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LE PTB ET MOI.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI.
29 juillet 2008, 06:02



LA KAHTA.
L’Avidité.

Lampour le 12 Fluvior 985.

LA TOURTOURELLE ET L ERMITE POURANDI.

Cela se passe en Indes.


Conte.
Re: LE PTB ET MOI.
29 juillet 2008, 06:11




LA KAHTA.
L’Avidité.

Lampour le 12 Fluvior 985.

LA TOURTOUELLE ET L ERMITE POURANDI.

Cela se passe en Indes.

Un vieux chêne mille fois solitaire
Etendait ses branches séculaires.

A l’ombre de son grand feuillage
Vivait un vieil homme, un ermite
Du nom de Pourandi, en son gîte.
Retiré du monde depuis longtemps.

Las de cette vie monacale et sans sourires
Il demanda à D ieu de l’aider à s’en sortir.
Tant il est vrai que la misère qui dure
Ne peut s’éterniser dans vieille masure.
Indéfiniment.

Il ferma les yeux, tendit sa main ridée mais sans sous
Invoqua avec force et passion tous les D ieu indous.
Voilà qu’au bout de quelques minutes de gémissements
Il sentit sur la paume de sa main, le froid d’un ‘métalon’.

Il ouvrit les paupières et là, stupéfait, il reconnu une pièce d’or.
Il n’en croyait pas ses yeux. Il laissa sa main tendue dés lors
Et une seconde pièce d’or vint rejoindre la première.
Une troisième, et ainsi de suite une autre quatrième.

Un peu comme dans une machine à sous qui vomit sa belle tune.
En tout et pour tout cent pièces d’or reluisantes. Une fortune.

Il leva les yeux vers les branches et là, il vit un bel oiseau au plumage doré.
Une tourterelle envoyée surement par les D ieu pour combler ses souhaits
Bien au delà de ce qu’il espérait et rêvait. De cent mille courbettes, il se plia,
Bouffa de la terre fraiche, pour remercier son bienfaiteur providentiel Bouddha.

Notre ancien pauvre Pourandi était devenu immensément très riche.
Il quitta son abri de misére laissant sur la terre humide pois chiches
Haricots, fayots et fagots, paille ainsi que les restes de ces quiches.
Ses crottes séchés et pipis comme souvenirs.

Pour le moins que l’on puisse dire.

Sans perdre de temps,
Il se mit illico presto à la recherche d’un grand château convenable
Il n’eut aucune grande peine à en trouver un, au bord du Tage sacré.
Il s’acheta même un titre de Maharadja afin d’être plus présentable.

C’est le moins que l’on puisse faire.

Et voilà notre ancien misérable ermite devenu plein de charme
Riche et respectable, entouré d’eunuques et de jolies femmes.

N’oublions ce proverbe de nos mémés qui disait...

‘…El flouch i redou chéyeb arrouss...!’
La fortune rajeunit le vieux.

Une grande disette s’abattit sur le pays de Poundor.
Le bruit couru que les sacs de riz, de blé et d’avoine
Allaient s’épuiser et que la mort n’épargnerait personne.

Notre Pourandi, informé par la nouvelle, envoya à son lever,
A travers tout le pays, ses hommes de main pour s’accaparer
De toutes les provisions que le pays pouvait emmagasiner.
Tant et si bien qu’il s’appropria toute la nourriture essentielle à la survie
De nombreuses populations qui se mourraient lentement mais surement.

Il paya rubis sur ongles ces denrées essentielles à ses envies et à sa vie.

Il posta aux portes de ses greniers tout un régiment
Pour surveiller ses caves remplies à raz le bord.
Les matons en tout genre de service sont toujours des ‘beyouye.’
Des vendus. Qu’ils soient indiens ou HARISSIENS.

La situation empirait de jours et en jours dans tout le pays.
Même ses bons serviteurs ne trouvaient plus à se nourrir.
On lui fit part de la situation mais son cœur
Resta fermé comme une Pierre d’horreur.

Il n’y en avait que pour lui, et pour les autres, rien.
Pas même des miettes à renifler ou a regarder.
Les cris des femmes et des enfants mourants parvenant à ces oreilles
Par les fenêtres le laissaient de marbre noir. Indifférent à ses feuilles.

Arrive ce qui arrive.
Par la force des choses et ventre affamé n’a point d’oreilles,
Ces loyaux domestiques poussaient à bout, forcèrent les cadenas des greniers et se servirent
A son insu. La nouvelle parvient dans tous les villages environnants et sans rien demander
A personne, les habitants avec la complicité de la domesticité ne se génèrent à se servir
De la manne providentielle. Et toujours à l’insu du Maharadja de Lampour.

Tant et si bien qu’au bout de quelques semaines de vols et rapines
Notre riche seigneur se retrouva démuni de toutes ses provisions.
Son château fut même investi par les pauvres gens
Au point qu’il fut même chassé de la région pour cause de non générosité.
Et de non partage. Son mauvais cœur lui a été fatal.

Pour le moins que l’on puisse dire.

Il retourna donc sous son vieux chêne avec l’espoir de se refaire.
Malheureusement, quelqu’un d’autre l’avait remplacé par terre.
Profitant de la nuit, il égorgea l’intrus, le mal placé, par le fer.

Sa besogne terminée,
Et sans perdre de temps, il se mit en position de tailleur, referma les paupières
Et invoqua Bouddha avec beaucoup de lamentations et de larmes. Comme hier.

Au bout de quelques minutes d’invocations acharnées devant son petit temple
Il tendit la main, et là une matière chaude vient se poser sur sa ridée de tempe.
Puis, une seconde, une troisième, dix petites matières chaudes s’entassèrent les unes sur les autres.
Il ouvrit les yeux et surprise, la matière en question n’était en fait que de la crotte de tourterelle qui dégoulinait sur son front.
Il se leva tout en colère se saisit d’une pierre bien pointue....

‘...Ah c’est donc ainsi salaud de volatile fétide... ! Attends tu va voir... !’

Il lança la pierre vers le salaud de volatile fétide.

La pierre ricocha sur une branche et retour à l’envoyeur, elle vient s’incruster entre les deux yeux de l’ingrat.


Ainsi est le sort des ingrats, des avides et de tous les égoïstes teigneux.
Car faites du bien, vous recevez des pierres en cadeaux par des culs terreux.





Re: LE PTB ET MOI.
29 juillet 2008, 06:31
Il a bien eu ce qu'il mérite l'ingrat,D'ailleurs moi aussi.
j'ai bien aim' les vidéos, yerakum ya nsha t'tetaalmo stah comme ces jeunes filles.
S.T.P Albert traduis leurs çà je suis fatigué et j'écris les yeux fermés.




Rien ne me fait plus plaisir, que de faire plaisir: signé Vivi il Diavolo
Re: LE PTB ET MOI.
29 juillet 2008, 06:48
AHAHAHAHAH.....VIVI...OK....! QUE VOUS SOYEZ VOUS LES FEMMES GROUPER DANS UNE TERRASSE....! Moi je les vois plutot monter au pieu.

Qu'est ce que tu en penses...? Ye ââ zizi Vivi...!!!



Auteur: Camus (IP enregistrée)
Date: 28 July 2008, 17:23


Faites vos déclarations d'amour discrètement !



Et bien les femmes, comme nous ne pouvons pas enfanter nous-mêmes, nous avons besoin d’elles mais nous ne pourrons jamais leur faire admettre une faute, une erreur ou une culpabilité. Elles sont capables de nous donner l’impression d’être fautifs, d’un coup d’œil lancé de manière bien calculée. On n’apprend pas ça a l’école, c’est une valeur féminine, plus même, c’est presque de la poésie.



Comment faire vos déclarations d'amour ?

Faites vos premiers pas, en lisant

les instructions,

DNS LA SALLE... EN DIRECT CHEZ CAMUS
Re: LE PTB ET MOI.
29 juillet 2008, 06:56
Un tout petit passage de notre DIVIN CAMUS...Je suis mort de rire...!
Sar enti tkoss babouss lahnech btermeiq à ce que je vois..!
Tu coupes la queue du serpent avec la rainure de tes fesses.
Ca veut dire malin.

kliba Bouli brabi c est la progéniture de Boulali...?


J’essaie de l’éviter, sans succès, car le chien Bouli choisit le sens inverse que moi. Ca y est, la journée va y passer, j’ai justement des affaires à régler avec mon assureur et ma banque. Que faire ? Quand Léon Caméléon vous aborde, c’est pour le petit déjeuner, le café, l’assida aux harengs a midi, le thé a la menthe a deux heures et le deuxième café a 16 heures servi avec des petits fours. Bon ! Faisons bon cœur devant ce perd de temps et écoutons le...
Re: LE PTB ET MOI.
29 juillet 2008, 06:56
Non Breïtou j'ai du mal m'exprimé je voulais dire :
Vous les femmes je vous souhaites d'apprendre la danse comme ces jeunes filles<
Peut [etre fallait dire steh et pas stah ?

Re: LE PTB ET MOI.
29 juillet 2008, 07:03
AHAHAHAHAAHHA....STIH OU MOUCH STAH..YE FERTOUNTI...! C EST PAS GRAVE MAIS JE LES VOIS QUAND MEME FAIRE DE LA DANSE DU VENTRE SUR UNE TERRASSE...KHIR MEL KOL...EHDI...VAS Y CONTINUE...!
C est plus un souhait mais une BENEDICTION...lol.

LES OEUFS SONT BROUILLES...

Tiens je ne savais pas que Freddo était pince sans rire, ca tient de famille...

Freddy le sournois demande :
— Dis moi Léon, tu stoppes faire le plein a ta bicyclette ?
— Non, je ne fais pas le plein, je fais le vide.
Hatte ehne jeddah, en bei el rih el mreqeb...Je vends du vent au voiliers...!!!
Re: LE PTB ET MOI.
29 juillet 2008, 07:08
Tu veux qu'elles apprennent la danse...?
C 'est tout ce qu'il leur manque ourrass Vivi..!
Petits chaussons matinaux, gouneilla, fichus, à cotè des sritats, cordes à linge et moi et toi on leur joue du Chopin.
Camus bel zokra...!

Et si cela se trouve, un orchestre pas cher aouediya fi zok el bim.
Re: LE PTB ET MOI.
29 juillet 2008, 07:24
Tu vois Breïtou chez nous il n'y a que Camus qui est presque sérieux.
Merci d'avoir rappelé Bouli l'marhoum, mon très cher compagnon qui grâce a lui j'ai eu dex connaissances que je ne sais pas si je les aurais faites.
Il avait son zèle de s'arreter devant une belle dame qui ne pouvait ne pas le carresser et beaucoup de fois j'en tirais profit.
Je te présente Bouli, il mérite sa petite place au soleil.


Hélas il refuse de ce présenter.


Re: LE PTB ET MOI.
29 juillet 2008, 09:39
Ah donc Bouli jouait l'appat...!
Joli Joli..!
Tu vois tu n'as pas perdu au change.
Peut être que Camus a sa photo...!
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