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LE PTB ET MOI.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI.
10 juin 2008, 10:03
Monsieur Breitou a 80 ans.
Sa femme 75 ans.

‘...Allo la SPAAAAAA... ?’
‘...Oui... !’
‘...Ici Madame Breitouille... !’
‘...Oui Madame... !’
‘...Voilà c’est au sujet de mon mari... ?’
‘...Que se passe t’il Madame... ?’
‘...Ben, il court derrière notre chien... !’
‘...Et alors.... ?’
‘...Ben, il a prit du viagra... !’
‘...Vous voulez dire que il veut... ?’
‘...Oui Madame... !’
‘...Passez le moi... !’

‘...AlloOOOO... ?’
‘...Monsieur Breitou, que comptez vous faire sur votre chien... ?’
‘...Rien madame, juste me soulager... !’
‘...Mais enfin soulagez vous tout seul... !’
‘...Il est si gentil et si aguichant... !’
‘...Mais enfin ce n’est pas une raison pour... !’
‘...il adore les caresses Madame... !’
‘...Monsieur Breitou je note et croyez moi, je vais en rendre compte à la police et à la Préfecture... !’
‘...Mais j’ai l’habitude avec lui, il ne dit jamais rien... !’
‘..Mais comment voulez vous qu’il vous le dise... ?’
‘...Je lis dans son regard, et croyez moi, il se soumet... !
‘...Combien de viagra avez-vous pris... ?’
'...4...!'

Sa femme...

‘...Madame, il a ouvert la cage aux serins... ?’
‘...Ah non pas les serins.... !’

Lui...

‘...Madame, juste pour que je sois serein, ils gazouillent même... !’
‘...Ecoutez, je vous sommes de laissez tranquille les sereins... !’
‘..Alors, je vais me rabattre sur le perroquet... !’On entend....’...AAAAAhhhh....J’aiIIIIme... ! AHHHHH...J’aIIIIIIIme... !’

‘...Vous l’entendez Madame, il est heureux... !’...Viens ma chatte, que je te fasse la bise ... !’
‘...Monsieur Breitou, j’alerte la police... ! N’aggravez pas votre cas... !’
‘...Le cacatoès est jaloux... !’

Madame Breutouille... ! Nous arrivons... !’

‘...Pourquoi faire... ?’
‘...Mais votre mari fait des choses ignobles à vos bêtes... !’
‘...Vous allez lui donner une FESSEE... ?’
‘...Non mais l’appréhender... !’
‘...MAIS C EST LAFESSE* MADAME... !’

*Humoriste connu dans la radio RIRES ET CHANSONS.
Sketch Inspiré.
Re: LE PTB ET MOI.
10 juin 2008, 10:37
AU PTB...

SUITE DES NOUVELLES ...

-RECIT POLICIER LA CREOLE.......CHAPITRE 11.
-RECIT POLICIER LE SINGE........SUITE ET FIN.
-ROMAN '...UN AMOUR DE HANDICAPE...!' LE 21° Chapitre.
-RECIT IMAGINAIRE '..RAHEM...!' CHAPITRE 5°

Dans les diverses salles nominatives.


Re: LE PTB ET MOI.
10 juin 2008, 11:50



LE CALEM ..POURIEN

Ils sont rares ici.
Mis à part un Tawfiq qui se fait rare, ou un Meyer plutôt attentif à mes délires, qui avons-nous comme ‘Calembourien’... ? Rien du tout. La question étant posée, elle ne trouvera pas de réponse ni aujourd’hui ni demain. Faute de participants actifs dans ce domaine, le ‘calembourien’, est celui qui tourne les mots pour en faire un usage humoristique à travers des phrases prises à la volée ou à travers des sketchs.Monsieur Raymond Devos, rendons lui hommage en était un. Un maître dans la rhétorique des mots inversés.

Le juif tune en est un s’il voulait se donner la peine de renouer avec son passé de grand ballouteur. Les sous entendus ne sont pas forcément blessants ou insultants. Ils peuvent être très plaisants si on y met une attention particulière. ‘Le calembourien’ travaille cette façon de détourner les mots pour s’attirer le rire si l’esprit de l’écoutant est agile pour en comprendre la tournure et le sens.

L’agilité de l’esprit est donc mise à contribution. Fort de cela, l’attention du spectateur doit être en éveil sinon il perd le fil du sujet.



HOMMAGE A RAYMOND DEVOS.

DANS SAVOIR CHOIR.
Re: LE PTB ET MOI.
10 juin 2008, 12:37
Si je passe d’un texte à l’autre ou d’un sujet à l’autre avec beaucoup d'aisance, c est bien sur pour diversifier le contenu
du PTB ET MOI.

Rester dans le même sujet ennui.

Donc, la diversification s’impose sinon la lassitude gagne. Or, lorsque lassitude gagne, le spectateur se détourne est va ailleurs. Il faut donc accrocher le spectateur ou le lecteur par des moyens plaisants.

Il faut donc renouveler le spectacle à chaque fois. Cela n’est pas aisé pour ceux qui n’ont pas l’habitude de ce genre d’exercice. Cet exercice de haute voltige sans filet donne à celui qui se lance dans cette aventure, le sentiment de toujours relever les défis qu’on lui impose.

Et les défis cela fait 6 ans que je les affronte seul et contre tous.
Sans être hautain ni imbu, aucun de tous les participants d’ici, à part un ou deux, ne peut prétendre concourir avec moi. La nature donne aux bienséants, la plume qu’il mérite.
Aux autres le stylo BIC baveux. La vérité étant MENSONGE chez moi, je laisse aux contributeurs du site, le soin d’apprécier en silence. Autant dire qu’il n’y a pas photos.

Comme on le dit chez nous ‘...I HABOU I GHATIOU AIN EL CHEMS BEL GHORBAL.. !’
Cacher les rayons du soleil avec un tamis. Un tamis harissien est un tamis qui ne filtre même pas un rayon de lune pâle par une nuit d’horreur.

La force du scribouillard dans ce domaine ardu lui permet toujours de capter l’attention du lecteur et surtout de lui faire comprendre le distinguo qu’il y a entre ce qui peut plaire et ne pas plaire. Surtout lorsque le conteur, le narrateur, le sketcheur etc...ou autre, par sa facilité d’imaginer, trouve toujours dans ses saines ressources un sujet qui n’est ni une histoire importée ni une copie d’un quelconque récit. Qu’il soit long ou court.

Un travail personnel qui trouve son essence première dans l’imagination.
L’imagination est un grand univers qui n’a pas de limites, ni de frontières.
Si vaste qu’elle permet aux gens de lettres de la creuser encore plus.
Du moins tant que son inspiration se renouvelle. IMAGINATION ET INSPIRATION vont de paires. L’une ne va pas sans l’autre. Je m’inspire, j’imagine, j’écris.

La sainte TRINITE se résume à cela en ce qui me concerne.

Aux autres la SAINTE GAFOUILLE OU NOTRE DAME DE LA CAFOUILLE.

Le travail du scribouillard consiste donc à ne pas imiter, à la rigueur s’inspirer.
En faire une affaire personnelle en y ajoutant qqs éléments de son crû pour relever la sauce.
Mais il y a sauces et sauces. Des sauces fades n’inspirent rien du tout. Et je me demande comment une certaine personne de haut niveau, de haut rang, un belle PLUME DE PAON, qui plus est de belle et haute lignée peut s’accoquiner avec des petites mannequins âgées qui, lorsqu’elles éternuent ne m’é branlent pas. A celle là, je lui propose de garder sa dignité, son sérieux, son statue car elle ébrèche sa noblesse. C’est un conseil fraternel. Sans commune mesure avec la JALOUSIE. Je suis certain qu’elle doit se sentir gênée dans ce CAFARD NIEUM NIEUM.Pourvu que je ne souléve pas de TSUN L'AMIE. smiling smiley smiling smiley smiling smiley
Re: LE PTB ET MOI.
10 juin 2008, 13:36
Re: LE PTB ET MOI.
10 juin 2008, 13:37
Re: LE PTB ET MOI.
11 juin 2008, 12:39


Rosa,
Il mio letto é con un ciélo blù.
Avicino di tè.
Rosa,
Mio farfallo si riposo
Dopo ha bévuto il nectar dél tuoi labbrè.
Avanti di aprire il tuo caldo nido.

Amore mio, mi cuore é aperto
Anche mio anima.
Entro quando voglio.
El paradiso é in mio corpo.
Sua dolcezza è come un fuoco
Che mai non si spégno.

Tanti bacci.
Re: LE PTB ET MOI.
11 juin 2008, 12:59
Du maître corbeau
Cher à la Fontaine.
Bravo, quelle veine.

Moi le nigaud
Mon cher chapeau.
Bravo, l’idiot.

Qen ye me qen...
Il était une fois.
Cé una volta.

Tous les contes d’enfants commencent ainsi.
C’est la formule classique qui annonce soit une tragédie, soir un drame, ou une nouvelle.

Les anciens conteurs, troubadours ou trouvères en ont fait un métier.
Car le conteur est un personnage qui distrait.
Qui fait rire ou pleurer selon la chronique qui relate.
Des gens du voyage, assez connus, qui allaient donc de villes en villes de châteaux en manoir, distraire sur les places leur narration aux villageois.
Ils étaient très appréciés et même souvent protégés par les seigneurs qui voyaient en eux des hommes ou des femmes porteurs du rire et de l’émotion.

Le conteur est un personnage en générale pacifique.


AU PARADIS DES DELICES.




‘....Ah ces coups de fil qui m’emmènent au paradis. Les coups de téléphone de maman sont exquis dans le combiné gris. Voilà le con débiIIIle qui retient son souffle, qui attend sa douche raclée de mots.

De sa voix fatiguée, elle me débite en deux parlers, qu’elle a besoin du con l’aîné que j’suis et l’écoute ‘...Bonjour Maman ‘ ‘...Dis moi toi qui remplace ton père comment se fait t’il que tu me laisse sans nouvelles... ?’’ Tu n’étais pas chez toi hier... !’ ‘ ..Tu as raison, j’étais chez le notaire... !’ ‘..Tu as encore changé tes chapitres... ?’ ‘ ...Arrête de faire le pitre... !’ ‘...Bon alors qu’est ce qu’il a encore ce matin... ?’ ‘...Men yaiche ââla ouldi, mokhi mche qif el msoqui* ‘...la mienne se nourrit de tes conneriIIIes... !’ ‘ ...J’ai le siphon de la cuisine bouché... ‘...Le mien cela fait trente ans qu’il est verrouUUUillé... !’ Et les égouts qui remontent vers le sol...!’ ‘...Peux tu venir me dépanner... ?’ ‘ ...J’apporte ma femme anglaise et j’arriIIIIve... !’ ‘ ...Mais qu’elle anglaise ye ouldi... ?’ ‘..Ma cle ma mère chérie.... !’ ‘ ...Ah bon tu m’as fais peur... !’ ‘...Ok, j’y serais demain... !’ ‘..Rabbi me yech’ouiqch** bla bla bla ye mon fiIIIIIls...!’ Me voilà donc chez elle accroupiIII, deux heures sous le charbon, l’anglaise dans ma main, l’évier qui fuit et les gouttes sur ma tronche de DUCON, glissent sur mes quatre tiIIIfs... !’
Et c’est la grande inondation qui dure depuis hier matin... ‘...La fuite vient du sol ma chère Maman, il faut appeler un plombier, j’en connais un à Plombières... !’
‘...En sala mei ha’lich fétèriyè... !*** Qu’elle me dit ma maman chérie ‘...Bara oftoOOOOOr ftourét****... !’ Le jeune plombier de plombières arriIIIve, il donne son devis avec le prix... ! ‘...Il faut tout casser... !’ Qu’il me dit devant ma mère ahurie, 800 euros pour les travaux... !’ Elle accepte son prix.
Je la regarde toute rosie,
Pas loin de la syncope sur son lit... !’
Enfin les travaux sont finis,
Elle paye l’apprenti... !’
‘...Elle me regarde avec des yeux marris tout en m’offrant un PARIS BREST, alors que je suis à L’Est, et puis elle me dit...’...Ehne ejjélè ou... !****’ Alors là j’ai compris, je prends mon chéquier et lui écrit la somme du prix qui a failli la tuer d’une apoplexie... !’ Elle m’embrasse et me dit ‘...Hajje kbira louqen khalest ââliyè... ? Enti él krah mta jouffi******...LiIIIIIIllIIII... !’


• * Que je parte en sacrifice pour toi ma cervelle est comme un ragoût de msoki.
• ** Que D ieu te garde tes enfants.
• *** Pourvu qu’il ne m’ouvre pas un chantier.
• **** Va déjeuner.
• ***** Moi je suis veuve et sans mari.
• ****** C’est un grand exploit si tu as payé pour ta vieille maman.. ? Tu es la merde que j’ai enfanté... !’
Re: LE PTB ET MOI.
12 juin 2008, 02:24
Re: LE PTB ET MOI.
12 juin 2008, 03:24








Par elle,
Jamais j’n’serai décoré
Par la médaille du mérite.

C’n’est pas mon facièEEEs
Qui est mis en causse
Mais mon droit d’ainesse.
Je suis pour elle son auge
Le grand qui reçoit ses mauvais MOTS.
Et son amour et ses invectives.
Rien que ses maux qu’elle m’envoie.

Ce n’est pas ma tronche
Qui est mise en cause
Encore moins ma caboche
Je suis sa sacoche dans lequel elle déverse
Ses confidences, ses acrimonies, ses bavures
Et tout le monde y passe avec pleins de ratures.

Nul à ses yeux n’est sans reproches
Aucun d’entre nous ne mérite un éloge.

Je suis sa jauge, ma burette qui cause,
Qui l’écoute alors que mes balloches
Tremblent sous les coups de ces taloches.
Elle me fout la pétoche lorsqu’elle cause
Elle m’envoie sur les roses si sur un de mes mots
Elle s’accroche.

Elle me dit qu’elle est sacrée
Elle qui est loin d’être sucrée
Et surtout bien égoïste.

Et moi qui suis son ainé
Je dois subir ses délires
A un âge où j’aspire
Trouver le repos
Dans ma vie.

Je n’sais pas si elle sera si longue
En attendant je ne mesure plus ma langue
Je me défends becs et ongles
Au point où ma glande
S’enraille à force de se fâcher.

Elle n’est jamais coupable
Et jamais contente du bien
Mais moi je suis innocent
J’ai accompli mon devoir envers elle et tous les miens
Je gère un gros souci bien plus énorme que le sien
Que faire dans ces cas là, la sourde oreille tiens tiens... !
Mais cependant,
Elle reste ma maman avec tous ses défauts
Qu’elle ne reconnaît point. Et tous ces mots.



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