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LE PTB ET MOI.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI.
27 juillet 2008, 10:40
LE COCHON.





Un grand cochon mal léché
Rentra dans la partie des biens élevés.
Lui qui est de la patrie des hommes
De bien avec réparties le voilà devenu damné.

Dans son enclos, il tendit son groin
Il flaira le bon air frais des recoins
Lui qui était si bien dans son coin.

Il prit à partie voisins et voisines
Lançant à tour de bras bois vert et coquelicots fanés.

Sur un Maître pacifique, il s’en prit.
Sans aucun respect pour sa robe
Il invectiva l’homme en noir,
Sans aucune grâce ni retenue.
Mal lui en prit

Il écuma la rubrique par ses fantaisies.
Il reçu de la part d’icelle et de celui
Quelques remontrances bien dites.

On se ligua contre lui et pour cause le cochon récalcitrant
Fut censuré par le grand cordon de la maison.

La ligue des bons vivants ne tolère point de mauvais mots
Car au dessus de tous soupçons, elle cache sous son jupon
Complots, plans et trames et clame haut les allusions.


Re: LE PTB ET MOI.
27 juillet 2008, 10:56
Est ce d'un cochon ou d'un porc que tu pale ici ?

Rien ne me fait plus plaisir, que de faire plaisir: signé Vivi il Diavolo
Re: LE PTB ET MOI.
27 juillet 2008, 11:00
MEYER tu n'as pas un autre âne que celui là.
Il est connu comme l'ane Appolo de la Goulette.
Ahahaha....

-Vivi un cochon c'est mignon mais un porc....Khit.
Re: LE PTB ET MOI.
27 juillet 2008, 11:05
J'ai aussi la bande de copains en excursion.
Re: LE PTB ET MOI.
27 juillet 2008, 11:08
Shnoua La Fontaine c'est inscrit sur le forum ?
Re: LE PTB ET MOI.
27 juillet 2008, 11:14
J’ai enfourché ma grosse cylindrée
Mes deux pieds bien calés sur les étriers,
J’ai démarré à fond la caisse,
Evité une grosse poubelle
Un gros tronc qui se trouvait là
Et me voilà sur la grande route.

Sur ma bécane
J’ai viré.
A droite à gauche.
Me suis retrouvé sur un sentier.
Vincennes à mon approche se découvrait.

J’ai callé mes deux roues sur la béquille
Oté mon grand casque couleur gris-ciel.

Déconnecté de presque tout,
J’ai rempli mes poumons d’une brassée d’air frais.
Enlacé un vieux gros tronc qui m’dominait
Respiré son écorce craquelée, bien à fond.

J’ai posé ma tête sur un oreiller de mousse
Fermé les yeux et m’ suis mis à fantasmer
Sur une belle et mince nana qui s’ refusait.
J’avais envie de la broder et même en rêve elle s’obstinait.

Laisse béton.

Un solitaire passant par là me coupe l’envie de piqueniquer
Au moment même où elle baissait sa petite culotte.
Il me demande une cigarette ce p’tit con de culotté.
Le sans gêne s’est permis de me tenir compagnie
Et de m’ raconter toute sa vie alors qu’il était midi.

J’ n’avais pas osé lui raconter tous mes soucis
Qui l’auraient retenus toute l’après midi.
Je lui offre toutes mes clopes sans envie
A condition de partir et de retrouver ainsi,
Enfin, ma jolie nana aux seins gonflés.


Dans mon délire, elle reparait
Bien en chaire et dévêtue.
Elle tenait son slip d’une main
Et son soutien de l’autre.

‘...Et si on reprenait... !’

J’ai foncé sur la belle.
Mon turbo à fond, plein régime,
Lui a défoncé sa p’tite corolle fleurie dans un rythme
D’enfer, mais dans ma course effrénée, la panne surprise.
J’ai calé au beau milieu de sa prairie,
Mon turbo à sec et sa chatte humide.

‘...Dommage... !’ Qu’elle me dit,
’...T’as un beau turbo mais il ne tient pas longtemps la route... !’

Laisse béton.


J’ai re-chevauché ma bécane.
Cachant mon visage sous le casque de la foutue honte.
Tout confus d’avoir manqué ma belle sortie de printemps.
A cause de mon con de PENIS récalcitrant.


Re: LE PTB ET MOI.
27 juillet 2008, 11:30
-Meyer...Ahahaha...C 'est l'enclos Breitouna et fils.Ca me rappelle bcp de choses.

-Vivi entre la Fontaine et Haim Houga. Ye baba.
Re: LE PTB ET MOI.
27 juillet 2008, 11:42






J'ai toujours préféré aux voisins mes voisines
Dont les très bons écrits pavoisent sur les volets
Je me suis attiré un désamour qui me mine
Où glissent en or et noir vos mots sur mes mollets.

De mon écran en face
J’caresse mon plexus qui s’glace
Et de ma belle place
J’béni le mandarin
Dont les stances vénitiens
Me découpent en tranches
Sa moindre revanche
Salivée.

J'ai toujours préféré aux voisins les voisines
J'ai toujours préféré aux voisins les voisines

J'ai toujours préféré aux voisins les voisines
Qui m’étrillent de leurs dents telles mes cousines
C’’est bien sur moi qu’on tance quand tourne la crécelle
Sans être nommé au grand bal des perruches en coton.

De ma fenêtre en face
J'caresse le plexiglas
Je maudis mes méninges
Inventeurs du sacrilège
Plus de lèche-vitrine
A ces cache-poitrines
Que je séchais

J'ai toujours préféré aux voisins les voisines
J'ai toujours préféré aux voisins les voisines

J'ai toujours préféré aux voisins les voisines
Qui vident leurs armoires sur ma tête dérision
Dans une heure environ, je choisirais le caleçon
Je l’enfilerais bien sur dans mon champ de vision.

De ma fenêtre en face
J'caresse le plexiglas
Concurrence déloyale
De mon chauffage central
Une buée dense
Interrompt ma transe
Puis des épais rideaux
Et c'est la goutte d'eau
Un raval'ment d'façade
Me cache la palissade
Ma maison de retraite
Construite devant ma f'nêtre
Sur un fil par centaines
Sèchent d'immenses gaines

J'ai toujours préféré aux voisins les voisines
J'ai toujours préféré aux voisins les voisines

J'ai toujours préféré aux voisins les voisines
J'ai toujours préféré aux voisins les voisines
J'ai toujours préféré aux voisins les voisines
J'ai toujours préféré aux voisins les voisines

Re: LE PTB ET MOI.
27 juillet 2008, 11:53
Moi aussi je préfère des voisines sans voisinsthe finger smiley
Re: LE PTB ET MOI.
27 juillet 2008, 12:00
Nous sommes faits du même arbre.

Vivi,tiens pour toi et tes fréres.

Il est un monde étraAAAnge.
Celui des rêves et des soOOOnges.

Chanté par mille et cents Mages,
Compositeurs et chansonniers
Et chasseurs d’images.

Par des riches, des indigents,
Misérables, parents et grands-parents.
Par tous ceux qui chaAAAntent...§§§§§
Ce parfait monde des enfants.


De quoi est t’il fait...???
Pour que nous soyons si emportes.
De presque rien, de gestes et mimiques,
De moues rires grimaces et de pleurs aussi.

Et nous voilà entraînés dans leur manéEEEge.
Nous revoilà les becqueter sur leur siége.
Changer leurs couches et chauffer leur biberon.
Nous sommes tombés dans le piége.
Ahh... ! Quelles jolies souriciéres, jugez en mes chers tendres.

Ah qu’ils sont jolis ces piéges dans lequel je me suis fourré
Avec délices et plaisirs sans jamais rechigner.

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