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LE PTB ET MOI.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI.
13 février 2009, 13:06
suzanne2 a écrit:
-------------------------------------------------------
> je m'excuse douda, je ne te permettrais jamais de
> diffamer ma fanfina, tu veux le croire ou non ,
> elle les a trouve et poste sna smalice, tu te
> trompes de femmes, elle ne fait jamais ce que les
> autres veulent, personne ne savait de ces
> dessins, fanfina ne connait pas raph et neamoins
> sait qu' il etait le compagnon de girelle, et ca
> je le jure.
> ne trouvez plus de pretextes pour nous attaquer,
> on vous a laisse un champ libre, ca ne vous suffit
> pas?
> je ne repondrais plus, je devais defendre mon amie
> que je connais tres bien et je ne permettrai a
> personne de la nommer pour des mechancetes qu'elle
> ne merite pas.

Suzy, tu n'en loupes pas une: "on vous a laisse un champ libre"

Tu as quoi????? je suis morte de rire de ton autorisation!!!

Waouhhhhh, tu es passée Webmaster? génial, bravo!!!!

Mais je te dis ça en en riant bien sûr, ne prends pas mal surtout...

Ca m'a bien détendue, ça fait du bien de rire!!!

Quant aux attaques, ou tu n'as rien compris, ou tu ne sais pas lire, mais si tu veux
je te fais une petite sélection dans le champ libre que nous vous avons
laissé avec bonheur.


Re: LE PTB ET MOI.
13 février 2009, 13:15
Mais dis donc! Suzanne2 !


Qui te permet de déclarer que j'ai diffamé ta protégée ? Et au juste, a t elle besoin d'une porte parole ? N'est elle pas majeure et vaccinée ? n'est elle pas capable de répondre par elle même ? Faut il que sa maman lui coure après avec une banane à la main ?

Quand au champ libre, ne pourrais-je pas me passer de ton autorisation par hasard ? Est ce que le site est ta propriété privée?

Re: LE PTB ET MOI.
14 février 2009, 04:42

Le violon juif.

La Pologne.
Varsovie.
La guerre.
Les rafles.
La déportation.
Les camps de concentration.
La mort.


En Pologne, plus précisément à Varsovie, dans le quartier juif, Salomon fils de Yoshua Ben Yehuda est réveillé en pleine nuit. Ainsi que sa petite famille composée de 5 enfants en bas age.

Dix minutes plus tard, ils sont embarqués par la gestapo pour l’enfer.

Salomon est grand violoniste.
Connu bien au delà de son quartier pour sa virtuosité à jouer de son violon.
Un violon ancestral qu’il tient de son père qui lui le tient de son arrière grand-père.

Un siècle de vie sans que son instrument n’ai subi les griffure du temps.
Salomon vivait de son génie de violoniste.
Il en est fier parce qu’il pense dur comme fer que ce violon qui a survécu au temps est un miracle et lui les miracles il les connaît. Sa façon de jouer est un miracle sans cesse renouvelé lors des fêtes religieuses et les fêtes, les réunions de famille et de voisinage.
Il vit grâce à ce miracle qui subvient quotidiennement au bien être de sa famille.

Ce soir là, il n’a pas eu le temps de prendre son violon.
Il est resté accroché au mur qui porte son empreinte.

Les années ont passé.
Salomon a survécu.
Pas sa famille.
Il part en Israël.
Il refonde une famille après un délai raisonnable.
Dans le kibboutz où il est, il est responsable de la jeune chorale.
On lui a donné un autre violon mais son compagnon d’autrefois lui manque.
Autant que sa femme et ses enfants et en tant que bon juif très religieux, il doit vivre parce que la vie est sacrée et qu’il ne faut pas l’occulter.

Un jour, il propose à sa nouvelle femme Sarah…

‘…Sarah, je pense depuis longtemps à retourner au pays de mes ancêtres… !
Aux sources d’une semaine… !
‘…Tu vas ouvrir tes blessure Salomon… ! Est-ce bien raisonnable de retourner dans ton passé… !’
‘..Je dois aller vérifier quelqueschose qui me tient à cœur, je ne t’en ai jamais parlé, mais cette mission, je me dois de la faire. Une partie de moi et encore là bas, je dois savoir… !’
‘…Je devine tes pensées, part Salomon, nous attendrons… !’

Sarah et Salomon ont deux enfants Shlomit, 2 ans et Avner 1 an.

Salomon retourne donc au pays de ses ancêtres.
A Varsovie. Dans son ancien quartier qui n’existe plus.
Les bombardements ont rayé celui là de la géographie.
Tenace, il se renseigne auprès de quelques vieux habitants qui ont été relogés dans des immeubles nouvellement construits.
La chance lui sourit. Il tombe par hasard, alors qu’il déambulait sur la grande avenue Stanilas Le Grand, sur une vieille dame qui le reconnaît…

[www.dailymotion.com]

‘…Salomon… ! Mais tu es Salomon… ! Lui dit la vieille dame au bord de la joie.
‘…Machka, ma chére Machka, je n’en crois pas mes yeux… ! Vous ici… ?’
‘…Et vous donc, mais je n’ai plus eue de nouvelles de vous…..????’

Salomon détourne la tête. Une coulée de larmes glisse sur sa joue.
L’autre comprend.
Elle le prend dans ses bras et l’embrasse tout en sanglotant.
Elle l’invite chez elle.
Salomon sans hésiter accepte l’invitation dans l’espoir de trouver ce qu’il est venu chercher.

‘…Machka, ma chère Machka, que sont devenus nos affaires après la rafle…?’
‘…Je vais te faire une surprise… ! Viens… !’

Machka et sa famille étaient les anciens voisins de palier de la famille Salomon.


Ils descendent dans la cave de la vieille et honorable femme, orthodoxe.
Elle ouvre la porte de son fourre -tout.

‘…Salomon, tu vois cette malle, fais la descendre… !’

Salomon obéit.

Il descend la lourde malle.

‘…Tiens prends cette clef et ouvre là… !’

Il obéit.

Il aperçoit une couverture et dans la couverture quelque chose de caché.

‘…Déplie la couverture… !’

Il déplie et là devant ses yeux… !

‘…Après votre rafle, les nazis ont laisse la porte ouverte, je suis rentrée et la seule chose qui m’a attirée c’était ton violon, je l’ai pris et caché depuis ce temps à défaut de vous avoir caché en ces temps là… !’

Salomon reste prostré durant un long moment. Il n’imaginait pas un seul instant retrouver cette relique qui a accompagné sa vie et celle de ses aïeux.
Il prend la chose délicatement dans sa main, la caresse et lui donne vie tout en grattant avec ses doigts ces merveilleuses cordes qui lui ont donné tant de bonheur…Et restès muettes depuis si longtemps...

‘…Machka… ! Machka … ! Vous venez de ressusciter toute une vie de bonheur, la mienne, et celle de mes ancêtres, de réveiller des souvenirs qui dormaient en moi mais hélas le chagrin est si fort en moi que je ne sais pas si je dois l’emporter avec moi…. !

Salomon pleure en serrant l’instrument, ce corps de famille qui a échappé au massacre, contre sa poitrine.

‘…Prenez le, il est à vous, il faut que vous le preniez, il est celui qui vous rappellera tout ce que vous avez perdu. Il n’en jouera que mieux, je vous assure… ! Séchez vos larmes… ! Mon fils… ! Rappelez vous tous vos bons moments et surtout ceux que vous avez donné à toute une génération de vos compatriotes… ! Vous le devez pour eux… !

Salomon, en homme obéissant, remet son violon dans sa couverture.

Il retourne dans son kibboutz avec sa précieuse chose.
Cet instrument des rires et des pleurs. De joie et de tristesse.

Sa femme voit devant elle, un mari rayonnant de bonheur.

‘…Enfin, tu vois Salomon que tout n’est pas perdu mon ami… !’
‘…Sarah, tu vois, les miracles cela existe… !’
‘…Tu es aussi ce miracle…. !’

[www.dailymotion.com]

Re: LE PTB ET MOI.
14 février 2009, 04:44

MORTAL GAME


‘...Vas y tue le... !’ Adrien.
‘...Il est caché derrière Mathilde... !’ Marion.
‘...Vas y essaye de le pointer.... !’
‘...Non, je risque de la blesser... !’
‘...Il va s’enfuir avec elle, envoie lui une salve enfin... !’
‘...Essaye toi dans ce cas... !’
‘..Mais je ne peux le faire enfin, c’est toi qui a la kalachnikov... !’
‘...Attends, je laisse Robotique déplacer légèrement la tête de coté et je l’abats... !’
‘...Il va s’enfuir, je te dis, il est malin... !’
‘..Tiens salaud... !’ Meurt... !’ Marion.

Robotique est éclaté, il est en miette...

‘...Zut, Diabolique arrive à toutes vitesse Adrien... !’ Marion
‘...Attends je le ‘kill’ grave, voilà, il est parti en couilles... !’ Adrien
‘...Tu crois que Fernand nous a dépassé dans la tuerie... ?’
‘...Je ne sais pas on les appellera plus tard... !’
‘...Regard qui arrive Genie II... ! Zut, il est dans son command car... !’
‘...Envoie lui un missile vite vite avant qu’il nous prenne en otages Timothée et Alien... !’
‘...Zut, j’ai ‘ merdè.’...!’
‘...Reprends vite réarme, il n’est pas encore sur eux... !’
‘...Tiens SALAUD.... !’ Marion.
‘...Bravo Marion, tu l’as eu de plein fouet... !’
‘...Ils font venir la cavalerie, je n’aurai pas le temps de tous les abattre... !’
‘...Ok, je prend le groupe de gauche avec ma mitrailleuse, occupe toi du contingent terroristes... !’
‘...J’envoie ma giclée, je vais les pulvériser tous... !’
‘...BRAVO... ! Je les ai en joue Marion... ! Tiens, sales bêtes... !’ Adrien.
‘...L’araigne là devant toi, il arrive, presse vite sur la gâchette... ! Eclate le... !’
‘...C’est ouf, mais je croyais les avoir tous abattus, il y en d’autres alors... !’
‘...Je ne sais pas, on attend... !’
‘...Rien, je crois que nous les avons tous tués, nous avons abattus 14 d’entre eux... !’
‘...250 points en trois minutes, je ne pense pas que Fernand et Gyslaine en ont fait autant... !’
‘...Appelle les et donne leur notre résultat... !’ Adien.

Adrien appelle Fernand...

‘...Allo Fernand, nous les avons tous tué ... ! 14 en trois minutes et vous... ?’
‘... J’en ai tué 16... !’
‘...Mais c’est pas possible, le jeu ne comporte que 14 personnages... !’

Les deux familles jouaient chacun de leur coté à un jeu de console sur écran télé ‘LES DIABOLIQUES’. Fernand prit par un coup de folie et par le jeu a abattu sa femme et son fils.

Re: LE PTB ET MOI.
14 février 2009, 04:52

Paris le 25/08/2007.



Récit imaginaire.

Tous les évènements cités dans cette nouvelle sont imaginaires et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.

LA BOULE DE CRISTAL.

LA BOULE DE CRISTAL DE BOHEME.

Marjorie ne se doutait pas, qu’en passant un jour devant une boutique ésotérique, sa vie allait changer.

Ce fameux jour, alors qu’elle flâne du coté de Barbés, elle entre par hasard dans un magasin où le bizarre et l’étrange vont susciter sa curiosité.

Elle franchit le seuil de l’enseigne ‘...Mabel...’ (Les fous)

Elle visite d’entre les rayons les vitrines où se côtoient livres, pierres, huiles, encens, images godes, capotes anglaises etc....

Elle tourne dans le magasin lorsque son regard est attiré par un pendule dont l’extrémité ne se termine pas une boule en cristal de roche de Bohême suspendue à un fil en nylon.

Elle s’en approche, le touche, le retouche pour lui infliger un mouvement de balancier, de droite à gauche puis, fasciné par ce bout de verre de forme ronde et polie, elle questionne le vendeur....Monsieur Albertin ( comme Merlin) grand spécialiste dans les CONNERIES AND C°. d’après certains.

‘..Pensez vous, monsieur, que ce pendule peut être suspendu au plafond de ma chambre.... ? ’

Le vendeur un peu surpris, mais pas étonné, il en a entendu d’autres au cours de ses 89 ans, de vie ‘cosmétique’lui réplique, tout en ajustant son dentier et ses grosses loupes d’occasion...

‘...Après tout pourquoi pas, vous pouvez le suspendre comme on suspendrait un petit lustre si cela vous fait plaisir... !’
‘...En fait qu’elle est sa fonction première.... ?’
‘...Il détecte les ondes positives et négatives, tout dépend du sens de sa rotation. S’il tourne vers la droite, dans le sens des aiguilles d’une montre, c’est que la personne ou l’objet est positif, s’il tourne dans le sens contraire, elle ou il est négatif... ! Eloignez vous en tant qu’il est encore temps sinon vous serez contaminé... !
‘...Et s’il reste immobile... ?’
‘..Vous voulez dire plutôt qu’il vibre ... Sans tourner... ?’
‘...Oui... ‘
‘...Bien, il faudra lui reposer la question qui vous intéresse, autrement.. !’
‘...Ohhhhh... ! Je n’irai pas jusque là, c’est juste pour décorer ma chambre... ! Un caprice... ! Je le trouve très beau... !’

Elle paye sa chose, remercie le vendeur pour ces qqs précisions et sort de la boutique en prenant soin de fourrer son acquis dans sa poche.
Sans prêter attention au vendeur, qui lui conseille, alors qu’elle est au pas de la porte, de le purifier avant toute opération, en le plongeant dans un bain de sel pendant quelques minutes.
Une pratique courante chez tous les radiesthésistes de renom.

Chez elle, Marjorie s’empresse de monter sur sa petite échelle pour enfoncer un clou dans le plafond de sa chambre à coucher. L’opération n’a pris que cinq minutes.

Elle coule son bain, sèche ses cheveux tout en allumant la télé. Elle téléphone aussi à son fiancé Frédéric.

Marjorie dîne. Elle termine son repas et monte au lit. Les images de son feuilleton préfère défilent devant elle. Elle jette un regard distrait sur sa chose suspendue à deux mètres cinquante de sa tête. Sans trop lui donner de l’importance. Ce dernier brille sous la petite lumière de sa lampe de chevet. La fin du film se termine une heure trente plus tard.

Elle s’endort sous le pendule immobile.

A suivre...

2°.



Le lendemain matin, comme elle le fait depuis bientôt quatre ans, elle se rend à son travail. Marjorie est infirmière dans un grand hôpital parisien des fous Ste Anne.

En cours de route, son jeune fiancé, son aîné de trois ans, Frédéric fait sonner son portable. Comme il le fait presque tous les matins à la même heure. Un rituel qui s’est installé depuis leur première rencontre. Le couple projette de dîner ensemble le soir même.

Le soit venu, nos deux amoureux se retrouve comme prévu au resto. Le dîner se passe bien puis le jeune couple, enlacé et flirtant déambule à travers les rues de Paris par cette douce soirée du mois de Mai. Puis, ils rentrent au bercail.

Marjorie et Frédéric, une fois rentres dans l’appartement, s’embrassent éperdument au point que le jeune homme prit dans la tourmente du feu de l’amour, la soulève, tout en ayant les lèvres collées aux siennes, pour la déposer sur son lit. Marjorie, sous les caresses de son conjoint cède à l’envie. Elle se déshabille sous le regard de son fiancé qui suit.
Ils sont nus sur l’édredon. Son petit et joli minou est en chaleur. Pas loin de l’explosion.

Frédéric et Marjorie sont si bien étreins que l’air ne passe pas entre leur deux jolis corps qui se déchirent sous les assauts répètes des deux amants.

Pendant leur chaude étreinte, le regard de la jeune fille tombe sur la boule de cristal qui tourne légèrement dans le sens inverse d’une montre et là Marjorie se souvient des paroles du vendeur...’ ...S’il tourne à l’envers c’est que la personne ou l’objet en question est négatif... !Eloignez vous en... !’ ( Albertin Merlin    vendeur à Barbés à l’enseigne des Fous.)

Du coup, ces mots résonnent dans sa tête. Elle se sent mal à l’aise dans les bras et entre les cuisses de son ami. Elle a un mouvement de recul.

Frédéric s’en aperçoit.

‘...Mais qu’est ce que tu as tout d’un coup, ma chérie.... ?’
‘...J’ai mal au ventre, sûrement les huîtres que nous avons mangé... !’

Les mauvaises huîtres sont venues à son secours pour couper court à leurs ébats.

Un prétexte qu’elle avance sous le mauvais sens giratoire de l’objet.

A Suivre.

3°.

Elle vêt son pyjama faisant comprendre ainsi à son amoureux que la séance de baise est terminée. Son fiancé déçu, renonce donc à poursuivre ce qui devait être une grande jouissance. Ils sont toujours sous les couvertures.
Marjorie feint de se plaindre de coliques.
Son petit ami inquiet, lui demande si elle ne veut pas un médecin de nuit au vu de son état critique. Il craint que cela ne soit sérieux.

Marjorie repousse ce conseil tout en rassurant ce dernier sur son léger malaise imaginaire.

‘...Ca va passer... !’

Emporté par le sommeil, Frédéric ronfle alors que sa Marjorie fixe la boule qui semble ne pas vouloir s’arrêter. Elle a même l’impression que le mouvement de rotation s’est légèrement accentué. Elle n’en dormira pas de la nuit fixant ce bout de cristal qui continue son manège en sens inverse jusqu’au petit matin.

Frédéric, vers les 8 heures après avoir déjeuner, part à son travail, laissant sa meuf dormir.
C’est ce qu’il pense en sortant alors que l’autre feint de roupiller.
Comme par miracle, le pendule s’arrête de tourner dés que son ami quitte le studio.

Marjorie n’en revient pas. Elle pense immédiatement qu’il y a une relation entre son ami et le pendule, et que si la boule a stoppé net sa mauvaise rotation, cela veut dire que son amoureux est négatif. Mais, refusant cette théorie qui lui semble hasardeuse, elle réfléchit à autre chose.

N’étant pas de garde ce matin là, elle appelle sur son portable sa meilleure amie Rosine.
Cette dernière, inquiète par l’invitation imprévue et matinale de son amie, consent à lui tenir compagnie au vu de son ‘indigestion’.

A Suivre.

4°.

Rosine ne tarde pas à sonner à la porte du studio de sa meilleure amie.

‘...Je n’ai pas voulu te le dire au téléphone mais je ne me sens pas bien... ! Depuis hier soir... !’

Elle l’introduit dans la chambre à coucher.

Rosine est à peine assise sur le bord du lit, que la chose suspendue se met à tourner légèrement dans le mauvais sens.
Le mauvais mouvement.
Marjorie le constate et elle est prise par le doute ; sa meilleure amie serait t’elle aussi négative... ? Que son fiancé...?’

Marjorie fait mine de se sentir mieux et après une heure de palabre, coupe court, à la conversation. Elle se souvient tout à coup, qu’elle a rendez vous avec sa maman. Chez elle rue des Pyrénées.
Encore un prétexte pour ce débarrasser de ‘l’intruse aux ondes négatives’.

Rosine comprend la situation et les deux amis se bisent tout en se saluant.

Et là comme par magie, la petite rondeur en pierre de cristal s’arrête de tourner.
Marjorie reste perplexe. Elle n’en revient pas.

Pour mieux se rassurer sur ce qui lui parait être une énigme, Marjorie téléphone à sa maman invoquant le même prétexte que précédemment.


Au bout de deux heures, Madame Ribalti, débarque, légèrement étonnée chez sa fille.

‘...Mais que se passe t’il eEEEnfin ma chérie pour ne pas m’en parler au téléphone... ? Te rends tu compte que tu viens de foutre ma partie de bridge en l’air... ? Que vont t’elles penser de moi, ms amies, les Huguette et compagnie d’autant plus qu’hier je les ai plumées... ? Que vais-je leur dire enfin... ?

Tout en écoutant les paroles de sa maman contrite, Marjorie la fait passer dans la chambre à coucher. Sans rien dévoiler de ses intentions, bien sur.

Dés que la maman pose son fragile postérieure sur le rebord du lit que le pendule commence à frémir et à prendre la mauvaise tournante, sous le regard incrédule de Marjorie mais à l’insu de sa maman toujours remontée contre sa fille.

‘...Alors enfin, qu’est ce que tu as de si urgent pour me déranger, explique toi enfin... ?’

A suivre...

5°.

La BOULE DE CRISTAL. Suite.

Marjorie sans plus attendre ...

‘...Tu as toujours été négative envers moi, tu penses toujours à te distraire, toute ma vie durant, tu n’as jamais JAMAIS daignée me donner de l’importance... ? AAAAAAh tes amies... ! Tes AMIES HUGUETTE, JOSETTE, GISELE, et j’en passe sur toutes les folles et hystériques comme toi qui se donnent des airs de grandes dames ... ! Pauvre père qui a subit durant de longues années ta tyrannie, il en est MORT par tes ordres, ta manie à vouloir tout gérer, OUI MORT par tes jérémiades, tes remarques incessantes... ! ’

Le pendule semble devenir fou, il tourne sans répit. Marjorie s’en aperçoit.

La maman interloquée par les propos de sa fille est prise dans un accès de pleurs. Elle sanglote devant de telles inepties. Elle se sent mal au point de ressentir un étourdissement.
Elle est prise de malaise.

Marjorie apeurée, appelle les urgences.
Un quart d’heure plus tard, madame Ribaldi sort sur une civière. Le visage blême.

Le pendule cesse son mauvais tournis dés que la maman quitte le studio sous le regard de sa fille qui l’accompagne. Là encore Marjorie ne peut s’empêcher de penser que sa maman aussi est négative comme le sont son amie et son Frédéric.

Aux urgences, Marjorie apprend que sa maman s’en sort assez bien mais qu’elle a frôle la crise cardiaque.

Marjorie est abattue.

A Suivre...

6°.

Remise de ses émotions, Madame Ribalti appelle son futur gendre de sa chambre d’hôpital après les premiers soins. Elle lui rend compte des évènements survenus qqs heures plus tôt sans avouer exactement la cause de son hospitalisation.

‘...Frédéric, bonsoir, je suis à l’hosto, j’ai eu un léger malaise, sans gravité, est-ce qu’il y a quelque chose qui ne va pas entre toi et ma fille... ?’
‘...Non, hier soir, nous étions au resto puis chez elle, nous étions bien sauf qu’elle s’est plaint de mal de ventre suite à une indigestion d’huîtres... !’
‘...Je crains pour elle. Elle ne semble pas être dans un bon état... ! Elle m’a parue fatiguée... ! Lorsque je lui ai rendu visite ce matin... !’
‘...Ca va lui passer belle maman ne vous inquiétez pas, tout rentrera dans l’ordre demain matin, vous verrez... !’

Vers les 19 heures, Marjorie s’habille pour prendre son tour de garde à l’hosto. En chemin, elle pense et repense à ces trois incidents qui commencent à la perturber sérieusement.
Serait t’elle entourée par des gens négatifs, y compris sa maman avec qui elle avait eu, dans sa jeunesse, quelques altercations malheureuses qui l’ont faites fuir de chez ses parents... ? Une histoire de jalousie entre elle et sa sœur aînée Aline.

Dans un sursaut de remord, elle profite d’une pause pour s’enquérir des nouvelles sur la santé de sa maman. Cette dernière la rassure sur son état.
Marjorie lui demande pardon suite à sa réaction disproportionnée. Elle pense que le pendule ne serait pas étranger à cette soudaine colère..

Mais combien même le pense t’elle, qu’elle veut en avoir le cœur net. Il n’est pas question pour elle de décrocher ce sage conseilleur qui, par son précieux manège, l’averti sur ses bonnes ou mauvaises relations. Ou sur ceux et celles qui dégageraient tout simplement de la négativité tout comme une bombe sale qui dégagerait de la radioactivité.

Elle décide d’aller plus loin dans la prospection de cette négativité chez tous ceux qui lui sont proches ceux ou qui l’approchent.

Le surlendemain soir, alors qu’elle est toujours de garde, elle propose au téléphone à son ami Frédéric d’inviter quelques amis intimes. Pour un gueuleton, chez elle. Trois couples intimes qui partagent sorties et distractions.
Les couples Edouard et Mireille, Jean et Katy et enfin Robert et Solenne. Des collègues de travail vaquant à leurs occupations dans le même pavillon hospitalier qu’elle.
Des couples vraiment très proches qui n’ont jamais eu le moindre différent.
C’est dire combien leurs relations sont basées sur la confiance mutuelle, l’amitié sincère et le respect qu’ils partagent en commun.

Frédéric trouve l’idée géniale. Il accepte.

A suivre...

7°.

Deux jours plus tard, Marjorie lance les invitations. Les trois couples ne refusent pas l’invite d’autant plus que ces réunions amicales, autour d’une bonne table entre couples de bonne compagnie, se passent toujours dans une ambiance conviviale où l’humour et les taquineries foisonnent.

Le soir même, Frédéric pour plaire à sa future épouse, rentre avec un joli bouquet de fleurs.
Marjorie se jette dans ses bras et pour se faire encore plus agréable, il propose de concocter un léger dîner dont il connaît le secret. Marjorie retrouve le sourire.

Le repas terminé, le jeune couple rentre dans la chambre à coucher pour s’aimer.
Frédéric impatient et surtout frustré par la mésaventure des huîtres, se prépare à la grande aventure ; enfourcher sa meuf qui se rend compte une nouvelle fois du mauvais sens giratoire du pendule et là....

‘...Tu es vraiment négatif avec tes jeux de mains, tu ne t’ intéresses à rien sauf qu’à me tripoter les seins, les fesses, le cul, et le sexe avec ta bite, sinon, rien, qu’est ce que je suis pour toi, un petit objet que l’on pénètre, HEINNN.... ? C’est celAAAA... ! Je suis positive moi, je vois et toi tu ne vois rien, tu ne ressens rien ... !’

Frédéric, sous cette avalanche de mauvais mots, reste sidéré. Il est figé. Nu comme un vers sous les couvertures, il sent sa grande et belle quille se ramollir entre ses cuisses, jusqu’à devenir soudain aussi petite qu’un vermisseau. Il n’en revient pas, il est groggy par ce qu’il entend...

Et ce foutu pendule qui tourne au-dessus de leurs têtes.

A suivre...

8°.

‘...Bon, écoutes, je pense que tu devrais rentrer chez toi... !’

Frédéric, ne comprend rien à la réaction de sa Marjorie. Ne voulant pas aggraver la situation par des répliques qui ne feraient qu’envenimer la situation, il se rhabille et claque la porte.
Du coup, le pendule prend une pause. Il s’immobilise sous le regard de Marjorie qui ne doute plus à cet instant précis que son fiancé n’a pas de bonnes ondes, donc qu’il est vraiment négatif. Quelle HooooooorrrreuR.... ! Comme le dirait mon amie Michka.

Dehors, Frédéric, tente de comprendre la réaction de sa copine. Il revoit la scène et ne trouve aucun motif sur le comportement de sa dulcinée. Il est tout remué alors qu’il roule en voiture pour rentrer chez lui, brûlant cigarettes sur cigarettes. Il conclu que sa Marjorie est, soit trop stressée par son travail ou sous l’emprise de quelque chose, et qu’elle passe une période très difficile. Mais qui se rapporte à quoi se dit t’il dans ses pensées... ?


Chez elle, Marjorie dort à poings fermés après la ‘ ratonnade verbale’ qu’elle a offert gratuitement à son fiancé.

L’incident est passé et la réconciliation ne pas tarde à venir.

La soirée entre amis arrive. Trois jours après les bons mots de la Marjorie toujours sous l’influence du pendule. Elle va bientôt être fixée sur le sort de ses amis grâce à son fidèle ami le pendule en cristal de Bohême qui la conseille superbement bien sur l’avenir de ses relations futures d’avec son entourage le plus proche.

Nos trois couples débarquent chez Marjorie tenant des bouteilles de bon crûs, du Hot, chére à notre passionnera Michka, du Ferrand Perrier et du Bertrand Clovis. Des bouquets de fleurs aussi pour embellir le décor. Pour une soirée qui s’annonce sous les meilleurs auspices. Ils sont reçus par le couple receveur avec rires et sourires et grandes accolades. Le vin est mis au frais et les petites gourmandises, déjà installées sur la nappe imprimée en cire blanche , ne vont pas tardées à être mises à rudes épreuves. Mais avant cela, Marjorie, prétextant divers motifs, invite chacun des participants à venir découvrir ses nouvelles toilettes. Les femmes vont d’abord passer le test du pendule. La première est l’épouse de Edouard, Mireille qui subit l’épreuve.
Le pendule commence à tourner tjs dans le mauvais sens. Puis ce fut le tour de Katy, idem, passe ensuite par-dessous Solenne, c’est pire, le pendule risque de voler tellement il gigote dans tous les sens. Viennent ensuite par ordre de négativité Edouard, Robert et enfin le dernier Jean.

Marjorie est enfin fixée. Elle est bien entourée par des ‘...NEGATIONISTES... !’   .
Une vraie catastrophe et dans un pareil cas, leur fréquentation ne peut être que néfaste pour sa positivité.

A suivre.

9°.


Les couples n’ont même pas le temps de s’asseoir autour de la table pour déguster le premier verre de vin classé AOL, que la Marjorie...

‘...Finalement, il n’y a rien de bon en vous... ! Vous êtes tous négatifs, et vous me paraissez tous suspects... ! Vous avez le mauvais esprit en vous et je ne partagerai pas la table avec vous... !’.

Les regards se croisent et se recroisent en silence. C’est la consternation. Le vin semble tourner au vinaigre dans leur contenant. Les fleurs si belles au départ prennent une courbure dangereuse. Pas loin de la chute.

Frédéric est mal au point. Il est sidéré par la sortie verbale de sa fiancée. Il ne sait quelle attitude prendre.

Enfin....Il ose....

‘...Mais ma chérie, qu’est ce qui te prend... ?’
‘...Oh toi, tu n’es pas mieux loti qu’eux. Depuis que je te fréquente, je me sens mal dans ma peau, tu ferais mieux de tout ranger, et surtout de tout remettre en l’état.... ! Et puis ta présence ici, me dérange autant qu’eux... !’

Un renvoi en bonne et dû forme qui n’attend qu’exécution.

Nos trois couples invités s’exécutent sous le regard satisfait de Marjorie qui ne semble pas réaliser l’importance de l’affront qu’elle vient d’infliger à ces meilleurs amis et à son fiancé. Chez elle. C’est la Bérézina, Waterloo la déroute la plus complète.

‘...FrédoOOO.... ! Suit les, tu leur tiendras compagnie... !’ Lance t’elle en grignotant un petit calé.

Après le départ de ce beau monde, Marjorie constate que son pendule, s’est arrêté de tourner.

Quelque temps plus tard, Frédéric rompt d’avec sa fiancée.
La rupture d’avec sa maman est aussi consommée.
Marjorie n’a plus d’amis sauf son pendule qui dit non et jamais oui.

Quelques semaines plus tard, à l’hôpital Ste Anne, la patiente Marjorie Ribalti , la malade de la chambre 112, fait les cent pas, en blouse blanche, dans les corridors de l’hôpital avec son pendule tenu aux extrémités de son pouce droit et son index.
A tous ceux qui l’approchent, ces derniers se voient insulter d’une façon grossière.

Re: LE PTB ET MOI.
14 février 2009, 06:41
C'est drole, une harissienne m'a suggéré de publier plutôt sur cette rubrique PTB ET MOI, car on y a un grand sens de l'humour et de la rigolade, car sur l'autre, celle du théâtre de Breïtou, les messages qui semblaient hier soir tenir, on tous disparu.

Voila, je ne me rappelle pas exactement, tout ce que j'avais écrit, mais dans les grandes lignes, que je suis originaire de la Goulette, que j'ai quitté en 59, pour émigrer au Vietnam, où j'ai monté une industrie de jus de fruits, bananes, goyaves, ananas... etc ..., qu'avec la guerre et les G'is, mes affaires avaient à l'époque beaucoup prospéré, que j'y avais rencontré la Fortune (Chance), et qu'à présent je vis de mes rentes à Monaco.

Comme j'aime beaucoup rigoler, dés fois un peu trop grivois, j'avais inscrit mon pseudo, sous le nom de la marque de jus de fruit, qui se vendait parmi les troupes envoyés au Vietnam, du nom de ma première épouse que j'avais rencontrée, au cours de mes vacances à Puerto Rico, mais mon amie Harissienne, m'a dit que ce pseudo faisait mauvais genre, et que c'est probablement pour cette raison, que je n'étais pas bien vu là bas ?

Bon alors, si quelqu'un pouvait me dire comment je peux changer ce pseudo, pour un autre plus acceptable, je l'en remercie d'avance.


Pièces jointes:
banana_juice.jpg
Re: LE PTB ET MOI.
14 février 2009, 07:26

Le violon juif.

La Pologne.
Varsovie.
La guerre.
Les rafles.
La déportation.
Les camps de concentration.
La mort.


En Pologne, plus précisément à Varsovie, dans le quartier juif, Salomon fils de Yoshua Ben Yehuda est réveillé en pleine nuit. Ainsi que sa petite famille composée de 5 enfants en bas age.

Dix minutes plus tard, ils sont embarqués par la gestapo pour l’enfer.

Salomon est grand violoniste.
Connu bien au delà de son quartier pour sa virtuosité à jouer de son violon.
Un violon ancestral qu’il tient de son père qui lui le tient de son arrière grand-père.

Un siècle de vie sans que son instrument n’ai subi les griffure du temps.
Salomon vivait de son génie de violoniste.
Il en est fier parce qu’il pense dur comme fer que ce violon qui a survécu au temps est un miracle et lui les miracles il les connaît. Sa façon de jouer est un miracle sans cesse renouvelé lors des fêtes religieuses et les fêtes, les réunions de famille et de voisinage.
Il vit grâce à ce miracle qui subvient quotidiennement au bien être de sa famille.

Ce soir là, il n’a pas eu le temps de prendre son violon.
Il est resté accroché au mur qui porte son empreinte.

Les années ont passé.
Salomon a survécu.
Pas sa famille.
Il part en Israël.
Il refonde une famille après un délai raisonnable.
Dans le kibboutz où il est, il est responsable de la jeune chorale.
On lui a donné un autre violon mais son compagnon d’autrefois lui manque.
Autant que sa femme et ses enfants et en tant que bon juif très religieux, il doit vivre parce que la vie est sacrée et qu’il ne faut pas l’occulter.

Un jour, il propose à sa nouvelle femme Sarah…

‘…Sarah, je pense depuis longtemps à retourner au pays de mes ancêtres… !
Aux sources d’une semaine… !
‘…Tu vas ouvrir tes blessure Salomon… ! Est-ce bien raisonnable de retourner dans ton passé… !’
‘..Je dois aller vérifier quelqueschose qui me tient à cœur, je ne t’en ai jamais parlé, mais cette mission, je me dois de la faire. Une partie de moi et encore là bas, je dois savoir… !’
‘…Je devine tes pensées, part Salomon, nous attendrons… !’

Sarah et Salomon ont deux enfants Shlomit, 2 ans et Avner 1 an.

Salomon retourne donc au pays de ses ancêtres.
A Varsovie. Dans son ancien quartier qui n’existe plus.
Les bombardements ont rayé celui là de la géographie.
Tenace, il se renseigne auprès de quelques vieux habitants qui ont été relogés dans des immeubles nouvellement construits.
La chance lui sourit. Il tombe par hasard, alors qu’il déambulait sur la grande avenue Stanilas Le Grand, sur une vieille dame qui le reconnaît…

[www.dailymotion.com]

‘…Salomon… ! Mais tu es Salomon… ! Lui dit la vieille dame au bord de la joie.
‘…Machka, ma chére Machka, je n’en crois pas mes yeux… ! Vous ici… ?’
‘…Et vous donc, mais je n’ai plus eue de nouvelles de vous…..????’

Salomon détourne la tête. Une coulée de larmes glisse sur sa joue.
L’autre comprend.
Elle le prend dans ses bras et l’embrasse tout en sanglotant.
Elle l’invite chez elle.
Salomon sans hésiter accepte l’invitation dans l’espoir de trouver ce qu’il est venu chercher.

‘…Machka, ma chère Machka, que sont devenus nos affaires après la rafle…?’
‘…Je vais te faire une surprise… ! Viens… !’

Machka et sa famille étaient les anciens voisins de palier de la famille Salomon.


Ils descendent dans la cave de la vieille et honorable femme, orthodoxe.
Elle ouvre la porte de son fourre -tout.

‘…Salomon, tu vois cette malle, fais la descendre… !’

Salomon obéit.

Il descend la lourde malle.

‘…Tiens prends cette clef et ouvre là… !’

Il obéit.

Il aperçoit une couverture et dans la couverture quelque chose de caché.

‘…Déplie la couverture… !’

Il déplie et là devant ses yeux… !

‘…Après votre rafle, les nazis ont laisse la porte ouverte, je suis rentrée et la seule chose qui m’a attirée c’était ton violon, je l’ai pris et caché depuis ce temps à défaut de vous avoir caché en ces temps là… !’

Salomon reste prostré durant un long moment. Il n’imaginait pas un seul instant retrouver cette relique qui a accompagné sa vie et celle de ses aïeux.
Il prend la chose délicatement dans sa main, la caresse et lui donne vie tout en grattant avec ses doigts ces merveilleuses cordes qui lui ont donné tant de bonheur…Et restès muettes depuis si longtemps...

‘…Machka… ! Machka … ! Vous venez de ressusciter toute une vie de bonheur, la mienne, et celle de mes ancêtres, de réveiller des souvenirs qui dormaient en moi mais hélas le chagrin est si fort en moi que je ne sais pas si je dois l’emporter avec moi…. !

Salomon pleure en serrant l’instrument, ce corps de famille qui a échappé au massacre, contre sa poitrine.

‘…Prenez le, il est à vous, il faut que vous le preniez, il est celui qui vous rappellera tout ce que vous avez perdu. Il n’en jouera que mieux, je vous assure… ! Séchez vos larmes… ! Mon fils… ! Rappelez vous tous vos bons moments et surtout ceux que vous avez donné à toute une génération de vos compatriotes… ! Vous le devez pour eux… !

Salomon, en homme obéissant, remet son violon dans sa couverture.

Il retourne dans son kibboutz avec sa précieuse chose.
Cet instrument des rires et des pleurs. De joie et de tristesse.

Sa femme voit devant elle, un mari rayonnant de bonheur.

‘…Enfin, tu vois Salomon que tout n’est pas perdu mon ami… !’
‘…Sarah, tu vois, les miracles cela existe… !’
‘…Tu es aussi ce miracle…. !’


[www.dailymotion.com]
Re: LE PTB ET MOI.
14 février 2009, 08:40

MORTAL GAME


‘...Vas y tue le... !’ Adrien.
‘...Il est caché derrière Mathilde... !’ Marion.
‘...Vas y essaye de le pointer.... !’
‘...Non, je risque de la blesser... !’
‘...Il va s’enfuir avec elle, envoie lui une salve enfin... !’
‘...Essaye toi dans ce cas... !’
‘..Mais je ne peux le faire enfin, c’est toi qui a la kalachnikov... !’
‘...Attends, je laisse Robotique déplacer légèrement la tête de coté et je l’abats... !’
‘...Il va s’enfuir, je te dis, il est malin... !’
‘..Tiens salaud... !’ Meurt... !’ Marion.

Robotique est éclaté, il est en miette...

‘...Zut, Diabolique arrive à toutes vitesse Adrien... !’ Marion
‘...Attends je le ‘kill’ grave, voilà, il est parti en couilles... !’ Adrien
‘...Tu crois que Fernand nous a dépassé dans la tuerie... ?’
‘...Je ne sais pas on les appellera plus tard... !’
‘...Regard qui arrive Genie II... ! Zut, il est dans son command car... !’
‘...Envoie lui un missile vite vite avant qu’il nous prenne en otages Timothée et Alien... !’
‘...Zut, j’ai ‘ merdè.’...!’
‘...Reprends vite réarme, il n’est pas encore sur eux... !’
‘...Tiens SALAUD.... !’ Marion.
‘...Bravo Marion, tu l’as eu de plein fouet... !’
‘...Ils font venir la cavalerie, je n’aurai pas le temps de tous les abattre... !’
‘...Ok, je prend le groupe de gauche avec ma mitrailleuse, occupe toi du contingent terroristes... !’
‘...J’envoie ma giclée, je vais les pulvériser tous... !’
‘...BRAVO... ! Je les ai en joue Marion... ! Tiens, sales bêtes... !’ Adrien.
‘...L’araigne là devant toi, il arrive, presse vite sur la gâchette... ! Eclate le... !’
‘...C’est ouf, mais je croyais les avoir tous abattus, il y en d’autres alors... !’
‘...Je ne sais pas, on attend... !’
‘...Rien, je crois que nous les avons tous tués, nous avons abattus 14 d’entre eux... !’
‘...250 points en trois minutes, je ne pense pas que Fernand et Gyslaine en ont fait autant... !’
‘...Appelle les et donne leur notre résultat... !’ Adien.

Adrien appelle Fernand...

‘...Allo Fernand, nous les avons tous tué ... ! 14 en trois minutes et vous... ?’
‘... J’en ai tué 16... !’
‘...Mais c’est pas possible, le jeu ne comporte que 14 personnages... !’

Les deux familles jouaient chacun de leur coté à un jeu de console sur écran télé ‘LES DIABOLIQUES’. Fernand prit par un coup de folie et par le jeu a abattu sa femme et son fils.
Re: LE PTB ET MOI.
14 février 2009, 09:12

MORTAL GAME


‘...Vas y tue le... !’ Adrien.
‘...Il est caché derrière Mathilde... !’ Marion.
‘...Vas y essaye de le pointer.... !’
‘...Non, je risque de la blesser... !’
‘...Il va s’enfuir avec elle, envoie lui une salve enfin... !’
‘...Essaye toi dans ce cas... !’
‘..Mais je ne peux le faire enfin, c’est toi qui a la kalachnikov... !’
‘...Attends, je laisse Robotique déplacer légèrement la tête de coté et je l’abats... !’
‘...Il va s’enfuir, je te dis, il est malin... !’
‘..Tiens salaud... !’ Meurt... !’ Marion.

Robotique est éclaté, il est en miette...

‘...Zut, Diabolique arrive à toutes vitesse Adrien... !’ Marion
‘...Attends je le ‘kill’ grave, voilà, il est parti en couilles... !’ Adrien
‘...Tu crois que Fernand nous a dépassé dans la tuerie... ?’
‘...Je ne sais pas on les appellera plus tard... !’
‘...Regard qui arrive Genie II... ! Zut, il est dans son command car... !’
‘...Envoie lui un missile vite vite avant qu’il nous prenne en otages Timothée et Alien... !’
‘...Zut, j’ai ‘ merdè.’...!’
‘...Reprends vite réarme, il n’est pas encore sur eux... !’
‘...Tiens SALAUD.... !’ Marion.
‘...Bravo Marion, tu l’as eu de plein fouet... !’
‘...Ils font venir la cavalerie, je n’aurai pas le temps de tous les abattre... !’
‘...Ok, je prend le groupe de gauche avec ma mitrailleuse, occupe toi du contingent terroristes... !’
‘...J’envoie ma giclée, je vais les pulvériser tous... !’
‘...BRAVO... ! Je les ai en joue Marion... ! Tiens, sales bêtes... !’ Adrien.
‘...L’araigne là devant toi, il arrive, presse vite sur la gâchette... ! Eclate le... !’
‘...C’est ouf, mais je croyais les avoir tous abattus, il y en d’autres alors... !’
‘...Je ne sais pas, on attend... !’
‘...Rien, je crois que nous les avons tous tués, nous avons abattus 14 d’entre eux... !’
‘...250 points en trois minutes, je ne pense pas que Fernand et Gyslaine en ont fait autant... !’
‘...Appelle les et donne leur notre résultat... !’ Adien.

Adrien appelle Fernand...

‘...Allo Fernand, nous les avons tous tué ... ! 14 en trois minutes et vous... ?’
‘... J’en ai tué 16... !’
‘...Mais c’est pas possible, le jeu ne comporte que 14 personnages... !’

Les deux familles jouaient chacun de leur coté à un jeu de console sur écran télé ‘LES DIABOLIQUES’. Fernand prit par un coup de folie et par le jeu a abattu sa femme et son fils.

Re: LE PTB ET MOI.
14 février 2009, 10:45
Oh Monsieur Breïtou, quels magnifiques récits, c'est fantastiquement bien rédigé, extraordinaires ces aventures qui me rappellent, par instants seulement, certains épisodes vécus au Vietnam, pendant la prise se Saïgon par les rebelles du Nord.

Il faut absolument que je réunisse tous mes documents et souvenirs, afin d'écrire ces épisodes poignants de ce que nous avons vécu, avec les généraux, et soudards de tous les bords.

A oui, vous venez de me donner une idée, de coucher sur la toile, toutes ces sagas, qui s'entremêlent dans mes souvenirs, car vous savez, je ne suis pas comme vous pouvez le croire, un inventif !

Je ne sais écrire que ce que j'ai vraiment vécu.

Merci mille fois de ces récits instructifs, Cher Ami, si vous me permettez de vous appeler ainsi, j'en serai très honnoré, et comptez sur moi pour ne pas vous décevoir.


Pièces jointes:
ps1.jpg
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