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LE PTB ET MOI.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI.
25 février 2008, 13:09
Hahaha...! Voilà c'est réparé pour toi.


Re: LE PTB ET MOI.
25 février 2008, 22:39
Braham, ton borrico, il s'appelle comment déjà...?
Pour que je puisse lui donner son respect...!!
Je crois que tu vas faire partie de l'attelage, toi aussi et très bentôt.

Merci chére fèe, Michka...!
Sans ta baguette magique, rien ne peut se transformer.
Re: LE PTB ET MOI.
26 février 2008, 00:32
La nouvelle salle CABARET refaite à neuf vient d'être inaugurèe sous le nom de SALLE BRAHAM LE BIEN.

Compte rendu plus tard de cette manfestation grandiose placèe sous le signe des mûlets.
Re: LE PTB ET MOI.
26 février 2008, 01:43



AU PTB SALLE ALBERT....'..LES CONS Y EN A MARRE..!!'

Re: LE PTB ET MOI.
26 février 2008, 03:52
LE PREVAUX RIEN.




Oyez bonnes gens épicès
L’aventure précipitée.
En ce temps éloignè.

Un court prévôt se languissant
D’ennui dans sa misérable maison
Se léve matin et écuyer manda.

‘..Scelle mon âne aigrefin,
L’horizon m’appelle en ce matin.

‘..Sire qu’à cela vous plaise... !’
Que t’emporte le malin... !’
Chuchota Belebol en veille.

Trois prétendantes alertées par le départ du prévôt
S’alarmèrent.Et par l’effroi de ce ‘quittement’ imprévu décidèrent de tenir compagnie
A leur dit nain bus qui se croit beau.

Prévôt surpris mais en nage ne dit rien.
Ses amours suivront à pieds,en arriére train
Sur les chemins qui mènent en Normandie.

Neige, froid et verglas sont de la partie pour ces vil'apines
Car il fallait franchir cols,ravins,et bien des voies alpines.

L’hiver étant rude en ce vieux vilain pays des noix.
Pour gravir cimes, pentes, montagnes et du reste ma foi.

Le bon bougre à la bannière en rouge croix
Hallebarde à la main, léve son menu doigt.

Tignasse mal coiffée, il donne l’ordre du départ à sa troupe transie
A pattes. Trois favorites en aval pour bagages et le tout sans envie.

Longue fut la marche. Vers futaies, et clairières, le fou
Se dirigea, rompant le silence de la forêt des mi-Loups.
Prétendantes suivent, maugréant sire de tout leur saoul.

Deux jours durant, l’une avachie, l’autre traînant, la troisième soupirant
Notre héros ne fit cas de leurs souffrances. Il chevauchait son âne souffrant
Au chant du vent et des croassements vilains des noirs corbeaux
Et pies en tout genre. Ne daignant jeter regard compatissant
Vers dames en détresse. Le grand bimol avançait patiemment.

En chemin, carrosse de ROI DE FRANCE passe.

Reine Michka lance à son vieil ami

‘...Que voyais-je l’état où elles sont Sire... !’
‘...Elles voyagent, le prévôt est connu, âne pour lui
Au diable montures pour ses dames... ! Massir... !’

Presque assoiffées, dame blanche-neige fut mordue par vieilles prétendantes impies.
Harassées, lassées et fatiguées, chapardant par ci par là nobles lichens appétissants, avec appétit.

Prévôt avançait, bravant vents et tempêtes, jour comme nuit, sans montrer
Ni bonté ni charité ni compatissance aux suiveuses presque en haillons.

Le brouillard dense s’épaissit et surprit nos aventuriers.

Dans crevasse, triste Prévôt parfumé au fromage moisi, roula dans large boyau en tête.
Fidèles compagnes sans lâcher semelle, s’agrippèrent à la courte queue de pauvre bête.
Trois favorites se traînaient ainsi dans les intestins de la montagne, ne lâchant belle emprise,
Virent enfin leur calvaire, dix heures plus tard, finir cette course en criant ‘...Misère de caprice..'

Prévôt et gueuses de compagnie, en plein centre d’un village de Schtroumfs enfin atterrirent.
Violant ainsi convention de bon voisinage. Il paya intrusion par coups de bâtons ce Messire.

Enfin, ‘...Normandie en vue... !’ Lança le misérable PRE VAUX RIEN.
Il éperonna sa bête vers château du JACQUES POTE DU BON BIEN
Laissant derrière lui à l’agonie, dames sans chapeaux et leur arrière train.

Qu’à cela ne tienne bonnes gens Harrissiens, tous des aigres fins.

Devant pont-levis, il réclame visite au COMTE JACQUOT.
Du Beffroi , avec 'effroy' ce dernier le vit. Le salua par son pied beau.

‘...Je viens demander comptes, Comte... ?’ S’égosilla le parvenu.

On abaisse la passerelle mais juste au moment de franchir le bois, on releve le pont.

Prévôt dans douve se retrouve, che fiq, chevauchant purée et CACAS et narines emmerdées,
Sous le regard du JACQUES POTE et de ses amis Breiton et Michka en ce temps pacsées.

‘..Ahahahaaha... ! Tu viens de gagner le JACKPOT ... ! Vil Prévôt, nul DE MANDE LIEU n’est accepté ici... ! Aux goujat, et bandit, ni gîte, ni couverts aussi... !!! Retourne dans ton royaume sans oublier tes vieilles pâquerettes farcies... !’

Re: LE PTB ET MOI.
26 février 2008, 10:42
Alors là, tu as fait fort...!hot smiley

L'autre texte à coté c'est thumbs down

Re: LE PTB ET MOI.
27 février 2008, 11:34
Une page d'Histoire

Tunisie ou Ifriqiya ?
Les dedales de l'Independance de la Tunisie

Nouvelle de Reuven (Roger) Cohen. 1ere partie
.



Au PTB.
Re: LE PTB ET MOI.
27 février 2008, 12:02


Le Jacquot il t’la bichonne
Ma cocotte avec ou sans culotte.
Il adore les manicottes
Les flans crémeux.
Et bien plus les fonds vicieux.


Le Jacquot n’est pas d’ la Motte
Son Pic Est bien acéré, il frotte
Dur les bons quartieEEErs.

Il ne porte jamais calotte
Et jamais ne capote.
Droit devant et sans respect
Il adore farcir les vieilles congelées.

Il fredonne toujours un joli chant pour ses conquêtes.

‘...Ah viens ma jolie biquette biquette...§§§§
J’ai un joujou pour toi qui fait des claquettes...§§§§

Par Alpert de Vassiline

.
Re: LE PTB ET MOI.
27 février 2008, 13:08
OyEEEEez bons citoyens d’Harissa épices
Pleins d’humour et de désamour inés.
L’aventure par ci par en bas précipitée
En ces temps forts, jadis éloignés.
Sortez de vos belles et douces couches,
Le gredin Alpert Comte de Vassiline accouche
D'une noble suite avant qu'il ne se couche.
Contes et délires sont à sa portèe
Comme d'autres ne peuvent le supporter.

'...Enfin, nuit tombe
Sur le prévôt immergé
Dans douve immonde.

Le v’là le vilain qui bat et se débat
Dans les eaux merdiques d’en bas.
Tant et si bien qu’enfin
Maître Jacquot le Châtelain
Bon, charitable depuis des lendemains
Daigne, lancer, sous regard gloussoniers
De Reine Michka la bien aimée de tout le Comté
Et son serviteur toutou Breitouchel’adore,
Une roue de charrue pour toute fortune.


Prévôt, à bout de souffle, s’agrippe
A ce secours avant qu’il ne se grippe.

Dames peu nobles, ses complices, bien échevelées,
Presque déshabillées, haillons bien saumurés
Arrivent enfin devant prévôt, le carambouillé.

Reine Michka, élue selon droit divin
Polie et respectueuse, porte sa main
A sa bouche, pour retenir esclaffes
Icelle n’en pouvait plus de rires sur le fastoche,
Lâche à la volée, joyeux quolibets à ce vieux machin.
Son corset esplosa par fous rires engendrès sur le mesquin.
Breitouch, accompagna insultes salaces à ce ‘cochin’.



Prévôt Eustache enfin mit pied sur le pont.
Dames derrière suivirent sans jupons.

L’Ane batte sur les épaules du borrico,
Nos deux bêtes, pareilles à paire de baleines
Sortie d’un aquarium vasouilleux, tous deux en haleine
Firent une entrée très applaudie sans leur bas de laine.

Dames suivaient et profitant de l’aubaine
Resquillant sans gêne, passèrent sous porte herses
Du pont-levis, avant que ce dernier ne coupe fesses.

Reine Michka ‘hilarde’,
D’une petite hallebarde se saisit.
Elle lança menu javelot bien pointu
Sur gros imbécile plié par charge ‘Anale’.
Breitouch accompagna l’auguste geste par bras d’honneur.

Cadeaux de bienvenue pour le prévôt Mal VÊT en tous points.

Maître Jacquot, notre châtelain serein, par l’odeur dégagée par le pingouin
Demanda à ses hommes de mains, de loger le crétin dans la chambre à purin.
Là où bêtes à bons groins remuent crottes, pipis, excréments du soir au matin.

A Suivre....

Par Alpert de Vassiline.



Re: LE PTB ET MOI.
27 février 2008, 13:26
Albert, je suis morte de rire. Tu es vraiment très fort...!
Désolé,vous ne pouvez pas répondre à cette discussion, elle est fermée.





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