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La genèse du soleil pour Pessah 5769
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La genèse du soleil pour Pessah 5769 11 avril 2009, 01:30 |
La genèse du soleil pour Pessah 5769 - Par RAV MORDEKHAI BENSOUSSAN - Jerusalem Post en francais - 7 avril 2009
A savoir : La date de la tékoufa de Nissan, selon Shmouel, correspond toujours au mercredi 8 avril du calendrier grégorien, pour les 20e et 21e siècles.
Depuis la Création, il y eut 206 cycles solaires : nous inaugurerons cette année le 207e cycle solaire.
Ce début de cycle solaire n'intervint le 14 Nissan qu'à de très rares fois depuis la Création, dont la veille de la sortie d'Egypte, en l'an 2446. Ce qui laisse supposer que l'on doit s'attendre à une grande délivrance ...
Les femmes peuvent se joindre pour réciter cette bénédiction, bien qu'elles n'y soient pas tenues.
La bénédiction ne peut être récitée que pendant trois heures à compter du lever du soleil, qui aura lieu à 6h21. Au-delà de ce délai, l'on ne pourra pas réciter cette bénédiction avec l'invocation du Nom de Dieu. Quand on attend 28 ans, trois heures sont une toute petite fenêtre de temps que l'on ne doit pas manquer...
Nissan, le mois du printemps et de la célébration de Pessah, est assurément un mois riche en événements heureux. Le réveil admirable de la nature, marqué par le bourgeonnement et les frondaisons nouvelles des arbres fruitiers, nous permet de réciter cette très belle bénédiction des arbres, dite une seule fois dans l'année, au tout début de Nissan, devant un arbre en fleurs.
Mais il n'y a pas que sur terre, dans notre environnement naturel, que nous devons manifester notre admiration et notre gratitude envers le Créateur de la nature. Des événements exceptionnels se déroulent aussi bien au-dessus de nos têtes, là-haut dans l'espace sidéral, qui témoignent de la merveilleuse sagesse du Créateur de l'univers, et ces phénomènes se produisent aussi en Nissan.
Il s'agit de deux phénomènes astronomiques, le premier régulier avec la nouvelle lune et le second, exceptionnel : le nouveau cycle solaire. Ces deux grands astres, cités dans la Genèse, sont à l'honneur ce mois-ci, pour des raisons très différentes, il est vrai.
Le cycle long du soleil
Traditionnellement, nous bénissons la nouvelle lunaison tous les mois, au cours de la première décade, lorsque la lune entame un nouveau tour autour de la terre, qui durera 29 jours, 12 heures et 44 minutes (793 halakim dans le langage rabbinique).
Le cycle lunaire a été indiqué à Moïse, lorsqu'Israël était encore esclave en Egypte, et le mois de Nissan désigné par Dieu comme le premier mois de l'année hébraïque, pour ce qui est de la fixation des fêtes. (Exode,
12, 2)
La bénédiction de la lune aura donc une valeur double ce mois-ci : celle de la nouvelle apparition du satellite de la terre, dont le cycle est comparé au destin d'Israël (nous avons déjà expliqué la portée hautement symbolique de cet astre dans un article sur la parashat Bo), et celle de sa place première dans l'année hébraïque, place justifiée par l'événement phare de la sortie d'Egypte dans l'histoire d'Israël.
A présent, occupons-nous du soleil qui connaît lui aussi un cycle dit "cycle long" de 28 ans, par rapport au "cycle court" lunaire, d'une durée de 19 ans. Voici donc quelques explications données à la fois par le Talmud, dans les traités Berakhot 59B et Erouvine 26A, selon la théorie de Shmouel retenue par les sages, l'un des grands maîtres babyloniens du 3e siècle, connu également comme l'un des plus grands astronomes de son temps, et par des traités d'astronomie.
Tout d'abord, une explication préliminaire sera nécessaire pour la suite : la définition des tékoufot dans le calendrier hébraïque. Qu'est-ce qu'une tékoufa ?
C'est le moment précis où le cycle lunaire rencontre le cycle solaire au cours de l'année, c'est-à-dire concrètement, lorsque les plans de l'équateur cosmique recoupe le plan de l'inclinaison de l'axe de rotation de la terre, axe incliné à 23°27' : plan appelé écliptique.
Ces jonctions sont au nombre de quatre et correspondent exactement aux équinoxes de printemps et d'automne, les 20 mars et 23 septembre, puis aux solstices d'été et d'hiver, les 21 juin et 21 décembre. Entre ces moments, s'écoulent 13 semaines 7 heures et 30 minutes.
Les tékoufot coïncident avec les mois de Nissan, de Tamouz, de Tichri et de Tevet. Celle de Nissan, du printemps est la plus importante parce qu'elle sert de référence au calcul du cycle solaire, comme nous le verrons.
Il est important de préciser que les tékoufot sont calculées par rapport à l'heure de Jérusalem, c'est-à-dire en fonction de la position du soleil au-dessus de Jérusalem.
Les équinoxes de Nissan et de Tichri sont les périodes où il y a équivalence entre les heures de jour et de nuit, comme cela est expliqué souvent dans le Talmud, et où les heures dites zemaniyot - saisonnières - sont effectivement de soixante minutes.
Revenons à présent au cycle solaire.
Dans la Genèse, il est écrit que Dieu créa les grands luminaires le quatrième jour, puis Il les plaça pour éclairer, l'un pour éclairer pendant le jour et l'autre pour éclairer pendant la nuit (versets 4 et 5), apparemment déjà existants depuis le premier jour de la Création.
En même temps, Dieu créa les astres et les étoiles, ce qui désigne les mêmes corps célestes, selon la terminologie astrophysique d'aujourd'hui : "Il y eut un soir et il y eut un matin, quatrième jour" (Genèse, 1, 19).
Selon la théorie de Shmouel, cité ci-dessus, l'année solaire compte 365 jours et 6 heures, soit en semaines - puisque la Création se déroula sur une semaine en tant qu'unité de durée - 52 semaines 1 jour et 6 heures.
Lorsqu'on multiplie cet excédent d'1 jour par quatre ans, on obtient 5 jours ; l'on ne pourra obtenir un multiple de sept, une semaine, parfaitement rond qu'en multipliant cet excédent par 28 : on obtient alors 35 jours soit exactement 5 semaines.
Comme le point de départ est le mercredi - quatrième jour de la création- ce cycle de 28 ans sera bouclé obligatoirement un mercredi à 0 heure.
Révolution de Saturne tous les 28 ans
A ce moment-là, le soleil sera dans la même position que celle qui lui avait été assignée par Dieu lors de la Création. Cet instant n'arrive que dans la tékoufa de Nissan, ce qui fit dire à Rabbi Yéhochoua, lui aussi astronome savant, que le monde fut créé en Nissan (traité Roch Hachana 11A).
C'est cette place exacte retrouvée par rapport aux planètes qui gravitent autour du soleil que nous saluons en glorifiant Dieu "Créateur de la Genèse". Nous devons ajouter qu'à l'instant T où Dieu plaça le soleil à sa place dans le cosmos, Il plaça en même temps les planètes qui composent son système.
Or, ce moment-là intervint à la première heure du mercredi, c'est-à-dire au commencement de la première moitié de la nuit du mardi au mercredi, soit à 18 heures selon l'heure conventionnelle : c'est alors exactement que nous entrons dans un nouveau cycle du soleil et le matin de ce mercredi-là, au lever du soleil, nous nous réunissons nombreux pour réciter, face à l'astre montant, la bénédiction : "Béni Sois-Tu... Qui crées (l'œuvre) de la Création."
Rachi, dans son commentaire sur ce passage du Talmud, nous enseigne que l'influence dominante à cet instant, fut celle de Saturne (Chabtaï), étant donné que chaque nuit est sous l'influence d'une planète différente du système solaire.
Or, cette planète, parmi les plus grosses de notre système solaire, accomplit sa révolution autour du soleil en vingt-huit ans exactement, au terme desquels elle se retrouve également dans la même position par rapport au soleil, que celle qu'elle occupait lors de la Création.
Par cette bénédiction exceptionnelle, nous attestons que les cycles répétitifs des astres, et du soleil en l'occurrence, sont la preuve que Dieu a institué des lois cosmiques immuables et perpétuelles. Tous les astres obéissent très exactement à la Volonté du Très Haut, en accomplissant leurs mouvements cycliques selon les figures géométriques qui leur ont été assignées, sans faillir.
A savoir : La date de la tékoufa de Nissan, selon Shmouel, correspond toujours au mercredi 8 avril du calendrier grégorien, pour les 20e et 21e siècles.
Depuis la Création, il y eut 206 cycles solaires : nous inaugurerons cette année le 207e cycle solaire.
Ce début de cycle solaire n'intervint le 14 Nissan qu'à de très rares fois depuis la Création, dont la veille de la sortie d'Egypte, en l'an 2446. Ce qui laisse supposer que l'on doit s'attendre à une grande délivrance ...
Les femmes peuvent se joindre pour réciter cette bénédiction, bien qu'elles n'y soient pas tenues.
La bénédiction ne peut être récitée que pendant trois heures à compter du lever du soleil, qui aura lieu à 6h21. Au-delà de ce délai, l'on ne pourra pas réciter cette bénédiction avec l'invocation du Nom de Dieu. Quand on attend 28 ans, trois heures sont une toute petite fenêtre de temps que l'on ne doit pas manquer...
Nissan, le mois du printemps et de la célébration de Pessah, est assurément un mois riche en événements heureux. Le réveil admirable de la nature, marqué par le bourgeonnement et les frondaisons nouvelles des arbres fruitiers, nous permet de réciter cette très belle bénédiction des arbres, dite une seule fois dans l'année, au tout début de Nissan, devant un arbre en fleurs.
Mais il n'y a pas que sur terre, dans notre environnement naturel, que nous devons manifester notre admiration et notre gratitude envers le Créateur de la nature. Des événements exceptionnels se déroulent aussi bien au-dessus de nos têtes, là-haut dans l'espace sidéral, qui témoignent de la merveilleuse sagesse du Créateur de l'univers, et ces phénomènes se produisent aussi en Nissan.
Il s'agit de deux phénomènes astronomiques, le premier régulier avec la nouvelle lune et le second, exceptionnel : le nouveau cycle solaire. Ces deux grands astres, cités dans la Genèse, sont à l'honneur ce mois-ci, pour des raisons très différentes, il est vrai.
Le cycle long du soleil
Traditionnellement, nous bénissons la nouvelle lunaison tous les mois, au cours de la première décade, lorsque la lune entame un nouveau tour autour de la terre, qui durera 29 jours, 12 heures et 44 minutes (793 halakim dans le langage rabbinique).
Le cycle lunaire a été indiqué à Moïse, lorsqu'Israël était encore esclave en Egypte, et le mois de Nissan désigné par Dieu comme le premier mois de l'année hébraïque, pour ce qui est de la fixation des fêtes. (Exode,
12, 2)
La bénédiction de la lune aura donc une valeur double ce mois-ci : celle de la nouvelle apparition du satellite de la terre, dont le cycle est comparé au destin d'Israël (nous avons déjà expliqué la portée hautement symbolique de cet astre dans un article sur la parashat Bo), et celle de sa place première dans l'année hébraïque, place justifiée par l'événement phare de la sortie d'Egypte dans l'histoire d'Israël.
A présent, occupons-nous du soleil qui connaît lui aussi un cycle dit "cycle long" de 28 ans, par rapport au "cycle court" lunaire, d'une durée de 19 ans. Voici donc quelques explications données à la fois par le Talmud, dans les traités Berakhot 59B et Erouvine 26A, selon la théorie de Shmouel retenue par les sages, l'un des grands maîtres babyloniens du 3e siècle, connu également comme l'un des plus grands astronomes de son temps, et par des traités d'astronomie.
Tout d'abord, une explication préliminaire sera nécessaire pour la suite : la définition des tékoufot dans le calendrier hébraïque. Qu'est-ce qu'une tékoufa ?
C'est le moment précis où le cycle lunaire rencontre le cycle solaire au cours de l'année, c'est-à-dire concrètement, lorsque les plans de l'équateur cosmique recoupe le plan de l'inclinaison de l'axe de rotation de la terre, axe incliné à 23°27' : plan appelé écliptique.
Ces jonctions sont au nombre de quatre et correspondent exactement aux équinoxes de printemps et d'automne, les 20 mars et 23 septembre, puis aux solstices d'été et d'hiver, les 21 juin et 21 décembre. Entre ces moments, s'écoulent 13 semaines 7 heures et 30 minutes.
Les tékoufot coïncident avec les mois de Nissan, de Tamouz, de Tichri et de Tevet. Celle de Nissan, du printemps est la plus importante parce qu'elle sert de référence au calcul du cycle solaire, comme nous le verrons.
Il est important de préciser que les tékoufot sont calculées par rapport à l'heure de Jérusalem, c'est-à-dire en fonction de la position du soleil au-dessus de Jérusalem.
Les équinoxes de Nissan et de Tichri sont les périodes où il y a équivalence entre les heures de jour et de nuit, comme cela est expliqué souvent dans le Talmud, et où les heures dites zemaniyot - saisonnières - sont effectivement de soixante minutes.
Revenons à présent au cycle solaire.
Dans la Genèse, il est écrit que Dieu créa les grands luminaires le quatrième jour, puis Il les plaça pour éclairer, l'un pour éclairer pendant le jour et l'autre pour éclairer pendant la nuit (versets 4 et 5), apparemment déjà existants depuis le premier jour de la Création.
En même temps, Dieu créa les astres et les étoiles, ce qui désigne les mêmes corps célestes, selon la terminologie astrophysique d'aujourd'hui : "Il y eut un soir et il y eut un matin, quatrième jour" (Genèse, 1, 19).
Selon la théorie de Shmouel, cité ci-dessus, l'année solaire compte 365 jours et 6 heures, soit en semaines - puisque la Création se déroula sur une semaine en tant qu'unité de durée - 52 semaines 1 jour et 6 heures.
Lorsqu'on multiplie cet excédent d'1 jour par quatre ans, on obtient 5 jours ; l'on ne pourra obtenir un multiple de sept, une semaine, parfaitement rond qu'en multipliant cet excédent par 28 : on obtient alors 35 jours soit exactement 5 semaines.
Comme le point de départ est le mercredi - quatrième jour de la création- ce cycle de 28 ans sera bouclé obligatoirement un mercredi à 0 heure.
Révolution de Saturne tous les 28 ans
A ce moment-là, le soleil sera dans la même position que celle qui lui avait été assignée par Dieu lors de la Création. Cet instant n'arrive que dans la tékoufa de Nissan, ce qui fit dire à Rabbi Yéhochoua, lui aussi astronome savant, que le monde fut créé en Nissan (traité Roch Hachana 11A).
C'est cette place exacte retrouvée par rapport aux planètes qui gravitent autour du soleil que nous saluons en glorifiant Dieu "Créateur de la Genèse". Nous devons ajouter qu'à l'instant T où Dieu plaça le soleil à sa place dans le cosmos, Il plaça en même temps les planètes qui composent son système.
Or, ce moment-là intervint à la première heure du mercredi, c'est-à-dire au commencement de la première moitié de la nuit du mardi au mercredi, soit à 18 heures selon l'heure conventionnelle : c'est alors exactement que nous entrons dans un nouveau cycle du soleil et le matin de ce mercredi-là, au lever du soleil, nous nous réunissons nombreux pour réciter, face à l'astre montant, la bénédiction : "Béni Sois-Tu... Qui crées (l'œuvre) de la Création."
Rachi, dans son commentaire sur ce passage du Talmud, nous enseigne que l'influence dominante à cet instant, fut celle de Saturne (Chabtaï), étant donné que chaque nuit est sous l'influence d'une planète différente du système solaire.
Or, cette planète, parmi les plus grosses de notre système solaire, accomplit sa révolution autour du soleil en vingt-huit ans exactement, au terme desquels elle se retrouve également dans la même position par rapport au soleil, que celle qu'elle occupait lors de la Création.
Par cette bénédiction exceptionnelle, nous attestons que les cycles répétitifs des astres, et du soleil en l'occurrence, sont la preuve que Dieu a institué des lois cosmiques immuables et perpétuelles. Tous les astres obéissent très exactement à la Volonté du Très Haut, en accomplissant leurs mouvements cycliques selon les figures géométriques qui leur ont été assignées, sans faillir.
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Re: La genèse du soleil pour Pessah 5769 11 avril 2009, 01:34 |
Birkat Hahama : rendez-vous unique - Par AP ET JPOST.FR - 8 avril 2009
Plus de 50 000 personnes se sont rendues au Mur occidental de la Vieille Ville de Jérusalem, mercredi matin, afin de réciter le Birkat Hahama (bénédiction du soleil).
Le Mur occidental.
Cette prière très spéciale se récite, selon le Talmud, lorsque le soleil retrouve la même position qu'au moment de la Création. Un tel événement ne se produit qu'une fois tous les 28 ans.
Toutes les rues des alentours de la Vieille Ville ont été fermées pour l'occasion.
Dans des centaines de villes à travers le monde, des communautés juives ont prévu de se lever avant l'aube afin de procéder à la bénédiction. Dans la capitale néozélandaise de Wellington, le rabbin Haïm Dovrat a qualifié cet événement de "reconstitution du monde céleste au début de tous les temps".
A Manhattan (Etats-Unis), un rabbin devait diriger la prière près des locaux des Nations unies.
Par ailleurs, le mouvement Chabad-Loubavitch a prévu des retransmissions directes sur Internet depuis sept localités différentes, à partir de 8 heures du matin à Christchurch (Nouvelle Zélande), puis à Brisbane (Australie), Jérusalem, Londres, New York, Colorado Springs et Honolulu.
Plus de 50 000 personnes se sont rendues au Mur occidental de la Vieille Ville de Jérusalem, mercredi matin, afin de réciter le Birkat Hahama (bénédiction du soleil).
Le Mur occidental.
Cette prière très spéciale se récite, selon le Talmud, lorsque le soleil retrouve la même position qu'au moment de la Création. Un tel événement ne se produit qu'une fois tous les 28 ans.
Toutes les rues des alentours de la Vieille Ville ont été fermées pour l'occasion.
Dans des centaines de villes à travers le monde, des communautés juives ont prévu de se lever avant l'aube afin de procéder à la bénédiction. Dans la capitale néozélandaise de Wellington, le rabbin Haïm Dovrat a qualifié cet événement de "reconstitution du monde céleste au début de tous les temps".
A Manhattan (Etats-Unis), un rabbin devait diriger la prière près des locaux des Nations unies.
Par ailleurs, le mouvement Chabad-Loubavitch a prévu des retransmissions directes sur Internet depuis sept localités différentes, à partir de 8 heures du matin à Christchurch (Nouvelle Zélande), puis à Brisbane (Australie), Jérusalem, Londres, New York, Colorado Springs et Honolulu.
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Re: La genèse du soleil pour Pessah 5769 11 avril 2009, 08:52 |
Bénédiction sur Jérusalem - Par Pasteur Gérald FRUHINSHOLZ - Pour Shalom Israel - 10 avril 2009
« Ce mercredi-là (le 8 avril) à 5h30, je partis vers la Promenade appelée en hébreu Tayelet. De cet endroit, nous avons une superbe vision de la ville sainte, de Jérusalem et des collines environnantes. Pourquoi ce jour ?... Aujourd'hui est Birkat ha'hama, le jour de la « bénédiction du soleil » - c'est un jour très spécial, le recommencement du cycle solaire effectué tous les 28 ans. Nous savons que lors de la Création, en Genèse 1, c'était le 4e jour (mercredi), D.ieu « disposa » le soleil dans le ciel avec les étoiles formant notre firmament. Nous sommes donc un mercredi et le 14 nisan correspondant à la veille de Pessa'h commémorant la sortie du peuple hébreu de l'esclavage de l'Egypte ! Date mémorable pour le peuple juif et pour tous les croyants de la Bible. De plus, les spécialistes des calendriers et les Sages disent que cette année est la 12e et dernière fois que ce concours de circonstances est réuni... avant la venue du Messie.
Cela explique pourquoi il y a tant de monde sur la Tayelet en cette heure matinale : nous attendons tous la sortie du soleil de l'horizon pour prier le Créateur de l'univers, Le bénir pour cette merveille de la nature ; sans le soleil, il n'y a ni vie ni existence. En tant que croyant cependant, nous savons que la lumière préexistait au soleil. Le chef des chantres du roi David, Asaph, loue D.ieu dans le Psaume 74 : « A toi est le jour, à toi est la nuit ; Tu as créé la lumière et (puis) le soleil ». La présence de la lumière divine précède l'apparition de notre astre. Dans le récit de la Création, D.ieu dit : « Que la lumière soit... et la lumière fut ». Trois jours après, D.ieu fixa la position du soleil et de sa lune... Quel mystère ! N'est-il pas vrai que D.ieu et Sa lumière préexistent à la création ? Acceptable pour un croyant et difficile à croire pour un scientifique...
A 6h25, le soleil était au rendez-vous tandis que la pleine lune était cachée. Sortant de dessus les pins à notre droite, la boule de feu nous inonda de sa lumière. Ce 14 nisan, veille de la sortie d'Egypte, Jérusalem la ville de David, était irradiée comme elle l'est chaque jour depuis 3000 ans... »
Source : [campaign.constantcontact.com]
« Ce mercredi-là (le 8 avril) à 5h30, je partis vers la Promenade appelée en hébreu Tayelet. De cet endroit, nous avons une superbe vision de la ville sainte, de Jérusalem et des collines environnantes. Pourquoi ce jour ?... Aujourd'hui est Birkat ha'hama, le jour de la « bénédiction du soleil » - c'est un jour très spécial, le recommencement du cycle solaire effectué tous les 28 ans. Nous savons que lors de la Création, en Genèse 1, c'était le 4e jour (mercredi), D.ieu « disposa » le soleil dans le ciel avec les étoiles formant notre firmament. Nous sommes donc un mercredi et le 14 nisan correspondant à la veille de Pessa'h commémorant la sortie du peuple hébreu de l'esclavage de l'Egypte ! Date mémorable pour le peuple juif et pour tous les croyants de la Bible. De plus, les spécialistes des calendriers et les Sages disent que cette année est la 12e et dernière fois que ce concours de circonstances est réuni... avant la venue du Messie.
Cela explique pourquoi il y a tant de monde sur la Tayelet en cette heure matinale : nous attendons tous la sortie du soleil de l'horizon pour prier le Créateur de l'univers, Le bénir pour cette merveille de la nature ; sans le soleil, il n'y a ni vie ni existence. En tant que croyant cependant, nous savons que la lumière préexistait au soleil. Le chef des chantres du roi David, Asaph, loue D.ieu dans le Psaume 74 : « A toi est le jour, à toi est la nuit ; Tu as créé la lumière et (puis) le soleil ». La présence de la lumière divine précède l'apparition de notre astre. Dans le récit de la Création, D.ieu dit : « Que la lumière soit... et la lumière fut ». Trois jours après, D.ieu fixa la position du soleil et de sa lune... Quel mystère ! N'est-il pas vrai que D.ieu et Sa lumière préexistent à la création ? Acceptable pour un croyant et difficile à croire pour un scientifique...
A 6h25, le soleil était au rendez-vous tandis que la pleine lune était cachée. Sortant de dessus les pins à notre droite, la boule de feu nous inonda de sa lumière. Ce 14 nisan, veille de la sortie d'Egypte, Jérusalem la ville de David, était irradiée comme elle l'est chaque jour depuis 3000 ans... »
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