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LE PTB ET MOI.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI.
17 décembre 2008, 11:45
Bonsoir mes amies,

Juste un petit strapontin et je vous laisse l'espace libre.

Je repertorie vos sorties matinales.

A toutes....
Re: LE PTB ET MOI.
17 décembre 2008, 12:17
Mes douces Nectars.


Mes Douces Nectars,
Je rêve bien tard.
Selon l’artiste Jacquie.

Suzanne, ma douce Absinthe,
A la langue de Miel sans feinte,
Liqueur des Rois Anciens
Impératrice des lieux tiens,
Merci mon intendante
D’avoir propagé la bonne parole
A tes sœurs aux ouïes intendantes.
Là en ce moment je caracole.

Ma chère Jacquie
Quelle grande voix 5X5
Au PTB qui se maintient.

Sublime poétesse, chaque jour, et soir
Tes sonnets, tes poèmes, tes proses,
Selon ton bon vouloir,
Chantent la morale aux sourds du quartier

ÔÔÔÔÔOOOOO MamiliIIII, HI HI HI
Notre chantre qui sans maladresse
Brode, tresse, tisse sa belle toile
Au fil d’or.
Règne sur ton domaine.
Les brosses à reluire n’ont qu’à bien se tenir


Atmosphère, AtmosphèEEEEEEre,
Brunette BruneEEEEEEtte à la fête,
Qu’elle soit toujours dans ta tête,
NanouUUUUche, tes coups de baguette magique
Tes pensées, tes maximes tes proverves
Chassent les mouches et les insectes antipathiques.
Par tes post généreux si moralistes, presque épiques
J’hume ce bon fumet de parole sympathique.
Et puis tes chauds croissants
Elève bien haut mon inspiration.

VIVE BRUNETTE....

Fanfinette, FanfineEEEEette,
Jeune damoiselle si frêle,
Si frais est ton pseudo Infante de ces lieux.
Participe à la fête et hausse le ton,
Nous vivons que du bon temps.
Loin du désert de Gobi.


ZazaAAAAA, ma ZazouneEEEEEtte
Mon amie retrouvée que je n’ai jamais perdue,
Les ponts du PTB te sont largement ouverts
Et à tes pieds, foule l’essence de Rose.
Le Sieur Jano, n’oublie pas,
Ses longues soirées si belles
Et si fraternelles su humaines
Du beau salon de mes dattes, ye hassra,
Où jamais tu ne m’as bannie. Là bas.

Mesdames, Messieurs, Mes sœurs,
Chères Prêtresses, merveilleux est votre labeur
Douces Dames, Fières et Généreuses,
Notre bon souverain Albert le beau,
Large d’esprit mais étriqué de la nénette,
S’évente à vos éventails, bienheureux.
Là en ce moment, il goute à vos calices
S’enivre d’absinthe et de la bonne liqueur.

De l’émotion, de l’émotion et du rire.
Telle est la devise du PTB, votre royaume.
Notre Jérusalem céleste sur Terre.




Re: LE PTB ET MOI.
17 décembre 2008, 12:35
Suite du récit

'...RENCONTRE D'UN SECOND TYPE...!'


Tout à l'heure.
Re: LE PTB ET MOI.
17 décembre 2008, 12:49
Commencé le 9/12/2008 PAGE 225 à 22 HEURES 10 ET 226 229 245 247 254

17°.

‘…Bonjour Claudine… ! Albert, bonjour… !’

Le jeune baissa les yeux.

Nous échangeâmes ce qui est devenu si banale, des bisous de part et d’autres.

Claudine et Albert junior furent invités à s’asseoir sur le grand fauteuil.
Ma femme et moi prenons place en face.

‘…J’ai perdu maman… ! Il y a trois mois… !’ Nous dit t’elle de sa voix triste.

Nous étions confondus par la nouvelle. Nous lui présentons nos condoléances les plus attristées. Mireille se pressa pour servir des sodas et de l’eau minérale. Un trio de tasse de café suivait.

Une tristesse infinie se lisait sur son visage et la clarté du jour diminua comme par enchantement comme si le temps voulait aussi s’habiller de noir, plongeant le salon dans une semi obscurité.
Elle était accablée. Mais son beau visage ne trahissait aucune émotion comme si elle voulait garder intacte l’atmosphère paisible de notre appartement.

‘…Il n’y a pas que les mauvaises nouvelles, il y a aussi de bonnes nouvelles… !’
Je viens vous informer que les tests d’ADN sont en tou points pareils avec ceux Albert… ! Albert, vos analyses concordent avec celles de mon fils… !’

Du coup, l’obscurité s’effaça pour laisser place à un grand rayonnement dans ma tête.
Illuminant l’endroit de mille petites lumières.

‘…Tu veux dire que Albert est une partie de moi ???’
‘…Oui ton fils aussi … ! Conçu par un sperme d’un donneur inconnu mais connu à présent… ! La probabilité était de une chance sur 12 milliards d’individus… !’
'...Mon sperme congelé est donc passé par-dessus la tête d'autant de milliards d’hommes. Ou plus. Quel bonheur. Un ventre étranger a eu le suprême honneur de féconder une femme veuve avec mon consentement. A Paris en plus à quelques lieux de chez moi....!'


Mireille, ma femme laissa, couler une larme sur sa joue qu’elle essuya avec son tablier de cuisine.

‘…J’ai avoue à Albert ce qu’il ignorait et il a compris. Il m’a fallu du temps pour le mette en condition d’où mon silence… ! Il m’a fallu aussi avoir recours à un psychologue pour m’aider dans cette tache… !’ Claudine.

Ces mots résonnèrent dans le salon comme un jet de feux d’artifice qui illumine le ciel.

Albert avait à présent deux familles. Un père, une maman et une mère adoptive..
Des oncles et des tantes multipliés par deux.
J’avais un fils à présent. Nous qui n’avions rien. Sauf des biens.

Quelques années plus tard, Albert entra dans sa majorité.

A suivre.


Re: LE PTB ET MOI.
17 décembre 2008, 12:59
18°.

Sa bar mitsvat fut splendide. Dans le plus beau salon parisien entouré par tous ses proches.

J’avais 67 ans.

Quelques années plus tard, Albert se marie à 25 ans.

J’avais 78ans.

Trois enfants naissent, chez le couple Albert junior, Claude le prénom du défunt époux
Emma pour la cadette et Nathan pour le dernier.

Dans mon testament lu en accord et en présence de Claudine, Mireille, Albert et sa femme Carole, il était stipulé que tous mes biens devaient être partagés pour 1/3 à Mireille, 1/3 à Claudine et le reste à mon fils Albert pour les biens immobiliers. Mes petites enfants hériteraient proportionnellement de tous mes portefeuilles.

Claudine…

‘…Albert s’envola au paradis à l’age de 109 ans rejoindre mon Claude.
Il était entouré de tous ses petites et arrières petits enfants. A sa mort, Mireille et moi avons convenu de vivre ensemble dans un grand pavillon du coté de Versailles, là où Albert, mon fils et sa femme vivaient.
Mireille s’est éteinte à 89 ans et moi j’ai vécu seule dans ce grand standing, passant le restant de mon temps auprès de mes enfants et petits-enfants… !’ Allumant tous les vendredi trois veilleuses… !’

Fin.


Au prochain récit.

LE RECIT PASSE AUSSI DANS LA SALLE LALA. EN ENTIER.
POUR CEUX QUI AURAIENT RATE DES EPISODES.

Re: LE PTB ET MOI.
17 décembre 2008, 13:18
CHER BREITOU

merci egalement pour ton beau recit

les amis je vous souhaite une excellente nuit

a demain si dieu veut
Re: LE PTB ET MOI.
17 décembre 2008, 13:21
Le sommeil est le fleuve souverain de la vie et le rêve ses alluvions !

Pierre Billon




Re: LE PTB ET MOI.
17 décembre 2008, 13:31
Belle fin pour ce trés émouvant


récit !

alors les nana's contentes?? le Breitou vous couvrent de fleurs!!!!


Nanouche file moi tes gifs ou je viens à rishon les voler !!!!j'en suis capable tu sais !!!!yatik darba ya ghleda!










BONNE SOIREE


Re: LE PTB ET MOI.
17 décembre 2008, 13:32
Il fallait lire...


Atmosphère, AtmosphèEEEEEEre,
Brunette BruneEEEEEEtte à la fête,
Qu’elle soit toujours dans ta tête,
NanouUUUUche, tes coups de baguette magique
Tes pensées, tes maximes tes proverBes
Chassent les mouches et les insectes antipathiques.
Par tes post généreux si moralistes, presque épiques
J’hume ce bon fumet de paroleS sympathiqueS.
Et puis tes chauds croissants.

Elève toujours bien haut mon inspiration.





Je tape souvent directement sur l'écran.
Il doit y en avoir d'autres de fautes mais bon.
Ca se comprend qd même.
Re: LE PTB ET MOI.
17 décembre 2008, 13:40
Connaissez-vous le HARKI...???? NON....?

Et bien vous allez le connaitre dans le prochain récit..

'...LE HARKI...BOUZID...!'




Albert Siméoni.

Paris le 19/08/2004

Lancement...

Les évènements narrés dans cette nouvelle ne sont que pure imagination et ne constitue en cas un plagiat de quelques œuvres connues.

Récit policier.

Inédit. Pour Harissa.com.

LE HARKI.


'...Il posa sa valise sur le trottoir, se retourna et jeta un dernier coup d’œil sur ses amis accrochés aux barreaux de leur prison qui le regardaient partir. Celle qui fut son toit durant plus de 25 ans.
Depuis ce triste jour où il avait franchi cette grande porte de la prison de la ‘Bonne santé’ à Fresnes dans un fourgon cellulaire en compagnie de trois autres détenus. Il salua la sentinelle dans sa guérite....!


Je vous embrasse sincérement.

Bonne nuit.

A demain.

Merci à vous toutes.
Que du bien et de bonnes nouvelles.


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