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GOULETTOIS NERVEUX..????

Envoyé par breitou 
GOULETTOIS NERVEUX..????
05 avril 2013, 00:10
Goulettois nerveux… ????

La formation de notre équipe USG puis le CSG t qui se présentait pour jouer un match tenait du miracle certains dimanches ou ces samedis après midis.

Le volley se joue à six et comme par miracle, je vous le dis la main sur le cœur, nous étions juste six et pas un de plus assis sur le banc des remplaçants.

Imaginez qu’un seul de nous eu mal au ventre, comme survenue pour la diarrhée de Pierre Boc un certain samedi en demi finale, autant pour nous, il commit ce soir là un acte d’héroïsme en se retenant sinon nous étions déclarés forfaits pour terrain inondé. Sa retenue marqua mon esprit et je lui suis reconnaissant pour cet exploit moyenâgeux.
Maintenant imaginez la joie de GILBERT COHEN….Lorsque Jo Meimoun ( notre coach) voulant le remplacer ne trouve personne sur le banc de touche…. ! Notre Gugus se fendit d’un ricanement qui résonne encore dans ma tête et sa réflexion fut la suivante ‘…Mais par qui vas-tu me remplacer… ?’

Nerveux nous les Goulettois…. ???
Imaginez-aussi, lorsque nous devions aller jouer en terrain extérieur, et ne voyant pas arriver notre sixième joueur qui avait juré la veille d’être debout à 6 heures du matin, notre Dr Berrebi, accompagné de qqs coéquipiers, allait chercher l’énergumène endormit en voiture.

Nerveux nous les Goulettois… ????? JaMAIIIIIIS…. !

Imaginez aussi que lors d’un match, sur le terrain du charbonnier, FILFILS grosse -gueule rien dans la tête, rien dans les jambes et rien dans les bras n’a pas trouvé mieux que de baisser le filet pour cracher sur l’arbitre ou l’adversaire ( ?) alors qu’il aurait pu cracher sans le soulever ou le baisser.. ! Un filet de volley n’est fait que de MAILLES….MAILLES QUE MAILLES… ! L’emmaillé était un anti sportif.

Nerveux nous les Goulettois… ????? ….

Certes, certains joueurs parmi nous avaient la réputation d’être nerveux.

Il y a de quoi et je vais le démontrer.

Certains parmi nous ne supportaient pas, n’admettaient pas qu’un petit nombre d’entre nous soit

‘..Vraiment mauvais …’ HMOUMIN…. au cours d’un match.
Les meilleurs, parmi nous, avaient horreur des MALADES ATTEINTS de l’APATHIE. Les AMORPHILES que la nature a mis sur notre chemin, sur un terrain, des années plus tard, pour nous emmerder.
Qu’est ce qu’un AMORPHILE…. ? Un blid, un mard, une obsession, une malédiction, dawaa, dont il nous fut difficile de s’en débarrasser tellement, ils étaient lourds sur le terrain. Cette obsession en tout cas ne m’a pas quittée. Je suis devenu OBSESSIONNEL à cause d’eux. Lol.

D’abord, j’ai horreur des lâches. Des joueurs qui non presque jamais mouillés le maillot. Des comédiens.

- Bokler fut un lâche. Un peureux, un joueur mal dans sa peau, un couard, qui reportait souvent la faute sur le smacheur lorsqu’il ratait ses passes. Et avant de lever, il disait ‘…E’ye koul él haloué…. !’ Lorsque le Smacheur marquait avec sa passe ‘…Dis que je ne te fais pas chikher… !’ Sinon, il s’en lavait les mains si celui çi ne passait pas…

-Par respect pour son ancienneté, il aurait fait un bon remplaçant assis sur un banc comme mauviette, CHIKEN, si j’étais le coach.

- Je ne peux jamais le remercier pour ce qu’il a fait alors qu’ il n’a rien fait sauf que de nous trahir.
Gilbert C. Alias GUGUS C. Alias Chaldéra mieux inspire à la pêche au harpon pour percer le ventre des vops que transpercer un ballon sur un terrain de volley.

Le jeune homme à cette époque faisait office de rigolo. Il aimait rire lorsqu’il ratait un smash, raté une réception.

Je le vois là devant moi avec sa genouillère, faisant semblant de masser son poignet après un smash raté…Ou un service raté, mais celui qui le dépassa c’est SAUVEUR S. Alias Scapin. Mon frère. Chez lui rien ne réussissait.

Il feignait souvent une entorse, un doigt foulé après un smash, une chute sur les fesses qui lui a écrasé les doigts, un avion qui passait par là bref tout était bon pour argumenter ses nombreuses fautes.

Un jour lors d’un match, il accomplit un miracle, sur un lever de ballon, un smash il monte comme un dingue et voilà le cuir atterrir au sol à 50 cm du filet dans le terrain adverse c'est-à-dire presque sur ses orteils.

Explication le ballon n’est pas passé et l’arbitre n’a rien vu sauf qu’il leva le bras vers notre coté. La seule fois où mon frère marqua un point ou un demi je crois. Bref clown mta cirque Amar.

-Riquet et son air béat. Les lèvres légèrement ouvertes, le regard fixé sur l’horizon du ballon au service de l’adversaire et voilà notre excellent joueur nous dire en ratant la réception et en nous regardant ‘…Zut, elle est où cette balle… ?’ Sydney ou moi ‘…Fi sormork… !’

Son sourire à la Fernandel, un chwiya hilare, l’a rendu opticien, c’est bien pour les ‘céssiteux’ comme lui. Sa posture sur le terrain, pour réceptionner un service adverse, ressemblait au profil d’un jeune girafon vierge se désaltérant dans une marre…Bien penché, un dos rigide comme l’injustice (sa silhouette projetait sur le parquet du central formait un L) sans doute prit dans un tourbillon ‘lumbagolaire’, les jambes imberbes, pliées pour la forme sous le poids du grand souci qu’il va se faire pour cette réception, les deux mains à hauteur des yeux pour mieux encadrer le vent et la direction du ballon, une concentration d’enfer comme je ne vous ne le raconte pas, une merveille de posture et au second service servi par l’adversaire, le ballon lui passe entre ses jambes ‘…Mais comment elle est passée celle là… ? ‘ ‘ Membin SORMOK….Ye blid… !’ Syndey et Moi.

A Suivre…

André Lellouche alias Combattant, Sydney Lellouche Alias COPLAN, Pierre Boccara, Richard Siméoni, , Miro Guetta, et les autres….

Chapitre 2°.

Goulettois nerveux… ??

Miro, Nanou Sydney, Pierrot, Richard…

Hormis ces clowns de terrain, il avait le MIRO GUETTA…Avec son maniement, qui frisait le toucher de balle, un joueur complet, un directeur sur le terrain qui parfois s’opposait aux GIGIS à Claude Hanouna. Un joueur modeste mais qui ne se laissait pas faire. Calme il était bon smasheur, ramasseur de balles sur un terrain où certains avaient besoin de couverture.

- André Lellouche NANOU alias Combattant, passeur par excellence, un joueur régulier malgré son handicap, il cherchait le ballon. Rien ne le désorienté, méthodique il s’appliquait sur les passes.

- -Sydney Lellouche alias COPLAN, le beau le blanc norvégien, le jeune homme tout en hauteur, appliqué, combattant, smacheur intelligent, le roi de la SLEPKA, la feinte, aussi bon au filet qu’à la défense, il avait horreur de perdre. Il s’énervait contre les cons qui l’insupportait. Un gagnant. Un jeune homme retenu en équipe nationale qui a fait ses preuves dans ce sport collectif. Sydney el bey. Ye Ghoul. /Lorsqu’il retombait après son smach il relevait sa mèche. Et il disait après chaque point ‘…Khoud ye mard… !’

- Pierre Boccara sans surnom, le petit Pierrot, le passeur fin et plein d’astuces, celui qui n’a jamais fait défaut à son équipe. Sauf une fois à cause d’un cacher de merde, un amphétamine qu’il nous raconte, un amphé mta baba chidi, autant pour lui qe cela ne fut pas un suppot. Joueur calme, tjs bien coiffé, on dirait un hattan sorti d’un syna, il levait ses balles justes et presque sans défauts parfois il lobait à la grande surprise de nos adversaires. Pierrot le petit Seigneur de notre équipe.

- Richard Simeoni, mon jeune frère, le joueur de toutes les raccroches, le smacheur intelligent, le gagneur, sa frappe était sèche, incisive, celui qui ajustait souvent son short après un smash, toujours là où il le fallait. Courageux, humble dans son jeu, jamais un mot de trop, jamais un énervement, il passait presque inaperçu si ce n’est sa présence dans ce six plein d’audace. A part ceux qui ont raté le coach par leurs singeries.

A Suivre….

Chapitre 3°

GOULETTOIS NERVEUX… ???

Hier j’ai donc inséré deux textes ayant trait aux élucubrations de certains joueurs, des comiques, des mroudas, les lobzats, des cataplasmes qui durant certaines rencontres nous ont fait chier durablement mais comme nous étions contraints et forcés de subir leur chantage, bcp d’entre nous avons faits profil bas, si bas qu’il rampait au sol.

Vous avez lu le comportement de qqs joueurs qui ont partagés avec moi ces moments haut de gamme. Sur le terrain certains donc n’était pas exemplaires mais disons qu’ils étaient, que nous étions moins voyous que les séniors précédents qui pour un oui ou pour un non voulaient se battre contre l’adversaire.

La nouvelle génération qui a remplacé les FILFILS, Les HANOUNA etc était bien plus responsable de leurs actes que les anciens. Pour un ballon smashé sur la ligne de fond alors que l’arbitre l’avait jugé OUT, les discussions sans fin avec ce dernier. Elles prenaient des allures de combat dans un forum de gladiateurs.

Les palabres n’en finissaient pas. Les petites ruses étaient très à la mode. Bref, la mauvaise foi goulettoise était à l’honneur. Cette époque voyait souvent l’arbitre poursuivi jusqu’au TGM accompagné d’injures si ce n’est de jets de pierre.

-MAX FITOUSSI joueur international, plusieurs matchs à son actif, celui qui a fait le tour d’EUROPE et qqs pays africains au frais de la princesse la FTVB mérite largement son statut de très bon joueur tant moralement que physiquement. Sa taille était bonne, sa détente exceptionnelle et son smash performant, percutant. Il était ce qu’on appelle un joueur complet. Un bonne vista sur le terrain adverse, et un sens particulier du placement. C’était un battant tranquille, mesuré dans ses propos, l’esprit sain dans un corps filiforme. Nous avons fait appel à l’immigré en France trois fois de suite pour des rencontres importantes. Max je l’avais perdu de vue depuis son départ en France en 1964. Puis le hasard s'y est mis, alors qu’il était en vacances à Hammamet, des années plus tard, j’eus la surprise de renouer avec lui, sa femme sa fille que je ne connaissais pas et depuis, depuis que je suis à Paris, on ne se quitte presque plus soit autour d’un restaurant, soit à présent chez lui à déguster des plats cuisinés par ma femme. L’homme est gourmand et kiffeur. Rieur aussi de mes conneries d'autrefois.

-Gigi Bellaiche l’homme à la détente. Celui qui engueulait Bokler lorsqu’il ratait son smash. Un grand nerveux qui ne savait pas se taire. Mais je lui reconnais son jeu régulier, prêt à marquer, combattif. Sa frappe du ballon avait la particularité de tomber en demi- arc de cercle sur le terrain adverse, au dessus du contre.

Smacher en bordure du filet lui était impossible, car ce smash demande une grande rapidité d’action, on appelle cela un smash tendu. Or il était impossible pour lui d’exécuter cette manœuvre à cause justement de sa détente. Son match était facilement récupérable, parfois mou, ce qu’il donnait à l’adversaire le temps de se mettre en position pour la raccroche. Au vu de cette courbe lente et faible en puissance. Giji était celui qui palabrait tout le temps pour un oui ou pour un non. Les ‘…Yadin rab… ! ’ étaient monnaie courante chez lui mais pas avec moi. Il me respectait souvent mais il me tirait le maillot lorsque le ballon n’était pas à la bonne hauteur. Montrant ainsi sa façon de me le reprocher.

Gigi vit en Israël. Il est devenu très religieux troquant le paquet de gnawiya qu’il me présentait à ma boutique durant son époque française pour le livre sacré.

-Azzedine Meddeb, ce jeune volleyeur était rentrant dans notre six. Petit certes, il s’en sortait très bien, aussi bien dans les raccroches que dans les passes. Il ne rouspétait jamais sur un terrain. Il était modeste et surtout discipliné alors que les autres par fierté refusaient parfois de sortir pour être remplacés, lui baisser la tête et ne disait mot. Chez nous, un joueur qui se faisait remplacer le faisait de mauvais cœur et surtout avec beaucoup de gesticulations. Et souvent, il quittait le terrain pour aller se rhabiller. En maugréant bien sur.

-Mimi Vigano z’al était plutôt omni sport, comme nous tous. Le volley n’était pas sa tasse de thé. Il a touché au hand-ball, au water polo, à la natation sans trop marquer ses passages dans ces disciplines. Mais il y mettait beaucoup de cœur à s’appliquer. Mimi était un meneur de bande. Un homme sympathique, féru de sport d’où qu’il était journaliste à la Presse. Il était un homme généreux et sa compagnie nous plaisait beaucoup. Son sourire et son rire ravageurs étaient très communicatifs. Mimi est parti qqs mois plus tard après le décès de sa femme FRANCINE à Paris. J’ai eu l’occasion de connaitre sa famille, ses filles jumelles au Bourget, vers les années 64/65 . L’homme n’avait pas changé.
Qu’il repose en Paix notre Mimi, notre beau Mimi.

A suivre….


GOULETTOIS NERVEUX…. ?

Vous avez suivi mes textes intitulés GOULETTOIS NERVEUX.
Ils ne l’étaient pas tous comme j’ai pu le démontrer, du moins pour ceux que j’ai côtoyé durablement. Ceux d’avant mon époque étaient gueulards, cracheurs de mauvaise foi. Cherchant toujours la petite bête aux arbitres ad home.

Que sont t’ils devenus après cette grande camaraderie de tous les jours … ? Les départs précipités de beaucoup d’entre eux ont fini par achever notre glorieuse équipe qui a donné beaucoup d’émotion à notre galerie et à tous ceux qui venaient nous encourager et je parle des tunisois, ces fidèles fans qui nous suivaient à Tunis lors des matchs épiques.

Parmi cette galerie goulettoise, il y avait nos parents assis sur les gradins. Des frères, des sœurs, tout un éventail d’amis proches.
Donc, certains événements en Tunisie ont décapités notre team et l’ ont fait fuir en France, à PARIS.

Après leur départ et toujours féru de volley, j’ai joué à la SAYDA SPORTS de SIDI BOU durant deux ans. Puis, je me suis inscrit dans un autre sport point conforme au volley, les arts martiaux. 10 ans à mon actif sous la direction de HAMADI, salle du Zephir.
Pour les autres, les émigrés, ils ont continué à jouer dans certains clubs français et ils ce sont faits un renom.

Volleyeurs goulettois et tunisois, pour ne pas perdre la main, se réunissaient sur un terrain du coté de Boulogne. Un espace qu’ils ont conquis sans coup férir. Deux poteaux et un filet et voilà nos amis des deux bords s’entredéchirer dans des parties qui souvent finissaient en queue de Merou. Pour une balle bonne le terrain s’allongeait pour une mauvais, il rapetissait selon les cas.

Insultes, coups de poings, jurons etc….On y trouvait les GIGI, Les Thomas, les Sydney etc….Tout un florilège de profils choisis, je ne sais pas qui mais qui ne passait inaperçu aux yeux des promeneurs des bois.
Avec le temps, et prenant de l’âge, ce dernier ayant eu raison d’eux, et ils vaquèrent à d’autres taches domestiques comme être plus présent auprès de leurs familles.
Beaucoup ont immigré en Israël. Quelques rares goulettois ont décidé d’écrire leur vécu après des années et des années de séparation de notre cher pays. Ce qui se traduit que la fibre est toujours présent en eux et en moi.

Perso je n’ai fait qu’écrire sur la Goulette depuis 1989. Puis arrêt par nécessité, j’avais émigré entre temps, puis reprise en l’an 2000 sur un forum HARISSA. COM. Et depuis je ne me suis pas arrêté. Donc plus de 13 ans à mon actif. Cette coupure entre 89 et 2000 est due à mon installation surtout.

Vous avez remarqué que je n’ai pas écrit sur moi et naturellement cela ne se fait pas. En générale, c’est un autre coéquipier ou ami qui s’en charge mais cela n’a pas tellement d’importance.

Je sais seulement en mon âme et conscience que j’ai pratiqué ce sport LE VOLLEY ( un concours de circonstance) avec amour et CONSCIENCE ET PASSION. Comme tout ce que j’entreprends d’ailleurs. J’ai touché à la natation en rentrant bon dernier dans une compétition du 100 mètres alors que je n’étais pas titularisé par JOJO Meimoin, au water polo sans jamais jouer un match, j’ai joué au hand comme harponneur, au foot sur la plage comme avant centre toujours hors jeu et je m’en sortais ç chaque fois très bien à, la seule chose que j’ai raté, c’est ma scolarité.

Je ne la regrette pas. Elle non plus d’ailleurs.
Aujourd’hui, je vois tout cela comme un grand acquis. Celui d’avoir toujours mes amis et surtout être ami avec mes anciens ‘ennemis’ de VOLLEY.

La Goulette a fourni beaucoup d’internationaux en Equipe Nationale.
J’ai gardé mes anciens grands amis comme MAX FITOUSSI….GILBERT COHEN…SYDNEY LELLOUCHE…PIERROT BOCCARA. J’ai eu la chance de retrouver ALAIN COHEN…BITTAN… DU CNT…MAIS PAS GUY HAGGIAGE NI BOBBY SITBON mes deux préférés de L UST de cette époque.

Lorsqu’on commence à mettre un pied dans la vieillesse il reste toujours son passé pour se rajeunir.
Le prochain article…LES ARBITRES clôturera cette grande aventure.


Les arbitres en tout genre n’ont jamais eu le geste tendre envers nous. Leur sifflet était contre nous. Implacable. A quoi cela était du… ? Avions -nous mauvaise presse dans cette corporation des gens du sifflet au point d’oublier leur condition de juge impartiale… ?
Pourquoi regardent t’ils toujours ailleurs quand notre ballon était bon et toujours au bon endroit lorsqu’il était OUT…. ?

Sur un terrain, on n’y pense pas mais c’est après que nous sommes surpris, énervés par des attitudes choquantes qui nous ont laissés des gouts amers au fond de la gorge.
Mais le plus grave est que les fautes nous sont sifflées dans des périodes tendues comme par exemple un 13 à 13 ou un 14 à 13 en notre faveur. Et là nous ne comprenons plus rien à la chose, cette petite chose subtile, sournoise, pernicieuse, très importante qui nous fait perdre la manche et le match.

Le volley se joue sur les nerfs. Six tas de nerfs, gesticulants super excités, concentrés se voient tous d’un coup frustré par un point capital à un moment crucial.

On a beau se dire ‘…Bon, il a commis une erreur mais lorsque l’erreur se répète à des mêmes moments cruciaux, ce ne sont pas des erreurs mais des DELITS. Des délits qui frisaient l’assassinat purement et simplement, des délits qui, sous l’apparence tranquille des juges, prenaient la forme de meurtres. BEN YOUSSEF l’homme à la moustache et au regard sévère ne nous blairait pas d’où que souvent la FTVB le désignait comme arbitre lors des rencontres CSG. EST. Il était notre bête noire et nous étions ses bêtes noires à abattre. Ce monsieur a du subir un lavage de cerveau à tel point qu’il choisissait avec mépris les moments opportuns pour nous ‘briser ‘ le moral. Il y parvenait très bien.

Pour gagner, il fallait vraiment que les autres joueurs de l’équipe adverse soient manchots et encore. Même manchots et sans pieds nous n’étions pas surs de remporter un match contre L E.S.T.
Nous avons donc supposé et même plus que supposé, certains, que Mr H.B.Y était l’arbitre le plus favorable aux thèses espérantistes.
Bien avant lui d’autres mais plus subtils ont favorisé des équipes à notre détriment.

FIN.

Par Albert Abraham Breitou. Pour Harissa.com.

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