Houlala ! Que nâai-je pas fais ? Ou plutôt OUI ! Quâai-je fais ?
Je nâai cessé de recevoir des courriers de reproches,
Jâaurais parlé de Kosma dans une rubrique âPrevertâ :
Certains ont été jusque dire que là ? Je suis carrément âhors sujetâ
Comme si ? Pour ma défense ? Il était possible de parler de Prévert sans Kosma ?
Puis ne voilà -t-il pas que câest la gérante du BB qui sâen mêle ;
Elle me reproche de Mettre des chansons en place de poèmes,
Est-il possible ? Qâun poème comme les âfeuilles mortesâ qui mis en musique et qui devient alors une chanson ? Ne soit plus un poème ?
Je ne sais pas ce quâelle a la gérante ? Du BB mais depuis deux jours elle me âbatâ froid :
Elle en vient même à affirmer quâelle pourrait déplacer mon sujet sur Kosma vers âdélires â :
Elle me parle à mots couverts de délires délirants, de âfauxâ je ne sais quoi ?
Je sais je sais, elle va me taxer de paranoïaque :
Bon alors ? En signe de bonne volonté, je rends la musique poème !
Jâaffiche les paroles des âfeuilles mortesâ un très beau poème de ;;;;;;;;;;;;PREVERT !
Les feuilles mortes âPoème de PREVERTâ
Oh ! je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours heureux où nous étions amis.
En ce temps-là la vie était plus belle,
Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui.
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle.
Tu vois, je n'ai pas oublié...
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,
Les souvenirs et les regrets aussi
Et le vent du nord les emporte
Dans la nuit froide de l'oubli.
Tu vois, je n'ai pas oublié
La chanson que tu me chantais.
{Refrain:}
C'est une chanson qui nous ressemble.
Toi, tu m'aimais et je t'aimais
Et nous vivions tous deux ensemble,
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais.
Mais la vie sépare ceux qui s'aiment,
Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis.
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,
Les souvenirs et les regrets aussi
Mais mon amour silencieux et fidèle
Sourit toujours et remercie la vie.
Je t'aimais tant, tu étais si jolie.
Comment veux-tu que je t'oublie ?
En ce temps-là , la vie était plus belle
Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui.
Tu étais ma plus douce amie
Mais je n'ai que faire des regrets
Et la chanson que tu chantais,
Toujours, toujours je l'entendrai !
{Refrain}
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