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Le nazisme est moins dangereux que l’Islamofascisme
Auteur Suggest.1
Assez ! - de Pierre Monzani
Un professeur de philosophie menacĂ© pour dĂ©lit de pensĂ©e anti-mahomĂ©tane, un opĂ©ra dĂ©programmĂ© Ă Berlin pour les mĂŞmes raisons, des fĂŞtes traditionnelles de la Reconsquista censurĂ©es en Espagne, un dictateur iranien voulant nous obliger Ă haĂŻr IsraĂ«l , Sa SaintetĂ© le Pape interdit de disputatioâ¦. A quand lâinterdiction de Molière, lâautodafĂ© des Ĺuvres de Voltaire, lâobligation des manifestations pro-palestiennes et le voile pour toutes les femmes dans notre beau pays de France ?
Assez ! VoilĂ le petit mot salutaire que doivent scander dĂ©sormais tous les RĂ©publicains. Nous avons supportĂ© sans, hĂ©las, broncher toutes les vilĂ©nies contre la France, contre le christianisme, contre le judaĂŻsme, et il faudrait aujourdâhui nous incliner devant le politiquement correct islamiste. Nous croit-on suffisamment dĂ©vertĂ©brĂ©s pour penser que notre Occident en soit arrivĂ© lĂ ?
Paraphrasant nos ancĂŞtres Radicaux, il faut dire que, dĂ©sormais, pour la RĂ©publique, « lâIslamisme, voilĂ lâennemi ! ». Il faut Ă©crire, parce quâil y va de la santĂ© de notre dĂ©mocratie et de la pĂ©rennitĂ© de notre libertĂ©, notre totale solidaritĂ© avec toutes les victimes de toutes les fatwas des barbus bornĂ©s.
Est-il besoin de prĂ©ciser que ce courage est le moindre des services que lâon peut rendre aux musulmans eux-mĂŞmes, tous ceux qui croient sereinement et tranquillement dans lâĂ©change entre les croyances que permet notre espace laĂŻc ?
Mais la laĂŻcitĂ© câest tout le contraire de lâindiffĂ©rence ou de la lâchetĂ©. La principale menace contre la laĂŻcitĂ©, câest-Ă -dire contre une forme première de la libertĂ©, est aujourdâhui lâislamisme. Câest notre devoir de combattre la bĂŞte immonde, sans nuance et sans crainte.
Fichiers:
Un professeur de philosophie menacĂ© pour dĂ©lit de pensĂ©e anti-mahomĂ©tane, un opĂ©ra dĂ©programmĂ© Ă Berlin pour les mĂŞmes raisons, des fĂŞtes traditionnelles de la Reconsquista censurĂ©es en Espagne, un dictateur iranien voulant nous obliger Ă haĂŻr IsraĂ«l , Sa SaintetĂ© le Pape interdit de disputatioâ¦. A quand lâinterdiction de Molière, lâautodafĂ© des Ĺuvres de Voltaire, lâobligation des manifestations pro-palestiennes et le voile pour toutes les femmes dans notre beau pays de France ?
Assez ! VoilĂ le petit mot salutaire que doivent scander dĂ©sormais tous les RĂ©publicains. Nous avons supportĂ© sans, hĂ©las, broncher toutes les vilĂ©nies contre la France, contre le christianisme, contre le judaĂŻsme, et il faudrait aujourdâhui nous incliner devant le politiquement correct islamiste. Nous croit-on suffisamment dĂ©vertĂ©brĂ©s pour penser que notre Occident en soit arrivĂ© lĂ ?
Paraphrasant nos ancĂŞtres Radicaux, il faut dire que, dĂ©sormais, pour la RĂ©publique, « lâIslamisme, voilĂ lâennemi ! ». Il faut Ă©crire, parce quâil y va de la santĂ© de notre dĂ©mocratie et de la pĂ©rennitĂ© de notre libertĂ©, notre totale solidaritĂ© avec toutes les victimes de toutes les fatwas des barbus bornĂ©s.
Est-il besoin de prĂ©ciser que ce courage est le moindre des services que lâon peut rendre aux musulmans eux-mĂŞmes, tous ceux qui croient sereinement et tranquillement dans lâĂ©change entre les croyances que permet notre espace laĂŻc ?
Mais la laĂŻcitĂ© câest tout le contraire de lâindiffĂ©rence ou de la lâchetĂ©. La principale menace contre la laĂŻcitĂ©, câest-Ă -dire contre une forme première de la libertĂ©, est aujourdâhui lâislamisme. Câest notre devoir de combattre la bĂŞte immonde, sans nuance et sans crainte.
Fichiers:
Y aurait-il une solution facé à l'Islamo/fascisme
Ce qu'en dit Alexandre Del Valle
Islam de France- Frères Musulmans-UOIF : Quelles propositions pour le candidat Sarkozy en 2007 ? â
par Alexandre del Valle
Pour nombre de Musulmans modĂ©rĂ©s, issus de « la base » comme de lâĂ©lite intellectuelle, avant de crĂ©er une institution reprĂ©sentative de lâislam en France (mais il nâest jamais trop tard pour bien faire) il eut Ă©tĂ© utile dâengager un dĂ©bat en profondeur sur lâIslam avec la majoritĂ© silencieuse de Musulmans Ă©clairĂ©s, seuls capables dâengager une rĂ©forme visant Ă intĂ©grer cette religion au sein de la RĂ©publique laĂŻque et de lui faire Ă©pouser son Ă©poque.
Nous ne pouvons plus nous contenter de la fameuse rhĂ©torique « pas dâamalgame entre islam et islamisme », qui permet dâĂ©viter le dĂ©bat et de se dĂ©douaner. Car le fait que certaines organisations fondamentalistes sâabritent derrière ladite « orthodoxie » religieuse sunnite ou quâelles se fĂ©licitent dâavoir Ă©tĂ© reconnues comme des « pĂ´les orthodoxes » de lâislam (UOIF, etc) et quâelles apparaissent mĂŞme comme de nouvelles forces de mĂ©diation et dâinterposition face aux casseurs des banlieues, ne prouve en rien que ces organisations « officielles » nâadhèrent pas aux grands principes liberticides, machistes, violents, voire mĂŞme parfois barbares inclus hĂ©las dans les versions les plus Ă©troitement « orthodoxes » de lâislam mondial : lapidation, autorisation de battre sa femme, refus de la libertĂ© de conscience et de choix des religions ; appels au Jihad, prosĂ©lytisme agressif ; condamnation Ă mort pour les adultères, les fornications prĂ©-matrimoniales et les apostasies, etc, autant de dispositions prĂ©vues dans la ChariĂ et revendiquĂ©es hĂ©las explicitement par les rĂ©fĂ©rences suprĂŞmes des Frères musulmans « tendance anti-terroriste », dont Youssef al Qardaoui, rĂ©fĂ©rence majeure de lâUOIF (voir son livre Al Hallal wal Haram, oĂą lâon apprend comment battre sa femme ou tuer les apostats, etc).
Il serait opportun, sans forcĂ©ment dĂ©faire tout ce qui a Ă©tĂ© fait et tout en tenant compte du rĂ©el, dont lâUOIF et la FNMF font partie, dâaccorder une plus grande place aux mouvances et personnalitĂ©s de lâIslam de France clairement situĂ© dans le camp des anti-islamistes et de lâIslam des Lumières, voire des courants soufis-libĂ©raux. Il sâagirait Ă la fois de :
1/ donner plus de visibilitĂ© aux modĂ©rĂ©s et aux libĂ©raux, majoritaires dans les esprits mais minoritaires dans les mosquĂ©es, et de prĂŞter main forte aux tenants dâun aggiornamento de lâIslam, sâil le faut via le statut spĂ©cial rĂ©servĂ© au culte et la tradition thĂ©ologique propres Ă la RĂ©gion Alsace-Lorraine. (on pourrait pour cela sâinspirer des rĂ©formes thĂ©ologiques audacieuses initiĂ©es par Abd al Razeq en 1925 en Egypte[1], ou Mohamed Charfi en Tunisie.
2/ oeuvrer de concert avec les organisations maghrĂ©bines et /ou anti-racistes comme SOS Racisme, Ni Putes ni Soumises, lâAssociation des MaghrĂ©bins LaĂŻques de France ou lâAssociation des LaĂŻques Musulmans de France, puis les mouvances franco-algĂ©riennes soufies et libĂ©rales (Islam de France de LeĂŻla Babès, Scouts Musulmans de France du Cheikh Bentounès). Sans parler de nombreuses individualitĂ©s comme Souheib et Ghaleb Bencheikh, Mezri Haddad, Malek Chebel, Latifa Benmansour, etc).
Pour une Charte de lâIslam de France
Quand on garde prĂ©sent Ă lâesprit le fait que lâislamisme est une idĂ©ologie fondĂ©e sur la terreur psychologique avant mĂŞme de sâincarner dans la violence terroriste physique, et quand on sait Ă quel point les Musulmans modĂ©rĂ©s sont soumis Ă des pressions souvent difficiles Ă supporter exercĂ©es par les IntĂ©gristes circulant dans les « quartiers », le futur prĂ©sident de la RĂ©publique serait particulièrement bien inspirĂ© sâil osait mettre sur pied une Charte du Culte Musulman ou de lâIslam de France invitant les organisations musulmanes Ă signer un texte solennel consacrant les droits des citoyens musulmans mais aussi lâallĂ©geance envers les principes fondateurs de la RĂ©publique.
Un peu sur le modèle de ce qui fut entrepris par le grand ami du judaĂŻsme que fut NapolĂ©on 1er et qui consacra lâintĂ©gration de ces derniers dans les institutions françaises lorsquâil leur fit signer une Charte Ă©tablissant les compatibilitĂ©s entre la Loi juive et la loi française, Nicolas Sarkozy pourrait Ă sommer les « orthodoxes » musulmans de France de faire primer la loi de la RĂ©publique sur celles de la ChariĂ , lorsquâil y a conflit grave de valeurs entre les deux systèmes, notamment quant au droit de changer de religion, Ă lâĂ©galitĂ© dâhĂ©ritages et de droits entre hommes et femmes ; la lĂ©gitimitĂ© du Djihad, la justification de lâesclavage, la haine des Juifs et des MĂ©crĂ©ants, etc.
Car jusquâĂ prĂ©sent, le grand malentendu concernant lâIslam de France que la pensĂ©e politiquement correcte somme de considĂ©rer comme intrinsèquement « tolĂ©rant » et « ouvert », repose sur le fait que les « modĂ©rĂ©s » de lâUOIF, de la FNMF, du BOLIM, du Milli GörĂĽs ou du Tabligh, nâont jamais saisi la moindre occasion de dĂ©noncer les dispositions de la ChariĂ , hĂ©las enseignĂ©es dans les mosquĂ©es les plus officielles, pas seulement celles des caves, qui lĂ©gitiment le Djihad, les corrections physiques des femmes, la peine de mort pour lâadultère ou lâapostasie, et lâinfĂ©rioritĂ© des non-Musulmans, des esclaves et des femmes.
Il serait temps et ce serait lâhonneur de la RĂ©publique de refuser que ce type dâenseignement soit promulguĂ© au sein de lâIslam de France. Du moins au sein des courants dĂ©sormais reconnus au sein du CFCM et par lĂ revĂŞtus de lâaura de la respectabilitĂ© institutionnelle.
[1] - ThĂ©ologien dâAl Azhar, Razeq est lâauteur de LâIslam et les fondements du Pouvoir. Il est le plus grand rĂ©formateur musulman moderne avec Mohamed Charfi (Islam et ModernitĂ©) et Mohamed Talbi en Tunisie.
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Ce qu'en dit Alexandre Del Valle
Islam de France- Frères Musulmans-UOIF : Quelles propositions pour le candidat Sarkozy en 2007 ? â
par Alexandre del Valle
Pour nombre de Musulmans modĂ©rĂ©s, issus de « la base » comme de lâĂ©lite intellectuelle, avant de crĂ©er une institution reprĂ©sentative de lâislam en France (mais il nâest jamais trop tard pour bien faire) il eut Ă©tĂ© utile dâengager un dĂ©bat en profondeur sur lâIslam avec la majoritĂ© silencieuse de Musulmans Ă©clairĂ©s, seuls capables dâengager une rĂ©forme visant Ă intĂ©grer cette religion au sein de la RĂ©publique laĂŻque et de lui faire Ă©pouser son Ă©poque.
Nous ne pouvons plus nous contenter de la fameuse rhĂ©torique « pas dâamalgame entre islam et islamisme », qui permet dâĂ©viter le dĂ©bat et de se dĂ©douaner. Car le fait que certaines organisations fondamentalistes sâabritent derrière ladite « orthodoxie » religieuse sunnite ou quâelles se fĂ©licitent dâavoir Ă©tĂ© reconnues comme des « pĂ´les orthodoxes » de lâislam (UOIF, etc) et quâelles apparaissent mĂŞme comme de nouvelles forces de mĂ©diation et dâinterposition face aux casseurs des banlieues, ne prouve en rien que ces organisations « officielles » nâadhèrent pas aux grands principes liberticides, machistes, violents, voire mĂŞme parfois barbares inclus hĂ©las dans les versions les plus Ă©troitement « orthodoxes » de lâislam mondial : lapidation, autorisation de battre sa femme, refus de la libertĂ© de conscience et de choix des religions ; appels au Jihad, prosĂ©lytisme agressif ; condamnation Ă mort pour les adultères, les fornications prĂ©-matrimoniales et les apostasies, etc, autant de dispositions prĂ©vues dans la ChariĂ et revendiquĂ©es hĂ©las explicitement par les rĂ©fĂ©rences suprĂŞmes des Frères musulmans « tendance anti-terroriste », dont Youssef al Qardaoui, rĂ©fĂ©rence majeure de lâUOIF (voir son livre Al Hallal wal Haram, oĂą lâon apprend comment battre sa femme ou tuer les apostats, etc).
Il serait opportun, sans forcĂ©ment dĂ©faire tout ce qui a Ă©tĂ© fait et tout en tenant compte du rĂ©el, dont lâUOIF et la FNMF font partie, dâaccorder une plus grande place aux mouvances et personnalitĂ©s de lâIslam de France clairement situĂ© dans le camp des anti-islamistes et de lâIslam des Lumières, voire des courants soufis-libĂ©raux. Il sâagirait Ă la fois de :
1/ donner plus de visibilitĂ© aux modĂ©rĂ©s et aux libĂ©raux, majoritaires dans les esprits mais minoritaires dans les mosquĂ©es, et de prĂŞter main forte aux tenants dâun aggiornamento de lâIslam, sâil le faut via le statut spĂ©cial rĂ©servĂ© au culte et la tradition thĂ©ologique propres Ă la RĂ©gion Alsace-Lorraine. (on pourrait pour cela sâinspirer des rĂ©formes thĂ©ologiques audacieuses initiĂ©es par Abd al Razeq en 1925 en Egypte[1], ou Mohamed Charfi en Tunisie.
2/ oeuvrer de concert avec les organisations maghrĂ©bines et /ou anti-racistes comme SOS Racisme, Ni Putes ni Soumises, lâAssociation des MaghrĂ©bins LaĂŻques de France ou lâAssociation des LaĂŻques Musulmans de France, puis les mouvances franco-algĂ©riennes soufies et libĂ©rales (Islam de France de LeĂŻla Babès, Scouts Musulmans de France du Cheikh Bentounès). Sans parler de nombreuses individualitĂ©s comme Souheib et Ghaleb Bencheikh, Mezri Haddad, Malek Chebel, Latifa Benmansour, etc).
Pour une Charte de lâIslam de France
Quand on garde prĂ©sent Ă lâesprit le fait que lâislamisme est une idĂ©ologie fondĂ©e sur la terreur psychologique avant mĂŞme de sâincarner dans la violence terroriste physique, et quand on sait Ă quel point les Musulmans modĂ©rĂ©s sont soumis Ă des pressions souvent difficiles Ă supporter exercĂ©es par les IntĂ©gristes circulant dans les « quartiers », le futur prĂ©sident de la RĂ©publique serait particulièrement bien inspirĂ© sâil osait mettre sur pied une Charte du Culte Musulman ou de lâIslam de France invitant les organisations musulmanes Ă signer un texte solennel consacrant les droits des citoyens musulmans mais aussi lâallĂ©geance envers les principes fondateurs de la RĂ©publique.
Un peu sur le modèle de ce qui fut entrepris par le grand ami du judaĂŻsme que fut NapolĂ©on 1er et qui consacra lâintĂ©gration de ces derniers dans les institutions françaises lorsquâil leur fit signer une Charte Ă©tablissant les compatibilitĂ©s entre la Loi juive et la loi française, Nicolas Sarkozy pourrait Ă sommer les « orthodoxes » musulmans de France de faire primer la loi de la RĂ©publique sur celles de la ChariĂ , lorsquâil y a conflit grave de valeurs entre les deux systèmes, notamment quant au droit de changer de religion, Ă lâĂ©galitĂ© dâhĂ©ritages et de droits entre hommes et femmes ; la lĂ©gitimitĂ© du Djihad, la justification de lâesclavage, la haine des Juifs et des MĂ©crĂ©ants, etc.
Car jusquâĂ prĂ©sent, le grand malentendu concernant lâIslam de France que la pensĂ©e politiquement correcte somme de considĂ©rer comme intrinsèquement « tolĂ©rant » et « ouvert », repose sur le fait que les « modĂ©rĂ©s » de lâUOIF, de la FNMF, du BOLIM, du Milli GörĂĽs ou du Tabligh, nâont jamais saisi la moindre occasion de dĂ©noncer les dispositions de la ChariĂ , hĂ©las enseignĂ©es dans les mosquĂ©es les plus officielles, pas seulement celles des caves, qui lĂ©gitiment le Djihad, les corrections physiques des femmes, la peine de mort pour lâadultère ou lâapostasie, et lâinfĂ©rioritĂ© des non-Musulmans, des esclaves et des femmes.
Il serait temps et ce serait lâhonneur de la RĂ©publique de refuser que ce type dâenseignement soit promulguĂ© au sein de lâIslam de France. Du moins au sein des courants dĂ©sormais reconnus au sein du CFCM et par lĂ revĂŞtus de lâaura de la respectabilitĂ© institutionnelle.
[1] - ThĂ©ologien dâAl Azhar, Razeq est lâauteur de LâIslam et les fondements du Pouvoir. Il est le plus grand rĂ©formateur musulman moderne avec Mohamed Charfi (Islam et ModernitĂ©) et Mohamed Talbi en Tunisie.
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