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LE PTB ET MOI.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI.
27 février 2008, 13:26
Lu sur le Moujahid.

Journal marocain et en première page.

Un joli avis de condoléances.

'...Suite au décès du Pape Jean-Paul II, la communautè de Oued KHENFOUCH( cafards)..Présente ses condoléances attristèes à sa femme et à ses enfants..!'

Nous attendons la réponse de la famille du chér et regrèttè Pape de la part du VATICAN.
Re: LE PTB ET MOI.
27 février 2008, 13:33
smiling smiley smiling smiley smiling smiley.

Nous allons rentrer dans le grand divertissement.

C'est un peu de ta faute, puisque tu me forces à ce que cette annèe soit celle du rire.

Donc voilà. Je le fais avec soin 'm'hilarder' aussi.

Sans celà la monotonie régne. En CHATELAIN.
Re: LE PTB ET MOI.
28 février 2008, 00:39
Une page d'Histoire

Tunisie ou Ifriqiya ?
Les dedales de l'Independance de la Tunisie

Nouvelle de Reuven (Roger) Cohen. 1ere partie.Parue.

La Direction du PTB remercie Monsieur Camus pour ces publications.
.
Re: LE PTB ET MOI.
28 février 2008, 10:08
ok,je suis d'accord sans réflèchir.
Re: LE PTB ET MOI.
28 février 2008, 10:59
Prevôt dans Douve avec pneu de secours grippè.




Tous les faits narrés dans ces délire ne sont que pure imagination de l'auteur.

OyEEEEez, Ouïtez*
Bons citoyens d’Harissa épices.
Ragoûts fades, adeptes de la cirée Adam le Hout
De la dive bouteille Al’Colo du nom de Boukha
‘Bouko bizée*, de la bonne table et fekia,
Sans oublier bonne chaire de la Farda*
Vous, insipides,
Pleins d’in’amour* et de désamour innés,
L’aventure far çie, par en bas précipitée
En ces temps forts, jadis éloignés,
Continue avec ou sans votre respect.

Sortez de vos belles et douces couches,
Le Marquis Alpert Comte de Vassiline accouche
D'une noble autre suite avant qu'il ne se douche.
Contes et délires sont à sa belle portée
Comme d'autres ne peuvent le blairer.

‘Ignardons’ ‘IgnardoOOOnnes’*
Baluchons creux et troués
Vous semez dame Antipathie, AvoueEEEz... !!!
Cervelles athées, pour certains,
Pas plus épais que p’tit grain rizottin*.

Chez vous, il n’y a rien qui ne se rit, mais en vain
Rien de bien aussi qui se lit sauf amis(e).

Rubriques en grand nombre ouvertes
Bla bla à gogos et images découvertes,
Pas loin de ressembler au salon des dattes.
Là bas Gît notre ancien esseulé depuis date
Par la faute, purée, d’une tête macaque.

Avouez....§§§§§§§§....Incontinents à la mémoire défraîchie,
Retenez vous surtout, la partie
Continue sous les beaux lambris
De Monsieur Jacquot le gentil.

............

Hier,
‘....Maître Jacquot, notre châtelain serein, par l’odeur dégagée par le pingouin
Demanda à ses hommes de mains, de loger le crétin dans la chambre à purin.
Là où bêtes à bons groins remuent crottes, pipis, excréments du soir au matin.... !’


On poussa le mal odorant dans la loge qui lui est due.
Sous invectives de ces dames de compagnie en rut.

‘...Salaud de Prévôt, ignoble, impoli, sanguinaire
Malpropreux’*, pouilleux, péteux, galeux, roteux,
Par ta faute, ingrat, traître, balance et variqueux,
Nous voilà dames nobles salies dans beaux draps merdeux... !’

Reine Michka, du haut de son balcon
Cachée par derrière beau vitrail, cependant,
Représentant Saint Albert de la Mitraille,
Gloussait sans ironie de plaisir sur ces mots d’ails*, Qui sentent l’ail.

Prise de compassion pour ses gueuses enragées,
Humaine, généreuse, pieuse, ayant comme curé
Confesseur Monseigneur de Germain, elle eut pitié.

Elle ouvrit belle fenestre, et d’une main noble et tendue
Elle lança quelques graines de froment à ces Mal Vêtues.
Quatre en tout, estampillées par son sceau, bien entendu.

Nobles sottes dames, affamées, comme pigeons en hiver à Paris
Se ruèrent sur la manne providentielle, foulant boue et cambouis.
Raison venue, elles partagèrent équitablement rizotto
Qu’elles mâchèrent sous l’œil bienveillant du Breito.
Heureux comme Crésus en sa demeure d’en haut.
Rassasiées enfin, les pies s’abreuvèrent sous clair de lune
Dans la gran’marre des canards et oiseaux à plumes.

Quant à Prévôt, gardes le poussèrent dans étable à cochons à l’art.
Compagnie Ô combien noble pour ce ‘gras pur sot’ mis à l’écart.
Sur couche et courte paille, il posa ‘teste’ enfin, prêt à rêver sur terres d’autrefois.
Ces châteaux en Espagne qui n’ont jamais voulu du sanguinaire.

Par ces habits mal propres, milles têtards trouvèrent grande liberté.
Milles petits cafards emprisonnés dans poches et recoins, enfin libérés.
Milles asticots levèrent bannière de la Simha, fuyant logis de chair
Empestant sueur pourrie, pet et rots retenus par le mouchard de Prévôt.
Même que, petits bébés requins recroquevillés et enclavés dans bourses Atrophiées, trouvèrent grâce par braguette déboutonnée, finirent leur course sur Paille à Son ‘enfumiée’.


Nuit bien noire tombe sur campagne, enveloppe château du Seigneur Jacquot, le bien aimé dans sa grande citée Normande, nommé par D ieu
En sa sainte demeure.
Pour les demeurées, elles gitent au lieu dit Du Saint Crétin sans foi
Dans un taudis, juste pas loin de la chapelle de notre Seigneur décrit bien maintes fois.

Reine Michka, bien détendue, bénissant ce jour tant attendu, regagne suite en haut.
Milles confidentes la suivent, tandis que Sire Breitouch l’adore
Par tunnels secrets, regagne appartement sous candélabres illuminés.



Dans sa masure délabrée aux cochons, ouverte aux vents, le lardon recroquevillé comme fœtus dans ventre d’une maman , roupillant sur son oreillon* foineux, ronflant, milles fois se retournant, ne sentit pas p’tit fléchon* tiré presque à bout portant par Reine Michkaillon toute heureuse d’avoir ciblé ‘termaillon’* de notre gros lard dormant. Par sa meurtrière de fenêtre.
Breiton plus adepte au tir de l’arbaillon* lui décocha un p’tit croton nasillon qui s’empala dans fesse gauche du Prévôt Rien.

Un écho de loup hurlant rompit le silence de la nuit tombant.



Tandis que oiseaux de mauvaise augure planent sur la Douve du Diable.



Madame Aurore ne va pas tarder à poindre son nez....

A Suivre...

Par Alpert Vassilium......



*vieux mots de la langue française.
Re: LE PTB ET MOI.
01 mars 2008, 12:33

HIER...

‘.....Dans sa masure délabrée aux cochons, ouverte aux vents, le lardon recroquevillé comme fœtus dans ventre d’une maman , roupillant sur son oreillon*, ronflant, milles fois se retournant, ne sentit pas p’tit fléchon* tiré presque à bout portant par Reine Michkaillon toute heureuse d’avoir ciblé ‘termaillon’* de notre gros lard dormant. Par sa meurtrière de fenêtre.
Breiton plus adepte au tir de l’arbaillon* lui décocha un p’tit crotons qui s’empala dans fesse gauche du Prévôt rien.

Un écho de loup hurlant rompit le silence de la nuit.... !’


Tous les faits narrés dans ce délire ne sont que pure imagination.


OyEEEEez, Ouïtez Chaba_Tiques... !!!
Bons citoyens d’Harissa épices.
Ragoûts de langues à la sauce faisandée
Mauvais et fades, insipides et médises.

Adeptes de la cirée Adam le Hout
De la dive bouteille Al’Colo du nom de Boukha
‘Bouko bizée*, de la bonne table et fekia,
Sans oublier bonne chaire de la Farda*
Trublions que vous êtes, fadas.

A part Brahamos fier enchanteur sans ballot’S
Qui nous sert un tombereau de fagots_yo’S .. !!
Des cadeaux à dix Balles fripes...Ouille.... !!!!
En équilibre sur pattes levées à moi et au Jacquouille.

Belle Michka, étoile sur tous les hauts riz on
Se le dit ici et ailleurs, préparez vous Reine
Car la saga continue, et va durer longtemps, andouill_ons


Vous, Valeureux insipides,
Téméraires sans couardise,
Mauvaises langues de médise
JaaaaAAAAloux et Ouses... st!!
Pleins din’am..our* et de désamour innés,
L’aventure que je vous far cie,
Par en bas précipitée je vous l’écris
En ces temps forts, jadis éloignés,
Continue avec ou sans votre respect.

Prévôt_Rien dort.
Fidél’Ane mort
Gît à ses bords.
Par mains efforts fournis durant trois aurores
Trois lunes, sur chemins escarpés, mauvais sort
Sur l’pauvre quadrupèdes inerte ayant rendu âme
S’abattit à la fleur de son âge d’or.

Dames sales, crétussiennes* connues en c’t’époque là.
Vipères au poing, langues fourchues par tous cotes là,
Miséreuses allongées sur litières de manants, dot_èes
D’un sens aigue pour convaincre imbécile Prêvot
Pour lui soutirer quelques bons et sonnants écots.

E culs dans le trou cachès du ronflard* qui dort sur côts et par mon_vaux rien.
Ne se doutant pas un instant que laides dames prévisent*, piège pour demain
En la forêt de Brosse Elan, terre aussi du grand Seigneur Jacques_Pote,
Contre leur charitable Prêvot_Rien, lui-même in_ gredien_inscrit* sur tableau
Des grands bandits_manchots_machin, chouettes du pays des vils_vaches à Vaux
Du pays du laid Crémieux_sans miel, descendant d’un ail’œil borgne célèbre pour avoir
Vendu, y’a grand jadis, beaucoup d’vessies_de chèvres tronquées pour cornemuses foir_euses.

Le voilàAAAA...Aahahaha.... ! Y celui con_cité là haut, venu en curieux, emmerder Sire Châtelain et Invités Reine Michka et Breito pacsisés et intronisés en l’an de grâce 2008 après Jésus, par Monseigneur Camus_Louis_Rat de Rodeguon, descendant d’illustres battri_cien d’une haute lignée et d’un courant hugolien Les MEROUS_VINGIENS ; bien connus ici sous le nom travesti de HARISSIENS et qui ont donné à notre cher pays la FraAAAAnce, ce qui lui a toujours manqué depuis Jeanne Sans Arche
Notre Sarko. Vive LA SARKOOOOOO.....JACQUOT.... !!!!


Bref, en son lieu_dit par prose hybride, piquée à Vasiline introduit par premier en manque de In gredièn* de coquin sorti_liège, farfouilleur de vieilles oie’rs_ganes* en retraite et cabossées,
Ressemblantes plus à canyon de la mort qu’à beaux terminus fermes et surtout bien dépoussiérés
Nos trois Jo con de, khit, ronflent elles aussi mais d’une façon pathétique mais pas hermétiques.

Dans lieu dit Du Saint Crétin sans foi ni Loi, ni Thora, nos impieuses* dorment.

L’une, bien sobre, grimace en laissant échapper fumée noire ressemblant à brouillard.
L’autre, bien grumelle, narinant* vapeurs de cheminée de train à l’odeur âcre du feullard.*
La troisième oie pétante bien synchro avec belle_trielle*, ambiance psyché assurée sans bar
Distille par son haleine_biquée, petite salive blanche mais empoisonnée qui tue mouches sur coup
Et petites bestioles fragiles. Voilà pourquoi belles et jolies espèces à ailes ont disparu depuis cours.

Reine Michka et Breito, insomniaques les deux, se croisent dans corridor avec même pensée.
Fouiner sur ce qui se passe dans granges merdiques du Prévôt Rien et des belles Acoustiques.
Ces aris_ticotes, ces moustiquettess qui, lorsqu’elles vous piquent, vous tétanisent pour la vie, la vue et la bitte_rave.

*Vieux français...

Par Alpert Vassilin.

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Re: LE PTB ET MOI.
02 mars 2008, 09:52
Oh...! L'affreuse Quichonne...!
Pièces jointes:
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Re: LE PTB ET MOI.
02 mars 2008, 10:56
AU PTB CHEZ CAMUS DEMAIN SOIR, RENDEZ VOUS AVEC....

Une page d'Histoire

Tunisie ou Ifriqiya ?

Les dedales de l'Independance de la Tunisie

1ere partie de la nouvelle ecrite par

Dr Reuven (Roger) Cohen.


Re: LE PTB ET MOI.
03 mars 2008, 22:24
La biftouille, de lard pur.
Re: LE PTB ET MOI.
04 mars 2008, 02:15
Mon cher Camus, hier j'ai perdu une représentation.
J'ai du rembourser tout le monde.
Tu as promis de nous faire passer la suite d'en haut.
J'éspère que tout va bien, cher ami.
A moins qu'hier nous n'étions pas Lundi.
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