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LE PTB ET MOI.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI.
16 décembre 2008, 09:52
Monologue.


‘...Depuis qqs temps, je suis pris d’une très grande envie.
Ni de pommes ni de chocolat, pas même de bsal ou loubia.
Oui, d’une grande émotion qui couvait sans doute dans mon inconscient.
Piégé par cette émotion je me suis allé à des confidences. A des sentiments.
Choses que j’use rarement.
Lorsque je monte auprès de ma femme, en général, nous zappons sur le film insipide que les chaines veulent bien nous ‘régaler’.
Depuis deux semaines, je monte prés d’elle et je lui dis des mots gentils, des câlins, dés bénédictions aussi qui, loin de la lasser, la surprennent.
Elle en rigole.
Je l’embrasse sur le front, je l’a fais rire par mes conneries, bref je deviens très touchant.
A la limite clown avec mes grimaces de jeune vieux qui n’a plus rien à perdre mais à donner
Bien plus de l’affection mais de l’amour aussi qui dure depuis le premier jour.
Ce soir encore je vais lui jouer le grand jeu.
Il tiendra la route, je vous assure.... !’
C'est pas beau ça
Ma chérie de Colomba..????

Re: LE PTB ET MOI.
16 décembre 2008, 10:07
SUITE DU RECIT...CHAPITRE 15 ET 16.


'...RENCONTRE D UN SECOND TYPE...!'

B.H.

Soyez à l'écoute.

Merci.


Re: LE PTB ET MOI.
16 décembre 2008, 10:33
Re: LE PTB ET MOI.
16 décembre 2008, 10:42
Commencé le 9/12/2008 PAGE 225 à 22 HEURES 10 ET 226 229 245 247


RENCONTRE D UN SECOND TYPE.




15°.

Nous prenons congés de Claudine avec sa promesse de nous informer de la suite des événements.

Deux jours plus tard, je prends rendez-vous avec un laboratoire spécialisé dans ce domaine. Conseillé par mon médecin traitant.
Deux semaines plus tard, j’étais fixé Je ne comprenais rien à tous ces chiffres.
Je postais dés le lendemain sur mon parcours habituel le pli à Claudine.

A présent je n’avais plus qu’à attendre son coup de fil, sans montrer trop d’impatience au regard de ma femme.

Elle devinait quand même cette dernière par le nombre de fois où je tournais en rond dans la maison à griller cigarette sur cigarette, jour après jour.
Au bout de trois semaines, je trouvais le temps long mais je ne voulais toujours pas précipiter les choses. Le devoir de réserve s’imposait.
Par contre, cela ne m’empêchait nullement d’aller surprendre Albert sur le lieu de son école, caché toujours derrière mon compagnon l’arbre qui commençait à porter sur son écorce l’empreinte de mon épaule. Je me sentais déjà parti prenant dans cette affaire et je voyais ce gamin comme ma moitié. D’autant plus que les confidences de sa maman me portaient à croire que tout devenait possible.

Les jours passaient et aucune nouvelles de Claudine. Mon impatience grandissait ainsi que mon angoisse. Je devenais fébrile, le moindre coup de téléphone me faisait sursauter et à chaque fois je disais ‘ C’est Claudine… !’ Mais en vain. Je n’avais qu’au bout du fil soit ma banquière soit le préposé à un service quelconque. La moindre sonnerie à la porte me faisait bondir de mon fauteuil alors que rien ne le justifiait puisque je devais apprendre la nouvelle par téléphone.

Trois mois sans nouvelles. Je trouvais le temps long et je me refusais d’appeler Claudine.
Je lui trouvais mille prétextes pour conforter ce manque de nouvelles qui devait être dû sûrement au temps qu’elle passait avec sa maman, à son travail bref aux soucis que peut avoir une maman veuve et sans beaucoup d’aide. D’un autre coté, je me disais que donner par téléphone un résultat ne prend pas plus que quelques minutes, quelques secondes en tout et pour tout.

Ma femme Mireille est grande observatrice. Elle lui suffisait de plonger son regard dans le mien pour comprendre mon désarroi. Elle me déshabillait des yeux de haut en bas.
Sans rien dire, elle me faisait comprendre que tout vient à point à qui sait attendre.
Mais attendre trois mois, ce n’est plus attendre, c’est un flagrant délit d’oubli. De ma paternité. De ma paternité ?? Pensais-je, étant convaincu à présent que Albert ne pouvait ne pas être le fruit de ‘mon amour virtuel’ d’avec Claudine.

Je planais dans le plus beau des nuages. Mes jambes dansaient sur du gazon nuageux.

Comme à mon habitude, je me rendais donc voir Albert à son école.
9 heures. Je suis adossé à mon arbre. Une clope aux bouts des lèvres.
Je faisais le pied de grue. Point de Albert ni de sa maman.
9 heures 30. Rien. Le lendemain, il en fut de même. Le surlendemain aussi.
Je paniquais. Je ne résistais pas à l’envie d’appeler enfin sa maman pour demander la raison des absences de ‘mon fils’. Je me l’appropriais. Par pudeur, j’y renonçais.

A suivre.



Re: LE PTB ET MOI.
16 décembre 2008, 10:53

16°.

Une semaine sans que Albert réapparaisse.
J’étais sur des charbons ardents. Je vivais une situation intenable, proche du désespoir.
Elle me déchirait les entrailles.
J’étais épuisé moralement et physiquement par cette nouvelle donne qui s’imposait à moi.
Que se passait t’il chez Claudine… ? Albert serait-t-il tombé malade sans que je le sache… ?
Claudine me cacherait t’elle quelque chose ou alors serait t’elle partie ailleurs… ? Les ADN ont t’elles parle et Claudine s’est t’elle désistée au dernier moment pour me les montrer… ?? Avait t’elle peur de quelque chose… ? Ou alors ou alors quoi ??? Hein Albert…. ? Je devenais fou par ses pensées qui me torturaient les méninges au point de ne plus pouvoir marcher.

Ma femme se rendait compte de mon état et ce qui arriva, arriva. Mon médecin traitant m’intima l’ordre de me reposer pendant quelque temps. De ne plus sortir surtout durant ces journées froides et neigeuses. Il me conseilla de prendre pour compagne une canne.

Marcher avec une canne. Une marche à trois temps. La canne en premier, puis le pied droit et enfin le troisième pour finir ma course de tortue.

Les moments de bonheur se comptent en dixième de seconde tout comme les jouissances.

Certains hommes utilisent des crèmes dites ‘Long Acte’ ou le Petit Chinois pour faire durer cette jouissance qu’ils désirent éternelles. Alors que la nature qui fait si bien les choses a jugé que ce laps de plaisir est conforme à chaque libido qui s’évalue en micro seconde, et qui doit surtout s’apprécier non pas dans la durée mais dans l’intensité. Afin de ne pas être trop rassasié.

Les meilleures choses doivent s’apprécier non pas en grande quantité mais en qualité.

Vers les 18 heures, alors que nous n’attendions personne, la sonnerie de la porte retentie.

Elle qui reste souvent muette là voilà claironner en cette fin de journée grise et morose. Elle revient à la vie par moment pour se faire oublier l’instant d’après. Comme un comateux qui sort par intermittence de son profond sommeil pour revenir sur terre le temps de dire ‘…Coucou, je suis là, j’apporte de bonnes nouvelles…Du ciel… !’

Je me levais péniblement de mon fauteuil. Avec ma compagne la canne ye bnina.
Mireille était dans sa cuisine à préparer le dîner.

Machinalement sans dire ‘…Qui c’est ??’ j’ouvre la porte.
Claudine et son fils Albert était là debout, devant moi sur le seuil de l’entrée.

J’ajustais mes binocles.

‘…Bonsoir Albert… !’
‘…Bonsoir Claudine… !’ Dis’je .

Elle était habillée de noir. Elle portait une paire de lunettes aux verres fumés.
Albert était en costume sombre. Un petit homme accompagnait sa maman.

‘…Rentrez… !’

Mireille était déjà là, devant moi.

A suivre.

Re: LE PTB ET MOI.
16 décembre 2008, 11:11
Le PTB a commencé le 16 au matin.
Se sont illustrés

-Jacquie par ses poémes.
-Brunette par ces beaux petits dejs.
-Mamili par sa faconde.
-Suzanne est au hamam.
-Par les présentations de Mon_Germain, Mr_Jano, Div_Boulakia
Et bien sur Breitou.
-Illustrations Madame BLeuet.

Merci Mesdames,
Merci Messsieurs
Pour l"interêt que vous portez au PTB.
L'unique vrai theâtre de la planéte.
Tous les autres prétendus theâtres ne sont que de pâles photocopies et de bien tristes marionnettes pour bébès..

Vive Vous.

Vivi est au PTB.

BONNE NUIT LEILA TOV.
Shallom.

Merci à lui.
Re: LE PTB ET MOI.
16 décembre 2008, 12:42
APPRENDRE

Pour apprendre quelque chose aux gens,

il faut melanger ce qu'ils connaissent avec ce qu'ils ignorent

Les erreurs sont les portes de la decouverte

Nulle pierre ne peut etre polie sans friction,
Nul homme ne peut parfaire son experience sans epreuve

La vraie faute est celle qu'on ne corrige pas

Le plus difficile n'est pas d'apprendre ce qu'on ne sait pas,
C'est d'apprendre ce qu'on sait

Ce qui s'apprend sans peine ne vaut rien et ne demeure pas

Il faut apprendre pour connaitre, connaitre pour comprendre
Et comprendre pour juger.





Re: LE PTB ET MOI.
16 décembre 2008, 13:10
bonsoir boulakia. tu vas bien? j'ai tant rigole et j'imagine la scene quand tu montes aupres de ta femme!!!! pourquoi? elle habite au 2 emme etage? hahaha ou c'est toi qui devient plus court?
tu la charries? pourquoi? tu veux du miel et l'abeille ne veut pas?lol.

ou sont mes chers copines?

jackye , asslama al ghzala de casablanca. nous sommes toutes de casa a part fanfan de rabat, la capitale.

mamili? ouinek?

Re: LE PTB ET MOI.
16 décembre 2008, 13:29
Bonsoir Mesdames, mesdemoiselles, Bonsoir messieurs ....

Je profite de l'entr'acte pour vous dire que, en effet la fille de la capitale c'est moi !!!!! hot smiley....... la seule ...... l'unique ...... alors s'il vous plait de la déférence à mon égard !!!!! smiling smiley

Oh .... ça sonne ........ le spectacle va reprendre .....je vous attends à la sortie .......... smiling smiley

fanfina ...

Pièces jointes:
bonnuit titi.gif
Re: LE PTB ET MOI.
16 décembre 2008, 13:36
oh ma fanfan ,j'etais inquiete de ne voir un message de toi.
mignon le titi qui dort.
oui prend place, breitou commence .oh ma fanfan ,j'etais inquiete de ne voir un message de toi.
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