drôle de choc à cette heure avancée⦠!â
ââ¦Il nây a pas dâheures ma belle pour vous donner des frissons⦠!â

Je rends visite à un ami .

ââ¦Yatic bakla amin⦠!â
ââ¦Mais depuis quand le rôle dâun pendu donne des sueurs froides, Ye khouya.. !â
ââ¦Mais enfin⦠!â
ââ¦Et moi alors qui suis suspendu à un fil de plomb, les pieds frôlant le sol⦠!â

Chez Suzy, je rentre presque par effraction, elle sommeille et je vais lire tous ses messages et voir ses jolies photos de sa jeunesse. Un charme fou. ââ¦Albert, mon chéri ma chè passa⦠? Tu me fais peur, ne te laisse pas abattre, tu es un type bien et surtout continue à nous faire rire⦠!â

Et puis en dernier ressort, je suis rentré chez SUGGEST.
Et jâai lu. Lu son message.
Un cri du cÅur comme jâen ai rarement entendu et lu.
Je vais vous faire passer qqs minutes cela démontre de quel cherfè ce monsieur est faitâ¦


ââ¦Et bien Albert câest quoi cela encore ?
Tu demandes pardon ? âLEâ pardon ?
Et pourquoi cette demande ?
Je te lis très fréquemment, tu nâas rien fait ! Rien écrit de mal !
Ce ne peut être là quâun mal entendu ;
Je vais essayer de tâexpliquer ?
Pour ce faire résumons la situation :
A ma connaissance tu écris beaucoup :
Tu es ce quâon appelle un auteur âPROLIFIQUEâ
Tu as choisis ton art:
Lâart de lâécriture
Hors lâécriture câest lâultime création ;
Sans écriture pas de diffusion, dâexplication, de compréhension donc, de la musique, de la peinture ou des arts quels quâils soient :
Nâoublie pas lâantienne ââles paroles sâenvolent seuls les écrits restent ââ:
Hors comme dans toutes entreprises humaines et particulièrement dans celle que tu as choisis ;
Il suffit que tu sois actif, que tu entreprennes, pour que obligatoirement il y ait en face une réaction positive ou négative :
Hélas devant le talent
Les passifs, les muets, ceux qui nâont rien à dire, soit ils deviennent jaloux soit ils se mettent à critiquer ;
Câest dâailleurs très souvent que ces gens là, cumulent tous ces défauts dâun coup :
Passifs critiques jaloux :
Et de laisser aller la médisance leâ¦â¦â¦. lashon hahra :
Pour faire court ? Ceux qui ne font rien ne risquent rien ;
Pour ce qui est encore une fois, des messages, dessins, musique et pour ce qui te concerne plus particulièrement : Ecrits ou théâtre ?
Dès que tu as publié, envoyé un message un âsignifiantâ celui-ci ne tâappartient plus :
Il sera reçu comme une bouteille à la mer : Tu ne sauras jamais ni par qui ni comment :
Hors tu crois avoir toi avec ta bonne foi avoir envoyé un texte âun signifiantâ qui sera compris par tous le monde ;
Hors le message reçu âle signifiéâ sera perçu lui selon la sensibilité, lâéducation, lâorigine, lâage, lâintelligence du receveur :
Hors nous savons toi et moi que lâintelligence nâest pas la chose la mieux partagée dans ce bas monde :

Il semblerait pour ce jour que le message que tu mâenvois en tant que signifiant soit emprunt dâune grande tristesse,
Hors Il âSIGNIFIEâ pour moi la limite dâune déprime imméritée et limite morbide :
Un monsieur comme toi nâa pas le droit dâagir comme ça ;
Et puisquâil sâagit de théâtre ?
Un Monsieur comme toi se doit dâagir et mourir comme Molière ;
Molière qui mourut sur les planches :
Suggest.1

Mon cher, je baisse mon chapeau devant ton talent dâécrivain.
Je suis sérieux et je laisse aux INSIGNIFIANTS le soin de juger tant il est vrai quâils ont une miette de jugeote. Tu as compris, je suis comédien jusquâaux bouts des ongles et je souhaite finir ma vie non pas sur des LOUHATTES mais dans mon lit entouré de mes enfants et petits enfants. Les planches dâune scène même dans un froid virtuel, sont froides.
Je souhaiterai aussi te lire modérément, je ne tâai jamais dit de ne rien mâenvoyer mais de doser tes mails/ liens. Merci mon ami.
Monsieur Suggest écrit dans le BB et son audience est forte appréciée.

Je reprends.

Voilà ce que jâai découvert dans les poches de mon papa après son animation. Son testament.

Je reprends.
Voilà ce que jâai découvert dans les poches de mon papa après son animation. Son testament.
A Nao, je lui laisse tout et rien quâelle en fasse ce quâelle veut.
A Michka, toutes mes tronches, à elle de les utiliser à bon escient.
A Elsa, lâanalyse des mes urines.
A Mamili, mon trop plein de tristesse puisquâelle mâa banni dans son cÅur.
A Girelle, toutes mes amitiés sans aucune retenue. Et ma loi 1905.
A Braham, je lui offre tous mes costumes sans cravates.
A Maxiton, mes chapeaux et mes souliers.
A Lalla, tous mes liens de fraternité.
A Rose, toute mon attention.
A Meyer, tous mes textes sur le chat.
A Tawfiq, mes statues de bouddha et aussi SEIFOU.
A Cacouboulou, mes quiproquos.
A Emile, ma haute considération et estime.
A Lapid, je lui offre tous mes GUYSEN.
A Maurice, un peu de ma joie de vivre.
A Poupée tous mes rires.
A Suzy, toute ma fraternité.
A Henri, tous mes livres de Torah.
A Monsieur Halfon, le PTB.
A Sarel, mes pantalons sarouel de scène.
A Nadia, mes chants et mes paroles.
A Loup mes cordes vocales, à lui de les accorder dans sa guitare.
A Hajkloufette, ma cave de Boukha.
A Viviane mes saintes neurones.
A Stéphane Juffa, toute mes félicitations pour ce que fait son équipe.
A Emma, toutes mes bons vÅux pour la suite de ses beaux articles.
A Pauline mes chères âschlaquettesâ, mes bottes de 7 lieux.
A Fernand, toutes mes souhaits de bonheur.
Soyez riches.
Voila fait en ce jour du 24/03/2007.


NB/Je reviens te dire combien tes mots m'ont procurè intense émotion Suggest.

Je sais que tu es un grand homme dans le sens le plus large du terme. Efficace et circonstanciè.

Je suis surpris par tants d'éloges.
J'en ai eu la chaire de poule dans un moment où je plaisantais bien que celà ne soit pas un sujet d'amusement mais comme on me l'a déja dit '...On peut rire de tout même de la bétise humaine...!'

Merci.


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