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LE PTB ET MOI.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI.
24 juin 2008, 03:41
MA PANSE DU JOUR.

'... Elle va bien sauf si je m'en sers modéremment..!'
Re: LE PTB ET MOI.
24 juin 2008, 08:36
YE HASSRA ...DU TEMPS OU ELLE ETAIT NETTE.




HLOU II.




Croyez-moi ce que je vous dis, elle m’aime d’un amour fou.

Elle n’en peut plus pour que LE MARBRIER lui parle mais hélas, je ne lui parlerais plus à cause de son grand défaut.

Elle n’est même pas capable de s’inventer une chanson qui me soulève une émotion qui me fasse couler qq chose.
Avant, elle m'emballait pour son look, aujourd'hui, elle n'emballe que des petits jouets.

DES MECANIQUES MANNEQUINS DE 65 ans REMONTES AVEC CLES.

Non, elle laisse aux autres la main mise de ce qu’elle a prétendu créer et lorsqu’on crée sans foi, sans passion, on crée la stérilité.

Tiens ce matin encore, je lui ai envoyé un bon baiser plein de salive.

Madame travaille selon ses caprices. L’heure du temps ne compte que si elle a une bonne commande de billets bidons.

Moi le HLOU II, je suis comme la crème chantilly qui rehausse la cerise sur le gâteau.

Oui, comme personne n’osera ici venir me contredire, je laisse libre cours à ce que j’ai de magnifique, de beau, de concret, de surnaturel, ce don d’ubiquité, oui d’ubiquité qui fait de moi le voyant du présent et du futur. Elle me languie comme pas possible, sans moi, elle n‘est rien. A moi seul, je suis tout.

Elle, elle a besoin de ce harem pour entretenir son machin.
Ce machin qui tomberait comme un soufflet si ces amazones d’un autre âge, sur les bouées, bronzées comme des vikings ne venaient pas à son secours. D’ailleurs, elles s’essoufflent.
Les échos qui me parviennent sont peu élogieux.


Vous ne savez pas ce qu’elle a fait...’...Ah puisque c’est comme cela, attend Sacripan... !’ Et vite vite mille textos sont partis comme des chaloupes PORTUGUAISES usées vers les mers étrangères, pour rapporter quoi... ? Des ‘colonnes’ (féminin de colon) Ahahahaha.... ! d’Inde et la bonne épice qui sent le renfermée, elle a sonné son grand cor au PIED et les voilà, les rameutées du BOUNTY mode expresso, celle d’Italie, celle d’Israël et de Perlinpinpin les Bains venir aborder, saborder notre bienheureux site qui coulait des jours heureux.

Même le Glibou, celle qui a besoin d’une canne, celle à qui je servais de canne est rentrée avec une fausse note. Attention l’écorce de ne pas te faire engloutir.

MOI ALBERT LE HLOU lorqu’on a gouté à ma crème on ne peut plus s’empêcher de ne pas la lécher.
Re: LE PTB ET MOI.
29 juin 2008, 02:31






Sur ma bécane,
Le vent au cul,
Le torse bombé
Je roule.
Je frime.

Sur l’asphalte lisse
Et sombre,
J’évite la maudite bande,
Je glisse.
Et sur mon parcours
J’écraAAAAse ces zones
D’ombres.

Sur mes deux roues,
J’accélère mon élan de relou.
J’ai mis les voiles et j’décolle vers les nuages.
Je suis dans l’ouate, dans les flocons sauvages
Des blancs d’œufs relevés en écume.



Libre dans mon ciel.
Chuchote le vent des beaux refrains
A mon oreille tendue,
Inédits bien rendus,
Je remonte meEEEs bretelles.

Bien loin de tout,
Je slalome d’entre ces p’tits chemins blAAAancs
Et sur ma tronche perlent les gouttes d’argent
Sur mon visaAAAge se coOOOllent,
A présent.

Bien loin de tous,
De la loi des MECHANTS,
Je plane haut en lâchant mon guidon.
Pleins de soupçons sont ces stratus varius
Ces cumulus aux desseins bien établis,
Ressemblent à des oies enfumées dans leur galaxie.




Et j’accélère,
Mon turbo s’enrhume,
Par mon pot ses nuages noirs, s’échappent
Et ces trainées m’obligent à fuir sous des chapeaux
D’ roues,
Et voilà mon ciel bleu qui vire à la couleur
Vieilles peaAAAux.


Re: LE PTB ET MOI.
29 juin 2008, 03:29
Je ne suis pas un super Jésus.
Pour pouvoir marcher sur un plan d’huile bénite,
Je ne mérite pas tant de mérites.
Il faut que j'fasse pleins de sacrifices.
Pour rassembler des adeptes de l'Isis.

Encore moins être un riche Crésus.
Je ne ressemble pas non plus à un Moise
Qui par miracle écarte les flots à sa guise.

Je ne revendique pas la place du Messie.
Ne porte pas sur mes bras l’enfant circoncis comme la Marie,
Je suis trop humble pour en faire partie.
Je suis tout simplement un homme
Qui marche les pieds sur terre
Avec la tête sur mes épaulettes.

Mes idées sont comme vapeurs chics.
Elles passent dans les tuyaux de mon alambiIIIc
Et coule alors le liquide, ce nectaAAAr
Fleuri.

Et j’imagine que tout un chacun, chacune,
Qu’ils ou qu'elles soient pions blancs noirs, balances pieux ou pervertis,
Sapristie,
Des femmes des hommes cons qui crient leurs conneries,
Des races - pie, d’espèces bénies,
Pisses au lit ou cacateuses averties,
Peuvent suivre mon conseil en dehors de leur sacristie
Pardi.

A priori
Pour user du ballon à combustion
Il faut savoir élever la pression dans certaines situations
Créer des idées nouvelles dans de bonnes conditions.
Il faut bien pomper avec le bouton
Et surtout savoir tenir ce machin avec raison.

Laissez mijoter la mixture sur un feu doux.
Ne pas mettre trop de mauvaises pensées,
Eviter les confusions sans trop saler les con tusions.
Attention aux alluvions, vous risquez la pendaison
Ou le bucher sans jugement ni condamnation.

Contrôler la chaleur sinon le fond prend feu.
Et vous partez en couilles, alambics ou bien biques.

‘....Quéquette Biquette...Biquette quéquette...§§§§§§
Vient voir si mes couilles jouent encore du trombone.
Debout sur mes hormones, je danse la carmagnole....§§§§§§
En claquant mes castagnettes au vent, j’ai perdu mon prépuce
En étant tout enfant, là je perds mes balloches, je me sens moche ,
Et depuis je pisse, moi le



sur tous les pissenlits
De l’arrière pays des FACTICES...§§§§... !’

Petite chanson grivoise pour me remettre dans le bain.

Je reprends.

Certaines vieilles alambiquées ne sont plus d’actualité.
Par leurs parois poreuses chuintent leur folie.
Par ces fentes coulent un breuvage au gout d’arsenic.
Surtout ne pas trop chauffer ces méninges acides.
Ces labyrinthes usés sont déjà encrassés,
Sinon adieu l’alambic et bonjour les dégâts.




‘....Quéquette Biquette...
Biquette quéquette...§§§§§§
Vient voir si mes couilles jouent encore du tromboOOOOne.
Debout sur mes hormoOOOnes, je danse la carmagnoOOOOle....§§§§§§
En claquant mes castagnettes au vent, j’ai perdu mon prépuce
Et depuis je pisse, comme Le sur tous les pissenlits
De l’arrière pays des Factices...§§§§... !’

Fin de ma petite chanson grivoise parce que je suis déjà dans le bain.

Re: LE PTB ET MOI.
29 juin 2008, 03:36
LA PANSE DU JOUR.


'...La pommade sent le renfermè...!'
Re: LE PTB ET MOI.
29 juin 2008, 03:49
'...Bonjour monsieur, est ce qu'il y a une créme pour protéger mmes tifs....?'
'...Oui, des PRESERVATIFS...!'
'...Ah, je ne connais pas, comment est ce qu'il faut l'appliquer...?'
'...Tifs pas tifs, vous enroulez chaque tif que vous pénetrez dedans..!'
'...Combien de temps, dois-je faire ce remède...?'
'...Tout dépends de la façon de l'introduction...! Il faut surtout pas être distrait, prenez votre temps...!'
'...Combien ca coute...?'
'...Pour Deux € vous avez onze piéces...!'
'...Ok, je prends...!'


Une semaine plus tard...

'...Monsieur, je ne sais comment vous remercier, ca a marchè mes tifs sont bien protègès regardez...!'

Et de me montrez sous son chapeau, onze préservatifs avec ses tifs dedans . Comme des rouleaux de coiffure.
Re: LE PTB ET MOI.
29 juin 2008, 08:51
chapeau! il a pris son temps avec les preserve hatifs.
on peut aussi s'en servir autre part, pour ne pas avoir de cheveux sur la langue.
Re: LE PTB ET MOI.
29 juin 2008, 11:49
Je trouve ce récit totalement raie-barbe-à tif, à couper les cheveux en quatre.
En linguistique on appelle ça une tetratrichotomie.
Re: LE PTB ET MOI.
29 juin 2008, 12:29
Meyer,

Tu voulais dire Theatrotrichotomie????

Tawfiq...! Lââziz, tu parles de tifs on.
Re: LE PTB ET MOI.
29 juin 2008, 12:40
MA BANDE.

Je suis au dernier rang, le second à gauche.
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