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LE PTB ET MOI.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI.
08 décembre 2008, 11:32
club m'habel, presidence tournante et simultanee.tout le monde est elu d'office .
Re: LE PTB ET MOI.
08 décembre 2008, 11:47
Tu n'es pas égoïste, Toi Toufiq,

Tu es plutôt partageur comme garçon!
Re: LE PTB ET MOI.
08 décembre 2008, 11:49
Plus MABEL que moi y'a pas.
Re: LE PTB ET MOI.
08 décembre 2008, 11:51
et pour citer notre ami breitou !!!!

une maboulai pur lui c'est une NAKSSA !!!!

bon appet a tlm
Pièces jointes:
bonappetit30.jpg
Re: LE PTB ET MOI.
08 décembre 2008, 11:58
breitou a écrit:
-------------------------------------------------------
> Plus MABEL que moi y'a pas.

Tu as toujours raison
Re: LE PTB ET MOI.
08 décembre 2008, 12:14
LA REPONSE DES 12 NOMS CELEBRES CACHES DANS LE TEXTE.


‘...La vie de château n’est pas une sinécure pour un jeune châtelain de mon âge.
Enfant, j’étais soumis aux bons vouloirs d’un percepteur, une dame du nom de MARGUERITE. YOURCENAR.

Très pointilleuse sur la pose des accents qu’ils soient graves ou aigues, ils étaient à mon humble avis qu’accents. ‘...Albert... !’ Me disait t’elle par sa voix fluette ‘...Fiez vous aux sons... !’ Je me méfiais plutôt d’elle, les accents ne m’ont jamais rien fait de méchant.
Sauf une fois, j’ai accentué une note grave de solfèges alors qu’elle devait être soprane.
Elle me l’a pardonnée. La note depuis.

J’attendais la fin de cette heure calvaire pour rende visite à mon papa, un fervent de lecture de l’histoire de France. Lui demander la permission d’aller rejoindre Arnold, le fils de notre cocher qui habitait dans la clairière. Une maison faites de bois, l’eau de pluie s’y infiltrait tellement à cette époque que mon papa lui construisit une autre mais en bâtit.

Arnold bien que mat mais mignon(MATIGNON) était un garçon hardi et surprenant, sans peur.
L’esprit vif, espiègle et farceur, il affrontait les dangers sans baisser les yeux.

Très habile pour sauter les haies avec un instrument qu’il avait baptisa ‘...Mon pic à sauts.. !’ ¨(PICASSO')Une lance assez robuste qui lui permettait de passer la courte muraille qui délimitait nos terres avec celles du voisin Monsieur Hortensia. Je l’accompagnais souvent en passant par un trou fait dans cette palissade, je n’osais emprunter le même outil que lui, de peur de me salir les habits. Et cela me gênait (GENET) aussi. Une fois passés de l’autre coté de la frontière, Arnold se muait en voleur de couvés d’œufs de faisans de derrière ces murs vils 'COUVE DE MURVILLE'Vils parce que crasseux et herbeux. Par contre riche lieu où la verdure s’en donnait à cœur joie.

J’ai beau voir cet ( BEAUVOIR )endroit mille et une fois et le parcourir avec mon ami que cela me semblait être toujours la première fois.
Je goutais à un moment de liberté, cette liberté que seule la nature nous l’offre.

Les ronces artistiquement (RONSA ART)bien poussées par la nature, lui offraient un abri pour ne pas être aperçu par Monsieur le garde forestier Leninski. Un homme au ‘bras sens mauvais’( BRASSENS) à cause d’une vieille blessure qui tardait à guérir mais qui s’infectait de temps en à autres.

Sa bru hier (BRUYERE) d’ailleurs, nous avait réprimandés pour l’avoir appelé haut et fort.
Depuis, nous avions cessé de l’interpeller ainsi. Mais il nous disait souvent ‘...Alors les petits toujours à ‘...Chopper un œuf... !’( CHOPIN) Au lieu de chiper.

Un jour, alors que nous marchions sur le bord d’un chemin, un spectacle assez triste se présenta à nos yeux. Notre garde forestier, son fusil en bandoulière, était assis sur un tronc d’arbre. Il pleurait. Nous lui demandions bien sur la cause de ses pleurs et là ‘...Je voudrais qu’on m’enterre lentement ( MENTERLAND)... !’ Je n’osais lui dire qu’elle différence pouvait t’il y avoir entre un enterrement précipité et un enterrement rapide... ?’ Ce à quoi, il me répondit avec des nœuds de sanglots dans la gorge ‘...C’est à cause de ma fille, je ne veux pas quitte la terre rapidement... !’ Nous étions Arnold et moi bien malheureux par cette confidence certes naïve mais Ô combien su affligeante.

Ce qui arriva, arriva, et notre bon Monsieur Leninski trépassa. On fit venir un rab letton. (RABELAIS)
Il insistait à ce qu’il soit letton. Selon ses dernières volontès.
Pour ne pas l’enterrer rapidement, le rab multiplia les prières d’usage. Trois jours à bsal modier( sans les oignons) sans interruption. A la 72 iéme heure, une odeur cadavérique se fit sentir. On inhuma rapidement la dépouille avant que la maréchaussée n’intervienne.

Enfin, nous fumes dehors après le respect du au mort. Voilà que, alors que la bière était emportée, et qu’elle passa devant ses moutons, ils commencèrent à bêler (DU BELLAY) en même temps.
Un dernier hommage envers celui qui les traitait avec gentillesse et douceur... !’
Re: LE PTB ET MOI.
08 décembre 2008, 12:17
En attendant on rit bcp mieux avec les NAQSSIN qu'avec les MELIENIN.
Re: LE PTB ET MOI.
08 décembre 2008, 12:33
je suis tellement contente de t'avoir donné ttes les réponses des 12 noms célébres au fone !!

et merci pour le dejeuner chez Guichi !!!

ya plus ka fixer le jour !!!
Pièces jointes:
bebephone.gif
Re: LE PTB ET MOI.
08 décembre 2008, 12:52
UN PAPY RECOMPENSE S'ADRESSE AUX PAPIS ET AUX MAMIES.




Mon mardi midi sacré.


Ma déclaration.


Demain je lui dirai avec mes tripes.
Entre un joli coincement de frites
Par ses doigts effilés,
Et une gorgé de saveur coke,
Bien appropriée.
Je lui dirai.

Je le lui dirai fier comme un coq.
Combien je l’aime, oui elle.
Je vais me déclarer à la belle.

Mes gestes et mes cadeaux
Ne suffisent plus, je le dis.
A mes yeux, ils sont rikiki.

La parole s’entend. S’inscrit.
L’ouïe est plus réceptive.
Les caresses sont pour le corps.
Le regard est bon pour le décor.
Les déclarations d’affection sont pour les petits-enfants.

Donc, je lui dirai.

Demain et surtout pas après demain.
Le temps est traitre et déjà je voudrais être demain.
Si je pouvais sauter ce soir, je le sauterai pour y être
Déjà à midi. C’est fou ??? Non, c’est ouf.

Entre un pincement de frites
Et une dégustation de soda,
Je vais lui déclarer, sans même touche à mon poisson,
Ce que mon cœur va enfin lui dire en aparté. Ma passion/
Affection sans mâchouiller ma mie, ni grincer des dents.

Je veux qu’elle sache, avant ses 5 ans,
La vraie nature de mes sentiments.
L’amour d’un papy pour sa fifille.

J’en fais une affaire personnelle.
Oui, ma déclaration à ma Sharon.
Ma grande petit enfant.

Je le lui dirai.
Et demain je vous dirai
Ce qu’il en est.


Re: LE PTB ET MOI.
08 décembre 2008, 12:59
DE ELSA.

je suis tellement contente de t'avoir donné ttes les réponses des 12 noms célébres au fone !!

et merci pour le dejeuner chez Guichi !!!

ya plus ka fixer le jour !!!


Dis moi toi brabi il y a deux mois encore, tu m'ignorais totalement,
depuis que tes amies sont parties, voilà soudain qu' un regain d'attention se fait sentir, allaish brass omoq....?
Mhaba qwiya ehdi...?

Je crains que le JAZZ ne se fasse entendre.
Et puis yezzi mel gdeb. Tu n'as rien devinè.
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