Albert Siméoni.
Récidive dans une nouvelle dérision
Récit pas très conforme à la réalité.
ALBERT LE BO…… II.
Un Y grec, en fin de papa, a suffit par me projeter dans un univers où je commence à me sentir légèrement baveux.
La sénilité ne va pas tarder. Une dernière voyelle qui me rappelle la forme de ma première tire-boulette, confectionnée à l'aide d'un morceau de bois sciée d'une branche de ficus.. Une lette alphabétique qui m'envoie dans la banlieue des grands-pères.
Je fréquente, à présent, les vieux de Belleville, les 'khalouadines' ( les mélangeurs) qui répètent à l'envie, leurs histoires à dormir assis, et qui se donnent encore des airs de jeunesse alors que les poils de leur nez dépassent d'un centimètre leurs cavités nasales. Si ce n'est, qu'ils s'en servent de brosse à dents ou d'essuie morve, qui pend de leur entonnoir; 'tromba mtaz guez'.
Je ne parle pas des fourrés qui apparaissent par leurs oreilles. Il me semble entendre des petits gazouillis; Sans doute, des oisillons qui viennent d'éclore.. Tnékèt. Eviter de tels désagréments, c'est le but que je me suis fixé. Je me suis donc pris en mains. Tous les matins, je surveille mon faciès. Un tir cils à la main droite et une pince à épiler de l'autre, je guette, comme un sioux, le poil félon qui voudrait me surprendre. Sinon mon look en souffrirait.
Deux pattes d'oie, de rhinocéros plutôt, aux coins de mes yeux sont apparues. Rien de bien grave, je me suis composé une mixture de jaune d'œuf de canard laquais avec une pincée d'huile de pépin de raisin. Je me masse donc ces deux parties tout en me brossant les dents.
Il faut que je présente un visage assez convenable pour Sharon, ma petite fille, quand elle sera en âge de me découvrir. Je surveille aussi tout débordement venant des poils de mon nez. J'ai horreur de cela. Point de tifs du côté de mes oreilles. C'est un acquis, pour mon 'sex-appelle.'Exquisez mon english..'.
Je me suis rendu compte, par contre, que des poils ont pousse encore plus drus…….Sur ma poitrine. Une lotion capillaire, bien traître, m'a prit par défaut.
Mon crane, loin de s'étoffer, en a prit un coup. Rendez-vous fut prit avec un planteur d'implants. Pour cent cheveux, la note varie entre 50.000 et 60.000 frs, tout dépend de la qualité de l 'épi capillaire. J'ai demandé à l'esthéticien de m' implanter des cheveux artificiels. Ca coute beaucoup moins chers. Et ça dure, deux semaines. C'est juste pour me donner une contenance; c'est tout, pas plus, après D ieu y pourvoira.
J'ai prit rendez –vous aussi, par téléphone, avec un masseur de cervelle, histoire de remuer mes neurones, endormies. Je les sens paresseuses et peu enclins à vouloir reprendre du service. La note ….Entre 50 500 Frs et 50 600 frs.
Donc en réfléchissant bien, je préfère rester avec mes neurones à la con, qui très prochainement, je le sens, ne me serait d'aucune utilité à 110 ans.
'..Yemchou i naiqou..'mes neurones.
Pour mon visage qui s'arrondit, j'ai trouvé l'astuce. J'ai une casserole en plastic. J'introduis ma face dedans et là, je l'encastre. Afin qu'elle prenne la forme. Au petit matin, mon visage se relooke. Sauf qu'après deux semaines de cette pratique, cette souffrance, mon faciès a prit la forme d'une cuillère à cafè étirée vers le bas sans doute que je me suis trompe d'ustensile. Echââlina. Ah…! Ma femme un soir, oubliant la casserole, s'est pris le manche. Elle s'est levée avec un œil au beurre noir. J'avais plus besoin de beurrer mes tartines. J'en avais reçu deux au petit jour.
Mais là où, le bat blesse. C'est ma partie inférieure. J'ai beau jurer de faire un régime draconien même Draculien, rien n'y fait, je prends du bide. Au point que je vais peut être si D ieu veut, changer l'encadrement de la porte.
Mais je ne comprends plus mon nombril…! Je ne le trouve plus. Il est rentrè. De profil, je ressemble à Titine, après son dixième accouchement, fesses comprises.
'..Chey yamèl el yar..ou yen'kob él guar..' (Une situation qui fait scandale et perce les trous..!')
Bref. Plus bas, c'est la Bérézina, mais en plus petit. Non point que je ne veuille pas décrire mon inférieur, ma partie basse car je sens déjà les quolibets qui fusent. Juste un aperçu alors…? Mais ne riez pas…! Je me sentirai vexé…! Voilà cela fait belle lurette, que ma petite luette, mon chagrin d'amour, n'a point pris de volume, depuis 20 ans, je dirais même qu'elle s'est laissée tomber comme une vieille chiffe molle.
'Temchi t'nèyèq ehdi zéddèh..' Tant qu'elle ne peut plus, se redresser comme une baguette magique. Cette structure ne répond plus aux critères les plus simples alors elle me 'camouflette' sans coup férir…! Après tout n'a d'elle pas remplie sa mission O Combien euphorique pendant 75 ans….Alors…..?
Bon, ce qu'il y a de magique c'est……. Que je ne me sens plus comme il y a un mois, plein de ressources et d'entrain, bél hafiè, je suis devenu Papy, enfin…Zut.. ! Vous comprenez ça au moins…?
J'ai bien le droit de ' Baloutter' ( affabuler) sur mon Winèq…. Winèq …..( Où est- tu…! .) Non…? Yè Z…izi..! ' Ce cher orgueil dans ma dignité bafouée; j'encaisse ce coup.
Comme tu as étè brave tu n'as rien dit...
UN PAPY PARLE AUX PAPYS ET MAMIES.
OMRIS
Le bonheur n’est pas seulement dans les prés.
Il est partout là où nos enfants et petits enfants
Nous accompagnent.
Qu’ils jouent sur la plage,
Qu’ils enfouissent leur corps
Dans le sable, cela ne vous
Rappelle t’il pas la joie
Que nous avions aussi eus
Lorsque adolescents, nous en faisions autant... ?.
Qu’ils posent pour la postérité
En prenant des poses comiques
Cela ne nous rappelle t’ils pas
Que nous même avons pris ces mêmes
Postures il n’y pas si longtemps... ?
En bombant le torse comme des Tarzazans... ?.
]
N’est-ce pas mon cher Henri... ?
D’autres lieux d’autres endroits
Et qu’il est loin le mur de Kheredine
Hein mon ami... !
Et te voilà, cher papi, mon frère,
Assis bien années plus tard
Dans Ton chez toi, ton petit-fils
Entre tes bras gouter à ce bonheur..
Et te voilà, mon cher ami, cher papi
Entouré comme je le dis souvent
Pour moi, par tes petits enfants,
Aussi beaux l’un que l’autre.
Petits et grands bonheurs font un
GRAND BONHEUR.
DES OMRIS.
Bli aïnara amen..
Il faut essayer de garder raison.
Qq"un peut t'il m'adresser par mail privé ce fameux texte raciste de Elsa envers les dames du GTB.
C'est important pour la suite des évenements.
Merci.
iMPOSSIBLE !! Bretou, il n'existe nul part ce post !!
juste dans la tete d'un esprit derangé !! lotfeeeeeee
CHAMP' POUR TOUS LE MONDE !!!!!!!!!!!!
Commedia dell' Arte.
Au temps de La Goulette, l’atellane fait figure d’ébauche de la commedia dell’arte. L’atellane, au milieu du IIème siècle avant Breïtou, était en effet une farce burlesque, souvent obscène, jouée à la suite d’une pièce tragique.
Elle mettait en scène quatre personnages stéréotypés et masqués : Albertus, le glouton, Cacouboulus, l’imbécile bavard, Breïtus, le vieux gâteux et Doudus, le bossu plein de malice.
Le spectacle reposait également sur un canevas, mais laissant toutefois un large champ fertile d’improvisation.
Quelle différence alors avec la Commedia dell’arte ? En effet, s’il existe déjà les masques, des personnages fixes et les canevas, il faut constater que l’atellane va au fil du temps, sutout lors de la chute de l’Empire Goulettois, se dégrader et tomber dans un genre tout à fait obscène et débauché.
Puis tout s’écroulera, autant le théâtre que les jeux de cirques. Les amphithéâtres antiques serviront désormais à la défense et aux habitations…
Pièces jointes:
Bonjour Les Filles Au Grand Coeur, et bienvenue à toutes.
Voudriez vous jouer dans le Théâtre de la Commedia dell'Arte.
Voici quelques bons petits plats concoctés pour vous par Maestro Doudus
Pour les voir défiler, il vous suffit de cliquer sur :
[ images.google.ch]
Pièces jointes:
La Commedia Dell'Arte,,,
Lors que le genre comique survivait encore à travers les saltimbanques, les bonimenteurs, les charlatans et les jongleurs, aux temps de Breïtou, la comédie va fleurir à nouveau dans les rues de La Goulette, sur les quais du port de pêche ou encore même dans la gare du TGM.
Sur les quai du port, on y jouait les comédies, "les sacre rappresentasioni", qui avaient pour but porter la harangue à un public d'illettrés, tout en le divertissant, laissant aussi une large part d’improvisation aux Belles Poissonnières. Même si les scènes jouées, tirées du Grand Ballout, étaient connues de tous, à chaque fois, les interprétations différaient.
En effet, à côté des figures sacrées du Ballout se mêlaient des acteurs de la vie quotidienne. De plus, tous les personnages, sacrés ou non, que ce soit le Sieur Breïtou ou de ses comères, tous étaient joués par des gens du pays. Cela favorisait l’improvisation mais aussi l’interprétation personnelle du Théâtre de la Vie.
Pièces jointes:
Mince alors !! j'ai pas vu défiler la TARTE NAPOLITAINE !!!
AUX INNOCENTS LES MAINS PLEINES:
Les simples d'esprits sont favorisés dans leurs entreprises. Cette locution proverbiale est le titre d'un vaudeville du Sieur Breïtou un vieil auteur de 100 ans et plus dont les calembours étaient, selon ses propres dires, dignes de ceux de Feydeau lui même, et rien que ça, bigre !.
Sa "comédie-proverbiale" l'enfant de La Goulette en un acte fut jouée sur les planches d'Harissa .com en l'an 1000. Par la suite, cet auteur perdit toute inspiration, pour se lancer dans des opérations qui n'eurent ni queue ni tête, HaHaHa !
Auteur narcissique, qui se croyait le seul à intéresser la galerie, de toutes ces Dames en pamoison du devant de toutes ses pavanneries burelesques autant que Fourbes, et Scapineuses.
À CHAQUE FOU SA MAROTTE : Comme le dit l'Expression du XVIIème siècle. Chacun a sa propre façon d’être fou.
En ce siècle d'obscurantisme, Bébert 1er. dit Le Drolet fut le premier roi des Tunes à s'attacher les services d'un bouffon plein de verve, je site le dénommé Breïtou Le Manant . C’était le plus souvent un petit personnage, laid et contrefait, mais qui possédait un esprit très développé. Son rôle était de divertir le roi par ses pitreries. S’il s’agissait le plus souvent de fantaisies, le critique n’était pas absente des propos du fou.
Tous les rois eurent leur fou.
On se souvient encore aujourd’hui de Boulakia le Ftileur, bouffon de Bébert IV, qui fut immortalisé par Le Jano dans "Le roi se mouche".
L’attribut du fou était la marotte, une sceptre surmonté d'une tête coiffée d'un capuchon et garnie de grelots. C’est pourquoi cet objet est devenu le symbole de la folie.
Dans un sens figuré, marotte signifie l'objet d'une manie, d'un attachement bizarre, à des pratiques illicites, que la morale ne peut ici dévoiler, demandez le lui donc ce que la bienséance m'interdit ici de nommer, et que lui même appelle s'adonner à la Bo,,,, de la matière grise, bien sur qu'il ne pouvait en être autrement, HaHaHa !
Ce Drolet aurait paraît il UNE DENT CONTRE QUELQU'UN : cela se dit de celui qui Garde de la rancune envers quelqu'un. Aujourd'hui, la dent est le symbole de l'agressivité, assi fait il semblant de railleries, pour sous couvert de rigolades, genre " Je bois mon petit lait ", histoire de se satisfaire auprès de ces Dames qui s'adonnent à la Grêve des itinérants du spectacle, et de leur bien montrer que tapis dans son coin, il n'attendait que cela, histoire de les tourmenter un peu plus.
La dent fût bien dure, mais pour le plaisir du genre nous y reviendrons ! haHaHa.
Ce Drolet aurait paraît PLUSIEURS CORDES À SON ARC : Expression du siècle de Bébert 1er.,où l'on n'avait, à l'époque, que deux cordes à son arc. Le sens de l'expression est : avoir plusieurs types de ressources, divers moyens d'action pour parvenir au résultat.
En fait pour parvenir au résultat, tous les moyens lui conviennent parfaitement, y compris ceux que la morale réprouve, ceux du genre coups bas, grivèlerie, affabulations, dissimulation,,, et j'en passe, car bien sur son désire le plus sournois serait, de procéder à un détournement de majeures, je parle bien sur de ces Dames, que Le Drolet n'hésite pas a nommer Drolesses, afin de meubler un espace désertique, qu'il a l'audace et la prétention d'appeler PTB.
Et pour cela, il use de multiples stratagèmes, pour vous y attirer, mais Dames votre esprit est bien trop affuté, que dis-je aïgue, pour tomber dans ce morbide piège, toile arachnénne, où ce manant voudrait vous consommer,,,
Mais ce qu'il ignore ce Drolet, c'est que tels Ulysse qui se fit attacher au mat de sa galère, nous saurons tous resister au champ des sirènes, afin de ne pas sombrer dans le maleström du naufrage, que lui même nomme le PTB,,, HaHaHa !
Pièces jointes:
Meskine que tu es Albert, tu dois te contenter de petit lait maintenant, à la place de petit déjeuner, humant et fumant, dont tu venais abondamment te régaler.
Et j'te parle pas des gateaux,
PS : t'as vu j'ai retenu un mot, demain je suis Tune.
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