film controversé/Mel GIBSON

LA PASSION DU CHRIST

Ce film produit et réalisé par Mel Gibson, est une representation des douze dernières heures de la vie de Jésus.

(Je vais essayé de résumer en quelques mots)

Dans une province de Palestine, un charpentier juif est apparu à certains comme étant le messie. Mais pour les autres un imposteur.

Le grand Sanhédrin, tribunal supréme juif, complotait afin de mettre Jésus à mort.

Avec l'aide de Judas , le grand Sanhédrin ont appréhendé Jésus et l'ont livré au Romain Ponce Pilate.

Dans ce film l'accent est surtout mis sur la crucifixtion du Christ et les souffrances intenses de Jésus.

Et mel gison d'ajouter" ce film pourrait etre une séance de formation pour toutes les églises catholiques".

Les ligues juives américaines sont montées au créneau dénonçant un anti-sémitisme sous jacent, et risquerait une recrudescence anti-juive, dans ce climat actuel

"Je ne suis pas anti-sémite" se défend l'acteur "je l'ai montré à de nombreux juifs et ils l'ont aimés" répète-t-il à qui veut l'entendre.

Mel Gibon se dit catholique intégriste, et dit la messe en Latin.
Il a 7 enfants.

Le film sera sans doute sous titré en latin et en araméen.

Si Mel dit qu il n est pas antisemite ... son pere lui ne s en defend pas bien au contraire ...


Quelques jours avant la parution du film "" la passion de Jesus """ Hutton Gibson exprime haut et fort ce qu il pense des juifs ...

Ils ont toujours anti chretiens , ils sont d ailleurs anti tout ... ils aimeraient que seule leur religion soit regante sur toute la terre et ils font tout pour ca ... ils attaquent l eglise et les chretiens ...

HG est aussi negationniste ... la shoa n a jamais existe , les allemands n avaient pas assez de gaz pour tuer 6 millions de juifs ... les camps de concentration n etaient que des camps de travail .

Il denonce aussi le pouvoir de l argent , tenu bien evidemment par les juifs , il faudrait pendre dit il le president de la banque centrale , Alain Grenshpan , il a un pouvoir total sur la banque et nous dit comment on doit agir , quelqu un doit le sortir de la et le pendre !!!

Mel Gibson , le fiston interroge sur ABC refuse de commenter les declarations de son pere , il dit seulement ... c est mon pere et il ne m a jamais menti .

A propos du film , une campagne de merchandising qui a coute a l acteur pres de 30 millions de son propre argent ... l element vedette le plus demande , ce sont les clous a tete carree , qui seraient semblables a ceux de la crucifixion , ( pour les """ interesses""" ils valent 17 dollars piece ....) d autres articles existent , des tee shirt , des tasses , des stylos , des portes clefs .... D apres l artiste l offre a du mal a subvenir a la demande , les articles sont arraches a peine arrives !!!!

Le président américain George W. Bush veut voir le film controversé de Mel Gibson, "la Passion du Christ", qui sort mercredi aux Etats-Unis, a annoncé vendredi son porte-parole.

Interrogé sur le sujet, Scott McClellan a répondu qu'il pensait que le président voulait voir ce film, et qu'il "le fera sans doute". La Maison Blanche dispose d'une salle de cinéma privée où les présidents se font projeter des films en première exclusivité.

Le film réalisé, financé et co-écrit par Mel Gibson est au coeur d'une polémique avant même sa sortie en salles. Sa vision de la Passion du Christ comporte selon ses détracteurs des relents l'antisémitisme, car il y montre les juifs comme étant responsables de la mort de Jésus.

La polémique sur "La Passion" de Mel Gibson fait de l'ombre aux Oscars

26/02 09:12 La polémique autour de "La Passion" de Mel Gibson, film sur le martyre de Jésus décrié pour sa violence comme pour ses connotations antisémites selon certains, a éclipsé les préparatifs de la cérémonie des Oscars, dimanche.

Sorti mercredi sur 4.000 écrans américains, au lieu des 2.500 initialement prévus, le débat sur la vision de Mel Gibson, un catholique fondamentaliste qui va à la messe en latin, des dernières heures de x prix les plus prestigieux du cinéma américain.

"Les Oscars sont totalement dépassés par la polémique sur +La Passion+, la presse ne parle que de ça", souligne Anthony Mora, directeur d'une société de relations publiques à Los Angeles.

"Mel Gibson est le grand vainqueur des Oscars cette année, et il n'a même pas été nominé", plaisante ce spécialiste de la communication.

La soirée devrait pourtant renouer avec un faste et une extravagance de luxe oubliés l'an dernier. En 2003, la cérémonie avait été maintenue malgré la déclaration de guerre contre l'Irak quatre jours plus tôt, mais les stars vêtues de noir s'étaient imposées une sobriété inhabituelle, pour éviter de choquer par trop de futilité.

La volonté de Mel Gibson de sortir le film le mercredi des Cendres, alors que les films américains sortent généralement le vendredi, semble avoir court-circuité la montée en puissance habituelle des discussions de pronostics.

A quelques jours de la remise des statuettes dorées, les organisateurs ne cédaient toutefois pas à l'affolement: ils savent que la grand-messe du cinéma américain sera suivie, comme toujours, par des millions de téléspectateurs partout dans le monde, même si l'anticipation de l'événement démarre tard.

Plusieurs stars hollywoodiennes ont salué le pari réussi de Mel Gibson, la controverse ayant permis de vendre un film tourné en araméen, hébreu et latin, sans star, ni moyen de promotion traditionnelle. "C'est un coup osé, je l'admire pour cela", a dit l'acteur et réalisateur Clint Eastwood. "C'est un travail de marketing impressionnant", a souligné l'acteur Michael Douglas.

Il y a encore un an, Mel Gibson se démenait pour trouver un distributeur à sa "Passion". Aujourd'hui, vu l'ampleur de l'intérêt suscité, l'acteur-réalisateur ne devrait avoir aucun mal à se rembourser les 25 millions de dollars qu'il a sortis de sa poche pour ce projet.

Pour Anthony Mora, "la stratégie de communication a été exemplaire. Le film a été montré à des groupes soigneusement choisis, pour la plupart catholiques ou protestants, en leur faisant promettre de n'en révéler aucun détail", suscitant aussitôt une immense curiosité, explique-t-il.

Payante pour Mel Gibson, la polémique "a envoyé les Oscars dans le fossé", insiste M. Mora. "Qui parle cette semaine du +Seigneur des anneaux+, le grand favori de la cérémonie ? "Personne!".

[actu.voila.fr]

L'émotion du public pour une des premières projections de "La Passion"

25/02 23:52 A la sortie d'un cinéma new-yorkais, Carlene Morrow et son mari sont encore remués par les scènes tout juste soutenables de "La Passion", le film évènement de Mel Gibson sur le martyre du Christ.

Comme une grande part du public venu voir le film dès sa sortie nationale mercredi, Carlene a pleuré devant les images de crucifixion ultra-réalistes.

"C'était difficile de ne pas pleurer par moments", dit-elle. "Mais c'est bien ainsi, cela devait être aussi horrible que possible parce que c'est comme ça que ça s'est passé".

Dans les rangs quasi pleins, bien que mercredi soit jour de travail, grimaces et sursauts étaient nombreux face à la crudité des images, à la vision des gardes romains flagellant Jésus ou plantant les clous dans ses mains.

La plupart des spectateurs acceptant de commenter le film évoquent la violence, mais aussi l'estiment justifiée sur le plan artistique.

Parmi eux, beaucoup de croyants pratiquants, certains portant sur le front la croix noire traditionnelle en ce jour de Cendres, en général appliquée lors de la messe du début de matinée.

Le film fait l'objet depuis plusieurs mois de critiques de la part d'organisations juives, qui lui reprochent d'encourager l'antisémitisme en rendant les juifs responsables de la mort du Christ. La sortie de "La Passion" n'a pourtant pas déclenché de manifestations particulières autour des cinémas.

Pour le mari de Carlene Morrow, John, l'accusation est quelque peu excessive.

"Je n'ai pas vu cela du tout", a-t-il dit. "Il ne dit pas qu'il faut blâmer les juifs. Jésus était un juif. Les coups portés par les Romains n'en font pas un film anti-romain."

Mais la controverse autour de "La Passion" avait rendu mercredi plus d'un spectateur méfiants, et souvent peu désireux de s'exprimer.

"Trop a été dit déjà," estime Anthony, un New-Yorkais d'une quarantaine d'années. "Est-ce que je pense que c'était un bon film ? Oui. C'est tout ce que je veux dire".

Serafin, qui a vu le film avec un collègue de travail, Gene, est un des rares à exprimer sa déception.

"J'ai pensé que ce n'était pas crédible," dit-il. "Il est supposé être réaliste mais personne n'aurait pu survivre à cette flagellation, sans même penser au fait qu'ensuite il ait porté une croix".

Le film est classé "R", ce qui signifie que tout enfant doit être accompagné d'un adulte. Mais la plupart des spectateurs mercredi s'accordaient à dire que l'ouvrage ne paraissait guère destiné à un jeune public.

"Ca pourrait aller pour un jeune de 17 ou 18 ans," dit Gene. "En terme d'hémoglobine, il n'y a rien qu'un teenager n'ait déjà vu".

Le film a eu aussi un autre spectateur dès mercredi matin, Abraham Foxman, directeur de la Ligue anti-diffamation, à la pointe depuis près d'un an des critiques du film.

Lors d'une conférence de presse, il a regretté que Gibson n'ait procédé à aucun changement dans son montage: "La mauvaise nouvelle est que le film continue à être projeté avec sa manière très claire d'accuser les juifs, les juifs assoiffés de sang, pleins de colère, revanchards, et les Romains compréhensifs," a-t-il déploré.

Yona Metzger, le Grand rabbin d'Israël pour les Ashkénazes, a demandé au pape Jean Paul II de rappeler la décision du concile Vatican II datant de 1965, par laquelle l'Eglise catholique reconnaissait que les Juifs n'étaient pas ''le peuple déicide''. Cette demande fait suite à la sortie du film controversé de Mel Gibson, ''La passion du Christ''

Ma Passion contre Mel Gibson
Par Bernard Drai pour Guysen Israël News
9 mars 2004 / 23:16


Je rentre ce jour de New York. Pendant les dernières fêtes de Pourim ce Dimanche c'était même ''Jew'' York !
Tout le monde dans les rues, à Manhattan, Brooklyn, Queens, déguisements fêtes
Quel plaisir de pouvoir se promener avec sa kippa sur la tête sans crainte et sans croiser des regards gênés ou hostiles, surtout quant on vient de France


Hier lundi, j'ai tenu à aller voir le fameux film de Mel Gibson, Passion. Sur les 15 salles que comptent ce cinéma sur Broadway, 4 sont consacrées à ce film ! Une séance quasiment toute les 30 minutes. Succès phénoménal supérieur à celui du Titanic

Ce film raconte les 12 dernières heures de Jésus de Nazareth.

Beaucoup de choses ont été dites sur l'antisémitisme de cette version et je voulais absolument me faire une idée de cela, d'autant plus que le film doit finalement être projeté en France au début Avril, malgré de nombreuses hésitations dues au climat ambiant de cette douce France.

Et là je suis très inquiet.

Laisser moi donc vous donner quelques éléments que je juge marquants et dangereux :
Le film commence par Jésus et ses disciples la nuit dans un bois, puis on voit Juda face au Grand prêtre et au Sanhédrin. Ceux-ci lui remettent 30 pièces d'or et Juda livre son maître Jésus. Des soldats juifs vont alors arrêter Jésus en pleine nuit, il est enchaîné. Au cours du chemin ces soldats juifs frappent Jésus, lui crachent dessus. Il arrive déjà sanguinolent auprès du Grand Prêtre. A part deux membres du Sanhédrin, Jésus est constamment maltraité hué frappé, reçoit des pierres lancées par des juifs. Il est déjà dans un tel état que lorsqu'il arrive devant Ponce Pilate, le gouverneur romain de la Judée, celui-ci dit au grand prêtre : " avez-vous l'habitude de punir avant de juger ? "
Puis le Grand Prêtre et les autres juifs présents réclament la mort par crucifixion.
Ponce Pilate refuse.
Après un tour chez Hérode qui refuse de le juger, Ponce Pilate décide de faire frapper Jésus. Les scènes qui suivent sont particulièrement violentes et parfois insoutenables. Et c'est un Jésus dont le corps est bardé de plaies avec sa couronnes d'épines, humilié souffrant qui apparaît face au peuple juif.
Malgré cela le Grand Prêtre et tous les juifs réclament sa mort.
Les coups que Jésus a reçus ne sont pas suffisants pour satisfaire leur vindicte.
Alors Ponce Pilate présente Barabbas, un meurtrier juif qui est condamné à mort et il demande de choisir à qui il doit rendre la liberté, à ce meurtrier juif ou ce Jésus martyr.
Le Grand Prêtre et ses acolytes répondent tous il faut rendre la liberté à Barabbas le meurtrier. Puis pendant tout le chemin de croix Jésus est frappé encore et encore, par les romains, les juifs. Cette agonie sera suivie presque pas à pas par le Grand Prêtre et sa " bande ". Malgré les horribles souffrances de Jésus ceux-ci ne montreront aucune compassion pour lui.

En résumé, les juifs sont complètement responsables de la mort de Jésus. Ils sont solidaires dans leurs cruautés, injustes et incapables de compassion .

En sortant de la salle de cinéma, sans aucune paranoïa, avec ma kipa sur la tête je croisai les regards gênés des spectateurs.

La situation en France est suffisamment pour le moins délicate pour présenter une telle image du juif. Un esprit peu préparé pourrait facilement s'enflammer à la vue d'un juif en kipa. Nous ne sommes pas loin des pogroms du moyen age.
Cela peut vous paraître énorme. Mais avec tout ce qui a été dit sur Israël, état apartheid, massacrant à tour de bras les pauvres palestiniens, sur Sharon le Nazi quelle merveilleuse justification que ce film. J'attire l'attention sur nos institutions juives et publiques pour mettre en garde le public contre cette version.
Les esprits sont échauffés, et même si on constate une volonté manifeste des pouvoirs publics pour endiguer l'antisémitisme. Il suffira de peu pour passer à l'acte. Comme au moyen age ou les prêtres attisaient la haine de leurs fidèles contre ce peuple déicide, qui ensuite allaient faire un tour dans la juiverie pour tuer du Juif.

Dans mon avion du retour de New York, cette nuit, je lisais le International Herald Tribune. J'y voyais une photo d'un soldat israélien casqué avec un bâton frappant un palestinien presque à terre, j'ai soudainement eu comme un flash, le soldat juif dans le film frappant Jésus le palestinien à terre.

Je ne voudrais pas être un oiseau de mauvais augures, mais je suis très inquiet.


[www.guysen.com]

l'antisémitisme européen a eu,pendant 2000 ans,une cause directe et précisen enseignait dans tous les cathéchismes du monde,que les juifs avaient assassiné Jésus.C 'était,pour les chrétiens,non seulement l'explication,mais la justification des souffrances juives:c'était,selon Bossuet"le plus grand de tous les crimes,jusqu'alors inoui de déicide.."
sans commentaires!
M.Paul BERNARD,membre du comité directeur de l' Amitié judéo-chretienne, a écrit ces phrases admirables qui réconcilient avec cette pauvre humanité dans laquelle nous vivons:
"il est temps qu'on cesse,pour venger un crime imaginaire,de construire,à l'ombre sacrée du Golgotha,une fausse croix,une croix de mythes et de fables,de malveillance et de crédulité,pour y supplicier Israel.

Arafat , se prenant pour le nouveau critique a la mode , n a pu s empecher de declarer ... Le magnifique film se Mel Gibson est une magnifique representation Historique poignante de verite , et la souffrance de Jesus rappelle la souffrance du peuple palestinien !!!

La Passion du Christ scrutée par les archéologues

Dans son dernier film, Mel Gibson ne semble pas avoir accordé d'importance à certains détails archéologiques

Etats-Unis

25/03/2004 - Depuis sa sortie en salles (le 25 février au Québec), le dernier film de Mel Gibson a suscité bien des controverses pour les partis-pris politico-religieux qu'il promeut et son contenu particulièrement sanglant. La passion du Christ est cette fois-ci la cible des archéologues spécialistes de la Palestine sous l'Empire romain, comme l'avait fait des paléontologues lors de la sortie du film Jurassic Park il y a une dizaine d'années. Dans un article de quatre pages, deux chercheures de l'Archaeological Institute of America, Andrea Berlin et Jodi Magness, soulignent les incongruités et les impossibilités qu'ils ont détectées dans le long-métrage.


La suite à lire

[www.cybersciences.com]

Film dangereux :

Une Vénézuélienne meurt peu après avoir vu "La Passion" de Mel Gibson
AFP | 29.03.04 | 16h32


Une Vénézuélienne, âgée de 61 ans, est morte des suites d'un infarctus qui s'est déclenché alors qu'elle assistait à une représentation du film "La Passion" de Mel Gibson dans un cinéma de Caracas, a rapporté lundi le quotidien local El Nacional.Samedi soir, la femme était allée avec une amie voir le film, sorti dans les salles obscures vénézuéliennes la semaine dernière. "Après une demi-heure de projection environ, les deux amies ont quitté la salle, dégoûtées par le caractère très cru des images", selon leur entourage cité par le journal.Peu après, la sexagénaire s'est plainte de douleurs à la poitrine et a été transportée à l'hôpital où elle est décédée, selon le quotidien.

Questions-réponses intéressantes d'historiens, chercheurs et philosophes sur "Jésus et les Juifs".

[www.nouvelobs.com]