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LE PTB ET MOI.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI.
07 décembre 2008, 05:12
Ok mais plutôt BOSSE ET SUE...FONT BOSSUET.
C'est bien qd même.
Re: LE PTB ET MOI.
07 décembre 2008, 05:57
On trouve aussi (Jules) Renard.

On aurait pu facilement intercaler La Fontaine, Malesherbes, La Bruyère, (Fabre d')Eglantine, Genêt.

En se limitant à des noms de plantes et de jardin.

Re: LE PTB ET MOI.
07 décembre 2008, 07:52
ou de station de métro c'est selon !!!!! jvous l'ai deja dit !! il ecrit dans les rames breitou !! ca doit l'inspirer sec !!!
Pièces jointes:
mdr1.gif
Re: LE PTB ET MOI.
07 décembre 2008, 09:06
Voici un texte bourré de noms célèbres, peintres, de personnes de l’histoire de France ou de monuments etc.... A vous de les découvrir, il y en 12.
Sachez cependant que si l'un ou l'une d’entre vous les trouve, je lui paye un resto chez GUI CHIE.

Or certains de ces noms sont juxtaposés avec un verbe ou un adverbe comprenez par là que MONTERLAND peut être entendu comme un MONTER LENTEMENT. Fiez vous à la sonorité.
A vous de jouer.


‘...La vie de château n’est pas une sinécure pour un jeune ADOLESCENT châtelain de mon âge.
Enfant, j’étais soumis aux bons vouloirs d’un percepteur, une dame du nom de MARGUERITE.
Très pointilleuse sur la pose des accents qu’ils soient graves ou aigues, ils étaient à mon humble avis qu’accents. ‘...Albert... !’ Me disait t’elle par sa voix fluette ‘...Fiez vous aux sons... !’ Je me méfiais plutôt d’elle, les accents ne m’ont jamais rien fait de méchant.
Sauf une fois, j’ai accentué une note grave de solfège alors qu’elle devait être soprane.

Elle me l’a pardonnée. La note depuis.

J’attendais la fin de cette heure calvaire pour rendre visite à mon papa, un fervent lecteur de l’histoire de France. Lui demander la permission d’aller rejoindre Arnold, le fils de notre cocher qui habitait dans la clairière. Une maison faites de bois, l’eau de pluie s’y infiltrait tellement à cette époque que mon papa lui construisit une autre mais en bâtit.

Arnold bien que mat mais mignon était un garçon hardi et surprenant, sans peur.
L’esprit vif, espiègle et farceur, il affrontait les dangers sans baisser les yeux.
Très habile pour sauter les haies avec un instrument qu’il avait baptisa ‘...Mon pic à sauts.. !’
Une lance assez robuste qui lui permettait de passer la courte muraille qui délimitait nos terres avec celles du voisin Monsieur Hortensia. Je l’accompagnais souvent en passant par un trou de lapin fait dans cette palissade, je n’osais emprunter le même outil que lui, de peur de me salir les habits. Et cela me gênait aussi. Une fois passés de l’autre coté de la frontière, Arnold se muait en voleur de couvés d’œufs de faisans de derrière ces murs vils. Vils parce que crasseux et herbeux. Par contre riche lieu où la verdure s’en donnait à cœur joie.
J’ai beau voir cet endroit mille et une fois et le parcourir avec mon ami que cela me semblait être toujours la première fois.

Je goutais à un moment de liberté, cette liberté que seule la nature nous l’offrait.

Les ronces artistiquement bien poussées par la nature, nous offraient un abri pour ne pas être aperçu par Monsieur le garde forestier Leninski. Un homme au ‘bras sens mauvais’ à cause d’une vieille blessure qui tardait à guérir mais qui s’infectait de temps en à autres.
Sa bru hier d’ailleurs, nous avait réprimandés pour l’avoir appelé haut et fort.

Depuis, nous avions cessé de l’interpeller ainsi. Mais il nous disait souvent ‘...Alors les petits toujours à ‘...Chopper un œuf... !’ Au lieu de chiper.

Un jour, alors que nous marchions sur le bord d’un chemin, un spectacle assez triste se présenta à nos yeux. Notre garde forestier, son fusil en bandoulière, était assis sur un tronc d’arbre. Il pleurait. Nous lui demandions bien sur la cause de ses pleurs et là ‘...Je voudrais qu’on m’enterre lentement... !’ Je n’osais lui dire qu’elle différence pouvait t’il y avoir entre un enterrement lent et un enterrement rapide... ?’ Ce à quoi, il me répondit avec des nœuds de sanglots dans la gorge ‘...C’est à cause de ma fille, je ne veux pas quitter la terre rapidement... !’ Nous étions Arnold et moi bien malheureux par cette confidence certes naïve mais Ô combien affligeante.

Ce qui arriva, arriva, et notre bon Monsieur Leninski trépassa. On fit venir un rab letton.

Il insistait à ce qu’il soit letton. Selon ses dernières volontès.

Pour ne pas l’enterrer rapidement, le rab multiplia les prières d’usage. Trois jours à bsal modier( sans les oignons) sans interruption. A la 72 iéme heure, une odeur cadavérique se fit sentir. On inhuma rapidement la dépouille avant que la maréchaussée n’intervienne.

Enfin, nous fumes dehors après le respect du au mort. Voilà que, alors que la bière était emportée sur les épaules, et qu’elle passa devant l'enclos à moutons, ils commencèrent à bêler en même temps.

Un dernier hommage sans doute que seuls les bêtes savent donner envers celui qui les traitait avec gentillesse et douceur... !’
Re: LE PTB ET MOI.
07 décembre 2008, 09:39
Demain la réponse.
Un dejeuner chez Guchi est offert à celui qui trouve le RAIE BUS.
Re: LE PTB ET MOI.
07 décembre 2008, 09:41
ok c'est parti !!!!
Pièces jointes:
boulot20.gif
Re: LE PTB ET MOI.
07 décembre 2008, 09:52
Avant ELSA, tu ne connaissais pas les Gifts à part les gifles que tu donnais virtuellement au salon, depuis que les maroccos sont entrées chez toi et sorties précipitemment et suzanne surtout, tu as appris à les faire, donc tu as copié leur façon de faire.
Dis le.
Re: LE PTB ET MOI.
07 décembre 2008, 10:19
yesssssssssssss j'adore les gifts, je ne m'en lasse pas ..
mais ce ne sont pas les marocottes qui mon tappris ....
cé zaza !! ma pote !!!


Pièces jointes:
chatelaine miss.gif
Re: LE PTB ET MOI.
07 décembre 2008, 10:30
breitou se cache !!!!!!
Pièces jointes:
devinette.jpg
Re: LE PTB ET MOI.
07 décembre 2008, 10:30
En tout cas celles des marocottes surtout celles de suzanne, sont trés bien, elles ont de la classe et surtout pleines de recherches.
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