education/antisémitisme

Le tribunal administratif de Paris a annulé l'exclusion de deux élèves du collège et Lycée Montaigne à paris, dont l'une prononcée pour "antisémitisme" a annoncé l'avocat des familles des élèves sanctionnés, me thierry LEVY.

Le tribunal a annulé les deux exclusions de janvier dernier, et s'est prononcé pour leur réintégraation et a condamné l'Etat à payer aux deux familles "victimes" la somme de 1000 euros chacune.

Et le petit de 6eme qui a été harcelé, insulté pendant des semaines et des semaines, que va t -il toucher !!!!!!!!!

Suite au prochain numéro!!!!!!

C'est un scandale !!! parmi tant d'autres... Et , nous sommes au lycée Montaigne s'il vous plait !!! que dire de ce qui se passe dans les quartiers déshérités peuplés d'arabes et d'africains ????

'' La justice, qui a mis longtemps à qualifier correctement les faits antisémites, exonère les auteurs de ces faits par des décisions qui nous scandalisent. Elle décourage ceux décidés à les combattre '', regrette Le Bureau national de vigilance contre l'antisémitisme à Paris.


'' Alors que nous attendons de la justice des peines dissuasives et exemplaires, nous craignons de devoir déplorer l'effet nuisible de ces décisions, loin de restaurer la confiance et la sécurité des citoyens juifs'', ajoute ce Bureau évoquant deux jugements récents.

(Guysen.Israël.News / 2 juin 2004 12:05 GMT+3 ISRAEL)

Vous disiez impunité 0 ?

Les agresseurs présumés du fils du rabbin de Boulogne remis en liberté
NANTERRE, 6 juin 2004 (AFP) © 2004 AFP
Cinq jeunes hommes, soupçonnés d'avoir agressé le 30 mai dernier le fils du rabbin de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), ont été remis en liberté dimanche après avoir été entendus par un juge d'instruction de Nanterre, a-t-on appris de source préfectorale.

Les cinq jeunes gens, dont quatre mineurs, doivent être à nouveau convoqués devant le juge.

L'un d'entre eux, âgé de l4 ans, avait déjà été mêlé à une agression contre un jeune juif de 15 ans à la patinoire de Boulogne-Billancourt, le 17 janvier.

Le parquet de Nanterre a ouvert samedi une information judiciaire dont les qualifications exactes n'ont pas été communiquées. Selon la police, il s'agirait de "vol avec violence en réunion et pour certains des suspects avec un caractère antisémite". Les jeunes agresseurs sont en effet soupçonnés d'avoir tenté de dérober le scooter du fils du rabbin.

Le rabbin de Boulogne-Billancourt, Victor Bellahsen, contacté par l'AFP, a préféré ne pas commenter dimanche la décision de remise en liberté.

"J'attends d'avoir le procureur au téléphone pour qu'il m'explique le détail de la procédure avant de porter un jugement. Lorsque je l'ai rencontré, il m'avait promis la plus grande fermeté de la justice dans cette affaire", a-t-il expliqué.

Le Consistoire central de France s'est en revanche déclaré "indigné" après avoir appris que le jeune récidiviste du groupe avait reçu comme "seule sanction" de la part du juge pour enfants la rédaction d'un devoir sur l'antisémitisme après l'incident de la patinoire.

Sami Ghozlan, le président du bureau national contre l'antisémitisme, s'est pour sa part déclaré "étonné" de la remise en liberté des jeunes. "Nous attendions une décision sévère, dissuasive et exemplaire. Ce n'est pas le cas", a-t-il estimé.

Le 30 mai dernier, le fils du rabbin, âgé de 16 ans, avait été insulté et frappé par un adolescent alors qu'il venait de se garer devant son domicile avec son scooter, selon la police.

Le jeune juif avait essayé de rentrer chez lui mais cinq autres jeunes gens l'avaient alors roué de coups avant de tenter de s'emparer de son cyclomoteur. C'est une voisine qui lui avait porté secours.

Un sixième suspect avait été arrêté mais il a été mis hors de cause.

Deux jeunes hommes ont été interpellés jeudi soir et trois autres vendredi matin. Parmi eux, un majeur de 18 ans et quatre mineurs âgés de 16 ans, 15 ans, et 14 ans pour deux d'entre eux, selon la police.

Ils ont reconnu les faits vendredi et leur implication respective dans l'agression.

Les cinq jeunes habitent Boulogne-Billancourt. Certains sont connus de la police pour des vols de scooter et de petites agressions en réunion.

La préfecture des Hauts-de-Seine a recensé, depuis le début de l'année, 50 incidents à connotation antisémite. Sur ce total, 23 sont des atteintes aux personnes dont 15 des injures et menaces et 8 des violences physiques.


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