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DONA DONA

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DONA DONA
DONA DONA !

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Dona, dona...

Sur la charrette gît le petit veau,
Oyfn furl ligt dos kelbl,
Ãtendu ligoté par une corde.
Ligt gebundn mit a shtrik.
Haut dans le ciel vole la petite hirondelle,
Hoykh in himl flit dos shvelbl,
Joyeusement elle va et vient sans corde.
Freyt zikh, dreyt zikh hin un tsrik.

Refrain :

Le vent rit dans les blés,
Lakht der vint in korn,
Il rit et rit et rit,
Lakht un lakht un lakht,
Il rit le jour entier,
Lakht er op a tog a gantsn,
Et la moitié de la nuit.
Mit a halber nakht.
Dona, dona, dona, dona,
Dona, dona, dona, dona,
Dona, dona, dona, don.
Dona, dona, dona, don.

Le petit veau crie, le paysan dit :
Shrayt dos kelbl, zogt der poyer :
Qui donc tâa demandé dâêtre un veau ?
Ver zhe heyst dikh tsu zayn a kalb ?
Tu aurais pu être un oiseau,
Volst gekent tsu zayn a foygl,
Tu aurais pu être une hirondelle.
Volst gekent tsu zayn a shvalb.

Les pauvres veaux on les attache,
Bidne kelber tut men bindn,
Et on les traîne, et on les égorge.
Un men shlept zey, un men shekht.
Celui qui a des ailes sâenvole,
Ver sâhot fligl, flit aroyftsu,
Et nâest lâesclave de personne.
Iz bey keynem nisht keyn knekht.

Paroles de Aaron Zeitlin (1889-1973); musique de Sholom Secunda (1894-1974). Publié en feuille par Metro Music Co., New York, 1943. Intitulée à lâorigine Dana, dana, dana..., cette chanson fut écrite pour la pièce de Zeitlin Esterke, produite par Maurice Schwartz en 1940-41, et imprimée sur le programme. Elle devint lâune des chansons yiddish les plus chantées, et fut interprétée en yiddish et en anglais par Theodore Bikel, Joan Baez et bien dâautres. Elle fut aussi traduite en allemand et en coréen (et adaptée en français !).

Pour ce qui est des paroles de DONA DONA ? Et si vous prenez la peine de les lire ?

Elles ne sont pas si innocentes, quâil nây parait ! Elles évoquent une période noires, et font appel au rêve.






Cette chanson ? Le rare moment agréable du film de
Jean-Claude ZILBERMAN

« LES FAUTES Dâ ORTHOGRAPHE »

Si jâai été voir ce film ? Câétait avec âun à prioriâ de sympathie !
Le metteur en scène Jean- Claude ZILBERMAN est un metteur en scène juif :
Donc? Je lâavoue ! Jâai été voir ce film ?avec un sentiment dâinclination !
Aussi je ne suis pas objectif !
Et puis lâoccasion de revoir Jean- LESCOT (LESCOWITZ) un ancien ami dâenfance.
Dans le rôle du professeur de Français ! Le seul authentique dans son personnage !

LA TRAME
Le point de vue d'un enfant
Avec Les Fautes d'orthographe, le réalisateur Jean-Jacques Zilbermann a souhaité faire un film mettant en scène des enfants -un rêve de longue date-, mais du point de vue d'un enfant.

LE SCENARIO !
Au début des années 70, Daniel Massu a quinze ans mais en paraît treize. Son père et sa mère sont proviseur et directeur des études de l'internat dont il est élève.
Cette année, son père a décidé qu'il devait descendre au dortoir avec les autres. L'idée de cette promiscuité le terrorise, d'autant plus que ses camarades de classe le considèrent comme un privilégié.
Pour racheter la confiance et l'amitié de ses pairs, Daniel n'hésite pas à affronter sa mère, partagée entre l'amour pour son fils et le collège qu'elle a créé pour aider les enfants en difficulté

LA CRITIQUE !
Voici une critique lue sur la toile et qui me semble tout à fait appropriée !
Le nouveau "téléfilm" de Zilbermann débarque sur nos écrans et tente de surfer sur la vague des "Choristes". Pourtant, on peut parier que le résultat sera différent. La faute tout d'abord à une mise en scène peu inspirée (et bien moins élégante que celle de Baratier), à des images laides qui ne rendent même pas justice à la beauté de Carole Bouquet (et faut le faire !), et à des personnages qui ne sont jamais attachants. Le gros problème du film vient du fait qu'il navigue entre deux eaux : le film d'apprentissage et la fable politique. Dans les deux cas, le contrat n'est pas rempli car il manque de la légèreté dans ce portrait d'un adolescent mal dans sa peau (et au final, assez énervant) et il manque un véritable arrière-plan historico politique pour que cette métaphore sur mai 68 prenne. Bien sûr, le film se regarde, mais l'ensemble est tout de même assez ennuyeux et peu digne d'intérêt. Dans le genre, on a déjà vu mille fois mieux et il nây a pas si longtemps. Le film n'a aucun scénario, se traîne, plein de scènes inutiles et les personnages ne sont pas exploités comme il se doit, au final, on oublie vite ce film au ton pseudo nostalgique et enfantin.
Jâajouterai que la prise de son est absolument déplorable !

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