AdoraAAAAbles Dames,
Au long couUUUUrs,
Votre charme
Se fait jouUUUUr.
Adorables DaAAAAAmes
Au long courRRRRRs
Vos joies imbibent mon quotidien
Votre charme m’envouUUUte
Du soir au MatiIIIIn.
MMMmmmm...//////
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Nobles DAAAAAAAMES
Au long COURRRRRs,
Sur vos courts, je courre sans lassituUUUUde
A la recherche de tous vos bons moOOOOOts.....
Adorables DAAAAAAMES,
Reines du parcourt des DaAAAAmes,
Je courre derrière vos bons propoOOOOOs...
AdoraAAAAAbles
Parmi les AdoraAAAAbles,
Moi, qui chantais bien seuUUUUl
Me voilà récompensé par un auditoire
Qui n’est pas des loiRRRRRs.
Aux autres les POIIIIIIIRES.... !!!!!!
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MERVEILLEUSES....
ALTEEEEEESSES..... !!
Par qui tout resplendiIIIIIt
Vos lumières garnissent
Agissent sur mes cordes qui chantent
Mes EnvieEEEEEEEs......
Mr Germain c est moi aussi.
Albert.
Jacquie Jacquie....QUELLE MERVEILLE...J ADORE.
Jano.
C est aussi Albert.
Madame Jacquie,j'ai abandonné toutes mes enquêtes pour vous lire et apprécier.
Div_Boulakia.
Albert. Aussi.
AU CABARET BRAHAM.
C’est vrai
J’étais bien seul loin de la fête
C’est vraiIIII...
C’est vrai j’étais dans le désert
Avec ma tête sans trop d’amies
C’est vrai.
Je vous regardais de mon stand chanter et danser
Et moi isolé dans ma caravane je vendais du vent
Aux perdus dans mes mirages...
C’est vrai
Quelques frères m’ont encouragés à continuer
C’est vrai...Ils me téléphonaient et me réconfortait,
C’est vrai....§§§§§
C’est vrai que ma confidente me soutenait
Quand les autres rigolaient de moi, c’est vrai...§§§
C’est vrai que je me morfondais dans mon petit coin
C’est vrai...
Mais ce qui est vrai aujourd’hui
C’est que j’ai des artistes aussi vrais que je suis vrai...§§§
Merci à celles qui enchantent mes décors bien faits
Car j’aime le beau et le vrai et pas les menteuses... !!!
C’est vrai....
Que je commence à m’emballer auprès d’elles
Oui c’est vrai....
Et je sens des ailes pousser à mes mollets...
§§§§§
C’est vrai
Mesdames je suis heureux de gagner tous les jours
Vos belles humeurs et des fois je me mets à rêver les yeux ouverts.
C’est vrai
Que vous êtes les plus belles artistes du monde
C’est vrai et comme le dit la Mistaguintt, ma meilleure amie
Que J'ADOOOORE me lit et elle en rit, c’est vrai parce que je suis aussi vrai qu’elle l’EST et que vous l’êtes Mesdames.....
C’est vrai.....
Moi je demande qu’on m’aime un peu.
Juste ce qu’il faut pour ne pas rougir par vos bises
Et surtout ne me laissez pas vos rouges sur mes joues
C’est vraiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII.....
§§§§§§§
BONSOIRRRRRRRRRRRRRR LE PTB
je viens de rentrer. malgre le beau temps il a fait quand meme
frais. une journee magnifique avec des amies, resto et shopping
ce soir c'est la finale de 'HA AH HAGADOL" (BIG BROGHER)
ne comptez pas sur moi jusqu'à minuit mdrrrrrrrrrrrrr
un petit cafe pour tous
bisous a+++++++
Jackye merveille!!!!décidemment Breitou n'est pas le seul!!!!!
---- Je vois que Breitou pour ne pas que vous soyez perdues va décliner tous ses pseudos et tbarkella il en a ......même qu'il en oublie
Il se bonifie le mec Rbi ystor ! =
Breitou tu connais pas le lien de ton NOUVEAU PTB !!!!ca alors !!!
Ben oui mon cher tu peux l'adooorer ta meilleure amie !!!!!et lui être reconnaissant !!!
Bon le voilà !allez voir les salles asseyez vous si ca vous plait , sinon zappez - personne ne le saura ! mais si c'est bien faut le dire aussi - voilà le lien -[harissa.com]
Paquita Merciiiiiiiiiii contre toute attente """il était là """" m'attendant au coin dla rue !!!!!et ca m'a fait bien plaisir, il sera là dit on demain et les jours suivants ........hourrra !
Nanouche et son Big Brothers !!!!!le LOFT Israélien et Ce Yossi Boubli va les rendre encore plus marteau que Loanna
Kiss à la ronde
à TTE
MAMILI MA MENEUSE DE REVUE.
Nul hommage pour elle, n'est vain.
Mamili.
Nul chant sorti de mon gosier
Que ce soit soir et matin,
Ne peut suffir à lui rendre grâce.
Elle est le bleu de mon amitié qui agace
Les grises cervelles bien nases.
R...DE PANAMA.
Elle portait très joliment ses 16 ans.
La R....De Panama.
Ainsi l’avait surnommée, notre belle plèbe goulettoise aux yeux avinés, plus portée sur la TFARRA (attouchements) que sur l’art en générale.
Le bon goût ne se jurait que devant une bouteille de bière Celtia ou de Boukha.
Par leurs haleines fétides et puantes.
Elle avait un très joli corps, bien que pauvre, comme quoi la pauvreté est tolérante mais pas certains hommes ou femmes qui nous dictent leur morale tout en chiant par -dessus.
De jolis yeux bleus pétillants, des joues roses naturellement, sans doute que l’air marin aimait
à maquiller nos belles filles bien sages le jour mais coquines à la nuit tombée.
Fille unique, née dans une impasse sans pavés, sans lumière certes pour laisser les ombres
viriles douteuses se faufiler dans les couloirs obscurs et cela pour mieux surprendre, à travers quelques volets mal fermés les intimités des couples innocents.
Pourquoi de Panama... ? Est-ce que parce que ce canal si lointain, ce chenal alors que nous avions deux, était beau... ? Qui draine ses grands navires aux cales et pontons surchargés, bien gris et qui passent et repassent sous des pavillons douteux pour vomir leur cargaison dans des ports miséreux... ? Je n’en sais rien. Elle a hérité de cela comme héritent les jeunes goulettois du surnom choisi selon leurs aptitudes. C'est-à-dire de rien.
La jeune tarentine, sans grandes études, bien naïve se plaisait à se promener sur nos maigres avenues et chétives rues, sur la plage à la belle saison sans aucune intention, et surtout sans prétention. Elle guettait seulement le prince charmant. Celui qui lui ouvrirait les portes du bonheur.
Elle se faisait aguicher souvent à cause de ses attraits qui le lui permettaient.
Les années passent et son esprit s’allégeait. A 25 ans.
Un âge tardif pour convoler. De flirts en flirts, elle titillait la malheureuse, sa chance. A la recherche de sa belle étoile.
Sa beauté était toujours là mais son esprit s’amenuisait.
On se moquait d’elle lorsqu’elle passait.
Enfin, un jeune homme, frigoriste de profession et réparateurs de radios à l’occasion, chômeur le plus souvent, fainéant bêtement, jette son dévolu sur elle.
Il l’épouse sans tambour ni trompette pas même sous le son du clairon.
Encore moins sous un coq rouillé d’un clocher.
Le couple élu domicile chez les beaux parents paternels.
Deux pièces vétustes bien nouées, une cuisine étriquée et des toilettes réduites à leurs simples expressions. Juste l’espace requis pour ne pas chier à coté.
Ajouter à cela, les pièces détachées qui jonchaient le sol et les armoires sans glace et vous comprendrez que la misère existait en ce temps là, pas si lointain, encore.
Sous le joug de la belle famille, elle s’en échappait pour gouter à la liberté, loin de la promiscuité.
Son esprit errait. Son mari plus occupé à trifouiller les ventres creux des radios et des frigos
n’avait d’yeux que pour eux mais pas un trop grand amour pour sa dulcinée. Il l’a délaissée.
Il pu cependant, entre deux réparations, l’engrosser tandis qu’elle perdait son joli titre de Panama. Elle avait acquit cependant, par chuchotements, la particule de R...De Panama La Folle.
On a le titre que l’on a par la cour des cons désignés lorsqu’ils s’emmerdent dans les bars.
Les mauvaises langues n’ont pas besoin d’être ivres aussi pour se faire distinguer.
Qqs mois plus tard, son ventre grossit sous les quolibets de ces mécréants qui doutaient du procréateur.
Elle disait qu’elle avait un garçon celle qui se le prédisait. Et elle semblait très heureuse à ceux qui compatissaient à son sort.
Un certain petit jour, alors que l’aube naissait, un hurlement de terreur dans la rue, fit sursauter les pigeons et les murs du quartier.
Là, sous ma fenêtre, adossée sur mon mur jaune pâle, La R...De Panama la Folle accoucha sans l’aide personne d’un garçon qui, malheureusement heurta sa tête à sa libération contre le mauvais trottoir et décède sous le coup fatal.
Les témoins, réveillés en sursaut, n’eurent pas le temps de réagir.
Une voiture de pompiers une demi heure plus tard, embarqua le petit inerte tandis qu’elle emmenait la pauvre femme toute tachée de sang.
Qqs jours plus tard, Rita apparaissait dans les rues.
Elle dorlotait un poupon dans la main.
Elle était fière de présenter son garçon de chiffon à toutes ces connaissances.
Elle avait aussi perdu ses surnoms.
Sans doute la raison.
Paris le 18/12/2008
MON SOUHAIT D ESPOIR.
Ecoute ma fille Doris,
Lorsqu’elle sera en âge de convoler,
N’attends pas d’elle de trop grands diplômes.
Qu’elle soit instruite certes, éveillée,
Mais dés que le premier bon et bien venu
Se présentera, un homme vrai honnête
Gentil, doux aimant et amoureux,
De bonne famille,
Avec ou sans trop de grandes fonctions
Donne-la-lui si elle est consentante.
Ta belle ainée.
Les trop grandes fortunes bâties
Va savoir comment,
N’ont, parfois, jamais rendues les couples heureux.
N’oublie surtout pas que l’homme possède sa fortune
Au talon de ses chaussures.
Et à la sueur de son front, son mérite n’en sera que plus grand.
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