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LE PTB ET MOI.
Envoyé par albert
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Re: LE PTB ET MOI. 01 mars 2009, 10:58 |
Paris le 12/12/2008.
Je n’ai pas la réputation
De composer et d’chanter
Du Brassens en son temps.
Je n’ai pas non plus la prétention
De mimer ou de cloner la dérision
D’un Jacques Brel dans son passé.
Je ne fais pas dans la MERJITUDE*
( Merj user l’âme. L’antipathique use son prochain
Comme certaines dans la platitude.
Mais, j’ai pris la décision
De m’chanter avec conviction.
Les BRAS ballants et sans CENT.
Oui, j’ai pris la décision
De ressembler à un grand BREL*
Tout en sautant comme le CABRI.
Je ne cours pas après l’argent
Mais je défie les mécréants
Par mes bonnes manières et sans façon
Je me sens bien dans le rôle du Luron.
* Mule en judéo tune.
J’ai presque tout fait
Pas loin de m’étouffer.
J’ai fais le juge l’arbitre
Le chorégraphe le pitre
Le chansonnier le comédien
Le charlatan et le coquin.
Le blagueur le farceur
L’enjoliveur à l’œil hargneux,
Le maudit marieur,
L’enfileur de perles
Et le mariole. .....
AHAHAHAH....AH AH....§§§§§
Le coureur de vieilles juponnes,
Le compteur pas le guetteur
Bref tous les labeurs.
Sans que je sois en chemise crépon.
On m’a bien mis par sympathie, enfermé
En uniforme mexicain, dans un pot de confiture.
Aujourd’hui bien déconfit
Par la faute de quelques super chéries.
Tous les superlatifs sont vains.
Sur mon destin je ne renchérie point.
Telle est la loi des malins.
Tous ces métiers euphorisants
Assis sur mon fauteuil tournant,
Je les ai faits face à mon écran,
Oui, j’ai bien rempli toutes ces fonctions
Avec âme, conscience et confiance,
Avec à la clef de belles reconnaissances
Pour toutes ses délicates missions.
Car bien béni à l’huile maudite,
Je suis bien proscris par toute la direction.
Avec beaucoup d’attention.
Le p’tit saint ma foi, auréolé de bonnes grâces tordues,
Mérite sa gloire si bien rendue
Par toutes ces belles juives
Bien entendu.
Je suis aussi célèbre que le Cap’taine crochu
Mais voilà quelques PANS sur mon bec pointu...//////
Depuis.... J’ai reçu.
Je n’ai pas la réputation
De composer et d’chanter
Du Brassens en son temps.
De mimer ou de cloner la dérision
D’un Jacques Brel dans son passé.
Je ne fais pas dans la MERJITUDE*
( Merj user l’âme. L’antipathique use son prochain
Comme certaines dans la platitude.
Mais, j’ai pris la décision
De m’chanter avec conviction.
Les BRAS ballants et sans CENT.
Oui, j’ai pris la décision
De ressembler à un grand BREL*
Tout en sautant comme le CABRI.
Je ne cours pas après l’argent
Mais je défie les mécréants
Par mes bonnes manières et sans façon
Je me sens bien dans le rôle du Luron.
* Mule en judéo tune.
J’ai presque tout fait
Pas loin de m’étouffer.
J’ai fais le juge l’arbitre
Le chorégraphe le pitre
Le chansonnier le comédien
Le charlatan et le coquin.
Le blagueur le farceur
L’enjoliveur à l’œil hargneux,
Le maudit marieur,
L’enfileur de perles
Et le mariole. .....
AHAHAHAH....AH AH....§§§§§
Le coureur de vieilles juponnes,
Le compteur pas le guetteur
Bref tous les labeurs.
Sans que je sois en chemise crépon.
On m’a bien mis par sympathie, enfermé
En uniforme mexicain, dans un pot de confiture.
Aujourd’hui bien déconfit
Par la faute de quelques super chéries.
Tous les superlatifs sont vains.
Sur mon destin je ne renchérie point.
Telle est la loi des malins.
Tous ces métiers euphorisants
Assis sur mon fauteuil tournant,
Je les ai faits face à mon écran,
Oui, j’ai bien rempli toutes ces fonctions
Avec âme, conscience et confiance,
Avec à la clef de belles reconnaissances
Pour toutes ses délicates missions.
Car bien béni à l’huile maudite,
Je suis bien proscris par toute la direction.
Avec beaucoup d’attention.
Le p’tit saint ma foi, auréolé de bonnes grâces tordues,
Mérite sa gloire si bien rendue
Par toutes ces belles juives
Bien entendu.
Je suis aussi célèbre que le Cap’taine crochu
Mais voilà quelques PANS sur mon bec pointu...//////
Depuis.... J’ai reçu.
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