LE PTB ET MOI.

Nous voilà maintenant dans le SEXTRONIC's.
Dour dour kif el zarbout.I ferkah.

Merci mon cher et fidéle Meyer, très bon clip.

Bon, je prépare qqs chansons aux titres prometteurs.

'...Carcasse sonnée et peut être pour l'ambiance'...les Catins de Salonique...!'Et d'autres bien sûr.

Je sens que j'ai la pêche.

Les travaux de mon pavillon me prennent un temps fou.

Voici un modèle de pavillon.
Ca a du chien.

Meyer ta voix n'est pas tombèe dans le pavillon d'un sourd...

Voilà pour toi, O MEMBRE DE MA FAMILLE.


A quelle famille appartiens-je... ?
Celle des piments sous la neige... ?
Ou celle des cactus en Norvège...?

Point besoin d’accentuer sur la chose,
La famille d’ici est bien belle mais morose.
On oubli les promesses, le temps d’une pause.
Les bouquets de fleurs s’essaiment ailleurs.
Bon il faut savoir pardonner, c’est meilleur.

Ma famille la vraie est faite de roses.
Embaumées et de bourgeons bien éclos.
Membre solitaire, le CHOUCHOU de personne
D’ici oui j’en conviens, je suis le makoud brulé.
Un vieux makroud bronzé plein de dignité.

Meyer, Tawfiq, ye raqed, dormeur,

Vous connaissez la bonne nouvelle toute fraiche.... ?

Le LCLYONNAIS va mettre en place des distributeurs de pièces dans certaines rues dites pauvres. Pour ceux et celles qui n’ont pas trop de billets dans leur compte en banque. A partir du 1/01/2009.

Le LCL se fait fort de mettre, à la disposition de cette catégorie de gens, des timbales.
Meyer... ! Genre casino. On introduit la carte et là, tu as 100 € qui dévalent par tous les pores du distributeur. Et comme cela la personne rentre chez elle avec sa cassette pleine.

Qu’est ce que tu en penses de la nouvelle... ?

GERARD.





'...Je m’appelle GérarRRRRd,
Je suis un pauvre clochard,
Je suis loin d’être un richard.
Mais je ne suis jamais en retard,
Excusez-moi mesdames et messieurs
Je fais la manche sur les trottoirs aussi... !’

C’est la rengaine du soir au matin
De ce Gérard qui grommelle,
Lorsqu’il descend le malheureux,
Sans Euros.

Il parle seul à des assistants
Des voyageurs qui tout en lisant
Ne lorgne pas le gentil mendiant
Des temps modernes.

D’entre les allées, il mâchouille, tout en marmonnant
Des mots que seuls les imbéciles assis sur leurs trognons
Ignorent métro faisant.

Passe le Gérard,
Monte avec sa moulinette à chanson
Un autre débiteur de mots, à lunettes
Voilà qui moud ses notes par son clavier
De son vieil accordéon.

Une vieille mélodie, sortie de son juke-box,
Un air d’enfer qui n’est pas d’entrain
Et met à mal toutes ces oreilles lasses
Ce beau monde balloté dans ce train.

Passe le roumain,
Je suis arrivé au bout de mon chemin,
En laissant Gérard et tous ces cousins
Chanter la misère sur le même refrain.


Gérard ou Ebrar, tous des braillards
Me diriez-vous, mais il n’est pas rare,
De les trouver souvent allongés
Incognito sur un brancard plus tard,
Quand la chaleur se fait avaAAAAAre.

MON VIEUX MURIER CHANTE.



Il était....

Un célèEEEEbre murier
Du coté de la Rue de MarseiIIIlle
Dans ma chère GouleEEEEtte
A quelques coudées
De mon ancienne adresse.

§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Il était merveiIIIIlle.
Ce bel arbre aux feuilles verRRRRtes
Qui veille encore sur cette rue
De MarseiIIIIIIIlle....§§§§§§§§


CeEEEErtes sans doute vieuUUUUx maiIIIIs

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Ses fruits douUUUx
Venaient sucrer nos palais de gamins fouUUUs.

CeEEEs feuilles vertes et larges bien plus larges que ma mIIIain,
Nous cachaient des regards indiscrets et de tous les Malins.
Un abri comme il nous le fallAAAit...§§§§§

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Certes vieuUUUx
Mais ses belles mûres sucrées
Nous emballaient, nous enchantaient.

Si je pouvais le nommeEEEr
Je l’appellerai ‘...TOUTA* DU MOOOOOOOOOOOOOOOONDE... !
Car ses ‘toutas’ avaient la saveur des mots RUBIS.

Qu’importe sa vieiIIIllesse,

Qu’imporRRRRRRRRte sa vieiIIIllesse,
Il avaient tant de secrEEEEeets,
Qu’à ce jour jamais dévoilés par ses branches bien écartées.

Voilà que son souvenir endormIIIi se réveille
Et ma muUUUse avertie meEEE le rappelle...//////
A ma grise cerveEElle

Car même un vieil arRRRbre sénile
A l’écorce endurciIIe,
A la sève fragile mais qui le nourrit mérite respect
Pour tout ce qu'il nous a donné autrefois dans ma cité.
Et cela je n’ai pas oubliéEEE.
Encore...... Aujourd’huiIIIII...§§§§§

Encore aujourd’huiIIII,il vit là bas dans sa contrée,
Et je ne pense pas qu’il a OUBLIE ces enfants chéris
Bien haut perchés auUUUUtrefois
Sur sa haute ciIIIIIme bien née.


Un soir peut êEEEtre,

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Ou un matin funèEEEEbre,
On coupera sa têÊÊÊte, son tronc et tout le reste....
Mais ses racIIIines bien ancrées dans
La teEEErre, rappelleront aux vieux passants
Aux témoins du passé,
Qu’autrefois un bel ombrage subBBBsistait
Vivait car mêÊÊÊme mort un souvenir ne disparaît
JamAiiiiSSS.


Au gout des mots douUUUx,
L’allusion est parfaiIIIIte
Mais quiIII comprendraiIIIt un vieil muriIIer

Il n’a sans doute plus rien de sucréEEEe
Mais l’ombre à ses pieEEEds
Protège ces idéEEEes....§§§§§§

Mais l’ombre àAAA ses pieEEEEEds
Je suis bieEEEn navréEEE,

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
/////////////////////////////////////////////////

Le protège de toutes les mauvaises pensèes.




Au gout...... Des mots douUUUx............L’allusion est parfaiIIIIte
..........................Mais quiIII comprendraiIIIt un vieil muriIIer...............
.....................Il n’a sans doute plus rien de sucréEEEe............Mais l’ombre à ses pieEEEds
..................Protège ces idéEEEes....§§§§§§ ..................Mais l’ombre àAAA ses pieEEEEEds
Je suis bieEEEn navréEEE,

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
/////////////////////////////////////////////////

Le protège de toutes les mauvaises pensèeSSS...§§§§§§§.



* Mûrier en judéo arabe.

si j'ai bien compris tu joues ton code au distributeur et si tu gagnes les pieces tombent.une bonne idee qui vient surement de las vegas.
meme chose a marseille au casino las fougasse.

‘...Souvent ce que l'on écrit ne traduit pas exactement ce que l'on pense, et cela provoque des malentendus regrettables... !’

Cette phrase je l’ai écrite il y a bien longtemps dans l’ancien PTB.
Je sais qu’elle n’ait pas relevée mais reprise par un bon internaute.

Ce qui se dit ou s’écrit ne reflète pas la pensée.

A cela, il faut y voir une précipitation dans la réponse qui cause après coup
Un ou des malentendus.

Les paroles envers autrui comme le dit la maxime s’envolent et on peut toujours les nier par le mensonge. Surtout lorsqu’elles sont dites sans que témoin ne soit présent.

L’écriture par contre engage. Elle dérape parfois sans mauvaise intention.

Or, si cette l’écriture engage, dérape, elle donne aussi à celui qui l’écrit un trait de son caractère.
Bon, méchant, comédien, loufoque, hargneux débile, pervers, parano etc....

Donc, il faut, avant d’écrire prendre la précaution de réfléchir sinon on est bien vu ou mal vu par les propos mis en avant. Ce n’est pas bon.

Or, je suis bien placé pour savoir combien sont grands les dégâts que peuvent causer ces mauvaises interprétations. Et surtout combien de fâcheries et de fuites en avant causent ses échanges de propos que l’on dit injurieux ou acrimonieux. Nombre d’internautes d’ici pour la plupart amis ou amies, les considèrent comme mal à propos.

Offensants alors que, dans l’esprit de celui qui l’écrit d’une façon innocente, son intervention ne lui parait pas contraire aux bonnes régles élémentaires qui régissent le dialogue.

En principe du dialogue sort la lumière mais il faut reconnaître aussi que souvent
Il y a incompréhension.

Du coup personne n’ose plus s’aventurer dans une discussion qui, au départ n’ait qu’information ou état d’âme. Voilà qu’elle prend par la suite une autre mauvaise voie une autre dimension qui fait pâlir. Et rougir.

Lorsque dans un forum comme celui là où tout le monde ou presque se connaît, malgré les quelques dissensions et heurts en tout genre, des banalités surtout, pourquoi ne pas donner plus de souplesse aux réponses des propos des uns et des autres. .. ?

Les sujets fragiles et douloureux il est vrai, méritent respect et ne doivent pas déborder. Il suffit seulement de le faire remarquer avec intelligence et non pas avec des lancers de pierres.
La lapidation a vécu.

SPECTACLE DE RUE.


Sous le ciel de PariIIIs,


Les maraichers ambulaAAAAnts,
Ont dressé sur les trottoirs très tôt,
Des boulevards des Maréchaux, leurs tréteaux.

Vivants sont ces décors et tableaux.

Les bâches d’l’MairiIIIe
Les protègent des intempéEEEEEries.

Les calicoOOOts,
De vieilles ardoises noIIires
Frémissent sous le veEEEnt
Et les prix s’envolent.

C’est la criéEEEEe.

L’égyptien vante ses salaAAAAdes,
Vend sa vieille mévente de la veille,
Ses fruits d’saisons, sa raison de viIIIIvre.
Pastèques et melOOOons
Fraises, cerises raisins blaAAncs,
Ne sont pas aussi sucrés
Qu’il le préteEEEEEnd.

Le moyen français n’y est pluUUUs.
Ils s’interpellent dans un jargon farciIII
Plus ‘ arabica que francisque’, les pressentis.
Bien des clieEEEEnts
AUUUUUUUUUUux passaAAAAnts ne comprennent
Rien à ce parler de leur pays de cocAAAagne.
SauUUUUf..../////
Peu d'anciens et braves gens avertiIIIIs.

Bonjour les zoulous, nous voilàAAAAA.

AAAAAAAA..HHHHHHAAAAA...HHHHAAAaaaaaa..§§§§§§§§§

Deux passes partout
‘...Bonjour... !’ Et ‘...Merci... !’
Deux mots appris pour tout vocabulaiIIIIre
Sous les lampadaires aux oreilles cloOOOOses.....
OuIIIIIi,
C’est bien dans l’air du teEEEEmps,
On s’en fiche bonne mèEEEre.

...////////////////////

Le reste est sur la balance
Et l’addition toujours
Amére.

14 HEURES A L HORLOGE DE PARIS.....

Les maraichers ont lève leurs tréteaAAAAux.
Ils ont jeté leurs cageots et fardeaux
Dans les caniveaux et roulent la courgette,
Le persil, le radis, le fenouil et la bleEEEEEtte.
Tout est gâté, et passent les glaneurs....
Puis les éboueurs.....

De ParIIIIIIIIIIs.....§§§§§§§§§