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Deshumanistion de l etre

Auteur hajkloufette 
Deshumanistion de l etre
Nécrophilie à Gaza
Par Eytan Ellenberg pour Guysen Israël News
12 mai 2004 / 20:34


Erich Fromm écrivait : « Seul lâhomme semble se complaire à détruire la vie sans autre but que la destruction elle-même. (â¦) Seul lâhomme semble être destructif bien au-delà du besoin de se défendre ou de se procurer ce dont il a besoin. »


Une passion de destruction animée par un amour de la mort â la nécrophilie - vient de pousser des terroristes palestiniens à parader à Gaza avec des lambeaux de chair de soldats israéliens.
On les aura vus sourire, jouer avec ces morceaux de corps humains comme dâun ballon de football, on les aura vus tout simplement⦠jouir.

Le coran à la main, des fanatiques ont souillé tous les préceptes du prophète quâils vénèrent. Au nom de la religion, ils ont atteint à la sainteté de la mort, à la dignité des corps, au respect tout simplement de lâhumanité.
Au nom dâun dieu quâils ont (ré)inventé, dâun paradis et de ses 72 vierges pour lesquelles ils fantasment parce quâils ont voilé celles quâils côtoient, des fous ont désacralisé des corps, ont anéanti toute leurs parcelles humanité - si toutefois ils en conservaient encore - , ont simplement opté pour la mort et se sont écartés de la vie.

Rien de surprenant lorsque lâon connaît la politique et le culte de la mort qui ont investi Gaza et les territoires autonomes : « Le nécrophile, écrivait Erich Fromm, nâaime ni la vie ni lâépanouissement, mais la mort et la destruction. ».
Quâaurait-il pensé en regardant ces barbares sâamusant comme des gosses avec des cheveux et des membres ?
Aurait-il absous leurs actes ignobles au nom de la « légitime résistance à lâoccupation » ?
Et pourtant, plus rien ne nous étonne, même ce déballage dâhorreurs, lorsque lâon a entendu ou lu les discours prônant la mort (plutôt que la vie) tenus par des hommes politiques, des chefs terroristes et des responsables religieux qui tournent autour de cette mouvance terroriste islamiste : « Nous aimons la mort autant que les Juifs aiment la vie !», clame le Hamas.

De fait, une frange (qui est loin dâêtre négligeable) de la population des territoires autonomes, soumise à la doctrine du Hamas ou dâArafat, se voue depuis des années à une passion de la destructivité quâil faut condamner de façon absolue : câest la nécrophilie ou lâamour de la mort qui guide ces monstres et non le désespoir comme certains osent le prétendre.

Les agissements ignobles de ces terroristes ne doit pas nous voiler la face : aux portes du seul pays démocratique du Moyen et du Proche-orient, dâun Ãtat qui respire la vie, le dynamisme, vivent des populations qui ont édifié un culte à un seul Dieu : la mort, la destruction.
Quand on pense, que la nouvelle mode palestinienne est à lâéchange des posters des martyrs palestiniens, on a de quoi frémir pour lâavenir de ces enfants (et ceux des Israéliens qui seront leurs cibles) !
Quand on pense, quâen revanche, et ce malgré les persécutions et les humiliations quâils ont subies, les Juifs ont toujours opté et prié pour la vie ! Le Hamas a raison dâaffirmer que les Juifs aiment autant la vie quâeux la mort.

à quelques kilomètres de ceux qui tentent, attentat après attentat, de « réapprendre à vivre » pour oublier et penser à lâavenir, à lâimage de cet homme qui vient de perdre sa femme et ses enfants assassinés de sang froid par de « valeureux résistants », et qui envisage de sâengager dans le sauvetage dâautres vies (voir le dernier éditorial de notre rédacteur en chef), des populations nécrophiles sont excitées à la seule vue dâun cadavre et nâattendent quâune seule chose : devenir la prochaine bombe humaine pour figurer sur une vignette échangée par les écoliers de Ramallah.

Si la nécrophilie siège de façon évidente à Gaza, cela suppose, en conséquence, pour les Israéliens, de sâen éloigner le plus rapidement possible, de sâen séparer définitivement.
Cependant, avant dây arriver, lâarmée dâIsraël aura la difficile mission dâanéantir les « forces vives » du Hamas et partir la tête haute : il est interdit de fuir devant le terrorisme.
Dâici-là, son combat est le nôtre, non pas uniquement celui des Juifs, mais également du monde civilisé qui ne peut accepter que de tels actes barbares défigurent encore de la sorte notre planète.
En effet, la récente décapitation médiatisée dâun civil américain rappelle au reste du monde que la barbarie nâa plus de limites et quâil a pris le masque de lâislamisme.

Sachons le combattre ensemble.
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