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LE PTB ET MOI.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI.
14 juin 2008, 12:27
Madame Jacky,

Je ne crois pas au hasard.
Je ne crois pas à la coïncidence.

Je crois surtout en D ieu.
Je ne suis pas très très foi.
Mais je suis de bonne foi.

Vous avez signe aujourd’hui le PTB ET MOI
Par votre pseudo. Et D ieu a guidé vos doigts.
Vous parlez d’erreur ???? Vous êtes sorry ??? O My Good... !
Why misses JacquyYYY... ? Why...? I think that it is no a mistake…!’
To day is Shabath and I am me sorry to be no offred milk and cakes..!!

Votre entrée erreur est un plaisir, elle ne permet pas à tout le monde d’y mettre les pieds.
Je partage dés fois avec des amis et amies une répartie d’intelligence tant il est vrai
Aussi que je suis un solitaire qui navigue sur un grand océan dans un voilier fantôme.

Pour des raisons dont je suis seul dépositaire.
Il y aura toujours qq’un qui le fera pour me narguer mais vous savez...Pfffff...

La nuit, j’ai la tête dans les étoiles.
Le jour, je règle mes voiles.
Je ne perds jamais le nord.
Ne suis jamais à L’Ouest.
Je suis sous le zénith.
Toujours dans la lumière.
Et pas l’ombre d’un doute.


Ne vous inquiétez surtout pas,
Tout va bien ce passer pour vous.

Bien à vous.
Re: LE PTB ET MOI.
14 juin 2008, 15:02


LA MATENZA.


Elles ont quitté les quais
Bien avant le lever.
A l’aube, elles ont pris la mer.

Leurs flancs flirtent avec l’eau.
Elles épousent les blanches écumes.
Elles avancent vers le large.
Elles dansent sur les flots
Une valse ou un merveilleux tango.
Et sur les ponts, les matelots
Tanguent aussi ces matinaux.

La route est tracée par ces vieux sémaphores
Ces veilleurs danseurs qui les saluent par bâbord.
Qui les saluent par tribord sans jamais les trahir.

Elles, les balancelles guidées par le flambeau
De Sidi Bou ont franchi le Cap Bon.
L’ile Zembra affiche sa silhouette grise.
Elles sont dans les creux des ourlets,
Bravant le vent, les courants et les brises.
Et les bises.

A la ronde.
Les filets sont jetés.
Au loin,
Les gros poissons aux dos gris argentés
Ne se doutent pas des mailles enserrées
Qui vont dans un instant les emprisonner.

Les thons ne se font pas prier.
Par bancs dans le golf du Cap bon
Ils vont se faire piéger comme des larrons.

Les chasseurs aux aguets vont à la curée.
De leurs pics aux crochets acérés
Ils vont piquer et repiquer la marée.
Piégés, les thons balisés encerclés,
Ne vont plus échapper à ces enivrés.

Et la mer bleue a rougi.
Le sang pourpre a giclé
Des flancs gris, j’ai la nausée.
Et le thon qui pleure sur son agonie
Sur le pont de bois, il laissera sa vie.

Qui n’a vu un thon hurler à la mort
Pareille à celle d’un loup sans tors
N’a rien vu sur la mer des destins.
Sur les flots de ces matins de juin.



.
Re: LE PTB ET MOI.
14 juin 2008, 15:11
DANS RECETTES DE CUISINE '...BORJ BEL ACHEL..' De TATA ISHTIR.
Re: LE PTB ET MOI.
15 juin 2008, 10:52
INFORMATION:

HUILES EMPOISONNEES. LIRE L ARTICLE DANS LA RUBRIQUE RECETTES DE CUISINE.
Re: LE PTB ET MOI.
15 juin 2008, 12:18
JMEL.
CHAMEAU DU SAF SAF.

Pièces jointes:
chameau_002.gif
Re: LE PTB ET MOI.
15 juin 2008, 12:45
Mon petit garçonnet.
Viens, approche.
Que je pose ma joue sur ta joue.

Laisse-moi caresser
Tes longs cheveux blonds miel.
Admirer tes jolis yeux couleur ciel.

Petit, approche.
Que j’embaume mon cœur
Par ton doux parfum.
Tu sens le printemps.
Chéri.

Viens, donne moi ta main.
Marchons dans ton jardin.
Ne cours surtout pas mon petit nain.
Tu risques de tomber dans la broussaille.
J’en tremblerais.


Re: LE PTB ET MOI.
15 juin 2008, 13:03
Mes petits enfants, chéris,
Quand le temps aura passé...
................................................

Souvenez-vous de votre papi, de votre mamie,
Qui vous ont tant chanté et tant aimé.

Quand le temps se sera écoulé,
Et lorsque D ieu m’aura déposé,
Rappelez-vous mes petits, ce que j’ai tant composé.
Du n’importe quoi, sortis du cœur des airs innés.
Que je chantais pour mon plaisir.

Partout là où j’en avais envie.
A la gloire de vos prénoms.

Petits enfants chéris...
.............................................
Lorsque je serai parti.....
...............................................

Souvenez-vous de nous.
Nous, qui vous adulons.
Nous qui vous portons au-delà des nues.
Rappelez-vous combien nous vous avons tenu.
Sans retenue.


Re: LE PTB ET MOI.
16 juin 2008, 12:37
SCENES D 'AUTREFOIS DE MON PAYS



Certains objets d'époque, oubliés aujourd'hui, faisaient partie du décor dans nos anciennes chaumières.
Du 'Sakhane'*, de la 'batania de Gafsa'**, 'La Liffa ou Halfé'***, au canoun****



en passant par la gargoulette et son halleb*****,





il y a la Hssira.
Le Sakhane a disparu, le canoun

et suivants sont encore d'actualité chez nous là bas au pays du soleil.
Le canoun




sert toujours comme encensoir (brule parfums, encens)lors des fêtes , hénnè, circoncision etc....
Je veux parler surtout de la hssira, cette natte d'une surface raisonnable, faite de brins de jonc tressés de divers coloris représentant de jolies scènes ou des symboles.

Un célèbre café à SIDI BOU SAID porte l'enseigne 'CAFE DES NATTES
La plupart des mosquées en sont pourvues.
Elle était la rassembleuse des membres de famille surtout en été, dans les patios SKIFFAS,





où tout un chacun venait, soit en solitaire soit en groupe, à son tour se prélasser et palabrer, dos au mur, pour gouter avec dilettante aux saveurs d'un bon café turc ou d'un exquis thé à la menthe. Ou tout simplement s'allonger pour gouter aux charmes d'un sommeil réparateur.
La gargoulette et son halleb n'étaient pas loin.
Elle était respectée parce que le maitre de maison ne foulait jamais ce 'tatamis tunisien' avec ses chaussures. Le port des chaussettes étaient de rigueur. La jelabba blanche rehaussait aussi prestige. Je serais tenté de parler de cérémonial.
Je me souviens de mon papa qui, lorsque le soleil déclinait, étaler devant le seuil de notre ancienne maison à la Rue du Limousin, une grande hssira. Après avoir bien sur, arrosé comme il se doit, la partie du trottoir attenant à notre maison. Et cela dans le but avéré de stabiliser la poussière que le vent pourrait soulever. Et de rafraichir le macadam fumant.
Ensuite, il s'entourait de quelques pots de FeNJEL(Myrrhe)



ou de Basilic. Il portait aussi sur son chef, une belle chéchia rouge,





ce qui lui donnait un air de notable. La 'chicha' n'allait pas tarder à suivre. Il y mettait un soin particulier dans son assise.
Chaussé de babouches tunes, le bouquet de jasmin à la main, il prenait place sur un pouf pour apprécier ce THE ON THE CLOCK à la manière des anciens. Et nous n'étions pas loin, nous les jeunes adolescents qui respections son kif.

Les voisins s'invitaient souvent aussi autour de cette petite table basse en ces belles fins de journées d'été de mon pays.
Re: LE PTB ET MOI.
16 juin 2008, 13:19
POURQUOI UN ENFANT JUIF DE SEXE MASCULIN EST IL CIRCONCIS,






La circoncision , Loi Juive fondamentale prescrite dans la bible, exige que chaque fils issu d'une femme juive soit circoncis au huitième jour après sa naissance.
Le mot hébreu pour circoncision est "berith" qui veut dire "alliance". ceci se réfère au gage que D... a fait avec Abraham dans lequel il promit de bénir Abraham et de le rendre prospère si, en retour, il lui était fidèle(Marche devant Ma face et sois intègre).
Cette alliance a été inscrite et scellée par l'acte de la circoncision dénommée en hébreu "oth berith" un signe d'alliance.
La genèse a enregistré cet accord par ces paroles "vous retrancherez (circoncirez) la chair de votre excroissance(prépuce), et ce sera le symbole d'alliance entre Moi et vous. "Et le mâle incirconcis sera supprimé du sein de son peuple pour avoir violé mon alliance".
Le "MOHEL" n'est pas un Docteur en médecine.C'est un spécialiste entraîné qui a une grande expérience dans ce domaine.
Savez vous qu'en Angleterre, La Maison Royale a une tradition de longue date, qui exige que tous les garçons de descendance royale soient circoncis par le "Mohel juif" de Londres?.
Au moyen âge, en plus du père , du mohel et du sanedek, deux autres personnages étaient honorés en étant invités à la cérémonie. habituellement, c'était un couple(épouse et mari, frère et soeur) appelés le "kvater et la kvaterin", ils assistent le sanedek, sont en quelque sorte le parrain et la marraine du ciconcis.
Kvater composé de la lettre "caf" voulant dire comme et le mot "vater" voulant dire père en allemand.
La kvaterin pendant la cérémonie prend l'enfant des bras de sa mère, le passe au kvaterin qui le passe au père qui le tend au sanedek qui est assis sur un siège préparé pour lui.
Ces étapes sont faites afin que le père ne prenne pas l'enfant des bras de sa mère qui est alors "impure" depuis son accouchement.
A côté de l'endroit où est assis le sanedek, il y a un siège vide réservé au prophète ELIE qui assiste (spirituellement) à la berith et protège l'enfant pendant la "milah"

On entonnait alors "Elyaou Annabi, Elyaou Annabi"......
C'est ainsi que dans certaines synagogues orientales il y a souvent un siège en hauteur toujours vide.

T.I.
Re: LE PTB ET MOI.
17 juin 2008, 07:54
L'artiste a mis son point d'honneur à se produire à Tel-Aviv pour le soixantième anniversaire de l'État.



La tension monte d'un seul coup, quelques minutes avant l'entrée en scène. Patrick Bruel ne veut pas rater son premier concert en Israël. Dissimulé derrière le rideau des coulisses, l'acteur et chanteur français jauge nerveusement son public qui tarde à s'installer dans le stade de Raanana, banlieue chic de Tel-Aviv. Perfectionniste, Bruel craint d'avoir trop tiré sur ses cordes vocales lors des répétitions de l'après-midi et redoute de perdre la voix.



« Patriiiiick, Patriiiiick », scande la foule composée de Juifs d'origine française à 85 %. Les fans en folie se sont frayé un chemin jusqu'aux premiers rangs. Ainsi que quelques rares femmes religieuses coiffées de fichus et des garçons portant des kippas. Vêtu tout de noir jeans, bottes, chemise et veste , Bruel se propulse en scène et lance son tour de chant avec son tube Alors regarde. La lumière éclate. Le public, qui connaît les paroles par cœur, l'accompagne. Galvanisé, lui est radieux. « Ça n'a jamais commencé aussi fort », s'enthousiasme en coulisses son ami Drodro, moniteur de ski des stars à Courchevel.
Avant le spectacle, Bruel avait raconté au Figaro l'importance pour lui de se produire en Israël : « J'ai mis mon point d'honneur à venir chanter pour le soixantième anniversaire. D'autant plus que je suis né le même jour qu'Israël… à quelques années près. Malheureusement, toutes les salles étaient complètes le soir du 14 mai. J'ai une relation très forte avec Israël. Comme tous les Juifs de la diaspora, je suis attaché à son identité juive. » À la veille du concert, Bruel s'était plongé dans l'atmosphère en allant embrasser le mur des Lamentations dans la vieille ville de Jérusalem.
Il dit avoir été « élevé dans le respect des traditions juives, mais sans être très pratiquant ». Cependant, il avait avoué avoir encaissé une forte charge émotionnelle, comme à chacune de ses visites sur le premier lieu saint du judaïsme.
Le public est conquis
Homme de scène accompli, Bruel séduit son public en prononçant quelques phrases en hébreu. Il alterne tubes énergétiques et moments plus intimistes. Entre chaque morceau, il livre une anecdote, une confidence. Ainsi, avant d'entamer Élie, une chanson écrite après la mort de son grand-père, il raconte l'importance pour lui de la chanter en Israël, parce qu'elle évoque ses racines juives. Le public est conquis. Bruel enchaîne avec une chanson écrite après la chute du mur de Berlin. Quelques paroles, pour esquisser son engagement pour la paix : « Derrière le mur qui tombe, se cachent évidemment d'autres murs qui montent. Évidemment cette chanson a un double sens ici. » L'allusion à la barrière de séparation d'avec les Palestiniens, érigée par Israël pour se protéger des attentats suicides, tombe à plat. « Le message était trop complexe, mal formulé », reconnaîtra Bruel à l'issue du spectacle.
La veille dans les ruelles de la vieille ville de Jérusalem, accompagné de sa mère et de sa compagne, Céline, il s'était imprégné de la complexité du conflit entre Palestiniens et Israéliens. La fausse quiétude. Les senteurs entêtantes du souk arabe traversé par les religieux juifs. Les colonies juives disséminées dans le quartier musulman. Les jeunes soldats israéliens postés à chaque coin de rue, pour assurer la sécurité. « La paix passe par la création d'un État palestinien , commente Bruel. Il faut aussi une reconnaissance d'Israël par les pays arabes pour garantir sa sécurité et sa survie. Mon engagement ici est tourné vers la paix et le dialogue avec les Palestiniens. »
Plus rassembleur fut son Adieu, la chanson écrite par Bruel après les tueries du 11 Septembre et la vague meurtrière d'attentats suicides palestiniens, qui a accompagné la seconde Intifada. Il y évoque une tuerie à un arrêt de bus à Netanya, une ville côtière où vit une importante communauté juive venue de France. « Le sang se mélange à la terre… Adieu, si tu n'existes pas au moins fais-le savoir », chante Bruel. « The show must go on », tranche l'artiste avant d'enchaîner ses tubes et deux standards israéliens. On hurle Casser la voix. Brassé par la brise tiède de la Méditerranée, le Café des délices et ses accents orientaux mettent la foule en extase, la plongeant dans une communion de déhanchements chaloupés.
Bruel fait ses adieux aux 5 500 spectateurs après avoir allumé les bougies d'une pièce montée en l'honneur des 60 ans d'Israël et après une série d'« encore ». On s'apprête à éteindre la lumière. C'est alors que le public entonne la Hatikva. Touché dans la fibre de ses origines, l'artiste ne peut se retenir de revenir sur scène pour accompagner au piano les paroles de l'hymne israélien chanté par le public.

De ma correspondante en Israel. Noemi Haccoun.

ALORS REGARDE COMME C EST BEAU ISRAEL..



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